L'histoire de la semaine

Dimanche 29 juin 7 29 /06 /Juin 13:27

Lire ou relire la 1ère partie : Viol en soirée - 1ère partie

 

La trappe était restée ouverte sans que personne ne s'en rende véritablement compte jusqu'à l'arrivée des flics. La musique gueulait encore lorsqu'ils descendirent lentement, torche à la main, les marches branlantes en bois menant à la cave à vin.

- Les gars il y a quelqu'un.

- Eh toi ! Tu fais quoi là par terre ?

Le corps ne répondit pas ni même ne bougea. Les flics se regardèrent rapidement et reprirent leur descente. L'un d'eux s'approcha alors un peu plus du corps qui traînait dans la terre battue.

- Putain merde les gars, il bouge pas !!!

Tous les keufs coururent vers le corps. Tous sans exception eurent un mouvement de recul en voyant l'état dans lequel il se trouvait. Froc et calbut baissés aux chevilles, les couilles pendant entre ses cuisses, la gueule recouverte de sperme. L'un des flics approcha son oreille de la bouche du corps.

- C'est bon les gars, il respire.

- On en fait quoi de lui ? Il a été violé ou quoi ?

- Pas sûr, un pote de ma femme est pd et crois-moi que certains rêveraient de finir dans cet état, le cul béant, du foutre coulant de partout.

- Bon, quoi qu'il en soit on l'embarque. On l'emmène à l'hosto. Pour vous, dit-il à l'adresse de ses subordonnés, contrôle d'identité, recherche de stup, la fête est finie ici !

Je fumais un autre joint en parlant à trois filles aux formes généreuses lorsque la musique se coupa. Tout le monde se tut face à ce fond sonore qui venait de disparaitre. Puis les discussions reprirent naturellement.

- Ce ne serait pas les flics quand même ?

- Non t'inquiète, ils ont dû griller les enceintes ces cons !

On continua de discuter jusqu'à ce qu'un gars d'une vingtaine d'année nous passe devant en courant presque. Il se fit plaquer au sol par deux types qui surgirent de nulle part. L'un d'eux se releva tandis que l'autre attachait des menottes à celui qui avait tenté de fuir.

- Ecoutez-moi bien, on a reçu un appel anonyme concernant cette maison à propos de tapage nocturne et trafic de stupéfiants. Personne ne rentre, personne ne sort, contrôle d'identité et fouille pour tout le monde !

D'autres flics apparurent de partout. Il y en avait des dizaines. Putain, j'avais eu raison de dire qu'il y avait assez de drogue ici pour attirer la brigade !

Voyant tous ces keufs interroger et fouiller tous les invités, je commençais à marcher vers le mur au fond du jardin. J'étais presque sûr de pouvoir l'escalader. Avec tout le shit que j'avais sur moi j'étais mort si je ne me cassais pas. Je fendais la foule le plus discrètement possible jusqu'au moment où…

- Eh toi là-bas ! Tu t'arrêtes tout de suite !

Je tournais la tête. Un flic à cinq mètres de moi commençait à s'avancer dans ma direction. Ne réfléchissant pas je me mis à courir.

- Il se casse, attrapez le !!!

La foule était avec moi. Tout le monde s'écartait pour moi, se regroupant au passage des flics qui me suivaient. Soudain un policier apparut devant moi, sa batte à la main. Je bifurquais d'un coup, prenant un virage à 90° sur ma gauche, laissant tous les flics au carreau. J'arrivais à me faufiler dans la masse. La maison ! Je devais repasser par la maison pour sortir d'ici ! Je montais les escaliers qui menaient au hall d'entrée. Des flics encore là devant la porte. Je pris l'escalier qui montait aux étages. Un nombre incroyable de keufs me suivaient, criant de m'attraper. Même déchiré et bourré j'allais plus vite qu'eux. Partout autour de moi des gens me regardaient, certains même me filmaient. Je pris le couloir qui menait aux chambres, entrais dans l'une ou 15-20 personnes jouaient de la guitare en chantant. Je jaugeais la pièce : aucun endroit où se cacher ! Les flics allaient arriver d'une seconde à l'autre. Le lit était trop bas pour se planquer dessous. Les policiers arrivaient dans le couloir. Les placards trop étroits pour que j'y rentre. Ils entrèrent dans la chambre d'à côté. Les rideaux trop transparents pour me faire disparaitre derrière. Ils entrèrent dans la chambre où je me trouvais.

- Il est là !

Ne réfléchissant pas je sautais par la fenêtre ouverte. Le mur où se trouvait cette fenêtre servait de séparation entre deux terrains et, par chance, sous cette fenêtre se trouvait une énorme piscine démontable. Sous le choc la piscine explosa, provoquant un raz de marée dans le pauvre jardin des voisins. Je m'essuyais rapidement les yeux et courais en direction du portail d'entrée. Je sortis en courant de la maison, les poulets tentant désespérément d'expliquer à leurs collègues pourquoi ils devaient aller dehors pour me suivre.

Je courais, je courais, je courais à m'en crever les poumons. J'arrivais au bord d'un bois. Aucune chance que les flics me retrouvent ici et surtout aucune chance que je reprenne mon souffle si je devais continuer à avancer.

Plié en deux, un bras appuyé sur mes genoux, l'autre tendu vers la route pour faire du stop. Une dizaine de voiture passa, aucune ne ralentit même jusqu'à ce qu'au bout de 30min une vieille épave consentit à s'arrêter à mon niveau. Un gars était au volant, 25 ans environ, la gueule du mec qui a un peu trop bu. Il m'observa avec insistance avant de me parler.

- Mec je veux bien te prendre mais seulement si tu te désapes sinon tu vas niquer ma caisse avec tes fringues mouillées.

Je m'exécutais sans broncher. En réalité j'avais presque plus froid avec mes vêtement trempés sur le dos que seulement vêtu de mon boxer.

Je montais dans la voiture et le gars démarra. La voiture puait la clope froide et elle était dégueulasse.

- Je te dépose où gars ?

- Je ne sais pas, loin. Tu vas où toi ?

- Oula, je vais un peu loin moi, je rentre sur Orléans.

- Alors vas pour Orléans ! Je me ramasserai de là-bas en stop.

Le silence se fit. Seule la musique (de merde) venait exciter nos oreilles. Le type jeta un œil sur mon calbut trempé et me regarda.

- Pourquoi t'es trempé exactement ?

Je lui expliquais toute mon histoire sans forcément parler du pauvre type que j'avais laissé le cul éclaté et la gueule enfoutrée.

- Et t'as pécho une meuf là-bas ?

- Pas vraiment…

- Pourquoi pas vraiment ? Soit t'en as baisé une, soit non ?

- Ben ce n’était pas une meuf quoi.

- T'es gay ? me demanda-t-il avec une curiosité dans la voix qui était sans doute un peu trop prononcée.

- Non je suis bi, et toi t'es quoi ? T'es PD non ? T’arrête pas de mater ma queue du coin de l'œil.

Le mec eu l'air tout gêné. Moi, complètement pété, je commence à rouler un autre oinj avec des feuilles et du tabac que j'avais trouvé sur le tableau de bord.

- Si t'as envie de te faire péter la chatte il suffit de le dire. Il n’y a pas de problème à ça. Je kiffe bien les petites putes qui assument leurs besoins.

Le gars était rouge, le froc tendu comme pas possible, les mains moites glissant sur le volant.

- Non… je…

J'allumais mon joint sans même le regarder.

- Si tu veux tout savoir, le gars que j'ai démoli à la soirée, il ne m'a pas suffi. En fait si tu veux, plus je fume, plus j'ai besoin de niquer. Et j'en suis à mon 9ème tère là. Donc si tu veux qu'un vrai mec s'occupe de ta petite chatte en chaleur t'as qu'à le dire et je te donne ce que tu veux.

Le mec ne savait pas quoi faire. Voyant bien qu'il voulait se faire baiser mais n'osait pas, je pris les devants.

- Gare-toi là stp.

Sans même me demander pourquoi le type se gara au bord du bois, dans un renfoncement où personne ne pouvait nous voir.

- Voilà, là c'est parfait. T'en veux ? Lui fis-je.

Il me prit le joint des mains et tira longuement dessus.

- Quand t'auras fini de tirer dessus tu me pomperas.

Le gars me tendit le tère et descendit entre mes cuisses. Je baissais mon boxer et sortis ma teub qui bandait dur comme fer. Le type me prit en bouche et le con il savait y faire ! Dès le début gorge profonde. Et pas qu'une petite ! Une vraie bonne gorge profonde comme seules les putes savent les faire ! Je n'ai aucun effort à faire, le gars s'emboite de lui-même sur ma queue jusqu'à avoir mes grosses couilles pendantes au menton. Au fur et à mesure qu’il déguste mes 21cm, son regard se perd. Je voyais sa main s'agiter entre ses cuisses.

- Montre ta teub mec.

Il me sortit sa bite. Un petit 14*3,5cm.

- Ça doit te faire bizarre de voir une vraie queue hein ? Parce que ce n’est pas avec la tienne qu'on a beaucoup de choses à pomper.

Le mec eut l'air de ne pas apprécier ma réplique mais continua à me sucer. J'adorais rabaisser les mecs que je baisais. C'était trop bon de leur faire mal, de les humilier, et généralement ils kiffaient ça puisque c'est par l'humiliation que vient la domination.

Le pompeur m'avait trempé les couilles de sa salive en me pompant en fond de gorge comme ça. J'avais la queue luisante de sa mouille de bouche.

- Allez, viens t'assoir dessus mon pote. Dis-je en fumant mon joint.

Ma pute s'extirpa la gueule de ma teub pour venir s'assoir dessus. Il se mit face à moi, les pieds de chaque côté du siège, à poil. Il plaça ma queue à l'entrée de son petit cul que j'imaginais serré. Le mec planta ses yeux dans les miens comme par défi et se laissa tomber sur mon dard ! Il s'enfonçait à allure régulière sur mon pieu, ses yeux se perdant au fur et à mesure que mon zob le remplissait. Arrivé sur mes couilles il me regarda à nouveau avec un léger sourire et entama de petits mouvements de haut en bas avec son bassin.

- Mec t'es une pute, t'as vu comment tu viens de t'assoir sur ma grosse bite ?! Et tu crois que je vais me contenter de ces petits va et viens de puceau de 14a ?!

Liant les mots aux actes, je lui attrape les cuisses et commence à lui boudiner sa chatte de mec. Le gars lâche un cri de douleur et tente de s'extirper de ma queue mais je suis trop fort pour lui. Je continue à lui démolir son cul. Si je pouvais lui fissurer l'anus j'en pleurerai de joie. Mon petit garage à queue continue à gémir, des larmes perlent à ses yeux mais d'expérience je sais que pour n'importe qui la douleur finit toujours par laisser place au bonheur. Et en effet, petit à petit, les larmes de ma chienne arrêtent de couler, son visage se détend laissant apparaitre une mine de pure jouissance. Ma salope commence à prendre conscience du bonheur que lui procure ma bonne grosse bite de mâle. Le mec se cambre, s'empale sans ménagement sur ma bite jusqu'aux couilles, faisant glisser ma queue de toute sa longueur entre ses fesses de pute à jus.

- Oh putain mec, tu me fais… on m'a jamais baisé comme ça !

Il était véritablement en transe, les yeux fermés, se laissant aller au plaisir que lui procurait sa chatte. Voulant un peu rire je pris son portable, ouvris snapchat et postais un snap vidéo de lui en train de se faire baiser et dire qu'il adorait se faire démonter sa grosse chatte de pute à foutre, sur sa Story, histoire que tous ses potes la voient.

Le type semblait jouir du fion, il ne se branlait plus depuis 30 min.

- Dégage de là, je vais te défoncer sur le capot.

Il ôta ma queue de son gouffre anal et vint se pencher sur le capot, les épaules écrasées sur l'avant de la voiture, le cul éclaté par mes coups de queue, cambré au maximum, incitant quiconque le voyant à le baiser. Le gars me lança un regard suppliant, s'enfonça deux doigts de chaque main dans la chatte et tira de chaque côté de manière à s'écarteler le trou et s'agrandir le diamètre pénétrable. Voyant ça je me dis que cette grosse pute de chienne mérite bien de se faire casser sa petite schnek de salope comme il faut par un vrai mâle qui sait utiliser sa bite. Je plante d'un coup sec ma grosse queue bien rasée dans son boul alors que ses doigts étaient toujours en train de s'agrandir la chatte. Le salop poussa un cri incroyable. Sans accorder la moindre importance à ses cris de tafiole je continuais de le démolir de l'intérieur, je sentais le bout de son cul à chaque coup de zob mais le petit con semblait apprécier. Mes couilles venaient claquer contre les siennes, ses doigts encerclaient ma teub qui rentrait et sortait de son cul. D’un coup, sans prévenir, le type hurla, son corps se tendit, sa queue éclata en d'énormes jets de sperme épais et gras sur le capot de sa caisse. Je continuais de le démolir tandis que son orgasme redescendait. Tout en le bourinant toujours je lui fis lécher son propre jus, je sortis de sa chatte et vint me vider sur sa gueule de sac à foutre qui ne demandait qu'à être remplie. Je lui dis de faire des gargarismes avec, je lui touille tout ce foutre dans la bouche avec mon doigt, je crache dans sa cavité buccale alors que le foutre épais et blanc y est toujours. Je prends un peu de sperme de mes mains et le lui étale sur sa gueule minable de pédale. Le gars prend autant son pied que quand je le baisais. Je lui recouvre complètement le visage de notre foutre et lui dis de remonter en voiture. On s'attache, il est à poil, une énorme gaule entre les cuisses, du sperme séchant sur son faciès.

- Allez ma salope, on va à Orléans et si on prend un péage tu restes comme ça devant le guichet : je veux que tout le monde sache que t'es qu'une pompe à foutre. Allez, roule ma pute !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 22 juin 7 22 /06 /Juin 13:24

Le joint sur lequel je tirais touchait à sa fin et ses effets sur mon organisme commençaient à me faire planer. Il faut dire qu'avec 6 pètes au compteur le cerveau commence à ne plus très bien savoir ce qu'il se passe autour de lui. La musique m'assourdissait, les flashs lumineux du stroboscope m’éblouissaient, le parfum de weed m'enivrait et frôler les gens me faisait frissonner. Je n'étais plus un être conscient, uniquement un ensemble de connexions nerveuses reliées à un organe incapable d'interpréter ces signaux sensitifs.

La fête battait son plein. Elle avait lieu dans une vieille maison entièrement vide qui appartenait à une connaissance. Le flot de gens était incessant. C'était comme si tout le vice, toute la jeunesse de ma ville s'y déversait. Le flux était continu, plus de 200 personnes entraient et sortaient de la maison, une teille ou un oinj à la main. Il y avait assez d'alcool pour remplir les rayons d'une grande surface, assez de beuh, de shit, d’ecsta pour intéresser la brigade des stup'. Les gens semblaient en transe, tout le monde dansait le regard perdu dans le vide ou les yeux de quelqu'un d'autre. Les filles relevaient leurs jupes, les mecs enlevaient leur t-shirt sur les flashs lumineux des panneaux led et au rythme des impulsions lâchées par les baffles qui crachaient tout le son qu'elles pouvaient.

De mon côté j'avais le cul du joint dans une main, une teille de Jäger dans l'autre. Je titubais sous l'effet du shit et de l'alcool. Je passais rapidement devant un miroir. Grand, mince et musclé, une légère barbe de 3 jours avec des yeux verts injectés de sang, voilà ce à quoi je ressemblais. Un déchet humain vêtu d'un débardeur à motifs géométriques verts, d'une casquette, d'un jean délavé et d'une paire de bottine en cuir. Je pris un shoot de Jäger avant d'aller m'enfoncer dans la foule. Une fille me suivait du regard depuis plusieurs minutes. Une brunasse sans doute en dessous de la majorité. C'est alors que quelqu'un me toucha l'épaule. Un gars, baraqué, assez petit mais bien proportionné, aux cheveux court et au sourire vicieux.

- T'aurai pas du feu gros? J'ai un oinj à fumer et on m'a pétave mon feu.

Machinalement je sortis mon briquet de ma poche et le lui tendis.

- Hé frère, il y aurait pas moyen de tirer dessus vite fait ?

Le petit gars arrête de tirer sur son pète et me dit qu'il n'y a pas de problème.

- Suis-moi mec, on va se poser. On se fait un 5 barre passante ?

On sort de la maison. En descendant l'escalier, le petit caresse le cul d'une meuf qui buvait à la bouteille. On descend et on se pose à l'entrée du garage qui est bondé. On s'assoit à même le sol. Il tire une grosse latte, lâche un parfait ghost et me fait tourner son bédo.

- Putain bâtard c'est de la bonne! Tu l'as péché où ?

- J'ai un contact à Ormesson, je te ferai tourner le num' si tu veux.

Il jette un œil aux alentours et fixe quelqu'un.

- Putain cette meuf là, je me la fais dans la soirée !

- Je la connais mec, elle est lesbienne.

- Non, tu me charries ?! T'as vu comment elle se fringue ?! Elle kiffe la bite celle-là !

- Eh mec, la vie de ma mère elle bouffe de la chatte cette zouz !

Le petit gars me regarde faire un rond et se lève.

- Viens gars, je vais te montrer un truc.

Il me prend le joint des mains et se fraye un chemin dans la foule. On arrive devant une sorte de petit meuble minable.

- Tiens-moi ça gars.

Je reprends le tère en main et tire copieusement dessus. Pendant ce temps ce petit mec pousse le meuble avec facilité ce qui a pour effet de dévoiler une trappe souterraine. Il l'ouvre d'un geste ample qui fait ressortir ses bons biceps. Il sort son portable et éclaire le trou.

- Viens gars.

Je le suis et renferme la trappe derrière moi. On n'entend plus que les basses de la musique, le piétinement des gens, le lieu est uniquement éclairé par le portable du gars. On arrive en bas. Je ne bouge plus, perdu dans le noir.

- Attends bouge pas…

Il s'éloigne et, au bout de quelques secondes, une lampe s'illumine enfin. Elle émet une lumière glauque et un bruit aigu insupportable.

- Putain gars c'est géant ici !

La pièce est une petite cave à vin en brique avec un sol en terre battue. Je retire sur le joint.

- Tiens, si tu veux tiser il y a…

Le petit mec perd l'équilibre et tombe par terre sous le coup de la beuh et de l'alcool. De mon côté j'éclate de rire en le voyant s'effondrer mais lorsqu'il se relève mon regard reste accroché à son petit cul qui semble bien ferme.

- Putain, pourquoi tu mates mon cul ?!

- Ben il me fait grave envie !

- T'as dit quoi sale pd ?

Il s'approche de moi en titubant, le regard rageux.

De mon côté je commence à avoir une bonne gaule. N’y tenant plus je lui roule une grosse pelle qui en fin de compte se transforme en soufflette. Le petit mec subit immédiatement les effets du joint. Il a du mal à tenir debout, son regard se perd. Profitant de cette occasion, je lui appuie sur les épaules, il s'agenouille devant moi. D'une main je baisse ma fermeture éclair, de l'autre je sors ma queue et mes couilles. Je lui fous mes 21cm x 5 encore mi mou dans la gueule. Le petit gars ouvre la bouche et se laisse limer la bouche. Continuant de tirer sur le joint je fais glisser ma bite sur sa langue qui, rapidement, vient taper contre son palais. Je continue de lui faire la gueule et appuie de toutes mes forces derrière sa nuque pour faire passer ma teub dans sa gorge. D'un coup elle y rentre. Le pauvre bâtard a un haut le coeur et tente de s'extirper de mon emprise mais je le maîtrise et garde ma bite dans son fond de gorge. Il ne peut pas crier à l'aide.

Sans quitter sa gorge chaude et accueillante j'entame de longs allers retours. Il tressaute à chaque coup de rein, bavant de partout, les yeux éclatés, injectés de sang. Quand je sens que le con commence à se sentir vraiment mal je sors ma queue de sa gueule. Il tousse tandis que je prends une longue barre sur le joint. Je le lui mets dans la bouche et, automatique, il tire dessus. Le pauvre con : plus il tire, plus je pourrais faire ce que je voudrais de lui. Je finis le joint alors qu'il s'effondre par terre. Je le jette par terre et relève ma pute. Je lui mets quelques claques, il se réveille et sans préparation je refous ma queue dans son fond de gorge. J'entends des bruits de succion baveuse provenir de sa gorge. Le salaud il a une vraie gorge de garage à bite ! Ma queue glisse sans difficulté dedans, trempant mes couilles de sa salive de pute. J'ai même l'impression qu'au fur et à mesure le connard commence à s'enfoncer de lui-même sur la bite. Mais oui, le fils de pute prend son pied à venir me toucher les couilles avec ses lèvres ! Il bande comme un porc, son jean est salement tendu entre ses cuisses musclées.

Je sors ma teub de sa chatte buccale et le relève. Il se laisse faire sans émettre un son. Je le fous à 4 pattes dans la terre battue. J'envoie balader son fut et son calbut dans un coin de la cave, lui fait écarter les cuisses, je crache sur son cul, sur ma bite et presque d'un coup sec je l'enfile. Le salaud se cambre direct de douleur en hurlant. Rien à foutre il y a trop de bruit en haut pour que quiconque ne l'entende. Je le défonce sans pitié mais le peu de compassion que j'ai me pousse à lui écarter les fesses pour que mon 21 y glisse mieux.

Je lui écarte le cul et là il bondit et ce n'est plus un cri de douleur mais un cri de plaisir. Le petit gars prend son pied avec une queue dans sa chatte ! Voyant ça je me lâche, je lui démonte le cul. Il tremble de tout son corps, se cambre comme une vraie pute, s'écarte les fesses des deux mains, la gueule enfoncée dans la terre battue. Je sors ma queue, la rentre à nouveau, la sort, la rentre... A force c'est lui qui s'empale tout seul sur ma bite ! Sa cambrure place sa chatte au niveau parfait pour que ma teub y rentre sans effort. Ce sac à foutre a un cul démentiel, large, chaud, je peux faire claquer mes couilles contre son cul sans qu'il ne se crispe. Je lui fous des fessées, des baffes. J'enfonce même un doigt en plus de ma bite dans son cul et le connard prend encore plus son pied. Il ondule du bassin en criant qu'il en veut plus, qu'il veut que j'aille plus au fond de sa chatte que je le fasse boiter demain ! Je l'écoute et lui ramone vraiment le trou, j'entends sa mouille de cul clapoter sous les coups que je lui balance dans la chatte. Je continue de le déglinguer pendant encore une heure facilement. Le salaud n'a même plus la force de crier, je vois juste ses yeux rouler dans leurs orbites, son dos cambré au maximum, sa respiration saccadée.

Je sors alors d'un coup ma queue de son trou, prend quelques secondes le temps d'admirer la chatte que je venais de créer avant de lui fourrer mon membre dans la gorge. Trois ou quatre coups de reins et je lui repeins sa face de pute. Il est couvert de foutre, du sperme dégoulinant de son nez sur son menton. Je lui crache sur la gueule, remonte mon froc, sors mon portable, prends une photo de lui et me casse en laissant la trappe ouverte.

 

A suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 15 juin 7 15 /06 /Juin 14:48

Cela avait été une longue journée. Ma femme et moi avions tout juste fini de faire la vaisselle du dîner. Comme d'habitude, Vanessa est allée dans la chambre pour se préparer pour la nuit et moi j'ai bu un verre pour me détendre. Normalement je regardais les infos à la télé mais c'était un soir d’été tellement agréable que je décidai de prendre mon verre à l'extérieur sous les étoiles. Quand j'ai ouvert la porte donnant sur la terrasse j'ai tout de suite remarqué que le portillon du jardin avait été ouvert. C'était étrange car il était fermé une heure plus tôt quand j’avais sorti la poubelle. Je me suis dirigé tranquillement vers le jardin pour voir ce qui s’y passait. Il n'y avait pas de clair de lune et il faisait presque complètement noir. Notre chambre était à l'arrière de la maison. Dans la lueur filtrant à travers les rideaux j’aperçus une silhouette.

Ma première pensée fut de pousser un cri mais je me ravisai et décidai de me rapprocher un peu pour voir de quoi il retournait. Je m’avançai dans le jardin et me plaçai à l’arrière de la silhouette, à bonne distance. De là je pouvais voir ma femme à travers l'ouverture des rideaux. Elle était assise nue devant le miroir de la commode et brossait ses longs cheveux roux. Je me rapprochai encore et je reconnus alors la silhouette : c’était Bastien, le jeune fils des voisins ! Il était vêtu d'un débardeur et son short était baissé sur ses chevilles. Il avait la bite à la main et il la caressait lentement. Maintenant ma colère avait tourné à l'amusement. Après tout, quel adolescent de seize ans n’aurait pas voulu voir ma femme nue ? À trente ans, elle était belle. Elle avait une peau blanche laiteuse, de petits seins très alléchants, un magnifique cul et une toison bien entretenue. Elle était mince mais avait des courbes arrondies. Voir ce jeune étalon s’astiquant en regardant ma femme nue était assez excitant et je sentis que je commençais à bander.

J’aurais pu me contenter de le regarder et de laisser Bastien se finir et partir mais ça n'aurait pas été drôle. Je me suis donc rapproché de lui et je l’ai agrippé par les épaules. Tout son corps a tressailli et il a laissé échapper un drôle de cri de surprise.

— Qu'est-ce que tu fais là ? ai-je demandé. Il ne savait pas quoi dire, tentant d’abord d’expliquer qu'il avait perdu son chat puis, vaincu, se confondant en excuses. C'était drôle de voir qu'après tout cela il avait encore une érection, bien droite, presque verticale.

— Eh bien, Bastien, ai-je dit, je crois qu'il va falloir aller parler à tes parents...

— Non, non ! S'il vous plaît ne leur dites rien, a-t-il supplié, je ne le referai plus jamais je vous le promets. Je ferai n'importe quoi mais ne le dites pas à mes parents.

Bien sûr je n'avais aucune intention de dire quoi que ce soit à ses parents mais j'ai pensé que je pourrais utiliser sa terreur à mon profit.

— Ok Bastien, peut-être nous n'aurons pas à le dire à tes parents mais nous ne pouvons ignorer tout cela. La première chose que tu aies à faire est d'aller à l'intérieur et de t'excuser auprès de Vanessa.

Il a accepté et a commencé à remonter son short. Je l'ai arrêté.

— Pas question ! Je veux qu'elle te voie comme ça.

Le pauvre Bastien tremblait de peur et d'embarras et sa bite commençait sérieusement à se ramollir. Je l'ai amené à l'intérieur, directement dans la chambre à coucher. Vanessa était couchée en train de lire un livre. Le regard sur son visage a été impayable quand elle m’a vu entrer, tenant par le bras un adolescent à demi nu.

— Regarde qui j'ai trouvé qui t’épiait par la fenêtre !

Dans un premier temps Vanessa eut l'air choquée puis gênée.

— Où est ton pantalon ?

— Il l’a baissé pour pouvoir se branler en te regardant.

Elle essaya de paraître en colère mais un petit sourire sur son visage trahissait qu’elle était flattée.

— Bastien, tu as violé notre intimité.

Le pauvre Bastien essaya de présenter des excuses mais il était tellement nerveux qu'il put à peine balbutier un pauvre « Désolé ». Décidant de m’amuser un peu, j'ai demandé à Bastien :

— Tu aimes regarder les seins de ma femme?

—Oui, je veux dire n-non, je ne sais pas...

Vanessa avait compris ce que j’étais en train de faire et s’engouffra dans la brèche :

— Tu voudrais me voir nue à nouveau, Bastien ?

Il savait qu'il n'y n'avait pas de bonne réponse. Il n’en pouvait plus et s'assit sur le lit commençant à pleurer. Vanessa se sortit de sous les couvertures, toujours nue, et s'assit à côté de Bastien, passant un bras autour de lui. Pour tenter de le calmer elle lui dit qu'elle n'était pas en colère et qu'elle était réellement flattée qu'un beau jeune homme comme lui soit excité par son corps.

J’étais à présent aussi dur qu’un roc, regardant ma femme complètement nue, tenant dans ses bras cet enfant qui maintenant se remettait à bander. Voyant que Bastien se détendait un peu je lui expliquai qu'il n'y avait rien de mal à regarder les femmes nues ou à se masturber mais qu’épier par la fenêtre de quelqu'un sans sa permission n’était pas acceptable et qu'il devait être puni. Il dit qu’il avait compris mais a supplié que nous ne disions rien à ses parents.

— Je ferai tout ce que vous voudrez.

Vanessa et moi n’avons jamais eu de blocages sur le sexe et on avait déjà parlé d'avoir une expérience à trois. Un regard entre nous nous convainquit que nous pensions la même chose. Je pouvais voir que Bastien essayait de cacher avec ses mains son érection maintenant bien vigoureuse.

— Il ne faut pas être gêné d’avoir une érection, lui dis-je, laissant tomber mon short et révélant ainsi mon membre engorgé.

Bastien avait l'air choqué et ne pouvait pas détourner son regard. Il était fasciné par ma bite.

— Une érection est une chose parfaitement naturelle, continuai-je, et puisque tu en es la cause, je pense que le moins que tu puisses faire serait de m'aider à prendre soin d'elle.

— Puis, renchérit Vanessa, tu pourras t’occuper de moi, parce que moi aussi, je suis très excitée !

Bastien balbutia un « OK » incertain, avouant qu'il ne savait pas quoi faire.

— As-tu déjà taillé une pipe à quelqu’un ?

— Non, j'ai jamais vu de bite d’aussi près avant et j'ai même jamais été avec une fille non plus.

— Ne t’inquiète pas, dit Vanessa, nous allons t’apprendre.

Aussitôt, Vanessa entreprit de faire sur moi une démonstration, lui montrant comment faire pour démarrer en léchant la tige de haut en bas, sans oublier les boules. Ensuite, elle lui montra comment la prendre en bouche.

Après la démonstration et les explications, elle prit sa main droite et la plaça autour de la base de ma bite. Je pouvais sentir sa main tremblante lorsqu'il posa ses lèvres sur mon gland et lécha le liquide séminal. Puis il dirigea sa langue jusqu’à mes couilles, les suçotant doucement. Je voyais que Bastien était vraiment à son affaire, commençant à gémir et caressant sa propre bite. Après avoir nettoyé consciencieusement mon membre il m’a enveloppé le gland de ses lèvres et a commencé à sucer, remuant ses lèvres et descendant le long de mon dard. Pendant ce temps je léchais et suçais les seins souples de Vanessa pendant qu’elle se doigtait. Je ne pouvais pas me retenir plus longtemps. Je me mis à trembler de tout mon corps et j’envoyai mon foutre au fond de la bouche vierge de Bastien.

— Prends tout ! lui ordonnai-je.

Il fit de son mieux, suçant mon engin jusqu’à le tarir complètement. Vanessa l’aida à nettoyer, leurs langues travaillant ensemble pour me tirer jusqu’à la dernière goutte de sperme. Vanessa offrit à Bastien un long baiser humide et ils partagèrent le goût de mon foutre.

— C'est mon tour maintenant, murmura-t-elle, s’allongeant sur le dos et attirant l'adolescent au-dessus d'elle.

Il était tellement excité qu'il dardait partout avec sa bite, incapable de trouver sa cible. Avec mon aide il parvint enfin à se frayer un chemin vers la fente chaude de ma femme. À tout casser il lui fallut une vingtaine de secondes pour décharger, criant à chaque spasme. Vanessa, désormais plus chaude que jamais, amena le visage du garçon jusqu’à sa chatte et lui ordonna de la bouffer. Bastien semblait prendre plaisir à laper sa propre semence. Vanessa dirigeait la jeune langue de son élève en professeur. Voir ma femme baisée et désirée par ce jeune mâle était si excitant que ma bite était plus dure que je ne l'avais jamais vue.

Bastien était très musclé mais très peu poilu. Il était à quatre pattes, léchant la chatte de Vanessa, sa bite dure se balançant sous lui et son cul accueillant dressé en l'air. J'ai attrapé du gel et me suis mis à le doigter et à lui lubrifier le cul. Il hésita un instant mais ses gémissements m'indiquèrent bien vite qu’il ne voulait pas que j’arrête. Saisissant ses hanches, j'ai pointé mon gland gonflé sur son trou qui n’attendait que ça. Lentement j'ai poussé, faisant coulisser ma bite un centimètre plus profondément à chaque fois. Son cul était tellement serré que je n'étais pas sûr de pouvoir m’y mettre en entier. Après une minute ou deux, mon gland fut à l’intérieur puis, centimètre par centimètre, mes poils pubiens furent enfin plaqués contre son jeune cul. Lentement tout d'abord, je l’ai pistonné de mon dard, augmentant progressivement la cadence. Comme son trou du cul se détendait, je l’ai pilonné de plus en plus fort. Il grognait de plaisir à chaque coup de boutoir en caressant sa propre queue et tout en continuant à laper la chatte de Vanessa.

Au bout de quelques minutes, Vanessa ne put plus retenir ses cris et elle se mit à jouir, saisissant la tête de Bastien et enfonçant littéralement son visage dans sa chatte. Puis ce fut mon tour. Dans un râle j'ai fiché ma bite profondément dans le cul de Bastien, lui larguant ma sauce bien profond. Épuisés nous nous sommes tous effondrés sur le lit. Bastien se caressait toujours la queue. Sa jeune bouche me faisait encore envie et bien qu'ayant joui, je ne résistai pas au plaisir de remettre mon membre ramolli qui sortait de son cul dans la bouche de Bastien. Il résista un peu, l'odeur et les traces de sa merde sur ma queue le dégoûtaient. Mais je sus me montrer impérieux et bientôt l'adolescent nettoyait de sa bouche le dard qui lui avait dépucelé le cul. Je me déchaînai sur sa petite gueule, l'idée qu'il était en train de nettoyer avec sa langue une bite sortant de son cul crade d'adolescent me rendait fou et je ne fus pas long à lui lâcher la purée pour la troisième fois.

Il avait été beau joueur d’accepter son châtiment avec autant de bonne grâce ! Maintenant, c'était son tour de s’allonger et de se laisser mener au plaisir. J'ai pris sa bite dans ma bouche et j'ai commencé à faire tourner ma langue autour du gland, savourant le goût de son liquide séminal. Je n'avais jamais eu de bite dans la bouche. La texture veloutée, l'odeur et le goût de son sperme mélangé avec les sécrétions de ma femme étaient enivrants. Je malaxai ses couilles tout en suçant son engin, levant et abaissant ma tête en cadence. La pensée de son sperme giclant partout sur ma langue était exaltante. J'apercevais Vanessa se masturber en observant son suceur de bite de mari. Juste au moment où je pensais que Bastien avait lâché son dernier jet, il se mit à onduler des hanches et à gémir, et cela vint, comme une éruption, giclées sur giclées triomphales de sperme salé.

Je ne suis pas sûr de qui était le plus heureux que j'aie surpris Bastien le garçon à s’astiquer sous nos fenêtres, mais Bastien l'homme avait une invitation ouverte pour revenir à tout moment. Bastien est souvent venu nous voir après cette nuit-là. Parfois nous étions tous les trois, d'autres fois seulement il restait avec l’un de nous deux. La plupart du temps, cela commençait par Bastien nous espionnant par la fenêtre, de sorte qu’il pouvait recevoir sa punition.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 8 juin 7 08 /06 /Juin 14:57

Douceur matinale

Christophe et Christian venaient à peine de se réveiller quand ils remarquèrent qu'ils avaient une gaule d'enfer et un besoin urgent de se vider les couilles.

— Tiens, le petit Julien dort toujours, dit Christopher en montrant dans l'autre coin de la chambre leur frère cadet qui dormait encore.

— Allons le réveiller de la manière la plus douce qui soit.

Tous deux se glissèrent hors de leur lit et se dirigèrent vers le petit Julien qui ne se doutait de rien. Arrivés près de Julien, les jumeaux baissèrent leurs boxers pour délivrer leurs queues de l'emprise du sous-vêtement.

Comme tous vrais jumeaux Christophe et Christian se ressemblaient, cependant ils avaient des queues différentes. C'est Christophe qui avait la plus longue, environ 20 cm avec un joli gland violacé qui bave tout le temps. Le pénis de Christian était dans les 17 cm, moins fin que celui de son jumeau, il pointait vers le haut et avait à sa base une grosse paire de couilles. D'un commun accord les jumeaux commencèrent à se masturber sur le visage de leur frère cadet toujours endormi.

C'est le bruit sourd de ses frères se masturbant qui réveilla Julien. Quand il ouvrit les yeux la première chose qu'il vit fut deux queues qui se soulageaient.

— Regarde, Julien est réveillé, dit Christian.

— Tant mieux, ajouta Christophe, il pourra nous sucer la bite. C'est tout de même mieux que de faire ça avec les mains. N'est-ce pas que tu aimes ça, Juju?

Julien n'a pas eu l'occasion de répondre que déjà la pine toute raide de Christophe lui défonçait la bouche. Il ne pouvait que faire un léger signe de tête. Julien aimait sucer la queue de ses frères. C'était une tâche à laquelle il vouait une fidèle application. Il connaissait par cœur toutes les caractéristiques anatomiques des pines de ses grands frères.

Tout en se faisant sucer, Christophe en profitait pour caresser le cuir chevelu de Julien tout en lui indiquant le rythme qu'il devait prendre. Christian, lui, patientait tout en continuant à s'astiquer la pine.

— T'es une bonne suceuse Julien. La meilleure que j'ai jamais connue. Et ce que j'aime avec toi c'est que tu ne te fais jamais prier, tu adores ça.

— Ouais ! Et on peut avoir tes services à n'importe quelle heure, du jour comme de la nuit...

Christophe sortit sa queue de la bouche de Julien pour céder la place à Christian. Julien avait le visage en feu et, dans son slip, son pénis ne restait pas indifférant à ce qu'il faisait. Christophe ne manqua pas de le remarquer.

— Et bien ! On dirait que toi aussi tu as envie de te soulager ? Si tu es assez sage on va te faire jouir Christian et moi.

Julien ne pouvait pas répondre avec la queue de Christian en bouche. Il sentit les doigts de Christophe abaisser l'élastique de son caleçon pour laisser sortir sa pine toute raide. Le pénis de Julien n'était pas aussi extravagant que ceux de ses grands frères. Il mesurait 15 cm à peine mais il était d'un volume des plus remarquables. Christophe s'amusa plutôt avec les couilles de son frangin recouvert d'un fin duvet brun.

— Je pense que je vais jouir, lança Christian.

Il sortit son pénis de la bouche de son petit frère et plaça son gland sur le visage de ce dernier. Julien sentit le sperme chaud de son frère arroser son visage. Julien aimait cette sensation durant laquelle il se sentait chienne, salope, même s'il préférait boire la jute de ses grands frères.

— Laisse moi aussi profiter de la face de notre petit Julien.

Christophe s'approcha du visage de Julien frottant son gland sur sa joue. Et en moins de deux minutes il lança trois jets de sperme sur son visage. Un léger sourire se dessina sur les lèvres des jumeaux. Encore une fois leur frère cadet s'était montré obéissant. C'était le moment de le récompenser.

Christophe fit tourner Julien sur le ventre, plaçant un oreiller sous son bassin pour que son cul soit bien exposé. Christophe savait ce qui faisait plaisir à Julien. Alors il rapprocha son visage de la raie du petit frère et commença à lui lécher la rosette. Julien lui tendit le mieux possible son cul jusqu'à ce qu'il sente la langue de son frère forcer l'entrée de son trou. Christophe sortit sa langue pour y glisser quelques doigts. Et quand il sentit que son frangin était prêt, sans ménagement, il lui fourra la pine dans le cul.

Julien poussa un cri qu'il étouffa rapidement. Il ne fallait pas réveiller les parents. Malgré la salive Julien sentit la queue de Christophe se créer un passage en toute difficulté dans ses entrailles. Christophe s'en moquait un peu : il aimait ça baiser hard. Il ne dura pas longtemps, se dépêchant pour donner la place à son frère.

Christian fit mettre Julien sur le dos. Et, les yeux dans les yeux, il lui pénétra le fion lubrifié par le sperme de Christophe. Julien préférait faire l'amour avec Christian car ce dernier était plus tendre avec lui. Il lui mordillait tantôt la lobe de l'oreille, tantôt les tétons. Christian synchronisait ses coups de reins avec ceux de Julien ce qui amena ce dernier à un tel niveau d'orgasme qu'il jouit sans se toucher.

— Félicitation frérot ! En plus d’être une bonne suceuse, ton cul est un vrai trou à bites !

Julien ne répondit pas, il se contenta de sourire de toutes ses dents tandis que, de son cul, le sperme de ses deux grands frères coulait doucement.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 1 juin 7 01 /06 /Juin 14:48

J'habite une cité et mon appartement est en vis-à-vis avec un autre, mon immeuble formant un angle. Je me suis rapidement aperçu que, de la chambre de l'étage supérieur sur l'autre angle, la vue donnait directement sur ma chambre. Or cet appartement est occupé par le fils de mes voisins, Philippe, âgé d’une vingtaine d’années...

Un matin, alors que je me masturbais allongé sur mon lit, le rideau de ma fenêtre ouvert, je l’ai aperçu derrière ses propres rideaux. Il me matait, excité. J’ai continué à m’astiquer le dard et j’ai joui bien plus fort que d’habitude, étalant à son regard, mon sperme sur mon ventre. Le lendemain, je l’ai croisé dans l’allée de notre immeuble : il m’a souri et salué comme d’habitude mais j’ai compris qu’il avait apprécié son rôle de mateur et qu’il comptait en rester strictement à ce rôle. Il en a eu du spectacle à partir de ce jour !

Sa fenêtre étant la seule à donner sur ma chambre, j’ai laissé en permanence les rideaux ouverts, prenant des positions de plus en plus hard. Je surveillais ses rideaux et, dès que je l’apercevais me regardant, je me branlais en m’enfonçant un ou deux doigts dans l’anus. J’ai fini par acheter un gode de bonne taille et je me suis placé de telle manière qu’il voie bien la bite en plastique entrer et sortir de mon trou du cul en feu.

Ce manège a continué quelques semaines et un soir, un copain gay est venu chez moi pour baiser un coup. Une fois à poil, lumière allumée, je l’ai vu. Il ne se cachait même plus, fenêtre ouverte. Il était là, debout, à nous regarder baiser. Mon copain lui, ne l’a pas vu et la situation m’a excité d’autant plus. J’ai sucé la bonne bite comme une salope, bien de profil, mon partenaire debout, moi à genoux. Je sortais son sexe de ma bouche et le gobais entièrement et ce jeu a duré un bon moment. Quand mon pote m’a annoncé qu’il allait jouir, j’ai sorti l’engin de ma bouche – sida oblige – et il m’a giclé toute la sauce sur le visage et dans les cheveux.

J’ai discrètement jeté un coup d’œil sur mon jeune mateur : il avait les yeux exorbités ! Mon partenaire m’a sucé à son tour alors que j’étais allongé sur le dos, jambes bien écartées. Il a joué avec ma tige un bon moment sous le regard de Philippe et j’ai joui comme un fou entre ses doigts.

Quelques minutes plus tard, mon copain de nouveau bien raide, m’a fait comprendre qu’il voulait se faire mon cul. Je me suis placé de telle manière que mon voisin aperçoive bien mon trou impatient de se faire ramoner. Au fil des mois j’ai recommencé des dizaines de fois le même manège. À chaque fois mon jeune mateur observait la scène. J’avais bien fini par comprendre qu’au mouvement régulier de son torse, il se branlait en nous regardant.

Un soir de folie, alors que nous étions quatre mecs nus dans ma chambre, j’ai craint que l’un d’entre eux ne remarque mon mateur qui était carrément au bord de la fenêtre, les yeux rivés sur nous mais ils étaient bien trop occupés. Alors que nos ébats effrénés se terminaient, je me suis allongé sur le lit et j’ai demandé aux trois autres de jouir sur mon corps. Ils se sont branlés debout autour de moi et m’ont arrosé de foutre chaud sur le ventre, le visage, le cou. J’en fus couvert et le sperme coula sur mon nez, le long de ma joue, pendant que les mains se relayaient afin de me faire jouir en dernier. Cette fois-là j’ai giclé si fort qu’un jet de mon jus est arrivé tout droit dans ma bouche. Lorsque j’ai exhibé ma langue enfoutrée, les trois autres ont éclaté de rire. C’est alors que j’ai nettement vu une fusée de sperme de mon beau voisin s’étaler sur le carreau de sa fenêtre ouverte.

Par la suite j’ai fait encore plus fort. Ayant remarqué qu’il avait un bon copain avec lequel il partait chaque matin à la fac, j’ai tout simplement essayé de me taper ce dernier. Ce n’était pas un coup sûr car il possédait une solide réputation de dragueur-macho hétéro à souhait. Mon charme a dû jouer en ma faveur : ça a marché ! Le bougre voulait tenter ce type d’expérience, pour voir, ce qui l’a motivé à me suivre jusque chez moi. J’ai laissé traîner un peu les choses jusqu’à 21 heures car j’avais donné l’habitude à mon voisin de séances très spéciales à cette heure-là, ainsi qu’à 7h30 le matin. Nous étions en été. J’ai ouvert ma fenêtre afin que Philippe ait l’image et le son à la fois ! C'est debout, à poil devant la fenêtre que j'ai enculé son copain qui miaulait comme la dernière des salopes. Je regardais Philippe dans les yeux, j’avais l’impression de le sauter lui et j’ai joui comme un damné, tellement fort que j’en ai hurlé. Lorsque j’ai décidé, j’ai bien exhibé la capote pleine de foutre. Philippe s’est mis à rire.

Le plus drôle c’est que je dialogue souvent dans l’escalier avec ses parents. Un soir ils m’ont invité à dîner chez eux. J’ai discuté avec Philippe comme si de rien n’était et ils m’ont fait visiter leur appartement dont la chambre de Philippe. M’approchant de la fenêtre j’ai pu voir le point de vue idéal qu’il avait sur ma chambre. On s’est regardés et on a rigolé. Aujourd’hui c’est en le regardant dans les yeux que je me branle. Mais je suis certain qu’il va craquer et que le voyeur va devenir un super-partenaire...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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