Dimanche 21 juillet 7 21 /07 /Juil 10:00

Episode précédent :   Un chalet en montagne - 7/26

 

Chapitre 8/26: Rébellion matinale


Je me réveille à nouveau. A travers une petite lucarne en hauteur le jour s'infiltre. Je regarde mes deux compagnons de captivité. Ils dorment toujours. Ils sont nus et allongés à coté de moi. Je parcours leur corps du regard. Je repense alors aux expériences d’hier et à la vision intime que j'ai eue d'eux. Que va-t-il se passer aujourd'hui ?

A part attendre et supposer, je ne peux rien faire. Un moment après John se réveille lui aussi. Constatant que Chris dort encore il ne dit rien et me fait juste un petit signe pour me dire bonjour. Je lui réponds de la même manière.

La porte s'ouvre et notre garde, le même qu’hier soir, entre brusquement.

- « Alors les jeunes ? Bien dormi ? »

John se risque à répondre.

- « Ouais. Ca peut aller. On va avoir un petit déjeuner ?

- Oui, mais avant, toilette et douche pour tout le monde. Raldo veut vous avoir propre. »

Il regarde alors mon cousin Chris qui se réveille puis me fixe du regard.

- « Je vais commencer par toi. Et comme tu as les mains attachées, ton copain va venir t'aider. »

 Il désigne John.

- « Euh… Je préférerais que ce soit mon cousin qui m'aide…

- Non ! C'est lui. »

Le ton est sans réplique.

- « Suivez moi tous les deux. »

John se lève alors, tout comme moi, et nous suivons le garde. Nous quittons la pièce et quelques mètres plus loin nous entrons dans une grande salle de bain. Au passage j'ai remarqué un autre gardien, debout et immobile devant notre chambre. Nous sommes vraiment bien surveillés.

Il s'adresse à John :

- « Comme il est attaché tu vas le laver et l'aider. Tu fais ça bien. Je contrôlerais. Et tu te laves aussi. Compris ?

- Oui.

- Je reviens dans une demi-heure. »

Il quitte alors la salle de bains. John me demande alors :

- « Euh… On commence par quoi ?

- Ben… Je sais pas … »

Le problème c'est que j'ai envie de pisser mais aussi un gros besoin… Et je n'ose pas lui annoncer !

Puis je réalise qu’hier il m'a enculé, alors au point où j'en suis, je lui dis :

- « Euh… Faut que j'aille aux toilettes. Mais pas que pour pisser… »

Il me regarde avec un sourire gêné.

- « Ok, j'ai compris. Je vais me retourner. »

 
Il se retourne alors et je vais m'asseoir sur le trône situé à coté de la douche. Je fais mes besoins mais je ne peux m'essuyer ayant les mains attachées. Je suis quand même très gêné par cette situation. John m'explique alors, toujours sans se retourner.

- « Tu vas sous la douche après. Je te laverai avec le jet. Ne t'inquiète pas. »

Il se veut rassurant. J'aurais préféré que ce soit mon cousin qui soit là, à m'aider, mais bon…
En me contorsionnant j'arrive à actionner la chasse d'eau. Puis je me dirige dans le bac à douche. John se rapproche et ouvre le jet d'eau chaude. Je me tourne alors et, me cambrant, lui offre mon postérieur. Il dirige l'eau vers mon anus et me lave ainsi le fondement.

Puis il me verse du champoing sur les cheveux et me les lave rapidement. Curieusement je ne trouve pas désagréable de me faire laver. Je lui demande alors :

- « Tu vas me frotter partout maintenant. Je ne veux pas que le gardien m'ennuie.

- OK. »

Il n'y a pas de gant de toilette. A mains nues et avec beaucoup de savon, John me lave le dos, les bras et les jambes. Visiblement il hésite à se rapprocher de mon sexe et de mes fesses. Sachant très bien que nos gardiens vont vérifier ces endroits je lui dis :

- « Euh… J'aimerais que tu me laves aussi… les couilles et le cul...

- D'accord. »

Maintenant que je lui ai dit, il promène sa main sans hésiter sur mon sexe et me le lave longuement. Le cock-strap ne le gène aucunement. Il le décalotte même. Faut dire qu'avec le savon et l'eau chaude ça coulisse facilement. Puis j'écarte fortement les jambes et lui fais comprendre qu'il doit me laver les fesses et la raie. Il passe alors sa main dans mon entrejambe et commence à frotter.
Brusquement, il me regarde fixement :

- « Désolé… »

Et il se met à genoux devant moi et happe ma queue dans sa bouche. De surprise, j'esquisse un mouvement de recul mais il passe un bras derrière mon dos et me retient.

- « Hé ! Que fais … »

Puis je ne dis plus rien. Et ne résiste plus. Après tout, s'il veut me faire une petite gâterie et bien pourquoi pas ? Autant en profiter après tout.

Voyant que je m'abandonne à lui, sa main dans mon dos descend dans ma raie, entre mes fesses et ses doigts titillent mon anus. Je me laisse faire et il enfonce un doigt en moi. Cette pénétration étant facilitée par la mousse du savon.

Sur le devant il suce avidement mon sexe qui, progressivement, se redresse. Sa seconde main me tient les bourses par le dessous. Il me les malaxe et pétrit doucement. Mes testicules roulent délicatement entre ses doigts. Ainsi stimulé en 3 endroits simultanés, mon cerveau reçoit des ondes multiples de plaisirs et ordonne naturellement à ma queue de se dilater, de se détendre, de se redresser, de durcir, de grossir. Toujours sanglé dans le cock-strap, ma tige, toujours fortement stimulée par la langue et les lèvres de John, grossit dans sa bouche. Les lanières agissent comme un stimulant supplémentaire. Je ne peux m'empêcher de donner des petits coups de rein pour enfoncer ma tige au fond de sa gorge. Bien qu'il ait du mal à synchroniser sa respiration avec mes mouvements, il s'applique et aime cela. Son doigt dans mon cul me titille l'intérieur et augmente mon plaisir. Un mouvement avant enfonce ma tige vers le fond de sa gorge. Un mouvement arrière et son doigt s'enfonce davantage dans mon fondement. Je bande comme jamais. Ma bite est dure comme du bois. Ses caresses sur mes bourses participent à ma jouissance. J'oublie où je suis. Je m'évade dans un monde de plaisir et de luxure. Ma respiration se fait haletante. Je sens maintenant que je vais jouir sous peu. Effectivement cela ne tarde pas. Plus violemment je m'enfonce au fond de sa gorge et, dans une onde de plaisir ultime, mon sperme jaillit violemment. Bien obligé, quoique non contrarié et y prenant visiblement du plaisir, il avale tout et je sens même sa langue lécher mon gland et mon méat jusqu'à nettoyer la moindre goutte de ma semence. Puis il consent à libérer mon sexe débandant de sa gangue de plaisir c'est-à-dire de sa bouche. Je le regarde. Restant à genoux devant moi il lève la tête vers moi. Son regard est mi interrogateur, mi inquiet.

- « Tu as aimé ?

- J'ai adoré ! Tu es vraiment fort !

- Rassure-toi. Le plaisir était pour moi aussi.

- Ouais j'ai bien vu… Mais je ne te ferai pas la même chose tu sais… Je ne suis pas gay moi… »

Il se redresse alors et me regarde fixement avec un petit sourire en coin :

- « Je sais mais tout le monde peut changer… Il suffit parfois d'essayer…

- Je ne pense… »

Brusquement la porte s'ouvre et notre gardien entre et nous vois tous les deux encore sous la douche. Sa voix s'élève.

- « Vous n'avez pas encore fini !? Mettez le turbo ! Je vous attends. Dans 5 mn, ça doit être fini. »

Sans un mot John se savonne alors rapidement le corps. Quand à moi je sors et, ne pouvant m'essuyer je reste debout, dégoulinant de gouttelettes d'eau. Le garde me fait alors signe d'approcher. Je lui obéis. Il sort une clé de sa poche et me délivre de mes menottes. Enfin ! Depuis hier soir mes bras retrouvent doucement leur mobilité. Le garde se penche maintenant vers mon sexe et me retire aussi le cock-strap. Puis il me tend une grande serviette :

- « Essuies-toi. Après je t'inspecte. »

Je prends la serviette et me sèche le corps complet. Il est là devant moi, à attendre. Je fais rapidement. Inutile de l'énerver.

- « C'est bon ! Approche maintenant. Mets tes mains sur la nuque. »

Je fais comme il me demande. Pendant ce temps John termine sa douche. Lui aussi sait qu'une inspection l'attend et se lave donc soigneusement.

Le garde examine alors mon sexe et mes bourses. Il me décalotte, me dégage le gland et l'examine. Puis, me faisant comprendre d'écarter les jambes, il passe derrière moi et m'écarte les fesses de ses grosses mains. Il examine ma raie et mon anus. Je subis encore une fois ces outrages en rougissant de honte et de gêne. Il me traite vraiment comme un animal de boucherie !

- « C'est pas bon. Mets-toi à 4 pattes là sur le tapis. »

Résigné une fois de plus à lui obéir, je prends la pose demandée. Il se place alors derrière moi et m'écarte davantage les cuisses.

- « Creuse le dos. Je veux voir ton cul ! »

Je me cambre alors fortement. Mon cul est ainsi offert complètement à sa vue. Et il en profite pour me mâter à son aise. Il pose ses deux mains sur mes fesses et les écarte davantage. Mon anus est alors vraiment exposé et dilaté.

- « Bien. C'est propre. Relève-toi maintenant. Au tour de ton copain ! »

Je me relève. John qui maintenant se sèche, pose sa serviette et comme moi met ses mains sur sa nuque. Puis il s'approche du garde. Le garde vérifie que son sexe est propre puis lui montre le tapis sur le sol.

- « Allez ! En position. »

Comme moi précédemment John se positionne à 4 pattes. Et se cambre pour faire ressortir son cul. Mais le garde trouve qu'il n'en fait pas assez :

- « Mets-toi sur les coudes. La tête contre le sol. »

John ne peut qu'obéir. Son postérieur est ainsi encore plus exposé et plus saillant. Sa raie est très largement ouverte. Son anus est visible dans toute son intimité. Son périnée parfaitement visible lui aussi. A travers ses jambes je distingue son sexe et ses couilles qui pendent à la verticale, tombant vers le sol. Le garde lui écarte alors les fesses et lui distend ainsi sa rosette. Puis il examine le périnée et les bourses.

- « Il y a trop de poils. Ton copain va te raser ! »

Il me désigne alors :

- « Tu vas le raser. Il y a un rasoir au dessus du lavabo. »

John proteste et se redresse brusquement.

- « Non ! Je ne veux pas ! Vous n'avez pas le droit ! »

Le garde se redresse alors et, se plaçant devant John, brandit sa matraque en avant :

- « Reprends la position, et vite ! Sinon ça va mal finir pour toi ! »

John s'énerve et ne veut pas obéir.

- « Non ! J'en ai marre ! Libérez-moi, merde !

- Tant pis pour toi. Tu auras été prévenu. »

Le garde sort alors un sifflet de sa poche, le porte à sa bouche et siffle deux coups brefs. Quelques instants plus tard la porte s'ouvre et trois autres gardes entrent. Quand à moi je me recule vers le mur. Que va-t-il arriver à John ?

- « Aidez-moi ! Il ne veut pas obéir ce petit con ! On va retourner dans la salle de sport. »

Chaque garde se saisit alors d'un membre de John. Devant le nombre et la force de ces quatre hommes et malgré ses cris de protestation il ne peut aucunement résister. Les quatre gardes quittent la pièce emportant mon compagnon. La porte reste ouverte derrière eux. Ne sachant que faire je décide de rester là et d'attendre... Les cris de John diminuent puis cessent complètement. Une porte claque. Puis je n'entends plus rien. Dix minutes passent. Le garde principal revient alors et s'adresse à moi :

- « Prends des rasoirs, une serviette et une bassine d'eau chaude. Tu vas aller raser ton copain comme prévu. »

Sachant qu'il ne sert à rien de résister, je prends les accessoires demandés et je suis le garde jusqu'à la salle de sport. Je vois alors que John est attaché à un cheval d'arçon. Il est situé à une des deux extrémités. Sa tête et son ventre reposent sur le dessus. Il est bâillonné et ne peut donc plus parler ni crier. Ses bras entourent le corps de l'instrument et se rejoignent dessous, les poignets attachés. Ses pieds reposent sur le sol mais sont maintenus attachés et écartés par une grande tige de bois. Il est donc maintenu plié en deux et son cul est fortement ouvert. Sa raie est entièrement visible. Ses couilles pendent tranquillement entre ses jambes. Le garde me pousse derrière lui et m'explique :

- « Voilà ! Tu le rases ! Et comme il a fait l'idiot tu lui raseras aussi les couilles après… Ca lui apprendra. »

Je ne dis rien. Le garde se recule pour mieux me surveiller. N'ayant d'autre choix je vais raser les fesses et la raie de John. Comme c'est un vrai blond ses poils sont peu visibles. En plus ils ne sont pas si nombreux que cela. Je dois vraiment regarder avec attention pour les distinguer. Je commence donc par mouiller sa raie et son périnée avec de l'eau chaude. Puis j'étale une bonne dose de mousse à raser dans sa raie. J'étale bien le tout. Je dois essayer de ne pas le blesser. Heureusement, s'avouant vaincu, il ne lutte plus et reste vraiment immobile. Seule sa respiration fait bouger légèrement son dos de haut en bas. Je prends un rasoir jetable et commence à le raser. J'y vais doucement. Pour raser le pourtour de son anus je tire la peau avec mon autre main. Sans trop de peine et sans le blesser je parviens finalement à supprimer tous ses poils. Du coup sa raie maintenant imberbe parait encore plus blanche. Et le rose de son anus se détache davantage. Je termine en le rinçant avec la serviette humide. Mis à part la gêne provoquée par la zone du corps concernée ce n'est finalement pas si difficile. Je me retourne alors vers le garde :

- « Voila. J'ai terminé.

- Je vais voir. Recule ! »

Je lui laisse alors la place. Il examine alors très soigneusement la raie et le cul de John.

- « C'est bon, oui. »

Il promène son doigt sur la raie de John, son anus, et remonte jusqu'à la base de ses bourses. Il vérifie la douceur de la peau en ses endroits intimes. Il semble satisfait.

- « Il a vraiment un beau cul ! Raldo l’a bien choisi, oui ! »

Il sort alors un petit flacon rempli d'un liquide épais de sa poche. Il s'en enduit les mains et commence à masser les fesses et la raie du postérieur ouvert devant lui. Les fesses de John se mettent alors à reluire. Je comprends qu'il s'agit d'huile de massage. Le garde accentue ses mouvements et masse avec une vigueur accrue. De plus en plus il écarte les globes ronds et fermes de mon compagnon et dilate ainsi son anus. Puis il verse carrément de l'huile sur son anus. Et doucement pénètre un doigt dans son fondement. Puis il tourne son doigt, écarte et dilate le trou huilé. Il entre et ressort son doigt plusieurs fois. Puis il met deux doigts et fait de même. Ainsi huilé, les muscles anaux n'offrent aucune résistance et la pénétration se fait sans douleur. John ne peut que subir ce viol de son intimité. Ainsi forcé et attaché il ne doit pas apprécier c'est certain. Après encore quelques mouvements de massage le garde se redresse, s'essuie les mains et se penche alors vers la tête de John :

- « Je vais te libérer. Ne résiste pas sinon j'appelle du renfort. Compris ? »

John est vaincu et fait un signe affirmatif de la tête. Le garde lui délie alors les poignets et les entraves qui lui maintenaient les pieds écartés. Péniblement John se redresse, toujours bâillonné. Il baisse la tête et ne résiste aucunement. Le garde le pousse alors vers les espaliers présents sur le mur du fond.

- « Plaque ton dos contre et lève les bras. »

John obéit sans rechigner. Il sait maintenant qu'il ne peut lutter et qu'en cas de résistance il cédera sous le nombre et la force.

Ses poignets sont attachés à l'espalier, puis ses mollets aussi. Il est bras relevés et écartés ; ses jambes elles aussi sont écartées. L'ensemble de son corps forme un X. Le garde prend alors un cylindre de mousse dure d'environ 20 cm de diamètre et le glisse derrière son dos, dans le creux des reins de mon ami. Son ventre est ainsi poussé vers l'avant. Son sexe est ainsi mis en évidence sur le devant de son corps ainsi arrondi. Il pend au repos. Son prépuce cache toujours entièrement le gland. Je regarde alors la petite toison blonde au dessus de son pubis. Elle n'est pas très importante. Pourtant, je vais devoir la raser.

- « Allez ! Vas-y ! Rase le maintenant ! »

Je garde s'adresse ainsi à moi et me montre le sexe de John. Je m'approche alors de son corps et me mets à genoux devant lui. Puis, comme tout à l'heure, après avoir humidifié et badigeonné de mousse sa toison, je rase ses poils peu épais. Je termine par la fine ligne de poil entre son nombril et son pubis. En quelques mouvements de rasoir tout est parti et John se retrouve 100% imberbe, comme au premier jour de sa naissance... Je nettoie alors le restant de mousse à raser. J'ai maintenant terminé et me recule.

Bien sûr le garde s'approche pour vérifier mon travail. Il se saisit de la queue du jeune garçon et la soulève pour vérifier s'il y a des poils sur le scrotum. A cet endroit-là je n'ai pas eu besoin de raser… Y'avait rien à raser…

Le garde ricane :

- « C'est bon. Il est maintenant tout beau pour les photos ! »

A ce moment là, la porte s'ouvre et Raldo entre. Il parcourt la pièce du regard et semble comprendre immédiatement la situation. Son regard s'arrête longuement sur le corps de John, nu, attaché et écartelé sur les espaliers.

- « Bien ! Il est rasé maintenant ? »

Ces propos confirment mon intuition : il sait parfaitement ce qui se passe ici. Je suis certain que c'est lui qui a décidé de punir et de raser John.

- « Oui, c'est bon. J'ai huilé son cul aussi. 

- Parfait. Mais il mérite encore une sanction pour t'avoir résisté tout à l'heure. Il faut qu'ils comprennent. Vas chercher le troisième garçon. Il doit voir aussi. »

 

La suite :  Un chalet en montagne - 9/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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