Dimanche 15 novembre 7 15 /11 /Nov 13:48

Ca fait un moment que je viens régulièrement dans cette piscine et aux mêmes heures. A chaque fois je vois ces mêmes petits mecs. Ils ont à peine la vingtaine. Mais ce sont tous de vrais minets ma parole ! J'ai la quarantaine passée, je vis seul et ils me plaisent...

Finalement je suis entré en contact avec deux d'entre eux récemment. On peut dire qu'on a un peu sympathisé, dans la piscine même, puis je les ai invités à venir jusque chez moi. Mais ils avaient toujours le même comportement : un peu suffisant, arrogant, une certaine insouciance et l'expression cynique de cette désinvolture. En même temps ils étaient bien bâtis tous les deux et j'avais bien envie de les baiser.

Je leur ai proposé un verre. Ils ne voulaient pas. Et puis j'ai assez rapidement embrayé sur le cul. J'ai bien vu que ça les intéressait. De toute manière ça ne me surprenait pas outre mesure, c'est de leur âge !
Je suis allé près d'eux. J'ai commencé à peloter l'un des deux. Il s'effarouchait le jeune homme. Seulement moi j'étais de plus en plus excité. On peut même dire que j'étais salement excité, que ces deux là m'avaient mis en appétit et que je n'avais pas du tout envie de lâcher le morceau. Alors j'ai continué.

Je ne peux pas dire que j'étais brutal mais celui que j'étais en train de peloter, franchement, je ne le ménageais pas. Son copain regardait et ne disait rien. Sûrement que je représentais une autorité dans son inconscient...
Je me suis levé. Et tout naturellement je me suis dirigé vers la porte d'entrée que j'ai fermée à clé. Ils étaient à moi et rien qu'à moi. Je les avais tous les deux pour moi seul et je comptais bien en profiter. Quitte à les mettre au pas s'il le fallait ! Je suis revenu vers eux dans la salle à manger. Ils n'avaient pas bougé d'un poil. Je souriais bien tranquillement tout en les regardant. Tandis qu'eux, ils avaient l'air moins arrogants par exemple que lorsqu'ils étaient entrés dans la maison. Je ne disais rien. Je restais debout.

Celui que je venais de peloter entre les cuisses, je lui avais simplement glissé la main entre les jambes et j'étais remonté presque jusque son intimité. J'avais remarqué qu'il n'était pas tout à fait en érection, mais j'en avais senti assez pour comprendre qu'il prenait un certain plaisir à se faire peloter et que, sous ses grands airs à la con, il était peut-être prêt à en redemander. Et bien celui là il était bien calé dans son fauteuil et il ne bougeait plus. Le copain, celui auquel je ne m'étais pas encore trop intéressé, était plus fébrile. Il était à moitié assis sur son fauteuil. J'étais toujours debout. Je l'ai bien regardé droit dans les yeux. Je lui ai intimé l'ordre de se lever. Il a d'abord regardé son pote. J'ai alors senti que dans le regard de ces deux jeunes mecs, il y avait un certain vacillement, un certain flottement. Pourtant il l'a fait. Il était maintenant debout devant moi. Et sur ce coup là aussi, il s'est exécuté.

Le voilà à genoux. Alors je lui ai dit de me faire sortir la queue et de la sucer. Il a regardé son copain puis il s'est retourné vers moi. Je les avais tous les deux sous ma coupe et je n'étais pas prêt à les laisser s'en aller. Je les sentais bien et j'avais un maximum envie d'en profiter. Je voulais me les faire, les remettre un peu au pas, les ramener à la raison ces deux jeunes mecs. Le mec a répondu à mon ordre, sortant ma grosse bite en érection. Je bandais ferme. Il n'a pas hésité à la prendre immédiatement en bouche pour me la laper du mieux qu'il pouvait. J'étais décidé à leur en foutre plein la tronche à ces deux petites pédales.

Pendant que je me faisais tailler une pipe, j'ai dit à l'autre de se défringuer et de me présenter son troufignon. Il s'est résolu à m'obéir et il s'est rapidement retrouvé totalement à poil. Et là je vis qu'il bandait le petit saligaud !
Mine de rien ça lui plaisait de se faire traiter en lopette. Je lui ai dit de bien s'écarter la raie du cul et de me le présenter. Avec mes doigts je me suis mis à le tripoter sans doute comme il ne l'avait encore jamais été. Je n'y allais pas de main morte. Je lui enfonçais mes doigts jusqu'au plus loin que je pouvais. Il avait mal car il se contractait mais je continuais de plus belle.

J'étais terriblement excité d'autant plus avec mon foutre qui rappliquait très vite sous la pression des lèvres de l'autre petit pd qui me pompait la pine. J'avais une énorme envie de juter alors je ne me suis pas retenu. J'ai bientôt, sans même prévenir le petit mec qui me suçait, balancé une bonne dose de sperme dans son gosier. Et t'as intérêt à avaler, que je lui ai dit. Alors il l'a fait, même si ça le dégoûtait. Je les rabaissais tous les deux plus bas que terre mais ça leur faisait sacrément du bien à ces deux petits cons. Des petits branleurs qui jouent aux durs alors qu'ils n'ont rien dans le slibard. Je les matais et je prenais mon pied à le faire.

Du coup j'ai demandé au mec d'aller se taper un palot avec son copain pour qu'ils se partagent tous les deux ma salive. Ils se sont exécutés. Je les regardais et ça me donnait à nouveau des envies de nique. Je leur ai dit de se mettre tous les deux à quatre pattes sur le sol. Je me suis longuement amusé à leur tripatouiller le trou du cul. Ils gémissaient de douleur mais ils n'osaient pas protester. C'était super pour moi. Et puis j'ai eu envie de jouer les voyeurs. Alors je leur ai dit de se pomper mutuellement devant moi. Là encore ils se sont exécutés. Ils se sont mis en soixante neuf et ils ont pris chacun la pine de l'autre dans sa propre bouche. Et ils se sont taillés une pipe. C'était génial à regarder. Et je n'ai pas pu m'empêcher, malgré le fait que j'avais déjà juté une première fois, de me branler la queue.

Ils continuaient de se sucer tout en jetant un oeil de mon côté régulièrement. Je crois que ça les excitait de me voir me palucher la queue. Surtout ma queue bien épaisse comparée aux leurs de dimensions plus modestes. Je les encourageais à poursuivre. Je les sentais au bord de la déraison mais je ne leur disais pas ce qu'ils devaient faire. J'attendais de voir leurs limites. Allaient-ils juter sans me demander mon avis ou bien allaient-il se contrôler jusqu'à ce que je craque moi-même et que je leur dise quoi faire. En fait, c'est moi qui leur ai dit d'arrêter. Je voulais les voir faire autre chose. Je leur ai demandé de se lubrifier mutuellement le trou du cul avec leur langue. Puis de se le dilater avec les doigts. Je voulais que leurs mignons petits conduits soient bien préparés pour le passage de ma queue. Car j'avais très envie de me les taper tous les deux, les enculer jusqu'à la garde. Je les avais bien sous ma coupe à présent, pas question de les lâcher avant de me les être enfilés.

Alors, devant mes yeux, ils se sont mis à se passer de la salive sur la rosette puis à se foutre la langue dans le conduit. Tantôt ils la pointaient et l'enfonçaient, tantôt ils la laissaient plate et ils s'occupaient simplement de l'entrée. Je voyais bien qu'en même temps ils s'offraient du sacré bon temps. S'ils pensaient me manipuler et bien ils se fourraient le doigt dans le cul ! Ils se donnaient du plaisir avant que je ne les défonce. Ca ne me gênait pas. Je me suis dit qu'au contraire ça leur donnerait encore plus envie de recevoir ma tige dans leur petit cul. C'est bien ce qui s'est passé. Ils se sont tant et si bien excités mutuellement que je les ai bientôt sentis prêts pour se faire niquer. Ils avaient une sacrée envie. Alors je leur ai dit de se foutre à quatre pattes et j'ai enfilé une capote sur ma queue.

C'est alors que je les ai ramonés à la queue leu leu. J'enfilais un peu un premier puis j'enfilais ensuite un second mais si peu qu'ils n'avaient pas le temps de prendre leur pied. Je m'amusais de leur frustration à tous les deux. Finalement j'ai quand même décidé de les laisser prendre un peu leur pied. Je me suis démené dans le cul du premier. J'ai senti au bout d'un moment qu'il se tendait, qu'il était pris de soubresauts de jouissance. Je l'ai défoncé comme un dingue. Puis je l'ai laissé et je me suis déplacé, enfonçant le cul de son copain. Lui aussi le petit saligaud je lui en ai foutu plein le troufignon. Il a fini par gémir lui aussi et il n'a pas hésité à gueuler qu'il jouissait. Du coup je me suis démené comme un beau diable et j'ai fini par lui asperger le fion, via la capote, de ma liqueur.

Ils avaient tous les deux leur compte. Ils sont partis la queue basse. J'étais content de moi, je les avais bien matés les petits branleurs.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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