Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 14:41

Pour mon boulot, je vivais en Italie, à Milan, depuis quelques mois. J'ai dû accepter de travailler en août, alors que presque tous les autres employés de la boîte prenaient leurs congés d'été précisément ce mois-là. Mes collègues pour me persuader avaient insisté sur le peu de travail qui j'aurai, la liberté qui serait la mienne sans chef sur le dos, et l'incroyable facilité de circuler dans cette métropole, toujours embouteillée le reste de l'année. Tout cela se vérifia, et j'étais assez satisfait de pouvoir découvrir les charmes de cette grande ville, vidée aux trois quarts de sa population. Ce qu'on ne m'avait pas dit, c'est que quasiment tous les supermarchés fermaient en août, tout comme la plupart des bars, des boucheries, boulangeries et autres petits commerces… Mon quartier est devenu subitement désert et j'ai eu toutes les peines du monde à trouver de quoi me nourrir.

Donc, ce samedi après-midi, je rentre chez moi à pied, après deux ou trois heures passées à visiter le centre-ville. En arrivant dans mon quartier je croise une femme qui porte un cabas transparent où je vois des fruits et d'autres produits alimentaires. Je m'arrête et lui demande où elle a réussit à faire ses courses et me fais expliquer comment y aller. Je remercie cette brave dame qui vient de me filer un sacré tuyau. C’est une épicerie tenue par des Marocains.  Je l'aperçois bientôt au bout de la rue. J'entre. Je ne vois aucun des Marocains censés tenir le magasin. Je me dirige vers le rayon des fruits et légumes, prends plusieurs sachets en papier et me sers. Il n'y a plus grand chose à cette heure. Je prends des pêches, de la salade, des tomates. J'aperçois dans une cagette, deux concombres. Je ne peux m'empêcher d'en prendre un, de le caresser : il a comme de petites protubérances, il est très dur. Une pensée cochonne me traverse soudain l'esprit : ce concombre ferait un excellent gode…

Je m'aperçois alors qu'un vendeur m'observe. Il a vu mon geste, cette caresse furtive sur le beau légume. Il sourit, il a compris…

- "Bonsoir monsieur, vous avez trouvé ce qu'il vous faut ?"

Bêtement, comme pris en faute, je me crois obligé de donner des explications :

- "J'essayais d'imaginer comment je pouvais le préparer…"

- "Oh, il y a des tas de façons… En tranches… avec du yaourt… On peut même s'en servir comme ça, tout entier !" 

Et il rigole, le salaud... C'est un malin et son sourire le rend encore plus attirant. Tout juste la vingtaine, grand, bien bâti. Il porte un t-shirt blanc très moulant qui fait bien apparaître ses pectoraux et un bermuda qui lui arrive aux genoux, trop long et trop ample à mon goût car aucune bosse ne trahit la forme ni la taille de son entrejambe. Je lui demande s'il a du thon en boîte, des olives, des biscottes. En fait, il a de tout.

-  "J'habite tout près et ne savais pas qu'il y avait un magasin d'alimentation ouvert au mois d'août !" 

- "Avec mon cousin, on est ouvert toute l'année !"

Le cousin, précisément, arrive de derrière la boutique. La trentaine, belle gueule aussi, des traits virils, même si son visage est glabre comme celui d'un ado. Vraiment, il va falloir que je vienne régulièrement faire mes courses chez eux si je veux les connaître plus intimement… Le plus jeune pèse mes fruits et mes légumes.

"Alors, le concombre… vous le prenez ?..."

- "Oui, bien sûr…"

Il se tourne vers son cousin et lui dit quelques mots en arabe. L'autre sourit. Je parie qu'il lui a raconté mon geste de tout à l'heure… Après tout, je m'en fous : c'est presque mieux s'ils savent à qui ils ont à faire ! Pendant que je paye, le jeunot questionne en arabe son cousin, qui semble par un geste de la main donner son accord. Alors, s'adressant à moi, le jeune me dit :

- "Si vous voulez, je vous porte vos courses  jusque chez vous… Comme ça, si un jour vous avez besoin que je vous livre à la maison, je connaîtrai votre adresse…"

Et, avant même que je réponde oui, le cousin, parlant en italien pour la première fois, déclare :

- "Dis, j'ai bien envie de fermer le magasin. Il est bientôt 20 heures. Comme c'est samedi, on n'aura plus personne. Je viens avec vous, comme ça, moi aussi, je pourrai vous livrer…" 

Les deux sourient discrètement. Moi aussi. On s'est compris.

"C'est gentil… j'ai de la bière au frais… on prendra un verre."

Il ne leur faut que quelques minutes pour éteindre, tirer le rideau métallique et fermer le magasin avec le gros cadenas. En chemin vers mon appartement on se présente : ils sont bien Marocains et cousins. Le plus jeune c'est Kacem, il a 19 ans, l'autre s'appelle Hassan, il a 28 ans. Célibataires tous les deux. D'apprendre que je le suis aussi les ravit :

- "C'est mieux comme ça... Avec les femmes, on n'a que des problèmes. Elles te trompent et pour l'amour c'est jamais le bon moment !" 

C'est Hassan qui vient de faire cette remarque misogyne. J'en profite pour leur demander :

- "Alors, comment vous faites, vous, étant célibataires pour… vous soulager ?"

 Kacem éclate de rire :

- "Nous les Marocains, ici en Italie, on n'a pas de problème ! Des fois avec les femmes, des fois avec les hommes… On s'amuse comme on veut ! Mais toi, t'es pas Italien ? On dirait à ton accent que tu es Français…"

-  "T'as deviné Hassan, t'es très observateur."

-  "Alors on parle en français si tu veux", propose Kacem.

On est déjà arrivés au pied de mon immeuble. Dans l'ascenseur, Kacem approche ses lèvres des miennes et me roule une pelle endiablée. Je me laisse faire bien entendu. Tout en m'embrassant il me touche le cul, me malaxe les fesses. Il est chaud le jeunot ! J'ai à peine refermé la porte de l'appartement derrière nous, que le jeune Marocain, posant les sachets des courses sur le sol, s'est à nouveau jeté sur moi et me roule une nouvelle pelle d'enfer. Sa langue fouille l'intérieur de ma bouche. Il me mordille les lèvres, aspire la langue pour que nous échangions les rôles. J'adore ce genre de préliminaires… Hassan s'est collé derrière moi et, par de petits coups de reins, se frotte contre mon cul pour bien me faire sentir le volume de son paquet. Je passe un bras derrière moi et saisis son énorme bosse à pleine main : c'est encore mou mais le volume est impressionnant ! J'essaye de reconnaître l'emplacement des couilles et celui de sa verge pour évaluer le gabarit de son outil ! C'est difficile : sa queue et ses boules doivent être comprimées dans son slip, empêchant un début d'érection. Mais mon geste l'a chauffé : Hassan me tire vers l'arrière, sûrement pour interrompre le baiser fougueux de son jeune cousin. Puis il appuie sur mes épaules afin que je me retrouve devant lui à genoux, le visage à hauteur de son paquet :

- "Allez, ouvre ton cadeau, ouvre ma braguette et montre-moi comment tu fais pour me faire durcir le zeb !"

 A part le mot "zeb" en arabe, mais que tout le monde connaît, il m'a parlé en français. Je crois qu'ils sont vraiment chauds les cousins… Ce soir ça va être ma fête ! Kacem a retiré son tee-shirt, baissé son bermuda puis le boxer qu'il porte dessous. Je comprends pourquoi, sous ces deux épaisseurs de tissu aucune bosse n'était apparente. Mais maintenant qu'il est totalement à poil je peux voir la véritable taille de son engin. Une vraie bite de Marocain, quoi ! Un chibre épais de plus de 20 cm, sur des couilles brillantes sans poils. D'ailleurs, à part une touffe frisée et bien noire au-dessus de sa verge, il a un corps lisse, bien bronzé, pas vraiment musclé mais bien dessiné. Un beau jeune mâle ! Et super chaud, avec ça… Alors que je n'ai même pas encore véritablement touché son sexe, une érection majuscule lui a donné volume et raideur. La différence de couleur due à la circoncision, donne à son gland un aspect encore plus tentateur. Je crois que je vais me régaler avec ce splendide instrument !

Pendant que je regarde la queue de Kacem, j'ai commencé à sucer le zeb d’Hassan. L'aîné des cousins est tout aussi réactif : en quelques secondes sa queue a doublé de longueur et de volume. Elle est moins longue que celle de Kacem mais plus grosse, légèrement aplatie et plus épaisse en son milieu. J'ai d'ailleurs du mal à la faire entrer dans ma bouche et je dois me contenter de la moitié de ce morceau de chair palpitant. Sa queue sent fort : il n'a pas pris de douche avant de m'accompagner chez moi et la température de ce mois d'août a dû le faire transpirer dans son slip. Mais j'aime bien cette odeur de bite : c'est le parfum des vrais males après tout… Je lâche un instant le zeb d’Hassan pour câliner celui de Kacem. Il est plus dur, plus long, un peu plus fin. Une tige sûrement plus facile à prendre dans le cul… A condition qu'il sache s'y prendre, le jeunot… J'espère qu'il n'est pas trop brutal comme certains jeunes Arabes qui, pour démontrer leur virilité, t'enfilent comme des sauvages, à cru, avec à la rigueur un peu de salive. De toute façon, j'ai à la maison tout ce qu'il faut : capotes grand format, gel, etc. En plus, j'y pense,  pour préparer le terrain et bien me dilater le fion, il n'aura qu'à se servir du concombre !

Kacem aime se faire sucer et gémit de plaisir. Pour faire patienter Hassan je continue à lui branler le zeb : mais ça coulisse mal. C'est le problème des bites circoncises : on ne peut pas décalotter le gland, il l'est déjà, donc bien faire glisser la peau sur le membre raide. Les Arabes, quand ils se branlent eux-mêmes, tournent la main autour de leur tige au lieu de se masturber du haut en bas de leur verge comme le font les garçons non coupés. Peut-être que la sensation est aussi jouissive puisqu’ils arrivent à l'orgasme ainsi. N'empêche, pour celui qui branle un Arabe, c'est pas toujours facile d'arriver à le faire éjaculer. Au bout d'un moment Hassan vient se placer à côté de son cousin : j'ai alors devant moi les deux queues brunes, raides, tendues vers mon visage. Je peux mieux les comparer : les deux cousins sont vraiment bien membrés, pas de doute ! Deux zebs vigoureux, d'une très bonne taille même s'ils ne sont pas aussi longs et épais que certaines queues d'Arabes ou de blacks que j'ai eu l'occasion de sucer...

Je suce leur bite alternativement, provocant chez Kacem toujours les mêmes gémissements et chez Hassan cette réflexion qu'il répète sans cesse :

- "Tu aimes bien le zeb, toi ! Continue, y'a rien de meilleur qu'un zeb de Marocain…"

De temps en temps, Kacem donne des coups de reins pour faire entrer toute sa queue dans ma bouche, mais il a beau pousser, je n'y arrive pas. C'est tout juste bon à me faire pleurer et à me donner des haut-le-cœur. Je lui demande de s'arrêter, il me fait trop mal… Comme on est toujours dans l'entrée de mon appart, eux debout, moi à genoux devant eux, je leur propose de passer dans ma chambre. On y sera mieux, sur le lit. Tout en les conduisant jusqu'à ma chambre, je leur montre la cuisine, la salle de bain, les WC et en profite pour me déshabiller. Jusqu'à présent j'avais seulement baissé mon pantalon sur mes genoux ainsi que mon slip descendu lui aussi sur mes cuisses par Hassan. Il l'avait fait dès les premières minutes et s'était excité sur mes fesses. Je crois que si je l'avais laissé faire il m'aurait sodomisé d'entrée ! D'ailleurs, depuis que j'ai bien vu la taille de sa bite, avec cette largeur impressionnante dans sa partie centrale, il n'est pas sûr que je me laisse pénétrer par lui… Avec un zeb pareil, il doit faire un mal de chien ! J'adore son gros pieu bronzé mais de là à me faire pilonner le cul avec... Ou alors, après une bonne préparation… avec lubrification et dilatation… par la queue de Kacem, par exemple…

C'est vrai, je dois le reconnaître, je préfère la bite du jeunot. Elle est lisse, bien longue, avec dessous deux superbes boules d'un rouge cuivré qui les rend encore plus appétissantes. Et toujours bien raide et dure sa tige : il bande comme un taureau ce salaud ! En plus ses gémissements, non seulement sont un encouragement inégalable, mais ils me mettent dans un état d'excitation rare. C'est la raison pour laquelle, sans vouloir faire une faveur à Kacem, je me démène plus sur sa bite et ses couilles que sur celles de son cousin. Je me régale : je lèche et gobe ses boules une par une. Elles brillent grâce à ma salive. J'adore !

Mes câlineries ne vont pas tarder à porter leurs fruits et c'est bien le jeunot qui, le premier, va lâcher son jus. Contrairement à ce que j'attendais, son sperme n'explose pas en plusieurs jets. C'est au contraire un écoulement fin et continu qui s'échappe de la  large fente de son gland. Un beau foutre blanc, épais, qui glisse tout le long se sa tige. Le spectacle est magnifique surtout que Kacem l'accompagne d'un râle très sonore. Il tend sa queue raide vers l'avant, vers ma bouche. Je sais ce qu'il veut : ma langue, remontant le long de sa verge, nettoie le beau filet de jute jusqu'au gland. Il va s'écouler encore pas mal de sperme pendant quelques secondes. Il avait les couilles bien pleines le jeunot ! Quant à Hassan, il semble dopé par ce qu'il vient de voir. Puisque je lèche le foutre de son cousin il n'a pas besoin de ma pipe pour s'exciter : il se branle tout seul à toute vitesse. Sa respiration, plus forte et plus rapide, dévoile le degré d'excitation auquel il est maintenant parvenu. Son énorme zeb pointé en direction de mon visage lâche soudain plusieurs jets, tendus, puissants. Son sperme atterrit sur ma gueule, mes joues, mon nez, mon front. Il asperge même la bite de Kacem que je m'employais à nettoyer.  Je lèche tout, j'adore le goût de leurs foutres mêlés, je n'arrive pas à voir de différence. Ça sent très fort la bite, les couilles, le sperme, le mâle, quoi ! C'est  tout simplement divin, énivrant…

Ils sont maintenant tous les deux couchés sur le dos, jambes écartées, bites encore grosses même si elles ont perdu de leur raideur. Kacem est le premier à parler :

- "Putain mec, tu suces super bien… Y'avait longtemps que j'avais pas joui comme çà ! Pas vrai, Hassan ? Il est meilleur que certaines femmes !"

 Hassan, sans doute trop crevé, approuve seulement par un signe de tête. Je leur réponds que je suis ravi qu'ils aient pris leur pied. Moi aussi j'ai bien aimé bien entendu. J'ai beaucoup apprécié sucer deux beaux Marocains… En revanche, je n’ai toujours pas joui. Je reste un peu sur ma faim… 

- "T'inquiète, la soirée n'est pas finie ! Maintenant on va s'occuper de ton petit cul. Tu vas voir, tu vas éjaculer sans même te toucher : rien qu'en jouissant du cul… Nous les cousins, on est des niqueurs professionnels ! Tu vas comprendre ce que c'est de se faire baiser par des mâles arabes ! On a des clients du magasin qui sont fous de nous, de nos queues, de nos corps… Ils nous payent pour qu'on les nique ! J'te jure ! Y'en a un même, il nous paye pour qu'on baise sa femme devant lui, par la chatte et par le cul… sérieux !"

Je propose qu'on fasse quand même une pause avant de passer à autre chose…

- "Il est presque neuf heures du soir, qu'est-ce que vous en pensez : on mange quelque chose et après on a encore toute la nuit pour s'amuser ?" 

Je propose qu'on se boive une bonne bière en attendant. Hassan me demande si j'ai des spaghettis :  il va nous les préparer, il cuisine super bien… L'idée me plaît et, sans perdre une minute, à poil tous les trois, on va dans la cuisine pour s'avaler une bière et préparer à bouffer…

- "Reprendre des forces, c'est indispensable si on veut passer une nuit de sexe inoubliable… Vous n'êtes pas de mon avis ?"

 

Et c'est bien ce qui va se passer…

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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