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Episode précédent : Délire entre potes - Episode 1/3
Mais, dans l'autre village, une bande adverse nous cherche et, lorsque mes copains et moi ne nous donnons pas du plaisir, on se bat avec eux. En fait, ce sont des garçons que l'on connaît depuis toujours mais entre nous c'est un peu comme dans le film «La guerre des boutons».
Un jour, je reviens par le car. Deux des gars de l'autre bande sont là et pendant tout le trajet ils parlent, me regardent et je sais qu'ils complotent à mon sujet. En effet, à notre arrêt, les autres gars de leur bande sont là et je sais que seul contre 6 je n'ai aucune chance. Alors je sors du car et pars vite en courant. Mais ils s'y attendent et les deux qui étaient dans le car avec moi sortent par l'autre porte et me bloquent.
— Mais non Bastien, te sauve pas, de toute façon t'as aucune chance. On est trop nombreux alors suis nous...
— Ok c'est bon, cassez-moi la gueule ! À 6 vous devriez y arriver, 6 contre 1, ça ira !
— Oui mais tu vois, c'est pas ta gueule qui va prendre, c'est ton honneur !
— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— Allez, viens avec nous dans notre domaine, tu verras bien...
J'ai peur. Mon honneur : qu'ont-ils voulu dire ? Jusqu'à maintenant on s'est battu, du sang a coulé mais jamais il n'y a rien eu de fait pour dégrader l'honneur de quiconque. Pourquoi ont-ils dit ça ? Ils ne peuvent pas savoir ce qu'on fait avec mes copains. Je ne comprends pas ce qu'ils veulent. Je n'ose pas comprendre serait plus juste...
Arrivé dans leur «domaine», ils me lâchent. Je ne peux pas me sauver, ils ont fermé les issues et je ne peux rien faire. Crier, pourquoi faire ? Personne n'entendrait et ils seraient bien trop content de voir qu'ils me font peur. Non, je suis là, eux autour de moi. J'attends, je ne bouge pas. Alexandre, leur «chef», prend la parole :
— Tu sais, Frédéric et Michael samedi dernier sont partis se balader. Quand ils sont arrivés près de la rivière, ils vous ont vu, toi et tes acolytes. Ils se sont cachés pour ne pas se faire prendre et là, ils nous ont raconté ce que vous avez fait. Il paraît que tu avais l'air d'apprécier vos petits jeux... Alors on s'est dit que puisque vous aimiez la bite, on en donnerait au premier qu'on pourrait chopper. Pas de pot pour toi, c'est toi qui est entre nos mains !
Ça y est, je comprends mieux pourquoi ils ont parlé de mon honneur. Effectivement, je risque d'en prendre un coup...
— Bon alors pour commencer, tu vas te foutre à poil, entièrement, tu enlèves tout !
Je reste devant eux, ne bouge pas. Alors Michael m'attrape et me bloque les mains pendant qu'Alexandre me met un coup de poing dans le ventre et un autre sur la figure.
— Tu sais que tu ne peux rien faire, alors obéis !
Il a raison. Michael me lâche, ils se mettent tous les six face à moi. Alexandre me redonne le même ordre. Je sais que je ne peux rien faire d'autre que leur obéir alors j'enlève mon blouson, je le pose par terre puis je quitte mon tee-shirt. Je suis maintenant torse nu devant leurs yeux qui ne me quittent pas.
— Continue ! J'ai dit à poil !
— OK c'est bon, tu vas me voir nu de toute façon, j'ai pas le choix !
— Non t'as pas le choix, alors fais-le.
J'enlève mes baskets puis mes chaussettes. Je défais ma ceinture, ouvre le bouton de mon pantalon puis j'ouvre les cinq boutons de ma braguette. Je quitte enfin mon jean. Il ne me reste que mon caleçon que j'enlève aussi. J'ai mes vêtements à côté de moi, je suis entièrement nu devant eux 6. Je reste droit face à eux, les bras le long du corps. Je bande quand même un tout petit peu.
— Mais dis donc, tu bandes on dirait ? Ça te plaît, hein salope !
— Non.
— Oh mais si ! D'ailleurs maintenant tu vas te branler. On veut te voir bien dur et tu te fais ça de la main gauche car avec la droite tu te caresses les couilles.
Je prends ma bite comme il me l'ordonne et je me branle. Je fais exactement ce qu'il a dit. Il me laisse faire 5 minutes puis ils commencent tous à se toucher la braguette : le spectacle les excite. Alexandre, Michael, Frédéric et Jérôme sont en survêt. Lionel et Jérémy, eux porte un jean. Les quatre premiers ont des érections qu'ils ne peuvent pas cacher, leurs queues tendent leur survêt. Ils se branlent d'ailleurs presque aussi clairement que moi. Par contre, les deux autres ont plus de difficulté à cause de l'épaisseur du tissu. Alors Jérémy baisse sa braguette et se caresse directement sur son slip, suivi aussitôt par Lionel.
Alexandre m'ordonne d'arrêter :
— Décalotte-toi et mets tes mains dans ton dos !
J'obéis. Ils regardent tous ma queue droite et mon gland au bout duquel commence à perler une goutte de précum. Je reste devant eux la bite dressée.
— Mets-toi à genoux !
Je lui obéis. Ils s'approchent de moi. En fait, ils m'encerclent puis Alexandre leur dit :
— Toujours d'accord ? On fait comme prévu ?
— Oui ! répondent-ils tous ensemble.
— Bon Bastien tu vas commencer par sortir nos bites de leur prison.
J'obéis. Je commence par Alexandre. Je lui baisse son jogging puis son caleçon. Je me retrouve avec une belle queue de 16cm non circoncise devant les yeux. Puis je passe à Michael. Je fais pareil. Lui a une bite de 15cm, non circoncise non plus. Je continue par Lionel, j'ouvre son jean, le lui baisse et libère sa queue de son slip. Lui a une bite de 14cm avec un beau prépuce. Au fur et à mesure où je leur sors la queue, ils se branlent lentement. Puis je continue par Jérémy. J'ouvre son jean, lui sors sa bite circoncise. Elle mesure au moins 18cm, elle est énorme ! D'ailleurs tous sont surpris sauf que je passe à Jérôme et je découvre en lui baissant son survêt et son slip la même bite que Jérémy (ils sont frères jumeaux et leur ressemblance, si elle n'est pas parfaite sur le visage, ils ont par contre exactement la même queue... Puis je finis par Frédéric. C'est le plus jeune, il a 14 ans, je baisse son jogging, il bande, sa queue déforme son caleçon. Je prends le caleçon vers la taille pour le baisser mais Alexandre m'arrête :
— Non, commence par le branler comme ça.
J'exécute. Je prends sa queue à travers le tissu, elle doit bien faire 13 ou 14cm. Je le branle puis Jérémy lui baisse son caleçon et je dois continuer à le branler à même la peau. Il apprécie, il gémit de plaisir. Les autres lui disent de ne pas jouir trop vite, qu'il faut profiter de leur «esclave» le plus longtemps possible. D'ailleurs, ils m'ordonnent de le lâcher et de continuer à les branler les uns après les autres. Je dois leur astiquer le manche 2 ou 3 minutes et passer à l'autre, toujours à genoux. Quand je me tourne pour passer de Jérémy à Jérôme, Jérémy me dit de rester face à lui et de branler Jérôme en regardant sa queue à lui. Là encore je m'exécute, je pense qu'ils veulent varier les plaisirs mais en fait, Alexandre qui est derrière moi, m'attrape la tête. Il me bloque entre ses cuisses pour que je ne puisse pas bouger.
— Tu continues à branler Jérôme puis avec la main gauche tu branles Lionel et tu ouvres la bouche. Tu vas sucer Jérémy. Si tu essaies de le mordre ou si tu refuses on te tabasse, on te rase entièrement et on te fout dehors sans tes fringues. On les brûle devant toi ! Alors tu fais quoi ?
— J'obéis !
— Bien raisonnable, ouvre la bouche alors...
Jérémy s'introduit dans ma bouche, sa queue à un goût assez fort. Il a un peu de précum sur le gland et je dois le nettoyer avec ma langue avant de l'introduire en bouche tout en branlant les deux autres. En fait, leurs jeux continuent comme ça, je les suce tous les uns après les autres 2 ou 3 minutes puis je passe au suivant tout en branlant les voisins. Après plus d'une demie-heure à sucer ces queues, Alexandre me dit :
— Maintenant tu prends Frédéric. C'est le plus jeune et tu ne t'occupes plus que de lui jusqu'à ce qu'il te jute dans la bouche. Tu le pompes à fond, tu n'en perds pas une goutte, tu avales tout le foutre qu'il va te donner.
Je me place face à lui, je lui caresse la bite : il bande à fond. Il est tellement excité que son gland passe un peu le prépuce tout seul. Il a une queue de 14cm dure comme du fer. Elle se tend vers le haut, elle remonte presque vers son nombril. Ses couilles sont bien calées dessous. Je commence par le branler un peu sans le décalotter puis je lèche ses couilles, je passe ma langue dessous, il apprécie. Il me laisse lui lécher presque le cul. Je reviens sur ses boules que je prends, je les fais rouler dans ma bouche pendant que d'une main je lui astique le manche et que de l'autre je lui passe entre les jambes et caresse son trou du cul. Ensuite, je remonte ma langue le long de son manche, je le lèche comme une glace en prenant soin de lui caresser toute la verge avec la bouche. Enfin je le décalotte puis lui lèche le gland en passant particulièrement sur son frein, j'insiste sur cet endroit qui, je le sais, est hyper sensible et procure un maximum de plaisir. D'ailleurs il se penche en avant pour m'enfoncer sa queue dans la bouche, je déguste déjà son précum. Je caresse son ventre juste au-dessus de la queue. Je sens ses poils sous mes doigts. Lui me prend la tête et m'enfonce sa queue entièrement. J'ai le nez plaqué à son ventre, il bute contre ma gorge. J'ai presque envie de vômir mais il me retient comme ça, m'empêchant de me retirer. Il veut sentir ma bouche envelopper entièrement son sexe. Je repasse ma main entre ses jambes jusqu'à son cul que je masse délicatement avec un doigt. Il se retire de ma bouche puis y revient. En fait il se branle mais mes lèvres remplacent sa main. Pendant qu'il fait ces mouvements de va-et-vient, j'enfonce mon doigt au fond de ses intestins. L'effet est immédiat : il crache 4 giclées de sperme et bien sûr, comme me l'a ordonné Alexandre, je bois tout. Pas une goutte ne tombe. Frédéric me tient la tête, il ne veut pas sortir tout de suite. Quand il s'est entièrement vidé, je sens qu'il débande. Il reste dans ma bouche et continue à bouger à l'intérieur. Quand il sort enfin, sa bite est molle.
— Bien ! Parfait ! dit Alexandre. Maintenant à Jérôme... Et donne lui autant de plaisir qu'à Fred !
Je prends alors Jérôme, le branle un peu. Lui aussi bande à mort. Il a comme Jérémy une bite énorme. Elle mesure 18 ou 19cm et doit faire 5 ou 6 de diamètre ! Je vais jamais pouvoir le sucer comme Fred mais en tout cas son gland circoncis est énorme. Il me le met immédiatement dans la bouche puis il s'enfonce autant qu'il peut. Voyant que je ne peux pas le prendre à fond en bouche, il me lime la bouche puis ressort. Il veut se faire lécher les couilles que je gobe comme celles de Fred. Je lui suce la tige, passe sur son frein, lui reprends la queue en bouche, la ressors, repars sur ses couilles en prenant soin de lécher toute la longueur de son manche. Je passe ma langue sous ses couilles, je remonte de nouveau jusqu'au gland. Il me prend la tête à son tour puis s'enfonce et me baise la bouche. Il crache 6 ou 7 jets de foutre qui m'innondent la bouche. Je ne peux pas tout avaler et il me tombe du sperme des lèvres qui est recueilli par son frère Jérémy. Je bois tout ce que je peux puis il ressort de ma bouche et me dit de lui laver la queue pour qu'il n'y ait plus de trace de sperme. Je continue donc à lui lécher la bite jusqu'à ce qu'elle soit aussi propre qu'au début de ma pipe.
Je passe ensuite à Jérémy sans que personne ne me dise rien puisque de toute façon je vais devoir les sucer tous les six... J'approche mon visage de sa queue droite, j'ai l'impression de refaire la même chose qu'à son frère.
— Attends ! Avant de me sucer la queue, on t'a dit quoi au début ?
— Bien que je devais tous vous sucer !
— Oui, et puis ?
— Ben... ???
— On t'a dit à fond, sans en perdre une goutte...
— Oui.
— Alors pourquoi t'as pas bu tout le foutre de Jérôme ? Il est pas bon mon frangin ?
— J'ai pas pu, y en avait trop d'un coup !
— Ok, donc j'ai dû ramasser ce qui coulait dans ma main, alors avant de me sucer, tu vas laver ma main avec ta langue, qu'il n'y ait plus une goutte de sperme dedans et après tu me dégusteras la queue.
Je prends sa main, lui nettoie comme il me l'a dit puis je lui suce la bite. Lui aussi je lui passe la langue sur le frein puis sur les couilles, je le prends en bouche, le suce aussi profond que je peux.
— Je veux te jouir dans la bouche mais moi je te tiens pas la tête. Si tu en perds une goutte, tu la lècheras sur le sol, compris ?
— Oui !
Je reprends sa queue, lui branle dans ma bouche. Il se laisse faire et au bout de 10 minutes il me lâche encore plus de foutre dans la bouche que son frère. Bien sûr le sperme coule de ma bouche et tombe malgré tous mes efforts pour tout boire, je n'y arrive pas. Pourtant j'ai aucune envie de lécher le sol.
Quand il a fini de se vider, il regarde par terre et voit que du sperme a coulé sur sa chaussure.
— Lèche ma godasse, salope ! Tu m'as sali !
Il me dit ça en me mettant une gifle et en me donnant son pied. Je m'exécute, je nettoie le foutre sur sa chaussure. Il me force après à lécher le sol pour nettoyer ce qui est tombé à côté...
à suivre...
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