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J'habite une cité et mon appartement est en vis-à-vis avec un autre, mon immeuble formant un angle. Je me suis rapidement aperçu que, de la chambre de l'étage supérieur sur l'autre angle, la vue donnait directement sur ma chambre. Or cet appartement est occupé par le fils de mes voisins, Philippe, âgé d’une vingtaine d’années...
Un matin, alors que je me masturbais allongé sur mon lit, le rideau de ma fenêtre ouvert, je l’ai aperçu derrière ses propres rideaux. Il me matait, excité. J’ai continué à m’astiquer le dard et j’ai joui bien plus fort que d’habitude, étalant à son regard, mon sperme sur mon ventre. Le lendemain, je l’ai croisé dans l’allée de notre immeuble : il m’a souri et salué comme d’habitude mais j’ai compris qu’il avait apprécié son rôle de mateur et qu’il comptait en rester strictement à ce rôle. Il en a eu du spectacle à partir de ce jour !
Sa fenêtre étant la seule à donner sur ma chambre, j’ai laissé en permanence les rideaux ouverts, prenant des positions de plus en plus hard. Je surveillais ses rideaux et, dès que je l’apercevais me regardant, je me branlais en m’enfonçant un ou deux doigts dans l’anus. J’ai fini par acheter un gode de bonne taille et je me suis placé de telle manière qu’il voie bien la bite en plastique entrer et sortir de mon trou du cul en feu.
Ce manège a continué quelques semaines et un soir, un copain gay est venu chez moi pour baiser un coup. Une fois à poil, lumière allumée, je l’ai vu. Il ne se cachait même plus, fenêtre ouverte. Il était là, debout, à nous regarder baiser. Mon copain lui, ne l’a pas vu et la situation m’a excité d’autant plus. J’ai sucé la bonne bite comme une salope, bien de profil, mon partenaire debout, moi à genoux. Je sortais son sexe de ma bouche et le gobais entièrement et ce jeu a duré un bon moment. Quand mon pote m’a annoncé qu’il allait jouir, j’ai sorti l’engin de ma bouche – sida oblige – et il m’a giclé toute la sauce sur le visage et dans les cheveux.
J’ai discrètement jeté un coup d’œil sur mon jeune mateur : il avait les yeux exorbités ! Mon partenaire m’a sucé à son tour alors que j’étais allongé sur le dos, jambes bien écartées. Il a joué avec ma tige un bon moment sous le regard de Philippe et j’ai joui comme un fou entre ses doigts.
Quelques minutes plus tard, mon copain de nouveau bien raide, m’a fait comprendre qu’il voulait se faire mon cul. Je me suis placé de telle manière que mon voisin aperçoive bien mon trou impatient de se faire ramoner. Au fil des mois j’ai recommencé des dizaines de fois le même manège. À chaque fois mon jeune mateur observait la scène. J’avais bien fini par comprendre qu’au mouvement régulier de son torse, il se branlait en nous regardant.
Un soir de folie, alors que nous étions quatre mecs nus dans ma chambre, j’ai craint que l’un d’entre eux ne remarque mon mateur qui était carrément au bord de la fenêtre, les yeux rivés sur nous mais ils étaient bien trop occupés. Alors que nos ébats effrénés se terminaient, je me suis allongé sur le lit et j’ai demandé aux trois autres de jouir sur mon corps. Ils se sont branlés debout autour de moi et m’ont arrosé de foutre chaud sur le ventre, le visage, le cou. J’en fus couvert et le sperme coula sur mon nez, le long de ma joue, pendant que les mains se relayaient afin de me faire jouir en dernier. Cette fois-là j’ai giclé si fort qu’un jet de mon jus est arrivé tout droit dans ma bouche. Lorsque j’ai exhibé ma langue enfoutrée, les trois autres ont éclaté de rire. C’est alors que j’ai nettement vu une fusée de sperme de mon beau voisin s’étaler sur le carreau de sa fenêtre ouverte.
Par la suite j’ai fait encore plus fort. Ayant remarqué qu’il avait un bon copain avec lequel il partait chaque matin à la fac, j’ai tout simplement essayé de me taper ce dernier. Ce n’était pas un coup sûr car il possédait une solide réputation de dragueur-macho hétéro à souhait. Mon charme a dû jouer en ma faveur : ça a marché ! Le bougre voulait tenter ce type d’expérience, pour voir, ce qui l’a motivé à me suivre jusque chez moi. J’ai laissé traîner un peu les choses jusqu’à 21 heures car j’avais donné l’habitude à mon voisin de séances très spéciales à cette heure-là, ainsi qu’à 7h30 le matin. Nous étions en été. J’ai ouvert ma fenêtre afin que Philippe ait l’image et le son à la fois ! C'est debout, à poil devant la fenêtre que j'ai enculé son copain qui miaulait comme la dernière des salopes. Je regardais Philippe dans les yeux, j’avais l’impression de le sauter lui et j’ai joui comme un damné, tellement fort que j’en ai hurlé. Lorsque j’ai décidé, j’ai bien exhibé la capote pleine de foutre. Philippe s’est mis à rire.
Le plus drôle c’est que je dialogue souvent dans l’escalier avec ses parents. Un soir ils m’ont invité à dîner chez eux. J’ai discuté avec Philippe comme si de rien n’était et ils m’ont fait visiter leur appartement dont la chambre de Philippe. M’approchant de la fenêtre j’ai pu voir le point de vue idéal qu’il avait sur ma chambre. On s’est regardés et on a rigolé. Aujourd’hui c’est en le regardant dans les yeux que je me branle. Mais je suis certain qu’il va craquer et que le voyeur va devenir un super-partenaire...
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