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Lire ou relire la 1ère partie : Viol en soirée - 1ère partie
La trappe était restée ouverte sans que personne ne s'en rende véritablement compte jusqu'à l'arrivée des flics. La musique gueulait encore lorsqu'ils descendirent lentement, torche à la main, les marches branlantes en bois menant à la cave à vin.
- Les gars il y a quelqu'un.
- Eh toi ! Tu fais quoi là par terre ?
Le corps ne répondit pas ni même ne bougea. Les flics se regardèrent rapidement et reprirent leur descente. L'un d'eux s'approcha alors un peu plus du corps qui traînait dans la terre battue.
- Putain merde les gars, il bouge pas !!!
Tous les keufs coururent vers le corps. Tous sans exception eurent un mouvement de recul en voyant l'état dans lequel il se trouvait. Froc et calbut baissés aux chevilles, les couilles pendant entre ses cuisses, la gueule recouverte de sperme. L'un des flics approcha son oreille de la bouche du corps.
- C'est bon les gars, il respire.
- On en fait quoi de lui ? Il a été violé ou quoi ?
- Pas sûr, un pote de ma femme est pd et crois-moi que certains rêveraient de finir dans cet état, le cul béant, du foutre coulant de partout.
- Bon, quoi qu'il en soit on l'embarque. On l'emmène à l'hosto. Pour vous, dit-il à l'adresse de ses subordonnés, contrôle d'identité, recherche de stup, la fête est finie ici !
Je fumais un autre joint en parlant à trois filles aux formes généreuses lorsque la musique se coupa. Tout le monde se tut face à ce fond sonore qui venait de disparaitre. Puis les discussions reprirent naturellement.
- Ce ne serait pas les flics quand même ?
- Non t'inquiète, ils ont dû griller les enceintes ces cons !
On continua de discuter jusqu'à ce qu'un gars d'une vingtaine d'année nous passe devant en courant presque. Il se fit plaquer au sol par deux types qui surgirent de nulle part. L'un d'eux se releva tandis que l'autre attachait des menottes à celui qui avait tenté de fuir.
- Ecoutez-moi bien, on a reçu un appel anonyme concernant cette maison à propos de tapage nocturne et trafic de stupéfiants. Personne ne rentre, personne ne sort, contrôle d'identité et fouille pour tout le monde !
D'autres flics apparurent de partout. Il y en avait des dizaines. Putain, j'avais eu raison de dire qu'il y avait assez de drogue ici pour attirer la brigade !
Voyant tous ces keufs interroger et fouiller tous les invités, je commençais à marcher vers le mur au fond du jardin. J'étais presque sûr de pouvoir l'escalader. Avec tout le shit que j'avais sur moi j'étais mort si je ne me cassais pas. Je fendais la foule le plus discrètement possible jusqu'au moment où…
- Eh toi là-bas ! Tu t'arrêtes tout de suite !
Je tournais la tête. Un flic à cinq mètres de moi commençait à s'avancer dans ma direction. Ne réfléchissant pas je me mis à courir.
- Il se casse, attrapez le !!!
La foule était avec moi. Tout le monde s'écartait pour moi, se regroupant au passage des flics qui me suivaient. Soudain un policier apparut devant moi, sa batte à la main. Je bifurquais d'un coup, prenant un virage à 90° sur ma gauche, laissant tous les flics au carreau. J'arrivais à me faufiler dans la masse. La maison ! Je devais repasser par la maison pour sortir d'ici ! Je montais les escaliers qui menaient au hall d'entrée. Des flics encore là devant la porte. Je pris l'escalier qui montait aux étages. Un nombre incroyable de keufs me suivaient, criant de m'attraper. Même déchiré et bourré j'allais plus vite qu'eux. Partout autour de moi des gens me regardaient, certains même me filmaient. Je pris le couloir qui menait aux chambres, entrais dans l'une ou 15-20 personnes jouaient de la guitare en chantant. Je jaugeais la pièce : aucun endroit où se cacher ! Les flics allaient arriver d'une seconde à l'autre. Le lit était trop bas pour se planquer dessous. Les policiers arrivaient dans le couloir. Les placards trop étroits pour que j'y rentre. Ils entrèrent dans la chambre d'à côté. Les rideaux trop transparents pour me faire disparaitre derrière. Ils entrèrent dans la chambre où je me trouvais.
- Il est là !
Ne réfléchissant pas je sautais par la fenêtre ouverte. Le mur où se trouvait cette fenêtre servait de séparation entre deux terrains et, par chance, sous cette fenêtre se trouvait une énorme piscine démontable. Sous le choc la piscine explosa, provoquant un raz de marée dans le pauvre jardin des voisins. Je m'essuyais rapidement les yeux et courais en direction du portail d'entrée. Je sortis en courant de la maison, les poulets tentant désespérément d'expliquer à leurs collègues pourquoi ils devaient aller dehors pour me suivre.
Je courais, je courais, je courais à m'en crever les poumons. J'arrivais au bord d'un bois. Aucune chance que les flics me retrouvent ici et surtout aucune chance que je reprenne mon souffle si je devais continuer à avancer.
Plié en deux, un bras appuyé sur mes genoux, l'autre tendu vers la route pour faire du stop. Une dizaine de voiture passa, aucune ne ralentit même jusqu'à ce qu'au bout de 30min une vieille épave consentit à s'arrêter à mon niveau. Un gars était au volant, 25 ans environ, la gueule du mec qui a un peu trop bu. Il m'observa avec insistance avant de me parler.
- Mec je veux bien te prendre mais seulement si tu te désapes sinon tu vas niquer ma caisse avec tes fringues mouillées.
Je m'exécutais sans broncher. En réalité j'avais presque plus froid avec mes vêtement trempés sur le dos que seulement vêtu de mon boxer.
Je montais dans la voiture et le gars démarra. La voiture puait la clope froide et elle était dégueulasse.
- Je te dépose où gars ?
- Je ne sais pas, loin. Tu vas où toi ?
- Oula, je vais un peu loin moi, je rentre sur Orléans.
- Alors vas pour Orléans ! Je me ramasserai de là-bas en stop.
Le silence se fit. Seule la musique (de merde) venait exciter nos oreilles. Le type jeta un œil sur mon calbut trempé et me regarda.
- Pourquoi t'es trempé exactement ?
Je lui expliquais toute mon histoire sans forcément parler du pauvre type que j'avais laissé le cul éclaté et la gueule enfoutrée.
- Et t'as pécho une meuf là-bas ?
- Pas vraiment…
- Pourquoi pas vraiment ? Soit t'en as baisé une, soit non ?
- Ben ce n’était pas une meuf quoi.
- T'es gay ? me demanda-t-il avec une curiosité dans la voix qui était sans doute un peu trop prononcée.
- Non je suis bi, et toi t'es quoi ? T'es PD non ? T’arrête pas de mater ma queue du coin de l'œil.
Le mec eu l'air tout gêné. Moi, complètement pété, je commence à rouler un autre oinj avec des feuilles et du tabac que j'avais trouvé sur le tableau de bord.
- Si t'as envie de te faire péter la chatte il suffit de le dire. Il n’y a pas de problème à ça. Je kiffe bien les petites putes qui assument leurs besoins.
Le gars était rouge, le froc tendu comme pas possible, les mains moites glissant sur le volant.
- Non… je…
J'allumais mon joint sans même le regarder.
- Si tu veux tout savoir, le gars que j'ai démoli à la soirée, il ne m'a pas suffi. En fait si tu veux, plus je fume, plus j'ai besoin de niquer. Et j'en suis à mon 9ème tère là. Donc si tu veux qu'un vrai mec s'occupe de ta petite chatte en chaleur t'as qu'à le dire et je te donne ce que tu veux.
Le mec ne savait pas quoi faire. Voyant bien qu'il voulait se faire baiser mais n'osait pas, je pris les devants.
- Gare-toi là stp.
Sans même me demander pourquoi le type se gara au bord du bois, dans un renfoncement où personne ne pouvait nous voir.
- Voilà, là c'est parfait. T'en veux ? Lui fis-je.
Il me prit le joint des mains et tira longuement dessus.
- Quand t'auras fini de tirer dessus tu me pomperas.
Le gars me tendit le tère et descendit entre mes cuisses. Je baissais mon boxer et sortis ma teub qui bandait dur comme fer. Le type me prit en bouche et le con il savait y faire ! Dès le début gorge profonde. Et pas qu'une petite ! Une vraie bonne gorge profonde comme seules les putes savent les faire ! Je n'ai aucun effort à faire, le gars s'emboite de lui-même sur ma queue jusqu'à avoir mes grosses couilles pendantes au menton. Au fur et à mesure qu’il déguste mes 21cm, son regard se perd. Je voyais sa main s'agiter entre ses cuisses.
- Montre ta teub mec.
Il me sortit sa bite. Un petit 14*3,5cm.
- Ça doit te faire bizarre de voir une vraie queue hein ? Parce que ce n’est pas avec la tienne qu'on a beaucoup de choses à pomper.
Le mec eut l'air de ne pas apprécier ma réplique mais continua à me sucer. J'adorais rabaisser les mecs que je baisais. C'était trop bon de leur faire mal, de les humilier, et généralement ils kiffaient ça puisque c'est par l'humiliation que vient la domination.
Le pompeur m'avait trempé les couilles de sa salive en me pompant en fond de gorge comme ça. J'avais la queue luisante de sa mouille de bouche.
- Allez, viens t'assoir dessus mon pote. Dis-je en fumant mon joint.
Ma pute s'extirpa la gueule de ma teub pour venir s'assoir dessus. Il se mit face à moi, les pieds de chaque côté du siège, à poil. Il plaça ma queue à l'entrée de son petit cul que j'imaginais serré. Le mec planta ses yeux dans les miens comme par défi et se laissa tomber sur mon dard ! Il s'enfonçait à allure régulière sur mon pieu, ses yeux se perdant au fur et à mesure que mon zob le remplissait. Arrivé sur mes couilles il me regarda à nouveau avec un léger sourire et entama de petits mouvements de haut en bas avec son bassin.
- Mec t'es une pute, t'as vu comment tu viens de t'assoir sur ma grosse bite ?! Et tu crois que je vais me contenter de ces petits va et viens de puceau de 14a ?!
Liant les mots aux actes, je lui attrape les cuisses et commence à lui boudiner sa chatte de mec. Le gars lâche un cri de douleur et tente de s'extirper de ma queue mais je suis trop fort pour lui. Je continue à lui démolir son cul. Si je pouvais lui fissurer l'anus j'en pleurerai de joie. Mon petit garage à queue continue à gémir, des larmes perlent à ses yeux mais d'expérience je sais que pour n'importe qui la douleur finit toujours par laisser place au bonheur. Et en effet, petit à petit, les larmes de ma chienne arrêtent de couler, son visage se détend laissant apparaitre une mine de pure jouissance. Ma salope commence à prendre conscience du bonheur que lui procure ma bonne grosse bite de mâle. Le mec se cambre, s'empale sans ménagement sur ma bite jusqu'aux couilles, faisant glisser ma queue de toute sa longueur entre ses fesses de pute à jus.
- Oh putain mec, tu me fais… on m'a jamais baisé comme ça !
Il était véritablement en transe, les yeux fermés, se laissant aller au plaisir que lui procurait sa chatte. Voulant un peu rire je pris son portable, ouvris snapchat et postais un snap vidéo de lui en train de se faire baiser et dire qu'il adorait se faire démonter sa grosse chatte de pute à foutre, sur sa Story, histoire que tous ses potes la voient.
Le type semblait jouir du fion, il ne se branlait plus depuis 30 min.
- Dégage de là, je vais te défoncer sur le capot.
Il ôta ma queue de son gouffre anal et vint se pencher sur le capot, les épaules écrasées sur l'avant de la voiture, le cul éclaté par mes coups de queue, cambré au maximum, incitant quiconque le voyant à le baiser. Le gars me lança un regard suppliant, s'enfonça deux doigts de chaque main dans la chatte et tira de chaque côté de manière à s'écarteler le trou et s'agrandir le diamètre pénétrable. Voyant ça je me dis que cette grosse pute de chienne mérite bien de se faire casser sa petite schnek de salope comme il faut par un vrai mâle qui sait utiliser sa bite. Je plante d'un coup sec ma grosse queue bien rasée dans son boul alors que ses doigts étaient toujours en train de s'agrandir la chatte. Le salop poussa un cri incroyable. Sans accorder la moindre importance à ses cris de tafiole je continuais de le démolir de l'intérieur, je sentais le bout de son cul à chaque coup de zob mais le petit con semblait apprécier. Mes couilles venaient claquer contre les siennes, ses doigts encerclaient ma teub qui rentrait et sortait de son cul. D’un coup, sans prévenir, le type hurla, son corps se tendit, sa queue éclata en d'énormes jets de sperme épais et gras sur le capot de sa caisse. Je continuais de le démolir tandis que son orgasme redescendait. Tout en le bourinant toujours je lui fis lécher son propre jus, je sortis de sa chatte et vint me vider sur sa gueule de sac à foutre qui ne demandait qu'à être remplie. Je lui dis de faire des gargarismes avec, je lui touille tout ce foutre dans la bouche avec mon doigt, je crache dans sa cavité buccale alors que le foutre épais et blanc y est toujours. Je prends un peu de sperme de mes mains et le lui étale sur sa gueule minable de pédale. Le gars prend autant son pied que quand je le baisais. Je lui recouvre complètement le visage de notre foutre et lui dis de remonter en voiture. On s'attache, il est à poil, une énorme gaule entre les cuisses, du sperme séchant sur son faciès.
- Allez ma salope, on va à Orléans et si on prend un péage tu restes comme ça devant le guichet : je veux que tout le monde sache que t'es qu'une pompe à foutre. Allez, roule ma pute !
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