Dimanche 14 juin 7 14 /06 /Juin 14:52

Alors que je cherchais un petit job, un brave paysan du marché m'apprit qu’un de ses voisins embauchait pour le ramassage des cerises. J'étais justement en vacances et j'avais un excellent souvenir des vendanges l'automne dernier où j'avais coupé des grappes tandis que mon cul s'était rempli plusieurs fois...

Il s'agissait d'une grosse ferme et je devais rester huit jours. Vêtu simplement, j'étais néanmoins assez moulé. Mes fesses, qui avaient déjà fait baver pas mal de bites étaient bien apparentes, ma chemisette était largement ouverte et j'avais fait onduler légèrement mes boucles blondes, ce qui donnait à mon visage un air angélique et jeune, même plus jeune que mes 26 ans.

Je me présentai et demandai à voir le patron. On me désigna un grand bonhomme qui empilait des caissettes sur une charrette. Sa chemise entrouverte laissait entrevoir des biceps puissants et les poils de sa poitrine. Je lui donnai 40 balais. Il me dévisagea lorsque je me présentai. Il me dit que je serai nourri et logé et aurai 40 € par jour. L'un des gars me conduisit dans la chambre. C'était un dortoir d'une vingtaine de lits. Pendant que je me changeais, le gars s'assit sur un lit et ne me quitta pas des yeux.

— Tu es vraiment beau pour un gars ! Tu as un cul super bandant.

— Merci de tes compliments mais pour ta part je pense que tu n'as rien à m'envier. Et si ton cul aime les bites autant que le mien, peut-être que nous pourrons nous entendre...

Le gars était dans tous ses états. En partant, sa main frôla mes fesses.

— Je connais un endroit où nous serons très bien pour faire ça ce soir, dit-il.

— D'accord mais embrasse-moi.

À midi, nous nous retrouvâmes : dix-huit garçons, le patron et quelques femmes, autour d'une immense table. J'avais donc loisir de faire mon choix sur les mâles qui pourraient honorer mes fesses mais impossible : ils étaient tous désirables. Le patron apporta le vin et passa la main dans mes boucles. « Quelle belle chevelure ! » fit-il. Je constatai que j'avais été très remarqué par les gars et que j'avais éveillé la jalousie des quelques femelles...

J’avais rempli mes paniers et proposai de préparer les cageots pour l'expédition sur les différents marchés. Le patron accepta, me donnant une gratification supplémentaire. Je lui fis du beau travail et ses yeux pétillaient de reconnaissance. Il se posta derrière moi pendant mon travail et je sentis son souffle dans mon cou.

— Bouge pas, je hume tes cheveux... Il en profita pour m'embrasser dans le cou. Tu sais que tu es désirable comme une femme ? J'ai remarqué tes fesses, et ma bite est longue et large.

— Voyons patron et votre femme ?

— Ça n'empêche pas que j'aime les culs d'hommes ! Surtout quand ils sont beaux et bien ronds comme le tien. Touche ma bite, elle te plaira.

En effet, sa tige était comme il l'avait dit. Je la malaxai un peu, elle était contre mes fesses. J'avais le feu au cul au contact de cet engin.

— Je veux bien que tu m’encules, dis-je, mais les autres sont peut-être au courant et un bon spectacle serait chose inédite.

— Quoi ? Tu veux que je t'encule devant les autres ?

— Pourquoi pas, ainsi j'aurai peut-être plusieurs queue à la suite.

— Tu es vraiment une belle salope ! Mais je suis trop excité. D'accord, parles-en aux autres toi-même.

Je passai dans la salle de douches, une serviette autour des reins. Tous me regardaient en souriant et l'un deux, un gitan grand et bien fait, s'approcha de moi.

— Alors mignon, il paraît que tu veux de la bite ? J'ai rien contre, tu auras ta dose ce soir, surtout qu'on dirait que le patron te veut.

Il me caressa le cul par dessus ma serviette. Tous me regardaient, alors j’enlevai la serviette pour leur montrer ce cul tant convoité.

— Quel beau cul, on va le faire souffrir !

Le repas du soir se passa dans la joie. J'avais les sourires de tous, même quelques pieds sous la table.. Je constatai que le repas s'achevait avec hâte.

Je montai le dernier au dortoir avec le patron. J'ouvris la porte. Tous les gars étaient en slip, tous aussi désirables. Je proposai d'éteindre la lumière. Rapidement nu je m'allongeai sur un lit, les cuisses bien ouvertes. Le patron s'allongea sur moi tandis que les autres regardaient, les yeux écarquillés. J'embrassai le patron partout avant de l'emboucher. On me tripota le cul, un gars vint me sucer, le patron m'encula en râlant de plaisir. Autour de nous les mâles commençaient à se sucer, s'embrasser, etc. Le gitan attendait juste à nos côtés. Il voulait être le second à entrer en moi et me caressait les cheveux. Le jus du patron ne tarda pas à m'inonder. Il hurla comme une bête, donnant le signal que je n'allais pas tarder à être libre. Le patron m’embrassa les fesses en criant :

— Putain les gars, que c’est bon, encore mieux qu'une chatte ! J'y reviendrai tout à l'heure...

Le gitan me prit sur le dos, mes jambes autour de ses reins. Il me dit des mots doux dans sa langue tandis que sa queue me pilonait avec fougue. Lui aussi hurla quand son jus m'inonda les entrailles. Je reçus toutes les bites présentes puis le patron me prit à nouveau. Il me sodomisa sur le flanc. Les autres s'enculaient dans les quatre coins de la pièce, transformant le dortoir en baisodrome.

Le patron alla retrouver bobonne et je regagnai mon lit, nu. Paul, qui m'avait enculé avec un grand art, se coucha à mes côtés, me lécha les couilles, emboucha ma bite, recevant mon jus dans le gosier. Sa belle queue était encapotée. Lorsque j'eus déchargé et qu'il eût tout avalé, je lui tournai le dos et dirigeai sa bite raide entre mes miches pour la faire entrer dans mon anus toujours vide. Je l'avais bien à fond et il me bourra doucement en me mordant la nuque. Il jouit discrètement et resta un certain temps en moi. Son corps chaud s’endormit contre moi si bien que je me réveillai le lendemain dans ses bras. D'autres lits étaient occupés également par deux mâles.

Le soir, nous avons recommencé et ceci pendant toute la durée de la cueillette. Le patron me prit même en plein après-midi. Il aurait voulu que je reste à demeure mais c'était impossible. Heureusement Lyon n'est pas loin de son exploitation et je le reçois régulièrement chez moi où il me possède à loisir.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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