L'histoire de la semaine

Dimanche 15 novembre 7 15 /11 /Nov 13:48

Ca fait un moment que je viens régulièrement dans cette piscine et aux mêmes heures. A chaque fois je vois ces mêmes petits mecs. Ils ont à peine la vingtaine. Mais ce sont tous de vrais minets ma parole ! J'ai la quarantaine passée, je vis seul et ils me plaisent...

Finalement je suis entré en contact avec deux d'entre eux récemment. On peut dire qu'on a un peu sympathisé, dans la piscine même, puis je les ai invités à venir jusque chez moi. Mais ils avaient toujours le même comportement : un peu suffisant, arrogant, une certaine insouciance et l'expression cynique de cette désinvolture. En même temps ils étaient bien bâtis tous les deux et j'avais bien envie de les baiser.

Je leur ai proposé un verre. Ils ne voulaient pas. Et puis j'ai assez rapidement embrayé sur le cul. J'ai bien vu que ça les intéressait. De toute manière ça ne me surprenait pas outre mesure, c'est de leur âge !
Je suis allé près d'eux. J'ai commencé à peloter l'un des deux. Il s'effarouchait le jeune homme. Seulement moi j'étais de plus en plus excité. On peut même dire que j'étais salement excité, que ces deux là m'avaient mis en appétit et que je n'avais pas du tout envie de lâcher le morceau. Alors j'ai continué.

Je ne peux pas dire que j'étais brutal mais celui que j'étais en train de peloter, franchement, je ne le ménageais pas. Son copain regardait et ne disait rien. Sûrement que je représentais une autorité dans son inconscient...
Je me suis levé. Et tout naturellement je me suis dirigé vers la porte d'entrée que j'ai fermée à clé. Ils étaient à moi et rien qu'à moi. Je les avais tous les deux pour moi seul et je comptais bien en profiter. Quitte à les mettre au pas s'il le fallait ! Je suis revenu vers eux dans la salle à manger. Ils n'avaient pas bougé d'un poil. Je souriais bien tranquillement tout en les regardant. Tandis qu'eux, ils avaient l'air moins arrogants par exemple que lorsqu'ils étaient entrés dans la maison. Je ne disais rien. Je restais debout.

Celui que je venais de peloter entre les cuisses, je lui avais simplement glissé la main entre les jambes et j'étais remonté presque jusque son intimité. J'avais remarqué qu'il n'était pas tout à fait en érection, mais j'en avais senti assez pour comprendre qu'il prenait un certain plaisir à se faire peloter et que, sous ses grands airs à la con, il était peut-être prêt à en redemander. Et bien celui là il était bien calé dans son fauteuil et il ne bougeait plus. Le copain, celui auquel je ne m'étais pas encore trop intéressé, était plus fébrile. Il était à moitié assis sur son fauteuil. J'étais toujours debout. Je l'ai bien regardé droit dans les yeux. Je lui ai intimé l'ordre de se lever. Il a d'abord regardé son pote. J'ai alors senti que dans le regard de ces deux jeunes mecs, il y avait un certain vacillement, un certain flottement. Pourtant il l'a fait. Il était maintenant debout devant moi. Et sur ce coup là aussi, il s'est exécuté.

Le voilà à genoux. Alors je lui ai dit de me faire sortir la queue et de la sucer. Il a regardé son copain puis il s'est retourné vers moi. Je les avais tous les deux sous ma coupe et je n'étais pas prêt à les laisser s'en aller. Je les sentais bien et j'avais un maximum envie d'en profiter. Je voulais me les faire, les remettre un peu au pas, les ramener à la raison ces deux jeunes mecs. Le mec a répondu à mon ordre, sortant ma grosse bite en érection. Je bandais ferme. Il n'a pas hésité à la prendre immédiatement en bouche pour me la laper du mieux qu'il pouvait. J'étais décidé à leur en foutre plein la tronche à ces deux petites pédales.

Pendant que je me faisais tailler une pipe, j'ai dit à l'autre de se défringuer et de me présenter son troufignon. Il s'est résolu à m'obéir et il s'est rapidement retrouvé totalement à poil. Et là je vis qu'il bandait le petit saligaud !
Mine de rien ça lui plaisait de se faire traiter en lopette. Je lui ai dit de bien s'écarter la raie du cul et de me le présenter. Avec mes doigts je me suis mis à le tripoter sans doute comme il ne l'avait encore jamais été. Je n'y allais pas de main morte. Je lui enfonçais mes doigts jusqu'au plus loin que je pouvais. Il avait mal car il se contractait mais je continuais de plus belle.

J'étais terriblement excité d'autant plus avec mon foutre qui rappliquait très vite sous la pression des lèvres de l'autre petit pd qui me pompait la pine. J'avais une énorme envie de juter alors je ne me suis pas retenu. J'ai bientôt, sans même prévenir le petit mec qui me suçait, balancé une bonne dose de sperme dans son gosier. Et t'as intérêt à avaler, que je lui ai dit. Alors il l'a fait, même si ça le dégoûtait. Je les rabaissais tous les deux plus bas que terre mais ça leur faisait sacrément du bien à ces deux petits cons. Des petits branleurs qui jouent aux durs alors qu'ils n'ont rien dans le slibard. Je les matais et je prenais mon pied à le faire.

Du coup j'ai demandé au mec d'aller se taper un palot avec son copain pour qu'ils se partagent tous les deux ma salive. Ils se sont exécutés. Je les regardais et ça me donnait à nouveau des envies de nique. Je leur ai dit de se mettre tous les deux à quatre pattes sur le sol. Je me suis longuement amusé à leur tripatouiller le trou du cul. Ils gémissaient de douleur mais ils n'osaient pas protester. C'était super pour moi. Et puis j'ai eu envie de jouer les voyeurs. Alors je leur ai dit de se pomper mutuellement devant moi. Là encore ils se sont exécutés. Ils se sont mis en soixante neuf et ils ont pris chacun la pine de l'autre dans sa propre bouche. Et ils se sont taillés une pipe. C'était génial à regarder. Et je n'ai pas pu m'empêcher, malgré le fait que j'avais déjà juté une première fois, de me branler la queue.

Ils continuaient de se sucer tout en jetant un oeil de mon côté régulièrement. Je crois que ça les excitait de me voir me palucher la queue. Surtout ma queue bien épaisse comparée aux leurs de dimensions plus modestes. Je les encourageais à poursuivre. Je les sentais au bord de la déraison mais je ne leur disais pas ce qu'ils devaient faire. J'attendais de voir leurs limites. Allaient-ils juter sans me demander mon avis ou bien allaient-il se contrôler jusqu'à ce que je craque moi-même et que je leur dise quoi faire. En fait, c'est moi qui leur ai dit d'arrêter. Je voulais les voir faire autre chose. Je leur ai demandé de se lubrifier mutuellement le trou du cul avec leur langue. Puis de se le dilater avec les doigts. Je voulais que leurs mignons petits conduits soient bien préparés pour le passage de ma queue. Car j'avais très envie de me les taper tous les deux, les enculer jusqu'à la garde. Je les avais bien sous ma coupe à présent, pas question de les lâcher avant de me les être enfilés.

Alors, devant mes yeux, ils se sont mis à se passer de la salive sur la rosette puis à se foutre la langue dans le conduit. Tantôt ils la pointaient et l'enfonçaient, tantôt ils la laissaient plate et ils s'occupaient simplement de l'entrée. Je voyais bien qu'en même temps ils s'offraient du sacré bon temps. S'ils pensaient me manipuler et bien ils se fourraient le doigt dans le cul ! Ils se donnaient du plaisir avant que je ne les défonce. Ca ne me gênait pas. Je me suis dit qu'au contraire ça leur donnerait encore plus envie de recevoir ma tige dans leur petit cul. C'est bien ce qui s'est passé. Ils se sont tant et si bien excités mutuellement que je les ai bientôt sentis prêts pour se faire niquer. Ils avaient une sacrée envie. Alors je leur ai dit de se foutre à quatre pattes et j'ai enfilé une capote sur ma queue.

C'est alors que je les ai ramonés à la queue leu leu. J'enfilais un peu un premier puis j'enfilais ensuite un second mais si peu qu'ils n'avaient pas le temps de prendre leur pied. Je m'amusais de leur frustration à tous les deux. Finalement j'ai quand même décidé de les laisser prendre un peu leur pied. Je me suis démené dans le cul du premier. J'ai senti au bout d'un moment qu'il se tendait, qu'il était pris de soubresauts de jouissance. Je l'ai défoncé comme un dingue. Puis je l'ai laissé et je me suis déplacé, enfonçant le cul de son copain. Lui aussi le petit saligaud je lui en ai foutu plein le troufignon. Il a fini par gémir lui aussi et il n'a pas hésité à gueuler qu'il jouissait. Du coup je me suis démené comme un beau diable et j'ai fini par lui asperger le fion, via la capote, de ma liqueur.

Ils avaient tous les deux leur compte. Ils sont partis la queue basse. J'étais content de moi, je les avais bien matés les petits branleurs.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 14:41

Pour mon boulot, je vivais en Italie, à Milan, depuis quelques mois. J'ai dû accepter de travailler en août, alors que presque tous les autres employés de la boîte prenaient leurs congés d'été précisément ce mois-là. Mes collègues pour me persuader avaient insisté sur le peu de travail qui j'aurai, la liberté qui serait la mienne sans chef sur le dos, et l'incroyable facilité de circuler dans cette métropole, toujours embouteillée le reste de l'année. Tout cela se vérifia, et j'étais assez satisfait de pouvoir découvrir les charmes de cette grande ville, vidée aux trois quarts de sa population. Ce qu'on ne m'avait pas dit, c'est que quasiment tous les supermarchés fermaient en août, tout comme la plupart des bars, des boucheries, boulangeries et autres petits commerces… Mon quartier est devenu subitement désert et j'ai eu toutes les peines du monde à trouver de quoi me nourrir.

Donc, ce samedi après-midi, je rentre chez moi à pied, après deux ou trois heures passées à visiter le centre-ville. En arrivant dans mon quartier je croise une femme qui porte un cabas transparent où je vois des fruits et d'autres produits alimentaires. Je m'arrête et lui demande où elle a réussit à faire ses courses et me fais expliquer comment y aller. Je remercie cette brave dame qui vient de me filer un sacré tuyau. C’est une épicerie tenue par des Marocains.  Je l'aperçois bientôt au bout de la rue. J'entre. Je ne vois aucun des Marocains censés tenir le magasin. Je me dirige vers le rayon des fruits et légumes, prends plusieurs sachets en papier et me sers. Il n'y a plus grand chose à cette heure. Je prends des pêches, de la salade, des tomates. J'aperçois dans une cagette, deux concombres. Je ne peux m'empêcher d'en prendre un, de le caresser : il a comme de petites protubérances, il est très dur. Une pensée cochonne me traverse soudain l'esprit : ce concombre ferait un excellent gode…

Je m'aperçois alors qu'un vendeur m'observe. Il a vu mon geste, cette caresse furtive sur le beau légume. Il sourit, il a compris…

- "Bonsoir monsieur, vous avez trouvé ce qu'il vous faut ?"

Bêtement, comme pris en faute, je me crois obligé de donner des explications :

- "J'essayais d'imaginer comment je pouvais le préparer…"

- "Oh, il y a des tas de façons… En tranches… avec du yaourt… On peut même s'en servir comme ça, tout entier !" 

Et il rigole, le salaud... C'est un malin et son sourire le rend encore plus attirant. Tout juste la vingtaine, grand, bien bâti. Il porte un t-shirt blanc très moulant qui fait bien apparaître ses pectoraux et un bermuda qui lui arrive aux genoux, trop long et trop ample à mon goût car aucune bosse ne trahit la forme ni la taille de son entrejambe. Je lui demande s'il a du thon en boîte, des olives, des biscottes. En fait, il a de tout.

-  "J'habite tout près et ne savais pas qu'il y avait un magasin d'alimentation ouvert au mois d'août !" 

- "Avec mon cousin, on est ouvert toute l'année !"

Le cousin, précisément, arrive de derrière la boutique. La trentaine, belle gueule aussi, des traits virils, même si son visage est glabre comme celui d'un ado. Vraiment, il va falloir que je vienne régulièrement faire mes courses chez eux si je veux les connaître plus intimement… Le plus jeune pèse mes fruits et mes légumes.

"Alors, le concombre… vous le prenez ?..."

- "Oui, bien sûr…"

Il se tourne vers son cousin et lui dit quelques mots en arabe. L'autre sourit. Je parie qu'il lui a raconté mon geste de tout à l'heure… Après tout, je m'en fous : c'est presque mieux s'ils savent à qui ils ont à faire ! Pendant que je paye, le jeunot questionne en arabe son cousin, qui semble par un geste de la main donner son accord. Alors, s'adressant à moi, le jeune me dit :

- "Si vous voulez, je vous porte vos courses  jusque chez vous… Comme ça, si un jour vous avez besoin que je vous livre à la maison, je connaîtrai votre adresse…"

Et, avant même que je réponde oui, le cousin, parlant en italien pour la première fois, déclare :

- "Dis, j'ai bien envie de fermer le magasin. Il est bientôt 20 heures. Comme c'est samedi, on n'aura plus personne. Je viens avec vous, comme ça, moi aussi, je pourrai vous livrer…" 

Les deux sourient discrètement. Moi aussi. On s'est compris.

"C'est gentil… j'ai de la bière au frais… on prendra un verre."

Il ne leur faut que quelques minutes pour éteindre, tirer le rideau métallique et fermer le magasin avec le gros cadenas. En chemin vers mon appartement on se présente : ils sont bien Marocains et cousins. Le plus jeune c'est Kacem, il a 19 ans, l'autre s'appelle Hassan, il a 28 ans. Célibataires tous les deux. D'apprendre que je le suis aussi les ravit :

- "C'est mieux comme ça... Avec les femmes, on n'a que des problèmes. Elles te trompent et pour l'amour c'est jamais le bon moment !" 

C'est Hassan qui vient de faire cette remarque misogyne. J'en profite pour leur demander :

- "Alors, comment vous faites, vous, étant célibataires pour… vous soulager ?"

 Kacem éclate de rire :

- "Nous les Marocains, ici en Italie, on n'a pas de problème ! Des fois avec les femmes, des fois avec les hommes… On s'amuse comme on veut ! Mais toi, t'es pas Italien ? On dirait à ton accent que tu es Français…"

-  "T'as deviné Hassan, t'es très observateur."

-  "Alors on parle en français si tu veux", propose Kacem.

On est déjà arrivés au pied de mon immeuble. Dans l'ascenseur, Kacem approche ses lèvres des miennes et me roule une pelle endiablée. Je me laisse faire bien entendu. Tout en m'embrassant il me touche le cul, me malaxe les fesses. Il est chaud le jeunot ! J'ai à peine refermé la porte de l'appartement derrière nous, que le jeune Marocain, posant les sachets des courses sur le sol, s'est à nouveau jeté sur moi et me roule une nouvelle pelle d'enfer. Sa langue fouille l'intérieur de ma bouche. Il me mordille les lèvres, aspire la langue pour que nous échangions les rôles. J'adore ce genre de préliminaires… Hassan s'est collé derrière moi et, par de petits coups de reins, se frotte contre mon cul pour bien me faire sentir le volume de son paquet. Je passe un bras derrière moi et saisis son énorme bosse à pleine main : c'est encore mou mais le volume est impressionnant ! J'essaye de reconnaître l'emplacement des couilles et celui de sa verge pour évaluer le gabarit de son outil ! C'est difficile : sa queue et ses boules doivent être comprimées dans son slip, empêchant un début d'érection. Mais mon geste l'a chauffé : Hassan me tire vers l'arrière, sûrement pour interrompre le baiser fougueux de son jeune cousin. Puis il appuie sur mes épaules afin que je me retrouve devant lui à genoux, le visage à hauteur de son paquet :

- "Allez, ouvre ton cadeau, ouvre ma braguette et montre-moi comment tu fais pour me faire durcir le zeb !"

 A part le mot "zeb" en arabe, mais que tout le monde connaît, il m'a parlé en français. Je crois qu'ils sont vraiment chauds les cousins… Ce soir ça va être ma fête ! Kacem a retiré son tee-shirt, baissé son bermuda puis le boxer qu'il porte dessous. Je comprends pourquoi, sous ces deux épaisseurs de tissu aucune bosse n'était apparente. Mais maintenant qu'il est totalement à poil je peux voir la véritable taille de son engin. Une vraie bite de Marocain, quoi ! Un chibre épais de plus de 20 cm, sur des couilles brillantes sans poils. D'ailleurs, à part une touffe frisée et bien noire au-dessus de sa verge, il a un corps lisse, bien bronzé, pas vraiment musclé mais bien dessiné. Un beau jeune mâle ! Et super chaud, avec ça… Alors que je n'ai même pas encore véritablement touché son sexe, une érection majuscule lui a donné volume et raideur. La différence de couleur due à la circoncision, donne à son gland un aspect encore plus tentateur. Je crois que je vais me régaler avec ce splendide instrument !

Pendant que je regarde la queue de Kacem, j'ai commencé à sucer le zeb d’Hassan. L'aîné des cousins est tout aussi réactif : en quelques secondes sa queue a doublé de longueur et de volume. Elle est moins longue que celle de Kacem mais plus grosse, légèrement aplatie et plus épaisse en son milieu. J'ai d'ailleurs du mal à la faire entrer dans ma bouche et je dois me contenter de la moitié de ce morceau de chair palpitant. Sa queue sent fort : il n'a pas pris de douche avant de m'accompagner chez moi et la température de ce mois d'août a dû le faire transpirer dans son slip. Mais j'aime bien cette odeur de bite : c'est le parfum des vrais males après tout… Je lâche un instant le zeb d’Hassan pour câliner celui de Kacem. Il est plus dur, plus long, un peu plus fin. Une tige sûrement plus facile à prendre dans le cul… A condition qu'il sache s'y prendre, le jeunot… J'espère qu'il n'est pas trop brutal comme certains jeunes Arabes qui, pour démontrer leur virilité, t'enfilent comme des sauvages, à cru, avec à la rigueur un peu de salive. De toute façon, j'ai à la maison tout ce qu'il faut : capotes grand format, gel, etc. En plus, j'y pense,  pour préparer le terrain et bien me dilater le fion, il n'aura qu'à se servir du concombre !

Kacem aime se faire sucer et gémit de plaisir. Pour faire patienter Hassan je continue à lui branler le zeb : mais ça coulisse mal. C'est le problème des bites circoncises : on ne peut pas décalotter le gland, il l'est déjà, donc bien faire glisser la peau sur le membre raide. Les Arabes, quand ils se branlent eux-mêmes, tournent la main autour de leur tige au lieu de se masturber du haut en bas de leur verge comme le font les garçons non coupés. Peut-être que la sensation est aussi jouissive puisqu’ils arrivent à l'orgasme ainsi. N'empêche, pour celui qui branle un Arabe, c'est pas toujours facile d'arriver à le faire éjaculer. Au bout d'un moment Hassan vient se placer à côté de son cousin : j'ai alors devant moi les deux queues brunes, raides, tendues vers mon visage. Je peux mieux les comparer : les deux cousins sont vraiment bien membrés, pas de doute ! Deux zebs vigoureux, d'une très bonne taille même s'ils ne sont pas aussi longs et épais que certaines queues d'Arabes ou de blacks que j'ai eu l'occasion de sucer...

Je suce leur bite alternativement, provocant chez Kacem toujours les mêmes gémissements et chez Hassan cette réflexion qu'il répète sans cesse :

- "Tu aimes bien le zeb, toi ! Continue, y'a rien de meilleur qu'un zeb de Marocain…"

De temps en temps, Kacem donne des coups de reins pour faire entrer toute sa queue dans ma bouche, mais il a beau pousser, je n'y arrive pas. C'est tout juste bon à me faire pleurer et à me donner des haut-le-cœur. Je lui demande de s'arrêter, il me fait trop mal… Comme on est toujours dans l'entrée de mon appart, eux debout, moi à genoux devant eux, je leur propose de passer dans ma chambre. On y sera mieux, sur le lit. Tout en les conduisant jusqu'à ma chambre, je leur montre la cuisine, la salle de bain, les WC et en profite pour me déshabiller. Jusqu'à présent j'avais seulement baissé mon pantalon sur mes genoux ainsi que mon slip descendu lui aussi sur mes cuisses par Hassan. Il l'avait fait dès les premières minutes et s'était excité sur mes fesses. Je crois que si je l'avais laissé faire il m'aurait sodomisé d'entrée ! D'ailleurs, depuis que j'ai bien vu la taille de sa bite, avec cette largeur impressionnante dans sa partie centrale, il n'est pas sûr que je me laisse pénétrer par lui… Avec un zeb pareil, il doit faire un mal de chien ! J'adore son gros pieu bronzé mais de là à me faire pilonner le cul avec... Ou alors, après une bonne préparation… avec lubrification et dilatation… par la queue de Kacem, par exemple…

C'est vrai, je dois le reconnaître, je préfère la bite du jeunot. Elle est lisse, bien longue, avec dessous deux superbes boules d'un rouge cuivré qui les rend encore plus appétissantes. Et toujours bien raide et dure sa tige : il bande comme un taureau ce salaud ! En plus ses gémissements, non seulement sont un encouragement inégalable, mais ils me mettent dans un état d'excitation rare. C'est la raison pour laquelle, sans vouloir faire une faveur à Kacem, je me démène plus sur sa bite et ses couilles que sur celles de son cousin. Je me régale : je lèche et gobe ses boules une par une. Elles brillent grâce à ma salive. J'adore !

Mes câlineries ne vont pas tarder à porter leurs fruits et c'est bien le jeunot qui, le premier, va lâcher son jus. Contrairement à ce que j'attendais, son sperme n'explose pas en plusieurs jets. C'est au contraire un écoulement fin et continu qui s'échappe de la  large fente de son gland. Un beau foutre blanc, épais, qui glisse tout le long se sa tige. Le spectacle est magnifique surtout que Kacem l'accompagne d'un râle très sonore. Il tend sa queue raide vers l'avant, vers ma bouche. Je sais ce qu'il veut : ma langue, remontant le long de sa verge, nettoie le beau filet de jute jusqu'au gland. Il va s'écouler encore pas mal de sperme pendant quelques secondes. Il avait les couilles bien pleines le jeunot ! Quant à Hassan, il semble dopé par ce qu'il vient de voir. Puisque je lèche le foutre de son cousin il n'a pas besoin de ma pipe pour s'exciter : il se branle tout seul à toute vitesse. Sa respiration, plus forte et plus rapide, dévoile le degré d'excitation auquel il est maintenant parvenu. Son énorme zeb pointé en direction de mon visage lâche soudain plusieurs jets, tendus, puissants. Son sperme atterrit sur ma gueule, mes joues, mon nez, mon front. Il asperge même la bite de Kacem que je m'employais à nettoyer.  Je lèche tout, j'adore le goût de leurs foutres mêlés, je n'arrive pas à voir de différence. Ça sent très fort la bite, les couilles, le sperme, le mâle, quoi ! C'est  tout simplement divin, énivrant…

Ils sont maintenant tous les deux couchés sur le dos, jambes écartées, bites encore grosses même si elles ont perdu de leur raideur. Kacem est le premier à parler :

- "Putain mec, tu suces super bien… Y'avait longtemps que j'avais pas joui comme çà ! Pas vrai, Hassan ? Il est meilleur que certaines femmes !"

 Hassan, sans doute trop crevé, approuve seulement par un signe de tête. Je leur réponds que je suis ravi qu'ils aient pris leur pied. Moi aussi j'ai bien aimé bien entendu. J'ai beaucoup apprécié sucer deux beaux Marocains… En revanche, je n’ai toujours pas joui. Je reste un peu sur ma faim… 

- "T'inquiète, la soirée n'est pas finie ! Maintenant on va s'occuper de ton petit cul. Tu vas voir, tu vas éjaculer sans même te toucher : rien qu'en jouissant du cul… Nous les cousins, on est des niqueurs professionnels ! Tu vas comprendre ce que c'est de se faire baiser par des mâles arabes ! On a des clients du magasin qui sont fous de nous, de nos queues, de nos corps… Ils nous payent pour qu'on les nique ! J'te jure ! Y'en a un même, il nous paye pour qu'on baise sa femme devant lui, par la chatte et par le cul… sérieux !"

Je propose qu'on fasse quand même une pause avant de passer à autre chose…

- "Il est presque neuf heures du soir, qu'est-ce que vous en pensez : on mange quelque chose et après on a encore toute la nuit pour s'amuser ?" 

Je propose qu'on se boive une bonne bière en attendant. Hassan me demande si j'ai des spaghettis :  il va nous les préparer, il cuisine super bien… L'idée me plaît et, sans perdre une minute, à poil tous les trois, on va dans la cuisine pour s'avaler une bière et préparer à bouffer…

- "Reprendre des forces, c'est indispensable si on veut passer une nuit de sexe inoubliable… Vous n'êtes pas de mon avis ?"

 

Et c'est bien ce qui va se passer…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 1 novembre 7 01 /11 /Nov 14:26

La galère arriva bien plus vite que prévu. Une semaine avant l'échéance du premier paiement, les deux jeunes hommes n'avaient toujours pas de boulot. C'est ce qui décida Nabil à appeler le numéro relevé sur l'annonce.

C'est une belle voix féminine qui répond à l'appel. Elle lui explique qu'elle et son mari sont à la recherche de jeunes hommes pour pimenter leur vie sexuelle. Que c'est un acte basé sur le consentement et que si quelque chose ne plait pas à Nabil il sera libre d'arrêter à tout moment et de partir avec la totalité de la somme.

Rassuré et presque enthousiaste à l'idée de se faire de l'argent aussi facilement, Nabil décide de se rendre à l'adresse indiquée dès le lendemain matin, la femme au téléphone lui ayant indiqué qu'elle lui remboursera les frais de taxis.

Le taxi s'arrête devant l'entrée d'une maison de maître doté d'un portail de fer noir.

Tu m'étonnes qu'elle puisse me payer aussi cher avec la baraque qu'elle a, pense Nabil.

Une ravissante femme d'une quarantaine d'année vient ouvrir à Nabil. Elle lui explique que c'est elle qu'il a eu au téléphone et que son mari les attend dans le salon. La femme détaille Nabil de la tête aux pieds et affiche un sourire en coin lorsqu'elle voit la bosse bien remplie qu'arbore le jeune Arabe au niveau de l'entrejambe.

Arrivé dans le salon, Nabil fait la connaissance d'Antoine, le mari de la maîtresse de maison. Le jeune homme se sent rassuré par cet homme musclé dans la force de l'âge à l'air sympathique.

Ils montent tous les trois au premier étage dans une pièce spacieuse et lumineuse doté d'un grand sofa, d'un large écran plat et de plusieurs appareils de musculation.

— Bien, maintenant j'aimerai que tu suives mes ordres, annonce Marc d'un ton posé mais autoritaire. Commence par te déshabiller lentement et garde juste ton boxer.

Le jeune homme s'exécute. Il commence par enlever son t-shirt, dévoilant son torse légèrement halé et finement musclé. Il passe ensuite à son pantalon afin de libérer ses jambes puis enlève ses chaussures et ses chaussettes, dévoilant des pieds couverts d'un subtil duvet de poils noirs. Nabil est maintenant en boxer Calvin Klein noir, debout devant le couple.

— Mmmmh, tu as l'air d'être bien équipé. Dit la femme. Voyons voir si les Maghrébins sont à la hauteur de leur réputation. Enlève ton boxeur.

Nabil descend rapidement son boxeur et garde une main sur son sexe par pudeur. Devant le regard insistant de la femme il l'ôte et dévoile son gros sexe basané et velu au couple. Les bourses brunes du jeune Arabe sont contractées et sa hampe circoncise pend mollement au-dessus de ses deux grosses dattes.

— Pas mal du tout ! s'extasie la femme. Quoiqu'un peu poilu, ça doit sentir l'homme tout ça ! Tu en penses quoi Antoine ?

A la surprise de Nabil, Antoine approche doucement son visage du sexe du jeune homme. Nabil sent le souffle chaud de sa respiration sur le bout de son gland circoncis et sur le haut de ses bourses.

— Ça sent bon le jeune mâle, analyse le mari.

Il fait se retourner Nabil en l'empoignant doucement par les hanches et applique la même analyse sensorielle à ses fesses musclées.

— Tout de même, tu ne le trouves pas un peu trop poilu ? lâche la femme.

— C'est dans ses gènes mais tu as raison, on va s'occuper de ça...

Antoine quitte la pièce et revient quelques secondes plus tard avec une tondeuse électrique en main. L'idée de se faire raser ne dérange pas beaucoup Nabil. Après tout il y a quelques temps il a eu l'occasion de constater que Medhi le fait aussi.

Le léger vrombissement de la tondeuse résonne comme une mélodie dans la tête du jeune homme. Il se surprend à aimer le doux contact de cette dernière sur son pubis, faisant tomber petit à petit sa fourrure drue au sol. La tondeuse va maintenant caresser délicatement sa poche à semence puis remonte sur la verge que quelques poils ont pris d'assaut. Par réflexe l'organe prend instantanément un peu de volume. L'homme passe maintenant aux aisselles du jeune Algérien et le débarrasse de toute trace de pilosité. Une fois l'opération terminée Antoine retourne auprès de sa femme restée en retrait et admire le corps quasi glabre de l'Arabe.

— Pas mal du tout ! commente la femme. On a l'impression qu'il est encore mieux monté qu'avant sans tous ces poils.

— C'est l'heure de faire un peu d'exercice ! Montre nous ce que tu sais faire… A moins que tes muscles ne soient que de la gonflette ? plaisante le mari.

Vexé dans sa fierté de jeune footballeur, Nabil s'avance jusqu'aux appareils de musculation, sa grosse verge rasée et basanée gigotant au rythme de ses pas. Pendant près d'une heure le Maghrébin enchaîne pompes, tractions et exercices sur les appareils de musculation. Il sue d'un peu partout ; son corps luisant met en avant les reliefs de sa musculature puissante. Nabil commence à fatiguer lorsque la femme le remarque. Elle vient délicatement poser la main sur l'épaule du beur et lui annonce solennellement :

— Après l'effort le réconfort, viens t'asseoir sur le canapé.

Nabil ne se fait pas prier et prend place sur le sofa recouvert d'un drap qui devient rapidement humide au contact de sa transpiration. Antoine propose un verre d'eau au jeune homme qu'il s'empresse de boire rapidement. Sans qu'il s'en soit rendu compte la femme est passée derrière lui et commence à masser ses épaules endolories par l'effort. Quant au mari il applique le même traitement aux pieds du jeune oriental. Nabil ferme les yeux et se laisse aller. Tous ses soucis semblent s'évaporer et une chaude chaleur émane de son ventre. Peu à peu Antoine passe des pieds aux mollets puis aux cuisses jusqu'à la base des testicules de Nabil. Sa femme est descendue des épaules aux mains du jeune homme. Elle sort un ruban rouge de sa poche et lie entre eux les poignets du mâle qu'elle attache ensuite au cadre du sofa. Nabil feint un léger mouvement pour tester la solidité des liens et il est vite rassuré quand il constate qu'il pourrait les arracher sans aucun souci au cas où.

Nabil sent maintenant un liquide tiède couler sur son sexe. C'est Antoine qui s'applique à enduire de lubrifiant l'organe reproducteur du jeune homme. D'une main experte il enduit d'abord les bourses puis la hampe pour finir sur le gros gland brun et sec de Nabil. Il commence par malaxer doucement ses testicules, ce qui arrache un soupir de plaisir au jeune beur. Son sexe a pris du volume et repose maintenant sur le haut de sa cuisse. Des goûtes de liquide pré-éjaculatoire viennent se mélanger au lubrifiant. Lorsqu'Antoine pose sa main et enserre la lourde verge basanée du rebeu, celle-ci se dresse automatiquement et vient cogner contre son nombril. Le sexe de Nabil en érection est impressionnant : il fait facilement 22cm et il est très large. Son gros gland ressort mis en avant par la large cicatrice de sa circoncision qui rend son sexe légèrement bicolore. Antoine commence de lents va et vient sur la verge de l'Arabe tandis que son autre main enserre ses bourses pour garder sa semence au chaud. Pendant ce temps sa femme s'est dirigée vers la télévision afin de mettre un film pornographique, qu'instinctivement Nabil ne peut s'empêcher de fixer. Le mari tire une malle de sous le canapé duquel il sort un sextoy en forme de vagin dans lequel il glisse le sexe du beur. Nabil lâche aussitôt un gémissement. Son instinct de reproducteur a maintenant pris le dessus sur sa raison. Il ne pense plus qu'à une chose : éjaculer pour remplir et faire déborder ce vagin en plastique de sa semence blanche et chaude. Son regard est devenu bestial et ses traits se sont durcis. Il fixe l'horizon comme si quelque chose retenait son attention. Peu à peu il accompagne de légers mouvements du bassin les mouvements réguliers de l'homme qui lui procure tant de bien. Ses bras liés au canapé sont tendus, inconsciemment ses mains souhaiteraient reprendre le contrôle du plaisir, sa nature de dominant a du mal à supporter qu'il soit ainsi la victime de cet abandon physique et sensoriel.

Les mouvements d'Antoine se font de plus en plus rapides. Nabil est en transe. Tout son corps est révulsé. Ses muscles sont contractés. Ses pieds et ses mains font des mouvements dans le vide. Puis dans un murmure qui petit à petit se fait cri, il hurle tout en gémissant :

— Je vais… arrêtez… je vais… je vais… éjaculer… je vais…

Ne tenant pas compte des supplications du jeune Maghrébin, Antoine continue de plus belle ses mouvements experts tout en appliquant à l'endroit de sa cicatrice auquel se trouve normalement le frein, de légères caresses avec son pouce.

Dans une dernière convulsion, tout le corps du bel Algérien se tend,. La tension sur les liens de ses poignets fait grincer le cadre métallique du sofa et c'est accompagné d'une plainte rauque que le sexe de Nabil tressaute et envoie une première salve de foutre valser à travers la pièce. L'organe reproducteur du jeune homme semble devenir fou : il suinte et se contracte brusquement pour envoyer des jets crémeux et chauds de sperme épais qui coulent le long de sa verge. Beaucoup atterrissent sur son torse, le blanc du liquide contrastant avec la couleur naturellement halée de sa peau. Le reste se déverse sur ses bourses contractées et coule sur le canapé. Ce sont au total plus de 8 jets qui sortent du volcan en fusion qu'est devenu la verge du beur. L'orgasme passé, Nabil semble encore sonné par la décharge de plaisir pur qu'il vient de recevoir.

— Je suis... je suis fatigué.... je veux... je veux dormir, murmure-t-il.

La femme détache ses liens ce qui permet à Nabil de s'allonger doucement sur le canapé. Sa verge circoncise est redevenue molle, elle est presque entièrement enduite du liquide reproducteur et odorant du rebeu. Ses deux boules se sont relâchées et pendent mollement sur ses cuisses. Nabil n'en a que faire, il est épuisé et quelques secondes à peine après s'être allongé il s'endort d'un sommeil profond et réparateur.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 25 octobre 7 25 /10 /Oct 14:13

Medhi et Nabil sont les meilleurs potes du monde. Depuis ce jour où ils se sont rencontrés à la maternelle de la cité Clairefontaine ils ne se sont jamais quittés. Tous deux issus de familles d'immigrés, Algérienne pour Nabil et Marocaine pour Medhi, les deux jeunes hommes partagent tout : du club de foot au BTS dans lequel ils viennent d'être admis ensemble.

Demain c'est le grand jour pour Medhi et Nabil. Ils emménagent dans leur nouvel appartement qui les accueillera le temps de leurs deux années d'études. Comme leurs parents n'ont pas les moyens de payer le loyer, les deux amis se sont engagés à trouver un job dès qu'ils seraient installés. Les familles ont tout de même apporté une aide afin de payer la caution et les frais d'emménagement.

Une fois l'effort du déménagement terminé, Medhi s'affale sur le canapé usé qui trône au milieu de la salle à manger qui sert aussi de chambre, tandis que Nabil trifouille le frigo dans la cuisine.

— Tu veux une bière Med' ?

— Ouais, pourquoi tu demandes, tu connais déjà la réponse ! S’esclaffe Medhi.

C'est donc avec deux bières à la main que Nabil vient le rejoindre sur le canapé.

— Putain, ça fait du bien de plus avoir les darons sur le dos à nous faire chier avec l'alcool, soupire Nabil.

— Grave mec ! On va enfin pouvoir être les rois et faire ce qu'on veut ! Par contre, truc le plus important dont on a pas encore discuté, comme les deux lits sont dans cette pièce comment on va faire pour…

— … les meufs ! Le coupe Medhi.

— Ouais, je pensais qu'on pourrait faire comme dans une série que je regarde. Genre celui qui rentre avec une meuf, il accroche un truc sur la poignée.

— Quoi comme genre de truc ?

— J’sais pas moi, une chaussette par exemple. L'autre attend devant la porte 20 minutes, histoire que ça finisse.

— 20 minutes ? J’suis pas un éjaculateur précoce comme toi !

— Enfoiré ça m'est arrivé qu'une fois ! Le rambare gentiment Nabil. Par contre tu sais quoi ?

— Nan ?

— Prem's à la douche ! hurle Nabil tout en se ruant vers la porte de la salle de bain.

— T'abuses, fallait que j'aille aux toilettes ! C'est vraiment un bâtard l'architecte qui a conçu cet appart', de mettre les chiottes dans la salle de bain...

— Rentre, fais comme chez toi, ricane Nabil à travers la porte.

Medhi ne se fait pas prier et ouvre la porte pour ensuite aller tranquillement s'asseoir sur les toilettes. Nabil est déjà sous la douche en train de se savonner vigoureusement afin de faire partir la transpiration et la saleté accumulée au cours de cette journée d'effort. Les fringues étalées au sol, enlevées à la va vite par le jeune Maghrébin, dégagent une odeur de mâle dans toute la petite pièce qui remonte aux narines de Medhi.

— Bah dis donc, t'en avais vraiment besoin de cette douche ! S'esclaffe ce dernier tout en jetant un regard désinvolte à son camarade sous la douche.

Depuis le temps qu'ils se connaissent, ils n'éprouvent plus aucune pudeur l'un pour l'autre. Les centaines d'heures passées à se balader à poil dans les vestiaires du foot ayant grandement contribué à cela. Medhi connaît les détails de ce corps par cœur. Nabil est assez fin mais très musclé, il arbore un torse et un dos puissants, des jambes et des fesses fermes et des bras larges. Sa peau est légèrement halée mais n'est pas particulièrement mate, on pourrait le prendre pour un Français ayant passé des vacances dans le sud. Il présente une pilosité abondante qui remonte des jambes jusqu'à ses fesses et son sexe, recouvrant les testicules et le pubis, pour finir par s'arrêter de manière désordonnée sous le nombril. Ses aisselles sont elles aussi bien fournies. Il est en revanche pratiquement imberbe sur le torse et le visage si ce n'est quelques poils autour des tétons. Cette absence de barbe renforce le coté gamin espiègle de son faciès. Atout charme qui fait craquer les filles voyant en ce jeune Arabe aux airs virils –renforcés par une coupe de cheveux tribale– un jeune ado en recherche d'affection.

Les fesses de Nabil sont galbées et recouvertes d'un duvet noir allant en s'épaississant à l'approche de la raie du jeune oriental. Contrairement au reste de sa peau plutôt blanche, le sexe de Nabil est d'une couleur mate, presque brun foncé. C'est cette partie de son corps qui semble cristalliser tout l'exotisme de ses gènes. Ses deux bourses pleines de jus reposent dans un sac de peau bronzé et étroit ayant du mal à les contenir. Sous l'effet de la chaleur de l'eau son paquet s'est détendu et ballote doucement sous sa grosse et longue hampe. Fidèle à ses origines, Nabil est doté d'un beau morceau de chair basané se terminant par un gros gland rose. En bon Arabe, Nabil est circoncis. C'est d'ailleurs ensemble dans le même hôpital que les deux amis se sont fait retirer ce bout de peau fragile faisant au passage d'eux des hommes arabes à part entière. Il en résulte qu'à la base de leur gland la cicatrice est quasi identique, détail qui n'a pas manqué d'alimenter les plaisanteries dans les vestiaires.

— Putain mec t'a mangé quoi à midi ? Lance mi-offusqué mi-amusé Nabil à Medhi.

— Couscous de ta mère enfoiré ! Rétorque Medhi en quittant la pièce.

La soirée se termine rapidement, nos deux compères s'endormant comme des bébés exténués par l'effort de la journée passée.

C'est Nabil qui se réveille le premier, aidé par la chaleur étouffante des derniers jours de l'été. Il se dirige vers la cuisine afin de se chercher un verre d'eau quand il aperçoit quelque chose qui le fait exploser de rire.

Medhi, qui comme à son habitude s'est endormi en caleçon large, laisse échapper par l'ouverture de ce dernier son sexe en totale érection. Cette manifestation virile de la charge en testostérone du jeune mâle contraste étrangement avec le visage détendu et endormi de Medhi. Le sexe gorgé de sang du rebeu est aussi large que long. Il est plaqué contre son ventre et atteint presque son nombril. La couleur brun foncé de son service trois pièces contraste avec la blancheur de son caleçon. Ses deux prunes sont gonflées au maximum et sont lisses comme une peau de pêche, cela n'est pourtant pas le cas de ces cuisses très poilues. Sa hampe circoncise se termine par un gland brun clair au bout duquel pointe une goutte de liquide pré-éjaculatoire révélée par l'éclat du soleil. Le beau Marocain doit être au beau milieu d'un rêve érotique. C'est d'ailleurs toujours endormi qu'inconsciemment sa main va gratter le bas de ses bourses serrées. Le simple fait d'effleurer ces deux lourds sacs d'hormones a augmenté l'odeur de fauve déjà puissante qui règne dans la pièce. Les éclats de rire de Nabil finissent par réveiller Medhi qui comprend très vite ce qui amuse autant son ami.

— Rah bâtard ! Comme si ça t'arrivait jamais à toi ! Dit Nabil tout en rangeant non sans mal son sexe tendu à l'intérieur de son caleçon.

— En attendant ça sent la bite dans toute la pièce ! Va plutôt prendre une douche pour qu'on puisse commencer à mater les offres d'emplois sur le net.

Une fois Medhi sorti de la douche, les deux Maghrébins s’atellent à la tâche. Pendant plus de 4 heures ils s'évertuent à lire toutes les offres d'emplois sur internet. Malheureusement, pour deux jeunes gens avec uniquement le bac en poche et en fin de période estivale, il n'y a presque rien si ce n'est des jobs sous-payés, à des horaires impossibles.

— Putain ça me casse les couilles ! Lâche Nabil exténué. C'est pas avec ces salaires de merde qu'on va réussir à payer l'appart !

— Grave, regarde-moi ça y'a rie… attends c'est quoi ça 500€ la demi-heure ?

— Oh putain c'est un braquage de banque qu'ils proposent ou quoi ?

— Na na ça m'a l'air d'un truc chelou, matte c'est rangé dans la catégorie xxx, laisse béton… Bon vas-y, je vais pisser moi.

Profitant de l'absence de Medhi, Nabil prend une photo de l'annonce avec son téléphone. Si on est vraiment dans la galère pourquoi pas aller faire le beau devant une vieille meuf en manque d'affection ? se dit le jeune homme.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 18 octobre 7 18 /10 /Oct 13:46

Je m'appelle Lucas et cette histoire se passe l'été de mes 15 ans lorsque mes parents avaient décidé d'aller au camping dans les Landes.

Après être arrivé, avoir déballé nos affaires et monté notre tente, je décidai de faire le tour du camping. Je remarquai qu'il y avait beaucoup d'enfants et d'ados. Je partis en bordure du camping et là, je vis un magnifique bel étalon sortir de sa tente. Il était tellement beau que je ne pus pas détacher mes yeux et... je me pris un arbre de plein fouet. Je suis tombé sur la tête et j'ai perdu connaissance. Quand j'ai rouvert les yeux je vis que quelqu'un se penchait sur moi : c'était mon beau gosse ! Il était brun aux yeux bleus, assez musclé mais pas trop et assez grand. Il me demanda :

— Ça va ?

Je lui répondis en bégayant :

— Eeeh... Oui, oui ça va... Même si j'ai un peu mal à la tête.

— Tu peux te lever ? me demanda-t-il.

— Oui je pense, lui répondis-je en me relevant.

Après m'être relevé et m'être dépoussiéré il me dit : "Salut je m'appelle Hugo !" en me tendant la main. Je la lui serrai en lui disant que je m'appelais Lucas. Il me demanda si je voulais prendre un verre de coca dans la tente de ses parents pour me remettre de mes émotions, ce que j'acceptai bien évidemment. Ses parents étaient partis faire des courses et donc nous étions seuls. Dans sa tente j'appris qu'il avait 15 ans comme moi et que c'était la troisième fois que lui et ses parents venaient dans ce camping. Après avoir fini mon verre je le remerciai et enfourchai mon vélo pour repartir vers ma tente.

Le lendemain je rencontrai Hugo en allant à la piscine. Nous nous installâmes côte côte puis partîmes vers le bassin. Une fois dans l'eau nous nous mîmes à chahuter en nous éclaboussant et en nous attrapant. À un moment Hugo me courut après sur le bord de la piscine et m'attrapa par la taille pour me ceinturer. C'est alors que je sentis à travers mon maillot de bain sa bite durcir contre mes fesses. Je fis comme si de rien n'était. Puis le jeu se calma et nous retournâmes nous coucher sur nos serviettes. Je l'observais du coin de l’œil et je remarquai que l'on ne pouvait pas voir qu'il bandait car son short maillot de bain était assez ample. À la fin de l'après-midi il me proposa d'aller chez lui. N'ayant rien prévu ce soir-là j'acceptai avec empressement. Nous nous enfermâmes dans la tente pour être plus tranquille. Ses parents étaient partis faire une balade dans un village proche et seraient de retour assez tard dans la soirée. Comme nous avions découvert que nous avions une certaine affinité, Hugo proposa de jouer à "action ou vérité" qu'il avait sur son téléphone. C'était à moi de commencer et je choisis vérité. La question fut : "Combien avez vous eu de petites amies ?" Je répondis que je n'en avait eues que deux. Puis ce fut le tour d'Hugo. Il choisit action : "Ôtez un vêtement suivant le choix du joueur de votre droite" mais comme nous étions juste tous les deux ce fut donc mon choix et je choisis qu'il retire son short. Ce qu'il fit. Il se retrouva donc vêtu de son tee-shirt et d'un caleçon Arena bleu électrique qui lui moulait bien son paquet. Il avait l'air assez garni... Puis ce fut encore à moi et je choisis action cette fois ci : "Caressez la cuisse du joueur se trouvant en face de vous de manière sensuelle". J'étais un peu hésitant à l'idée de faire ça, mais Hugo me dit que je n'avais qu'à le faire, que personne ne le saurait à part nous deux. Je commençai par caresser le bas de la cuisse pour remonter vers son entrejambe. Après avoir fini mon gage je remarquai qu'Hugo avait un début d'érection. Le jeu continua ainsi : Hugo dû me masser l'entrejambe avec son pied pendant 1 minute ce qui provoqua une érection qui me fit rougir jusqu'aux oreilles, ou encore je dus lui lécher le cou de manière sensuelle... Puis le jeu prit fin vers 22h30, l'heure où je devais rentrer chez moi. On s'est dit au revoir et à demain puis je suis rentré chez moi plein de fantasmes dans ma tête. Le soir quand je fus dans mon sac de couchage, je me remémorai cette journée passée avec Hugo ce qui me provoqua une érection et une envie pressante de me branler un bon coup. Ce que je fis en faisant le moins de bruit possible car mes parents dormaient de l'autre côté de la tente.

Le lendemain matin je me rendis aux douches communes pour un brin de toilette. Quand j'arrivai il y avait une queue énorme et je dû patienter pendant au moins un quart d'heure pour me rapprocher à moins de 5 mètres des douches. Bizarrement, je devais être le dernier à vouloir prendre une douche ou alors les autres s'étaient découragés de devoir attendre trop longtemps, si bien qu'il n'y avait personne derrière moi. En étant plus proche que jamais de me doucher, j'entendis une voix qui m'appelait. Je me retournai et vis que c'était Hugo. Quand il arriva on se dit salut. À ce moment là une douche se libéra. Je lui dis : "Tu n'as qu'à la prendre, une minute de plus à attendre ne me fera pas de mal." Mais il me répondit :

— Mais non vas-y, je t'ai vu tout à l'heure faire la queue.

— Bon, bah, on a qu'à y aller ensemble, lui répondis-je.

— Ok, si tu veux, me répondit Hugo.

Nous y allâmes ensemble. Nous nous déshabillâmes tous les deux puis nous allâmes sous la douche ensemble. Du coin de l’œil j'observais ses couilles assez grosses au repos et je voyais que lui aussi faisait de même. À force de nous mater mutuellement nous commençâmes à avoir une érection. J'essayais de la cacher du mieux possible mais Hugo dit :

— C'est marrant on bande tous les deux.

Et là je rougis jusqu'à la racine des cheveux. Mais Hugo continua :

— Ça te dirait qu'on se branle tous les deux ? Je l'ai déjà fait avec un pote et c'était génial.

Il n'attendit pas ma réponse et saisit ma bite bien bandée. Il se mit à faire des va-et-vient. Ne sachant pas quoi faire je pris aussi son pieu dur et fis de même. Nous jouissions tous les deux si bien que nous jutâmes en même temps. Et là je vis Hugo se mettre à genoux pour me lécher et me laver la bite. Je trouvais ça tellement bon que j'en criais presque de jouissance. Bien sûr je lui fis la même chose quand il eut finit avec moi. Après la douche nous nous donnâmes rendez-vous à 13h près des douches. C'était sans nous douter que quelqu'un nous avait espionnés.

À 13h nous nous retrouvâmes donc près des douches et nous partîmes pour la plage. J'y étais déjà allé avec mes parents le jour de notre arrivée. Pour y accéder il fallait traverser la lande sur au moins deux kilomètres puis grimper la dune. Une fois arrivé sur la plage, Hugo me dit de le suivre. Il m'emmena dans un coin de la plage tout près des dunes où il n'y avait pas grand monde. Nous nous déshabillâmes puis nous allâmes nous baigner dans la mer bleu foncé. Une fois fini de chahuter dans les vagues, nous retournâmes nous étendre sur nos serviettes pour une séance de bronzage. Après une heure de cette activité de détente, Hugo me demanda de le suivre car il voulait me montrer quelque chose. Je le suivis. Il me fit gravir les dunes puis m'enfoncer dans les pins. Nous arrivâmes à une espèce d'abri en béton, fermé par une porte en fer. Hugo ouvrit la porte et je découvris que l'espace était découpé en trois zones par des cloisons et des portes à la peinture rouge défraîchie. Hugo dit :

— J'ai découvert cet endroit la première fois que je suis venu au camping.

Puis il me demanda d'entrer dans une des salles et referma la porte. Il alluma la petite veilleuse. À ce moment-là il s'avança vers moi et m'embrassa passionnément. Tout d'abord surpris, je commençai par reculer et à me coller contre le mur, puis je me détendis et commençai moi aussi à l'embrasser. Soudain il se mit à me masser les couilles à travers mon maillot de bain ce qui me fit bander dur comme de l'acier. Puis il descendit de plus en plus jusqu'au niveau de ma bite bien bandée. Il l'embrassa à travers le tissu puis m’enleva mon maillot.

Je me retrouvai la bite bien dressée à l'air libre. Là, il commença à me la sucer comme un dieu. Je soupirai de plaisir. Je le regardais de temps en temps et il me regardait avec ses magnifiques yeux bleus tout en suçant ma queue. Pour faire durer le plaisir, je le pris par les épaules et le fis se coucher sur le sol. Il reprit mon pieu en bouche. Je m'allongeai sur le côté avec la tête au niveau de sa bite bien gonflée. Je la pris en bouche : c'était une belle bite de 20 cm, assez épaisse. Nous partîmes en 69 jusqu'à qu'il me dise :

— Je vais jouir !

Alors j'enfonçai son chibre dans ma bouche et attendis son jus. Il ne tarda pas à venir et je reçus 4 jets de foutre dans ma bouche. J'avalai tout et je trouvai ça très bon. Puis je lui nettoyai la bite et je sentis que moi aussi j'allais venir, alors je prévins Hugo et lui dit :

— Je vais juter !

Il arrêta de me sucer, ouvrit sa bouche et me branla jusqu'à ce que j'éjacule 3 puissants jets dans sa bouche et sur son visage d'ange. Il se releva et vint sur moi. Il m'embrassa avec mon sperme. A ce moment-là quelqu'un toqua à la porte. Hugo se releva et alla ouvrir. On découvrit un beau gosse aux yeux bleu-vert d'une quinzaine d'années aussi. Il nous dit :

— Salut je m'appelle Enzo, j'étais dans la douche à côté de vous ce matin et j'ai tout entendu puis je vous ai suivi jusqu'à la plage et jusqu'ici... J'aimerai savoir si ça vous dérangerait si je me joignais à vous ?

Il le dit en baissant les yeux comme un petit enfant.

— Eeeuh non, je n'y vois pas d'inconvénient, répondit Hugo. Et toi Lucas ? Ca te dit une partie de jambes en l'air a trois ?

— Mais pourquoi pas ! lui répondis-je.

Eh bien pour une première fois, j'allais être gâté ! Hugo fit les présentations puis il commença à l'embrasser. Je pus ainsi observer le nouveau venu. Il était assez grand, sec et musclé. Une vrai bombe bien que je préférais Hugo. A ce moment Enzo se détacha d'Hugo et vint me voir. Il m'embrassa passionnément. Hugo nous rejoignis et nous fîmes un baiser langoureux à trois. Je pris le paquet d'Enzo et commençai à le malaxer. Sa bite prit de plus en plus de volume. Je sentis que son maillot allait craquer littéralement et donc j'entrepris de l'en débarrasser. Je découvris une bite bien droite, très épaisse et assez longue mais moins que celle d'Hugo. Je me mis à la branler doucement puis je descendis de plus en plus avec ma bouche jusqu'à son pieu dressé. Je me mis à le sucer du mieux que je pus pendant qu'ils continuaient à s'embrasser. Je vis que la queue d'Hugo reprenait du volume alors je me mis à sucer ces deux magnifiques chibres en même temps.

Au bout de cinq minutes de pompage, Enzo me fit m'allonger sur le dos puis me mit le cul bien en vue en relevant mes jambes. Il se mit à me titiller la rosette avec la langue. Puis il m'introduisit un doigt dans mon trou bien serré et fit des va-et-vient. Pendant ce temps Hugo s'était mis à quatre pattes au-dessus de ma tête et je compris qu'il avait envie que je continue ma petite pipe, ce que je fis avec empressement. Je sentis qu'Enzo avait recommencé a me titiller la rondelle avec la langue. Puis il introduisît deux doigts dans mon anus et recommença ses va-et-vient. À ce moment là, Hugo me dit : "Lucas attention, je vais venir !" et c'est ce qu'il fit deux seconde plus tard. Trois jets plus puissants que la première fois. J'avalai tout goulûment et lui nettoyai sa bite. Il se pencha pour m'embrasser.

Puis je sentis qu'Enzo avait arrêté de me tripoter le trou. Je sentis un objet plus gros se présenter à l'entrée de mon anus. Il commença à entrer de plus en plus loin et cela me faisait de plus en plus mal. Je me retins de crier mais Enzo continua jusqu'à que je sente ses boules contre mon cul. Puis il s'arrêta quelques secondes le temps que je m'habitue. Il repartit dans l'autre sens plus vite que quand il était entré. Puis il commença un véritable va-et-vient et je me détendis petit à petit jusqu'à éprouver du plaisir. Je sentais bien ses grosses boules et ses puissantes cuisses claquer contre mon petit cul.

Pendant ce temps-là, Hugo continuait son baiser. Puis il se leva et vint se placer au dessus de ma bite dure comme jamais pour commencer à la pomper. J'étais aux anges. Je me laissai limer le cul et me pomper pendant 1 minute puis je remarquai que j'avais le cul d'Hugo juste au dessus de ma tête. Une idée surgit dans ma tête : j'allais faire à Hugo ce que m'avait fait Enzo ! Je pris les hanches d'Hugo pour lui demander de baisser ses fesses et là je me mis à lui titiller la rosette. Puis j'introduisis un doigt en faisant des va-et-vient et je poursuivis avec deux. Hugo avait l'air d'apprécier car il poussait de petits gémissements tout en me suçant la queue. À ce moment, enzo interrompit ses va-et-vient dans mon cul et me dit : "ça te dit que l'on se lève parce que j'ai compris ce que tu voulais faire avec Hugo ?"

Alors Hugo s'interrompit et Enzo sortit de mon cul. Je me levai et je présentai mon cul à Enzo tandis qu'Hugo me présentait le sien. Enzo reprit ses va-et-vient. Je présentai ma queue à l'entrée du cul d'Hugo puis commençai à le pénétrer. La moitié de ma bite était rentrée quand je fis une pause pour que le cul d'Hugo s'habitue puis je repris ma pénétration. Presque à la fin Hugo poussa un gémissement de douleur alors que j'arrivai au fond. J'entrepris des va-et-vient toujours assez lents puis j'accélérai de plus en plus jusqu'à une vitesse qui me convenait tout en me calquant sur les mouvements d'Enzo. J'étais au paradis. Enzo me dit :

— Ça arrive !

Alors Enzo s'enfonça encore plus profondément en moi et je sentis un liquide couler. Il venait de jouir dans mon cul ! Il se retira et se mit à nous contempler en train de nous enculer. Je sentais moi aussi que la jouissance était proche. Quand je me sentis sur le point de cracher ma semence, je chuchotai dans l'oreille d'Hugo :

— Je vais juter !

Celui-ci semblait prendre son pied tellement il gémissait. Quand je fus sur le point d'éjaculer je m'enfonçai le plus profondément possible et jutai bien plus fort que durant mes parties de branlette solo. Je ressortis du cul d'Hugo et l'embrassai. Il entreprit de nettoyer ma bite et moi celle d'Enzo qui avait dégonflé. Puis Enzo dit à Hugo de se relever et lui offrit son cul imberbe. Hugo, qui n'avait enculé personne, ne se fit pas prier. Il fit le rituel pour détendre la rondelle d'Enzo et s'introduisit tout doucement dans son cul. Alors les va-et-vient commencèrent. Les cuisses d'Hugo claquaient sur les fesses d'Enzo. Tous les deux gémissaient de plaisir. Je sentis ma bite rebander. Je m'approchai d'Enzo qui se tenait courbé et la lui présentai. Il la goba et commença à la sucer divinement. Au bout de dix minutes je dis à Enzo :

— Je vais jouir !

Alors je retirai mon chibre de sa bouche et me mis à me branler devant son visage. Au bout de quelques va-et-vient je lui éjaculai sur le visage trois jets de sperme. Il en était recouvert. Et à ce moment là, Hugo cria :

— Je vais juter, je vais juter !

Et il juta en criant de plaisir. Il se retira du cul d'Enzo et nous nous retrouvâmes pour un dernier baiser à trois avant de rentrer.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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