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Cela avait été une longue journée. Ma femme et moi avions tout juste fini de faire la vaisselle du dîner. Comme d'habitude, Vanessa est allée dans la chambre pour se préparer pour la nuit et moi j'ai bu un verre pour me détendre. Normalement je regardais les infos à la télé mais c'était un soir d’été tellement agréable que je décidai de prendre mon verre à l'extérieur sous les étoiles. Quand j'ai ouvert la porte donnant sur la terrasse j'ai tout de suite remarqué que le portillon du jardin avait été ouvert. C'était étrange car il était fermé une heure plus tôt quand j’avais sorti la poubelle. Je me suis dirigé tranquillement vers le jardin pour voir ce qui s’y passait. Il n'y avait pas de clair de lune et il faisait presque complètement noir. Notre chambre était à l'arrière de la maison. Dans la lueur filtrant à travers les rideaux j’aperçus une silhouette.
Ma première pensée fut de pousser un cri mais je me ravisai et décidai de me rapprocher un peu pour voir de quoi il retournait. Je m’avançai dans le jardin et me plaçai à l’arrière de la silhouette, à bonne distance. De là je pouvais voir ma femme à travers l'ouverture des rideaux. Elle était assise nue devant le miroir de la commode et brossait ses longs cheveux roux. Je me rapprochai encore et je reconnus alors la silhouette : c’était Bastien, le jeune fils des voisins ! Il était vêtu d'un débardeur et son short était baissé sur ses chevilles. Il avait la bite à la main et il la caressait lentement. Maintenant ma colère avait tourné à l'amusement. Après tout, quel adolescent de seize ans n’aurait pas voulu voir ma femme nue ? À trente ans, elle était belle. Elle avait une peau blanche laiteuse, de petits seins très alléchants, un magnifique cul et une toison bien entretenue. Elle était mince mais avait des courbes arrondies. Voir ce jeune étalon s’astiquant en regardant ma femme nue était assez excitant et je sentis que je commençais à bander.
J’aurais pu me contenter de le regarder et de laisser Bastien se finir et partir mais ça n'aurait pas été drôle. Je me suis donc rapproché de lui et je l’ai agrippé par les épaules. Tout son corps a tressailli et il a laissé échapper un drôle de cri de surprise.
— Qu'est-ce que tu fais là ? ai-je demandé. Il ne savait pas quoi dire, tentant d’abord d’expliquer qu'il avait perdu son chat puis, vaincu, se confondant en excuses. C'était drôle de voir qu'après tout cela il avait encore une érection, bien droite, presque verticale.
— Eh bien, Bastien, ai-je dit, je crois qu'il va falloir aller parler à tes parents...
— Non, non ! S'il vous plaît ne leur dites rien, a-t-il supplié, je ne le referai plus jamais je vous le promets. Je ferai n'importe quoi mais ne le dites pas à mes parents.
Bien sûr je n'avais aucune intention de dire quoi que ce soit à ses parents mais j'ai pensé que je pourrais utiliser sa terreur à mon profit.
— Ok Bastien, peut-être nous n'aurons pas à le dire à tes parents mais nous ne pouvons ignorer tout cela. La première chose que tu aies à faire est d'aller à l'intérieur et de t'excuser auprès de Vanessa.
Il a accepté et a commencé à remonter son short. Je l'ai arrêté.
— Pas question ! Je veux qu'elle te voie comme ça.
Le pauvre Bastien tremblait de peur et d'embarras et sa bite commençait sérieusement à se ramollir. Je l'ai amené à l'intérieur, directement dans la chambre à coucher. Vanessa était couchée en train de lire un livre. Le regard sur son visage a été impayable quand elle m’a vu entrer, tenant par le bras un adolescent à demi nu.
— Regarde qui j'ai trouvé qui t’épiait par la fenêtre !
Dans un premier temps Vanessa eut l'air choquée puis gênée.
— Où est ton pantalon ?
— Il l’a baissé pour pouvoir se branler en te regardant.
Elle essaya de paraître en colère mais un petit sourire sur son visage trahissait qu’elle était flattée.
— Bastien, tu as violé notre intimité.
Le pauvre Bastien essaya de présenter des excuses mais il était tellement nerveux qu'il put à peine balbutier un pauvre « Désolé ». Décidant de m’amuser un peu, j'ai demandé à Bastien :
— Tu aimes regarder les seins de ma femme?
—Oui, je veux dire n-non, je ne sais pas...
Vanessa avait compris ce que j’étais en train de faire et s’engouffra dans la brèche :
— Tu voudrais me voir nue à nouveau, Bastien ?
Il savait qu'il n'y n'avait pas de bonne réponse. Il n’en pouvait plus et s'assit sur le lit commençant à pleurer. Vanessa se sortit de sous les couvertures, toujours nue, et s'assit à côté de Bastien, passant un bras autour de lui. Pour tenter de le calmer elle lui dit qu'elle n'était pas en colère et qu'elle était réellement flattée qu'un beau jeune homme comme lui soit excité par son corps.
J’étais à présent aussi dur qu’un roc, regardant ma femme complètement nue, tenant dans ses bras cet enfant qui maintenant se remettait à bander. Voyant que Bastien se détendait un peu je lui expliquai qu'il n'y avait rien de mal à regarder les femmes nues ou à se masturber mais qu’épier par la fenêtre de quelqu'un sans sa permission n’était pas acceptable et qu'il devait être puni. Il dit qu’il avait compris mais a supplié que nous ne disions rien à ses parents.
— Je ferai tout ce que vous voudrez.
Vanessa et moi n’avons jamais eu de blocages sur le sexe et on avait déjà parlé d'avoir une expérience à trois. Un regard entre nous nous convainquit que nous pensions la même chose. Je pouvais voir que Bastien essayait de cacher avec ses mains son érection maintenant bien vigoureuse.
— Il ne faut pas être gêné d’avoir une érection, lui dis-je, laissant tomber mon short et révélant ainsi mon membre engorgé.
Bastien avait l'air choqué et ne pouvait pas détourner son regard. Il était fasciné par ma bite.
— Une érection est une chose parfaitement naturelle, continuai-je, et puisque tu en es la cause, je pense que le moins que tu puisses faire serait de m'aider à prendre soin d'elle.
— Puis, renchérit Vanessa, tu pourras t’occuper de moi, parce que moi aussi, je suis très excitée !
Bastien balbutia un « OK » incertain, avouant qu'il ne savait pas quoi faire.
— As-tu déjà taillé une pipe à quelqu’un ?
— Non, j'ai jamais vu de bite d’aussi près avant et j'ai même jamais été avec une fille non plus.
— Ne t’inquiète pas, dit Vanessa, nous allons t’apprendre.
Aussitôt, Vanessa entreprit de faire sur moi une démonstration, lui montrant comment faire pour démarrer en léchant la tige de haut en bas, sans oublier les boules. Ensuite, elle lui montra comment la prendre en bouche.
Après la démonstration et les explications, elle prit sa main droite et la plaça autour de la base de ma bite. Je pouvais sentir sa main tremblante lorsqu'il posa ses lèvres sur mon gland et lécha le liquide séminal. Puis il dirigea sa langue jusqu’à mes couilles, les suçotant doucement. Je voyais que Bastien était vraiment à son affaire, commençant à gémir et caressant sa propre bite. Après avoir nettoyé consciencieusement mon membre il m’a enveloppé le gland de ses lèvres et a commencé à sucer, remuant ses lèvres et descendant le long de mon dard. Pendant ce temps je léchais et suçais les seins souples de Vanessa pendant qu’elle se doigtait. Je ne pouvais pas me retenir plus longtemps. Je me mis à trembler de tout mon corps et j’envoyai mon foutre au fond de la bouche vierge de Bastien.
— Prends tout ! lui ordonnai-je.
Il fit de son mieux, suçant mon engin jusqu’à le tarir complètement. Vanessa l’aida à nettoyer, leurs langues travaillant ensemble pour me tirer jusqu’à la dernière goutte de sperme. Vanessa offrit à Bastien un long baiser humide et ils partagèrent le goût de mon foutre.
— C'est mon tour maintenant, murmura-t-elle, s’allongeant sur le dos et attirant l'adolescent au-dessus d'elle.
Il était tellement excité qu'il dardait partout avec sa bite, incapable de trouver sa cible. Avec mon aide il parvint enfin à se frayer un chemin vers la fente chaude de ma femme. À tout casser il lui fallut une vingtaine de secondes pour décharger, criant à chaque spasme. Vanessa, désormais plus chaude que jamais, amena le visage du garçon jusqu’à sa chatte et lui ordonna de la bouffer. Bastien semblait prendre plaisir à laper sa propre semence. Vanessa dirigeait la jeune langue de son élève en professeur. Voir ma femme baisée et désirée par ce jeune mâle était si excitant que ma bite était plus dure que je ne l'avais jamais vue.
Bastien était très musclé mais très peu poilu. Il était à quatre pattes, léchant la chatte de Vanessa, sa bite dure se balançant sous lui et son cul accueillant dressé en l'air. J'ai attrapé du gel et me suis mis à le doigter et à lui lubrifier le cul. Il hésita un instant mais ses gémissements m'indiquèrent bien vite qu’il ne voulait pas que j’arrête. Saisissant ses hanches, j'ai pointé mon gland gonflé sur son trou qui n’attendait que ça. Lentement j'ai poussé, faisant coulisser ma bite un centimètre plus profondément à chaque fois. Son cul était tellement serré que je n'étais pas sûr de pouvoir m’y mettre en entier. Après une minute ou deux, mon gland fut à l’intérieur puis, centimètre par centimètre, mes poils pubiens furent enfin plaqués contre son jeune cul. Lentement tout d'abord, je l’ai pistonné de mon dard, augmentant progressivement la cadence. Comme son trou du cul se détendait, je l’ai pilonné de plus en plus fort. Il grognait de plaisir à chaque coup de boutoir en caressant sa propre queue et tout en continuant à laper la chatte de Vanessa.
Au bout de quelques minutes, Vanessa ne put plus retenir ses cris et elle se mit à jouir, saisissant la tête de Bastien et enfonçant littéralement son visage dans sa chatte. Puis ce fut mon tour. Dans un râle j'ai fiché ma bite profondément dans le cul de Bastien, lui larguant ma sauce bien profond. Épuisés nous nous sommes tous effondrés sur le lit. Bastien se caressait toujours la queue. Sa jeune bouche me faisait encore envie et bien qu'ayant joui, je ne résistai pas au plaisir de remettre mon membre ramolli qui sortait de son cul dans la bouche de Bastien. Il résista un peu, l'odeur et les traces de sa merde sur ma queue le dégoûtaient. Mais je sus me montrer impérieux et bientôt l'adolescent nettoyait de sa bouche le dard qui lui avait dépucelé le cul. Je me déchaînai sur sa petite gueule, l'idée qu'il était en train de nettoyer avec sa langue une bite sortant de son cul crade d'adolescent me rendait fou et je ne fus pas long à lui lâcher la purée pour la troisième fois.
Il avait été beau joueur d’accepter son châtiment avec autant de bonne grâce ! Maintenant, c'était son tour de s’allonger et de se laisser mener au plaisir. J'ai pris sa bite dans ma bouche et j'ai commencé à faire tourner ma langue autour du gland, savourant le goût de son liquide séminal. Je n'avais jamais eu de bite dans la bouche. La texture veloutée, l'odeur et le goût de son sperme mélangé avec les sécrétions de ma femme étaient enivrants. Je malaxai ses couilles tout en suçant son engin, levant et abaissant ma tête en cadence. La pensée de son sperme giclant partout sur ma langue était exaltante. J'apercevais Vanessa se masturber en observant son suceur de bite de mari. Juste au moment où je pensais que Bastien avait lâché son dernier jet, il se mit à onduler des hanches et à gémir, et cela vint, comme une éruption, giclées sur giclées triomphales de sperme salé.
Je ne suis pas sûr de qui était le plus heureux que j'aie surpris Bastien le garçon à s’astiquer sous nos fenêtres, mais Bastien l'homme avait une invitation ouverte pour revenir à tout moment. Bastien est souvent venu nous voir après cette nuit-là. Parfois nous étions tous les trois, d'autres fois seulement il restait avec l’un de nous deux. La plupart du temps, cela commençait par Bastien nous espionnant par la fenêtre, de sorte qu’il pouvait recevoir sa punition.
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