L'histoire de la semaine

Dimanche 2 juin 7 02 /06 /Juin 13:02

Voici le début d'une longue histoire en 26 épisodes que je vais vous faire découvrir. J'espère que vous allez l'apprécier autant qu'elle a pu me procurer du plaisir lorsque je l'ai découverte...

Après un démarrage très soft dans les premiers épisodes, nous irons vers un récit qui va aller crescendo vers le hard. Lecteur averti recommandé.

Bonne lecture !

 

 

Chapitre 1/26 : Redécouverte

- "Encore un virage et on arrive !" Nous lance mon père qui conduit la voiture sur cette route de montagne.


En effet, le village de LaHaut devient visible. Après 3h de voyage je suis heureux d'arriver dans notre chalet de montagne pour 2 semaines de vacances d'été. A coté de moi se trouve Chris, mon cousin de 15 ans. C'est un adolescent sympa et plein de vie, surtout en vacances. On se connaît depuis tout petit. C'est un très bon copain. On est très complice depuis toujours. Il m'accompagne pour ce séjour. Demain matin, mon frère de 18 ans nous rejoindra également.


Moi, Pascal, j'ai 17 ans. Je pratique régulièrement le vélo et la marche en montagne ce qui m'assure des jambes fermes et bien musclées. Je mesure 1.78m pour 70 kg.

La voiture stoppe devant notre chalet. Mon père ouvre la porte et tous les 3 nous débarquons les bagages et la nourriture. Il fait chaud en cette fin d'après midi. Tout le monde est en short et maillot. Portant un carton mon cousin me précède dans l'escalier. Je ne peux m'empêcher de regarder ses cuisses peu poilues et très bronzées. Il vient en effet de passer 10 jours dans les Landes à se faire bronzer sur la plage… Je ne suis pas intéressé par les garçons mais mon cousin et moi nous avons déjà joué à quelques petits jeux sexuels il y a 2 ans. Rien de bien important. Juste une branlette entre 2 jeunes gars... Mais j'avais pu alors le voir nu et toucher son sexe. Et par curiosité j'aimerai bien voir comment il a grandi depuis. Seulement, depuis 2 ans, l'occasion ne s'est pas présentée. Et je ne sais pas du tout s'il veut renouveler cette expérience. Moi en tout cas, j'aimerais bien…

Une fois le déchargement réalisé et le tout rangé, je monte par l'escalier intérieur à la chambre. Mon cousin me suit. Il n'y a qu'une seule chambre et nous allons la partager.
- "Je prends ce lit là !"
Et je jette mon duvet sur le lit près de la fenêtre.
- "Pas de problème !" Me répond Chris en s'affalant sur l'autre lit, à coté de la cloison.
Puis chacun range rapidement son sac et ses affaires.
- "Qui en premier pour la douche ? demandai-je.
- Peu importe, vas'y si tu veux, me répond Chris.
- OK !"
La douche se trouve dans la chambre. Je décide de me mettre en boxer ici, à coté du lit. Je quitte mon maillot et mon short puis je cherche ma trousse de toilette dans le sac. Je la trouve rapidement. Mon cousin, affalé sur son lit, me regarde distraitement. Je décide de tenter une petite expérience juste pour voir si Chris est curieux ou pas.
Je rentre dans la douche mais ne ferme pas la porte à clé. Je quitte mon boxer et me retrouve nu comme un ver. J'ouvre alors le jet rafraîchissant et me lave rapidement. Après quelques minutes je sors de la douche, ruisselant sur le tapis de bain. Je crie en direction de la porte :
- "Zut, j'ai oublié ma serviette ! Tu peux me l'amener Chris ?"
En réalité j'ai fait exprès. Chris va ainsi me voir nu. Il me répond :
- "Oui ! Ok je la pose devant la porte.
- Non ! Non ! Entre et donnes-la moi, je reste devant la douche sinon je vais tout inonder !
- Comme tu veux..."
Par pudeur sans doute, Chris frappe un petit coup avant d'entrer.
- "Entre !"
Il entre et me voit 2 m devant lui, entièrement nu et trempé. Je ne cache pas mon sexe et je tends les mains vers la serviette qu'il m'apporte. Je le vois regarder fixement mon sexe et faire un effort pour ne pas s'attarder sur cette partie de mon corps...
- "Tiens voila ! Bredouille-t il.
- Merci ! T'es sympa.
- De rien !"

Je vois son regard s'affoler entre mes yeux et mon sexe. Visiblement, lui aussi est curieux de me revoir nu depuis 2 ans. Je décide d'y aller un peu plus franchement.
- "Dis moi, c'est le fait de me voir nu qui te trouble ?"
Il devient tout de suite très rouge. Il est en effet très timide sur les choses du sexe. Déjà il y a 2 ans c'est moi qui avais pris l'initiative.
- "Euh…oui…j'ai pas l'habitude, tu sais.
- Oui…Oui…Mais bon, tu vois, je suis comme toi et comme tous les garçons je suppose…Toi aussi tu as du grandir depuis 2 ans. Tu te souviens ?"
Il bredouille toujours :
- "Oui…bien sur…euh…dis moi…"
Je lui tends la perche :
- "Oui vas-y je suis ton cousin, tu peux tout me dire ! Et je lui souris gentiment pour le mettre en confiance.
- Euh…je peux toucher ?...J'aimerais bien…tu sais je suis pas homo mais je voudrais juste voir comment t'a grandi…"
Je le regarde : il est rouge pivoine mais il a osé me demander. Je lui réponds avec une nonchalance étudiée pour ne pas marquer ma satisfaction de manière trop évidente :
- "Oui, bien sûr. Vas-y."
Il avance alors sa main vers mon sexe. Doucement et délicatement il se saisit de ma queue et la soulève. Il examine mon prépuce avec attention. Il se met à genoux devant moi et passe ensuite sa main sous mes bourses. Doucement il malaxe mes testicules et semble mesurer leur taille. Il faut dire que depuis 2 ans j'ai bien grandi, en taille et en volume. Maintenant à 17 ans j'ai un sexe adulte de taille normale comme j'ai pu le constater à la piscine en comparant discrètement avec ceux des copains dans les vestiaires et sous les douches communes.
- "Euh…Je peux essayer de te décalotter ?"
Houla, mon cousin s'enhardit ! Surpris, je lui réponds :
- "Oui…Mais doucement, s'il te plait."
Il se saisit alors de ma queue et avec 2 doigts me retire le prépuce. Mon gland rouge vif apparaît alors. Il semble examiner avec attention le bout de ma bite, puis il me recalotte et recommence l'opération 2 fois. Je trouve cela bizarre. Je lui demande :
- "Hum…Pourquoi fais-tu cela ?
- Euh…C'est-à-dire…Rien rien…J'ai lu que cela procure beaucoup de plaisir…"
A son ton peu assuré je devine qu'il me ment. Je décide de ne pas chercher à en savoir plus pour le moment. Il se redresse brusquement, me bredouille un vague "Merci" et sort rapidement de la salle de bain.
Je me sèche alors, non sans penser que l'attitude de mon cousin est étrange. Je retourne finalement dans la chambre avec juste la serviette autour de ma taille.
- "A ton tour !
- Ok, merci."
Et sans me regarder il se saisit de sa serviette et rentre dans la salle de bain. Je l'entends fermer le verrou derrière lui. Visiblement il ne souhaite pas se montrer nu devant moi.
Tout en m'habillant je réfléchis à tout cela, à son comportement. Visiblement il me cache quelque chose ou souhaite me demander un truc mais sa timidité l'empêche de se confier...
Après 10 mn il sort de sa douche. Il est juste vêtu de son boxer. Il se met près de son lit et, se retournant, finit de se sécher. Je regarde alors ses fesses moulées dans le boxer. Elles sont très fermes et rebondies. Puis il met son short et se retourne enfin vers moi, mais son regard semble m'éviter et il est gêné. Je décide d'en savoir plus :
- "Tu sais, si tu as un problème tu peux m'en parler...
- Euh…non…non…Tout va bien, je t'assure !"

Mais au son de sa voix je sens bien qu'il me ment.
- "Tu es sûr ? Tu es vraiment sûr ?"

Je le regarde droit dans les yeux. Je le vois alors rougir davantage. Il semble hésiter, puis se lance avec difficultés :
- "Euh…Tu me promets que tu diras rien à mes parents ?
- Oui, à personne. Je te le promets."
Il me confie alors, sans oser me regarder franchement :
- "Euh…C'est pas facile à dire et tu es le premier à qui j'en parle. En fait…euh…j'ai du mal à décalotter quand je bande et ça me fait parfois mal…"
Je comprends mieux à présent sa gêne. Pas facile pour un jeune de 15 ans d'exposer ce problème ! Je tente de le rassurer. Je prends un ton très professionnel alors que je n'y connais pas grand-chose en fait :
- "Tu sais, c'est sans doute pas grave, ça doit être le prépuce qui est trop serré."
J'ai en effet lu quelques textes sur le sujet sur Internet. Je poursuis :
- "Euh…Si tu veux je peux regarder. Pour comparer avec moi.
- Oui, tu as raison après tout. Merci.
- Ok, ben…Baisse ton boxer alors."
Il hésite, met doucement une main de chaque coté de son vêtement et doucement baisse son boxer jusqu'aux genoux. C'est la première fois que je le revois nu depuis 2 ans. Il a bien grandi. Son sexe au repos est maintenant plus épais et plus long. Son prépuce recouvre entièrement le gland qui n'est donc pas visible. Ses bourses sont de belle taille. Il n'a visiblement pas fini sa puberté. Son système pileux est peu développé, seule une touffe de poils noirs surplombe sa queue. Ses cuisses sont seulement imberbes et très bronzées. Son bas ventre est ferme sans être spécialement musclé.
Il est un peu honteux de se montrer ainsi devant moi et ne sait pas trop quoi faire de ses mains. Je m'assois sur le lit et lui demande d'approcher. Ce qu'il fait à petit pas, embarrassé par son boxer sur les genoux.
Je prends alors mon rôle de conseiller au sérieux :
- "Ok, je vais regarder."
Je me penche alors vers lui et, prenant sa queue d'une main, je décalotte alors doucement mon cousin. Au repos le prépuce coulisse bien et je ne trouve rien de particulier.
- "Tu vois, au repos tout est normal. Je le rassure.
- Oui, mais…euh…quand je bande…
- Ah ! Ben …montre moi alors."
Il rougit et me regarde.
- "Euh…Je vais pas oser là, devant toi…Je peux pas."
Comme il y a 2 ans il va falloir que je prenne l'initiative. Je lui propose :
- "Ouais, je comprends. Si tu veux c'est moi qui vais te branler. Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux. Et laisse-toi faire. Ce sera plus simple."
Sans rien dire et prenant son courage à 2 mains, il s'allonge sur le lit, sur le dos, devant moi. Il ferme les yeux. Il semble toutefois un peu tendu et pas vraiment à l'aise.
Son boxer lui maintient les jambes serrées. Je décide de lui enlever.
- "Je vais retirer ton boxer. Soulève les jambes."
Docilement, il s'exécute et je retire ce dernier vêtement. Je lui écarte légèrement les jambes, il se laisse faire. Maintenant, sous les bourses, je distingue la raie des fesses toute blanche et qui semble complètement imberbe.
Je saisis alors ses bourses avec ma main gauche et, de mon autre main, je commence à lui caresser le torse et descend rapidement jusqu'au nombril.
Je malaxe ses couilles tout en le caressant. Je l'examine alors davantage. Il est très bronzé. La marque de son maillot de bain est très visible. Cette zone blanche contraste beaucoup avec le reste du corps. La limite du bronzage est très nette sur son ventre. Puis je remonte mon regard vers le haut de son corps. Son nombril et son torse sont parfaitement absents de tout poil. Comme il a les bras écartés, je distingue une petite touffe sous les aisselles. Puis mes yeux se portent sur son visage. Il garde les yeux fermés et semble très concentré. Il semble apprécier mes efforts... Je poursuis mes caresses et me rapproche doucement de sa queue. Petit à petit son organe prend du volume. Mais, comme il me l'a dit, le gland ne se dégage pas tout seul. Avec 2 doigts alors je retrousse son prépuce qui vient un peu difficilement. Le gland rouge vif et bien humide apparaît. Je le vois esquisser une petite grimace, malgré ma délicatesse apportée dans ce mouvement.
- "Je t'ai fait mal ?
- Un peu.
- Ca te tire en fait ?
- Euh…oui."
Je ne voudrais pas lui faire mal et lui demande donc :
- "Tu veux que je continue ?
- Oh oui ! il soupire : C'est si bon !"
Je souris. Je le comprends : je suis en train de le branler ! Il trouve cela agréable et c'est bien normal ! Surtout à son âge où les hormones sont en pleine activité...
Il semble d'ailleurs maintenant beaucoup moins tendu et s'étale sans honte sur le lit, exposé à mon regard et à mes caresses. Son visage est parfaitement détendu à présent.
Gardant ma main gauche sous ses bourses, ma main droite se saisit de sa verge et je commence doucement un mouvement de va et vient. Je joue avec le prépuce, masquant et démasquant le gland. Je vais doucement. Mais finalement, avec l'aide de son précum, ça coulisse bien. Peut-être un peu plus dur que pour moi mais je ne pense pas que ce soit grave. De plus il ne montre aucun signe de douleur.
C'est maintenant une belle tige d'environ 14 cm qui se dresse devant moi dans ma main. Ses bourses ont également durcies et pris du volume. Il écarte davantage les jambes et semble avoir oublié toute pudeur. Son bassin ondule légèrement. Il ne va pas tarder à jouir. Ce qu'il me confirme :
- "Ah…Attention…Je vais venir…"
Je ne dis rien mais je m'écarte légèrement de l'axe de tir. Après encore quelques mouvements de ma part sur sa bite, il s'arque brusquement, ses reins se décollent du lit et jaillit alors de son méat 3 jets abondants de sperme qui finissent sur le parquet. Visiblement, de ce coté-là, mon cousin se porte bien!
- "Ah ! Merci Pascal, c'était super !
- Tu vois, finalement, je pense que t'as rien de grave.

- Oui, merci Cousin !"
Il est à présent pleinement rassuré sur le bon fonctionnement de sa queue. Quand à moi je suis content de lui avoir procuré du plaisir. Et tout cela m'a provoqué une grosse érection. J'ai bien envie de me soulager aussi. Tout entreprenant maintenant Chris, après un regard appuyé sur mon entrejambe, comprend ma situation et me propose :
- "Euh…tu veux que je te rende la pareille ?"
J'acquiesce en le regardant et en hochant d'un signe de tête. Après tout, se faire masturber par mon jeune et joli cousin doit être bien agréable. Et puis cela nous mettra à égalité. Je m'allonge donc sur le lit, sur le dos et, prenant sa place je me prépare à me laisser faire. Il se met debout. Il est toujours nu et maintenant son sexe est revenu au repos et pend entre ses jambes.
- "Tu triches ! Tu es tout habillé !
- Et bien…vas-y ! Je me laisse faire.
Il se met à califourchon sur moi, une jambe de chaque coté. Sa bite est ainsi posée sur mon ventre, mais il s'en moque. Il semble très à l'aise dans sa position de domination sur moi. Il me prend les bras et les retire derrière ma tête. Puis il me retire mon tee-shirt. Je lui facilite ce retrait. Je suis maintenant torse nu sous lui. Il se recule et se met au niveau de mes genoux puis glisse une main de chaque coté de mon short. Je ferme à mon tour les yeux et me détends complètement. Je lui signifie ainsi ma soumission et mon accord. Doucement il me baisse le short. Je soulève mes fesses pour lui permette le passage de mon vêtement. Mon boxer moulant se découvre progressivement et il voit alors clairement que je bande déjà fortement. En effet, une barre déforme mon devant et mon gland à découvert dépasse légèrement du boxer sur mon bas ventre…
- "Wouah…tu es déjà excité, je vois !"
Je ne dis rien et le laisse faire. Le short est maintenant complètement retiré. A son tour le boxer y passe et je me retrouve à nouveau nu devant lui. Il caresse alors la fine ligne de poil qui me descend du nombril au pubis. Et effleure au passage ma queue. Ce contact m'électrise et me procure des frissons de plaisirs. Je le trouve très entreprenant maintenant. Il est peut-être timide pour en parler mais pas pour pratiquer ! Ou alors il apprend vite !
Il met ses 2 mains sur le coté droit sous mon dos et me fait comprendre qu'il veut que je me retourne sur le ventre. Je ne comprends pas vraiment ses intentions. Il me surprend un peu sur ce coup-çi. Il me dit alors :
- "Retournes-toi et mets-toi sur le ventre s'il te plait."
Je décide de jouer son jeu. Il semble avoir une idée en tête. Je me retourne et me retrouve donc sur le ventre. Je mets ma tête sur l'oreiller entre mes bras. Je ne me suis jamais exposé ainsi à lui. Mais là, dans le feu de l'action, cette idée m'excite. A l'idée que mon cul est devant lui je bande davantage. Mon sexe est pressé sous mon ventre et devient encore plus ferme. J'écarte un peu les jambes. Je lui offre une vue parfaite sur mes fesses. Il commence alors à me caresser le dos. Petit à petit ses caresses descendent vers mon cul et ses mains effleurent de plus en plus souvent mes globes fessiers. C'est très agréable. Je me soumets totalement à lui. J'écarte un peu les jambes. J'ai maintenant envie qu'il me caresse de manière plus intime encore... Il le comprend et ses doigts pénètrent de plus en plus dans ma raie. Jamais encore je ne me suis fais caresser ainsi... Je suis surpris de trouver du plaisir à m'exposer. Je ne peux m'empêcher d'écarter davantage les jambes. A présent ma raie est entièrement ouverte et il doit voir mon anus. Je suis excité comme jamais. Il met alors son majeur sur ma nuque, appuie un peu et commence à le descendre lentement vers le bas de mon dos. Je devine ce qui va se passer. Il ondule lentement son doigt sur ma colonne vertébrale et finit par se retrouver en bas du dos. Sans s'arrêter il pénètre dans ma raie, suit son fond et m'effleure l'anus avant de stopper sous mes bourses. Je me cambre légèrement pour lui faciliter le passage. J'adore ce contact mouvant qui m'électrise tout du long. Il recommence cette descente sans fin deux fois. A chaque fois, lors du passage sur mon anus, son doigt appuie davantage. Jamais une main étrangère ne m'a touché ici. Mais lui c'est mon cousin, c'est pas un étranger, il fait partie de ma famille et j'adore ce contact !
Ses doigts tournent maintenant uniquement autour de mon trou. Il semble attendre un signal de ma part. Je lui confirme :
- "Oui…mais doucement s'il te plait."

Il n'attendait que cela. Mais où donc a-t-il appris celà ? Car il semble habitué à prodiguer ce genre de caresse. Décidément, depuis 2 ans mon cousin a bien changé ! Et il me cachait bien son jeu…

 

La suite : Un chalet en montagne - Episode 2/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 26 mai 7 26 /05 /Mai 14:30

 

Du plus loin que je me souvienne, que ce soit à la maison, par ma mère ou mes frères et soeurs, ou à l'école par mes camarades filles ou garçons, on a toujours aimé regarder ou toucher mes fesses...


A la maison, après le bain du soir, mes parents me laissaient vagabonder dans l'appartement cul nu. Ma grande soeur me couchait très souvent à plat ventre sur ses genoux, baissait mon slip et embrassait affectueusement mes petites fesses. Même mes frères y promenaient leurs mains. Au jardin d'enfant, les puéricultrices se débrouillaient toujours pour me mettre les fesses à l'air. Elles s'extasiaient : - Oh ! Quelles jolies fesses !


Plus tard, à l'école, pendant les cours de gym, il y en avait toujours un ou une, par jeu, qui baissait mon short. A la piscine n'en parlons pas : ils avaient même inventé un jeu. J'étais debout face à l'eau et deux élèves passaient derrière moi en silence. Pour réussir, ils devaient synchroniser leurs gestes. L'un attrapait mon maillot, l'autre me poussait dans l'eau. En général, je tombais dans la piscine et le maillot restait dans la main du pousseur. Celui-ci se dépêchait de le faire disparaître. Le maître-nageur me repêchait toujours nu comme un ver, sous les rires narquois des autres élèves...

 

En réalité, j'attendais ces attaques. Montrer mes fesses m'a toujours apporté du plaisir. Les caresses à cet endroit de mon anatomie, c'était, et c'est encore le nirvana. Pendant l'adolescence, j'ai appris à dormir nu. A la colonie de vacances, le soir, quand le surveillant était endormi, les autres colons venaient me subtiliser draps et couvertures et m'arrachaient mon slip pour m'obliger à rester nu. Certains revenaient même quand les autres dormaient pour toucher ou caresser mes fesses... Plus tard, ils iraient plus loin...


A force de contacts, je commençais à réagir. Mon sexe se dressait. Les plus grands me rendirent visite. D'abord par curiosité, puis pour se soulager. C'est d'ailleurs en colonie que j'ai sucé ma première bite... Toujours nu sur mon lit, le gars s'est approché. Il était nu lui aussi. Ma première réaction fut la peur. Il était plus grand et plus fort que moi, mais surtout sa bite était bien plus grosse que la mienne et se dressait, menaçante, devant moi. Le garçon la prit à pleine main et s'approcha de moi. Il me saisit par les cheveux et me fit m'asseoir. Il approcha sa bite près de ma bouche et la posa sur mes lèvres. Je ne pouvais pas m'échapper. Il était la terreur de la colonie. Je ne pouvais attendre aucune aide de la part des autres. Ils regardaient tous, excités, la bite entrer dans ma bouche. Le costaud mit alors ses mains sur ma nuque et se mit à onduler des hanches faisant glisser sa bite entre mes lèvres. Encore plus raide qu'au début, il se retira et me prit par la main. Il m'emmena vers les toilettes. En chemin, il s'aperçut que les autres garçons ne dormaient pas. Il fit demi-tour et rejoignit mon lit. Il me fit monter à genoux au bas du lit. Il me fit asseoir sur mes talons et me coucher sur les cuisses. Dans cette position, j'avais les fesses en l'air. De deux doigts il écarta mes fesses et posa sa bite sur mon petit trou. Il passa son bras gauche autour de ma taille et empoigna sa bite de la main droite pour maintenir le gland sur le trou. Il commença à pousser puissamment. Le gland pénêtra difficilement. Il continua de pousser jusqu'à ce que le gland franchisse le passage. Pendant toute l'opération mon corps s'était raidi et je transpirai sous la douleur. Mon corps était luisant. Il me laissa environ une minute de répit. La douleur s'estompa. Je n'avais pas gémi, encore moins crié. J'avais voulu montrer à tous que je n'avais pas pu me soustraire mais n'avait pas voulu non plus me soumettre. J'étais sûr que les autres garçons étaient tous là, à me regarder me faire sodomiser. Excités, goguenards ou envieux même... Je ne saurai jamais. Obnubilé par ces pensées, je fus réveillé par l'occupant de mon cul quand il commença à remuer en moi. Sa bite entrait et sortait comme un piston. Au moment de jouir, il eut un sursaut et enfonça sa bite entièrement dans mon cul. Son pubis était collé à mes fesses et ses boules chatouillaient mes poils quand je sentis des jets liquides et chauds inonder l'intérieur de mon cul.


A la suite de cette nuit mémorable, j'ai insisté chaque année pour retourner en colonie. J'ai même présenté mon agresseur d'une nuit à mes parents comme étant mon meilleur copain. Il m'a même enculé plusieurs fois à domicile sans que mes parents ne sachent rien. J'ai même passé plusieurs nuits chez lui. Il avait une chambre rien que pour lui. La porte fermée, il me chevauchait sans retenue...


Maintenant, je hante les cinémas pornos, à la recherche de la suprème caresse sur la peau de mon cul nu.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 19 mai 7 19 /05 /Mai 13:51

J'adore me faire goder et ça, mon copain le sait. À force d'en acheter, nous avons fini par avoir une petite collection de godes. Nous en avons 8 en tout, de toutes les sortes, de toutes les dimensions, plus larges ou plus longs les uns que les autres. Mon copain qui, à ses heures est actif, préfère me gorger le cul d'un gode ou même de plusieurs. Je ne suis jamais contre, mais j'aime aussi que ce soit moi qui le gode, même si souvent, lui, il refuse.
L'histoire que je voulais vous raconter s'est passée l'été dernier. Nous étions tous les deux en vacances, mais n'étions pas partis, préférant rester dans cette chère capitale qui, par temps d'août, est encore plus magnifique. Ce matin-là, à peine réveillés, nous avions, comme d'habitude, la queue dressée sous les draps. Cette fois-ci, c'est moi qui me suis levé pour aller préparer le café. Quand je suis revenu avec les tasses, Emmanuel s'était assis au bout du lit, déjà une cigarette au bec. Voyant ma queue toujours fermement dressée, il me dit :
- Dis-moi, c'est pas la semaine dernière que nous avons fait le pari que tu ne prendrais pas les trois godes noirs dans le cul ???
Trop affairé à essayer de poser correctement le plateau sur le lit sans que rien ne se renverse, je devais lui faire répéter.
- Allez, fais pas le malin … Tu as très bien entendu … Dis plutôt que tu as peur !!!
Je ne répondis pas, préférant approcher mes fesses et les tendre juste au-dessus de son nez. Par moments, je me sens très exhibitionniste et là, je pouvais voir la pose obscène que j'avais prise en me matant dans la grande glace que nous avons dans la chambre. Emmanuel tendit son majeur vers mon trou du cul pour observer dans quel état il était. Il n'a pas eu à faire vraiment l'effort de pousser quand son doigt s'est infiltré doucement entre mes fesses. J'avais la moitié de son doigt dans mon cul et ça ne me gênait pas du tout.
Brusquement, Emmanuel a retiré son doigt et a sauté du lit pour se diriger vers le placard. Dès que je l'ai vu s'accroupir et farfouiller dans l'étagère du bas, j'ai tout de suite compris qu'il était parti chercher un gode … Ou des godes ! J'ai vu revenir Emmanuel tenant fièrement une grande pochette dans laquelle nous mettons tous nos godes. Il arborait un sourire en coin qui laissait présager d'une partie de godes enjouée. Il a vidé la poche sur le lit puis, a trié les godes en faisant deux tas. D'un côté les trois noirs, de l'autre tous les autres. Comme un gamin qui a trié ses jouets, il tourna la tête vers moi et me désigna les trois qu'il avait choisi en disant :
- Ces trois-là, tu as fait le pari de les prendre en même temps …
Même si j'étais très excité, ça ne me faisait pas tellement envie. J'aurais bien préféré qu'Emmanuel me suce comme il sait si bien le faire. Mais, gardant ma fierté, je me suis rapproché d'Emmanuel, ai penché une main vers un des trois godes pour le porter directement vers ma bouche. Je le suçais trois secondes afin qu'il puisse glisser dans mon cul sans me faire trop de mal. Je me suis aussitôt après accroupi sur le lit et, tenant le gode vertical sous mes fesses, je me suis assis dessus jusqu'à ce qu'il glisse jusqu'au fond de mon cul. Me regardant comme si je venais d'accomplir un exploit, Emmanuel finit par me dire :
- Eh bien, au deuxième maintenant !
J'approchais le second gode de mon entre-fesses, il me proposa de descendre du lit afin que le gode ne dérape pas comme il risquerait de le faire sur le lit. De nouveau accroupi, je positionnai le gode presque dans le prolongement du premier, tout en prenant beaucoup de plaisir à me regarder dans la glace. J'ai pu ainsi suivre l'entrée presque pas pénible je l'avoue, du deuxième gode. Je savais que mon cul était hyper dilaté, mais je n'avais pas réellement mal ou tout du moins, je laissais dissiper la petite douleur par des gémissements rauques. Emmanuel, excité et impatient d'en être à l'introduction du troisième gode me tendit celui-ci à la bouche. Excité comme je l'étais, je me mis à le sucer comme s'il s'agissait de la pine d'Emmanuel
- Allez, le troisième, maintenant !!! me dit-il
J'hésitais vraiment. Pour finir, j'ai préféré revenir me mettre sur le lit, mais sur le dos cette fois, et les jambes en l'air. C'était à lui de me mettre le troisième gode ou plutôt essayer, car malgré tous ses efforts, Emmanuel n'est jamais parvenu à introduire ce dernier gode. J'avais perdu … mon pari.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 12 mai 7 12 /05 /Mai 11:00

Episode précédent :   Délire entre potes - Episode 2/3

Ensuite vient le tour de Lionel. Sa bite est devant moi, tendue, redressée un peu comme celle de Frédéric tout à l'heure. Son gland dépasse aussi du prépuce. Ses 14cm pointent vers le haut. Le fait d'avoir vu ses potes se vider dans ma bouche depuis plus d'une heure l'a excité encore plus que les autres. Il attend son tour avec impatience.

— Moi, tu vas commencer par me lécher le cul puis tu passeras à ma bite. Après je veux jouir comme jamais, alors mets-y tout ton coeur !

Il se tourne, me présente ses fesses.

— Allez, lèche-moi la fente et le trou ! Introduis ta langue !

Je lèche ses fesses puis je passe la langue dans sa raie. Il a transpiré, l'odeur est forte. Il attrape ses fesses avec ses deux mains, les écarte aux maximum ce qui dégage complètement son oeillet.

— Introduis ta langue et nettoie-moi le cul !

J'obéis. Je lui mets la langue aussi loin que je peux puis je lèche son cul. Enfin il se retourne, une goutte de sperme coule déjà de son gland. Il bande tellement que le gland est sorti tout seul du prépuce. Je commence par lui lécher la goutte de foutre sur le gland, je lui englobe après le bout avec la bouche tout en faisant rouler ma langue. Il gémit. Je le sors de ma bouche puis je descends le long de sa queue jusqu'aux couilles. Je les lèche, les aspire. Il me force à reprendre sa bite, me l'introduit dans la bouche puis il positionne son bout entre mes lèvres et il se branle la tige pendant que je suce son gland. Il me dit de le lécher sur toute sa longueur, il veut sentir uniquement ma langue du gland aux couilles et vice versa. Après 5 minutes de ce traitement, il me met ses 14cm entièrement en bouche comme Frédéric. Il plaque son ventre sur mon nez.  J'ai le visage enfoui dans ses poils. Il arrête de bouger, il me maintient la tête sans plus faire un seul mouvement. Je reste ainsi 30 secondes puis je sens son sexe durcir encore plus et je reçois son foutre directement au fond de la gorge. J'avale tout. Il me maintient et je déglutis pour ne pas m'étouffer. Lui aussi me maintient jusqu'à ce qu'il débande et c'est une bite molle qui ressort de ma bouche ce qui ne m'empêche pas de devoir la lécher encore pour la nettoyer entièrement.

Il me reste Mikaël et Alexandre à faire jouir. J'ai la bouche pâteuse, j'ai bu déjà pas mal de foutre. D'ailleurs, je trouve que chacun a un goût et une texture différents. Je commence à savoir de quoi je parle : entre le sperme de mes potes et maintenant celui des mes ennemis, j'ai de quoi comparer !

Je passe donc à Mikaël. Il a une belle bite de 15cm. C'est le plus mignon de leur bande et en fait, lui, je suis content de devoir le sucer. C'est le seul que je connais mieux que les autres. En effet, nos pères sont copains. On a eu l'occasion plus jeunes de se voir chez lui ou chez moi quand nos parents se recevaient et en plus on a été dans la même classe en primaire. Mais on ne s'était jamais vu à poil... Je me rappelle nos cours de gym et j'aimais déjà voir la bosse que faisait sa bite dans son survêt mais on en n'avait jamais parlé. Aujourd'hui je suis nu à genoux devant lui. Il mesure 1m70, il a 15 ans comme moi, sa bite est droite mais lui il bande mou. Je pense que la situation le gêne un peu. C'est vrai que je pourrais lui faire avoir des ennuis mais pour le moment, c'est plutôt moi qui en ai ! Il me regarde et prend le dessus :

— Alors, tu te rappelles à l'école quand tu regardais ma queue en douce ?

— Quoi ? Ça va pas !

— Oh si ! En gym dans les vestiaires, je voyais bien que tu essayais de mater ma queue à travers les vêtements. Et bien aujourd'hui tu peux en profiter : tu l'as devant les yeux et sans aucun vêtement. Profites-en bien ! Regarde-moi bien.

— C'est pas vrai, je t'ai jamais mâté, sinon j'aurais pu le faire ailleurs qu'à l'école !

— Oui mais il n'y a qu'à l'école que tu me voyais en slip. Maintenant assez discuté : regarde ma queue mais avant de me sucer et en même temps aussi, tu vas me caresser le corps, les pectoraux, tout le corps. Tes caresses devront m'exciter autant que ta bouche...

Je me rapproche de lui toujours à genoux. Je lui passe les mains sous son tee-shirt, je lui caresse le ventre, les poils du pubis puis je remonte vers ses seins. Je les caresse, il sont tout durs. Sa queue est contre mon visage, il la frotte sur mes joues, mon nez, mon front. En fait pendant que mes mains sont occupées à lui caresser le buste, il prend sa bite en main, se décalotte et me la frotte sur tout le visage. Il commence, tout en la tenant, à me l'introduire en bouche. Il se branle avec juste son gland dans ma bouche. Il ressort, me demande de lui lécher la bite sur toute sa longueur, de dessous les couilles jusqu'au gland. Je dois passer ma langue dans son méat, il est déjà humide. Tout en continuant à lui caresser le corps, c'est lui qui guide son sexe là où il veut sentir ma bouche. Son jeu continue plus de 10 minutes pendant que je suis obligé de sentir sa queue partout y compris dans mes cheveux, même sur mes yeux.

Puis il se replace dans ma bouche, me demande de lui lécher le frein. Il veut jouir uniquement par la caresse de ma langue sur son frein et son gland. Quand il est trop excité, il m'enfonce ses 15cm au fond de la bouche puis il ressort pour que je recommence uniquement sur son gland. Il me force à le sucer au moins deux fois plus longtemps que tous les autres... Il se retient un maximum. Enfin il me crache son sperme blanc et assez épais dans la bouche. Je le reçois sur la langue et je dois m'appliquer pour ne pas en perdre une goutte. Quand il a fini d'éjaculer il me rentre son membre entièrement dans la bouche, se rebranle 5 minutes avec mes lèvres à la place de ses mains puis il ressort sa bite et me repasse son gland humide de salive et de foutre sur tout le visage. Il veut réellement m'humilier et il me force à le regarder dans les yeux pendant qu'il la frotte sur mon visage. Il me passe son gland sur la bouche, sur les lèvres, sur les joues, sur le front. Il redescend sur mon nez puis ma bouche. Il se réintroduit enfin dans ma bouche et rejute un peu de sperme que je dois encore boire.

Après avoir bien joui de moi, il reste Alexandre. C'est le chef et il veut que je m'applique à fond. Lui me donne encore un autre ordre auquel je ne m'attends pas :

— Défais mes baskets, enlève mes chaussettes et lèche mes pieds. Tu passes ta langue partout : entre mes orteils, sur mes talons, sous mes pieds. Je veux que tu me laves entièrement les deux pieds avec ta langue.

Je me penche, enlève ses chaussures. Il sent assez fort, j'enlève ses chaussettes. Je m'applique à passer ma langue partout comme il me l'a ordonné. Je fais ça plus de 5 minutes à chaque pied.

— Allez, maintenant remonte ta langue entre mes jambes, ma queue attend ta bouche !

Je remonte, je lui lèche les couilles puis sa bite en entier. Ensuite il s'introduit aussi loin qu'il peut. Il me lime la bouche. Puis il ressort, se retourne et me dit de lui laver le cul. J'obéis. Je nettoies ses fesses puis j'introduis ma langue dans son cul. Je remue autant que je peux. Il gémit de plaisir. Il se retourne et me redonne son dard à sucer. Il jouit une grosse quantité de foutre dans ma bouche.

Pendant tout ce temps, les premiers que j'ai fait jouir rebandent devant le spectacle, alors Mikaël propose :

— Puisqu'on a encore du foutre, on va se branler sur ton visage. Mets les bras le long du corps et ne bouge plus. Chaque fois que l'un d'entre nous t'appelle, tu te retournes face à lui et tu restes le visage devant sa queue.

Ils se prennent tous la bite, commencent à s'astiquer. C'est Lionel qui m'appelle le premier. Je me mets face à lui et je reçois son foutre sur tout le visage. Puis Frédéric m'appelle à son tour, je suis à peine face à sa queue que je vois son sperme sortir et venir s'étaler sur mes joues et mon nez. Puis Jérôme me dit de venir, je me retourne et je prends son foutre dans la gueule. En même temps que lui, Jérémy envoie la purée et j'en prends dans les cheveux et le cou. Enfin Mikaël et Alexandre me font mettre entre eux deux. Ils m'aspergent chacun un côté du visage.

Je suis à genoux devant eux. Ils me regardent le visage dégoulinant de foutre. Mikaël qui prend maintenant les initiatives me dit :

— Maintenant, tu ramasses tout ce que tu peux avec tes mains et tu les lèches !

J'obéis et ce sont mes mains gluantes de leurs foutres que je nettoie maintenant, doigt après doigt.

— Bon à toi de jouir maintenant, dit Mikaël. Tu te relèves, tu te branles, tu récupères ton sperme dans tes mains et tu bois. Si tu en perds une goutte, on te baise !

Je me relève, me branle et, comme demandé, je récupère et bois mon propre sperme.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 5 mai 7 05 /05 /Mai 11:00

Episode précédent : Délire entre potes - Episode 1/3

Mais, dans l'autre village, une bande adverse nous cherche et, lorsque mes copains et moi ne nous donnons pas du plaisir, on se bat avec eux. En fait, ce sont des garçons que l'on connaît depuis toujours mais entre nous c'est un peu comme dans le film «La guerre des boutons».

Un jour, je reviens par le car. Deux des gars de l'autre bande sont là et pendant tout le trajet ils parlent, me regardent et je sais qu'ils complotent à mon sujet. En effet, à notre arrêt, les autres gars de leur bande sont là et je sais que seul contre 6 je n'ai aucune chance. Alors je sors du car et pars vite en courant. Mais ils s'y attendent et les deux qui étaient dans le car avec moi sortent par l'autre porte et me bloquent.

— Mais non Bastien, te sauve pas, de toute façon t'as aucune chance. On est trop nombreux alors suis nous...

— Ok c'est bon, cassez-moi la gueule ! À 6 vous devriez y arriver, 6 contre 1, ça ira !

— Oui mais tu vois, c'est pas ta gueule qui va prendre, c'est ton honneur !

— Qu'est-ce que tu veux dire ?

— Allez, viens avec nous dans notre domaine, tu verras bien...

J'ai peur. Mon honneur : qu'ont-ils voulu dire ? Jusqu'à maintenant on s'est battu, du sang a coulé mais jamais il n'y a rien eu de fait pour dégrader l'honneur de quiconque. Pourquoi ont-ils dit ça ? Ils ne peuvent pas savoir ce qu'on fait avec mes copains. Je ne comprends pas ce qu'ils veulent. Je n'ose pas comprendre serait plus juste...

Arrivé dans leur «domaine», ils me lâchent. Je ne peux pas me sauver, ils ont fermé les issues et je ne peux rien faire. Crier, pourquoi faire ? Personne n'entendrait et ils seraient bien trop content de voir qu'ils me font peur. Non, je suis là, eux autour de moi. J'attends, je ne bouge pas. Alexandre, leur «chef», prend la parole :

— Tu sais, Frédéric et Michael samedi dernier sont partis se balader. Quand ils sont arrivés près de la rivière, ils vous ont vu, toi et tes acolytes. Ils se sont cachés pour ne pas se faire prendre et là, ils nous ont raconté ce que vous avez fait. Il paraît que tu avais l'air d'apprécier vos petits jeux... Alors on s'est dit que puisque vous aimiez la bite, on en donnerait au premier qu'on pourrait chopper. Pas de pot pour toi, c'est toi qui est entre nos mains !

Ça y est, je comprends mieux pourquoi ils ont parlé de mon honneur. Effectivement, je risque d'en prendre un coup...

— Bon alors pour commencer, tu vas te foutre à poil, entièrement, tu enlèves tout !

Je reste devant eux, ne bouge pas. Alors Michael m'attrape et me bloque les mains pendant qu'Alexandre me met un coup de poing dans le ventre et un autre sur la figure.

— Tu sais que tu ne peux rien faire, alors obéis !

Il a raison. Michael me lâche, ils se mettent tous les six face à moi. Alexandre me redonne le même ordre. Je sais que je ne peux rien faire d'autre que leur obéir alors j'enlève mon blouson, je le pose par terre puis je quitte mon tee-shirt. Je suis maintenant torse nu devant leurs yeux qui ne me quittent pas.

— Continue ! J'ai dit à poil !

— OK c'est bon, tu vas me voir nu de toute façon, j'ai pas le choix !

— Non t'as pas le choix, alors fais-le.

J'enlève mes baskets puis mes chaussettes. Je défais ma ceinture, ouvre le bouton de mon pantalon puis j'ouvre les cinq boutons de ma braguette. Je quitte enfin mon jean. Il ne me reste que mon caleçon que j'enlève aussi. J'ai mes vêtements à côté de moi, je suis entièrement nu devant eux 6. Je reste droit face à eux, les bras le long du corps. Je bande quand même un tout petit peu.

— Mais dis donc, tu bandes on dirait ? Ça te plaît, hein salope !

— Non.

— Oh mais si ! D'ailleurs maintenant tu vas te branler. On veut te voir bien dur et tu te fais ça de la main gauche car avec la droite tu te caresses les couilles.

Je prends ma bite comme il me l'ordonne et je me branle. Je fais exactement ce qu'il a dit. Il me laisse faire 5 minutes puis ils commencent tous à se toucher la braguette : le spectacle les excite. Alexandre, Michael, Frédéric et Jérôme sont en survêt. Lionel et Jérémy, eux porte un jean. Les quatre premiers ont des érections qu'ils ne peuvent pas cacher, leurs queues tendent leur survêt. Ils se branlent d'ailleurs presque aussi clairement que moi. Par contre, les deux autres ont plus de difficulté à cause de l'épaisseur du tissu. Alors Jérémy baisse sa braguette et se caresse directement sur son slip, suivi aussitôt par Lionel.

Alexandre m'ordonne d'arrêter :

— Décalotte-toi et mets tes mains dans ton dos !

J'obéis. Ils regardent tous ma queue droite et mon gland au bout duquel commence à perler une goutte de précum. Je reste devant eux la bite dressée.

— Mets-toi à genoux !

Je lui obéis. Ils s'approchent de moi. En fait, ils m'encerclent puis Alexandre leur dit :

— Toujours d'accord ? On fait comme prévu ?

— Oui ! répondent-ils tous ensemble.

— Bon Bastien tu vas commencer par sortir nos bites de leur prison.

J'obéis. Je commence par Alexandre. Je lui baisse son jogging puis son caleçon. Je me retrouve avec une belle queue de 16cm non circoncise devant les yeux. Puis je passe à Michael. Je fais pareil. Lui a une bite de 15cm, non circoncise non plus. Je continue par Lionel, j'ouvre son jean, le lui baisse et libère sa queue de son slip. Lui a une bite de 14cm avec un beau prépuce. Au fur et à mesure où je leur sors la queue, ils se branlent lentement. Puis je continue par Jérémy. J'ouvre son jean, lui sors sa bite circoncise. Elle mesure au moins 18cm, elle est énorme ! D'ailleurs tous sont surpris sauf que je passe à Jérôme et je découvre en lui baissant son survêt et son slip la même bite que Jérémy (ils sont frères jumeaux et leur ressemblance, si elle n'est pas parfaite sur le visage, ils ont par contre exactement la même queue... Puis je finis par Frédéric. C'est le plus jeune, il a 14 ans, je baisse son jogging, il bande, sa queue déforme son caleçon. Je prends le caleçon vers la taille pour le baisser mais Alexandre m'arrête :

— Non, commence par le branler comme ça.

J'exécute. Je prends sa queue à travers le tissu, elle doit bien faire 13 ou 14cm. Je le branle puis Jérémy lui baisse son caleçon et je dois continuer à le branler à même la peau. Il apprécie, il gémit de plaisir. Les autres lui disent de ne pas jouir trop vite, qu'il faut profiter de leur «esclave» le plus longtemps possible. D'ailleurs, ils m'ordonnent de le lâcher et de continuer à les branler les uns après les autres. Je dois leur astiquer le manche 2 ou 3 minutes et passer à l'autre, toujours à genoux. Quand je me tourne pour passer de Jérémy à Jérôme, Jérémy me dit de rester face à lui et de branler Jérôme en regardant sa queue à lui. Là encore je m'exécute, je pense qu'ils veulent varier les plaisirs mais en fait, Alexandre qui est derrière moi, m'attrape la tête. Il me bloque entre ses cuisses pour que je ne puisse pas bouger.

— Tu continues à branler Jérôme puis avec la main gauche tu branles Lionel et tu ouvres la bouche. Tu vas sucer Jérémy. Si tu essaies de le mordre ou si tu refuses on te tabasse, on te rase entièrement et on te fout dehors sans tes fringues. On les brûle devant toi ! Alors tu fais quoi ?

— J'obéis !

— Bien raisonnable, ouvre la bouche alors...

Jérémy s'introduit dans ma bouche, sa queue à un goût assez fort. Il a un peu de précum sur le gland et je dois le nettoyer avec ma langue avant de l'introduire en bouche tout en branlant les deux autres. En fait, leurs jeux continuent comme ça, je les suce tous les uns après les autres 2 ou 3 minutes puis je passe au suivant tout en branlant les voisins. Après plus d'une demie-heure à sucer ces queues, Alexandre me dit :

— Maintenant tu prends Frédéric. C'est le plus jeune et tu ne t'occupes plus que de lui jusqu'à ce qu'il te jute dans la bouche. Tu le pompes à fond, tu n'en perds pas une goutte, tu avales tout le foutre qu'il va te donner.

Je me place face à lui, je lui caresse la bite : il bande à fond. Il est tellement excité que son gland passe un peu le prépuce tout seul. Il a une queue de 14cm dure comme du fer. Elle se tend vers le haut, elle remonte presque vers son nombril. Ses couilles sont bien calées dessous. Je commence par le branler un peu sans le décalotter puis je lèche ses couilles, je passe ma langue dessous, il apprécie. Il me laisse lui lécher presque le cul. Je reviens sur ses boules que je prends, je les fais rouler dans ma bouche pendant que d'une main je lui astique le manche et que de l'autre je lui passe entre les jambes et caresse son trou du cul. Ensuite, je remonte ma langue le long de son manche, je le lèche comme une glace en prenant soin de lui caresser toute la verge avec la bouche. Enfin je le décalotte puis lui lèche le gland en passant particulièrement sur son frein, j'insiste sur cet endroit qui, je le sais, est hyper sensible et procure un maximum de plaisir. D'ailleurs il se penche en avant pour m'enfoncer sa queue dans la bouche, je déguste déjà son précum. Je caresse son ventre juste au-dessus de la queue. Je sens ses poils sous mes doigts. Lui me prend la tête et m'enfonce sa queue entièrement. J'ai le nez plaqué à son ventre, il bute contre ma gorge. J'ai presque envie de vômir mais il me retient comme ça, m'empêchant de me retirer. Il veut sentir ma bouche envelopper entièrement son sexe. Je repasse ma main entre ses jambes jusqu'à son cul que je masse délicatement avec un doigt. Il se retire de ma bouche puis y revient. En fait il se branle mais mes lèvres remplacent sa main. Pendant qu'il fait ces mouvements de va-et-vient, j'enfonce mon doigt au fond de ses intestins. L'effet est immédiat : il crache 4 giclées de sperme et bien sûr, comme me l'a ordonné Alexandre, je bois tout. Pas une goutte ne tombe. Frédéric me tient la tête, il ne veut pas sortir tout de suite. Quand il s'est entièrement vidé, je sens qu'il débande. Il reste dans ma bouche et continue à bouger à l'intérieur. Quand il sort enfin, sa bite est molle.

— Bien  ! Parfait ! dit Alexandre. Maintenant à Jérôme... Et donne lui autant de plaisir qu'à Fred !

Je prends alors Jérôme, le branle un peu. Lui aussi bande à mort. Il a comme Jérémy une bite énorme. Elle mesure 18 ou 19cm et doit faire 5 ou 6 de diamètre ! Je vais jamais pouvoir le sucer comme Fred mais en tout cas son gland circoncis est énorme. Il me le met immédiatement dans la bouche puis il s'enfonce autant qu'il peut. Voyant que je ne peux pas le prendre à fond en bouche, il me lime la bouche puis ressort. Il veut se faire lécher les couilles que je gobe comme celles de Fred. Je lui suce la tige, passe sur son frein, lui reprends la queue en bouche, la ressors, repars sur ses couilles en prenant soin de lécher toute la longueur de son manche. Je passe ma langue sous ses couilles, je remonte de nouveau jusqu'au gland. Il me prend la tête à son tour puis s'enfonce et me baise la bouche. Il crache 6 ou 7 jets de foutre qui m'innondent la bouche. Je ne peux pas tout avaler et il me tombe du sperme des lèvres qui est recueilli par son frère Jérémy. Je bois tout ce que je peux puis il ressort de ma bouche et me dit de lui laver la queue pour qu'il n'y ait plus de trace de sperme. Je continue donc à lui lécher la bite jusqu'à ce qu'elle soit aussi propre qu'au début de ma pipe.

Je passe ensuite à Jérémy sans que personne ne me dise rien puisque de toute façon je vais devoir les sucer tous les six... J'approche mon visage de sa queue droite, j'ai l'impression de refaire la même chose qu'à son frère.

— Attends ! Avant de me sucer la queue, on t'a dit quoi au début ?

— Bien que je devais tous vous sucer !

— Oui, et puis ?

— Ben... ???

— On t'a dit à fond, sans en perdre une goutte...

— Oui.

— Alors pourquoi t'as pas bu tout le foutre de Jérôme ? Il est pas bon mon frangin ?

— J'ai pas pu, y en avait trop d'un coup !

— Ok, donc j'ai dû ramasser ce qui coulait dans ma main, alors avant de me sucer, tu vas laver ma main avec ta langue, qu'il n'y ait plus une goutte de sperme dedans et après tu me dégusteras la queue.

Je prends sa main, lui nettoie comme il me l'a dit puis je lui suce la bite. Lui aussi je lui passe la langue sur le frein puis sur les couilles, je le prends en bouche, le suce aussi profond que je peux.

— Je veux te jouir dans la bouche mais moi je te tiens pas la tête. Si tu en perds une goutte, tu la lècheras sur le sol, compris ?

— Oui !

Je reprends sa queue, lui branle dans ma bouche. Il se laisse faire et au bout de 10 minutes il me lâche encore plus de foutre dans la bouche que son frère. Bien sûr le sperme coule de ma bouche et tombe malgré tous mes efforts pour tout boire, je n'y arrive pas. Pourtant j'ai aucune envie de lécher le sol.

Quand il a fini de se vider, il regarde par terre et voit que du sperme a coulé sur sa chaussure.

— Lèche ma godasse, salope ! Tu m'as sali !

Il me dit ça en me mettant une gifle et en me donnant son pied. Je m'exécute, je nettoie le foutre sur sa chaussure. Il me force après à lécher le sol pour nettoyer ce qui est tombé à côté...

 

à suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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