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Episode précédent : Un chalet en montagne - 14/26
Chapitre 15/26: Chacun son tour
- « Voila de quoi vous habiller : boxer, short et maillot. Allez, enfilez moi tout cela. »
Nous ne comprenons pas pourquoi il veut qu'on se rhabille. Mais bon, rapidement on se sert et chacun de nous trouve des vêtements à sa taille. Mike nous surveille et attend tranquillement que nous ayons fini. Je suis perplexe : il ne peut pas nous demander de nous habiller pour la nuit ! Ce n'est pas dans leurs habitudes...
Je remarque alors que les vêtements que nous portons sont de bonnes factures et plutôt moulants. Rien que de la marque. Ils sont très modes et fashion en fait. Encore une fois, ce détail me montre que nos geôliers n'ont pas de problème d'argent. C'est vraiment pour nos corps que sous sommes ici. Le fric ne les intéresse absolument pas.
J'en suis là de mes réflexions quand Mike ordonne alors à Chris et à John de se reculer légèrement. Puis il me regarde :
- « Toi ! Reste là et ne bouge pas ! »
Il dirige alors un petit projecteur portatif vers mon bas ventre et l'allume. Puis il s'approche lentement de moi. Il me dit alors :
- « Laisse toi faire. Je vais juste te mettre à poil. »
Je ne peux m'empêcher d'être surpris. Dans ce cas, pourquoi nous avoir fait rhabiller ? Je comprends alors qu'il veut me déshabiller pour son plaisir. Et effectivement c'est bien là son souhait. Il s'approche de moi et se saisit de mon maillot. Puis il le tire vers le haut. Je lève les bras et le maillot m'est retiré. Je suis à présent torse nu. Je jette un regard autour de moi et voit John et Chris qui me fixent. Je suis le seul à être manipulé et cela me met mal à l'aise. Je me demande si ce n’est pas fait exprès…
Mais Mike n'en a pas terminé avec moi. Il s'accroupit devant moi et me baisse doucement le short. Il me le retire complètement et le lance au loin. A présent, seul mon boxer moulant me protège de la nudité. Il me caresse ensuite le paquet et les fesses, à travers le coton doux de mon unique rempart. Docilement je me laisse faire. Une nouvelle fois il profite de son autorité pour jouer avec nous, avec nos corps. Il met une main de chaque coté de mon boxer et, saisissant l'élastique, il le baisse doucement de 10 cm. Mon sexe est alors à moitié dégagé ainsi que mes fesses. A nouveau il me caresse les parties et joue doucement avec ma tige et les bourses. Il enfile la main dans le boxer, plus profondément, passe à coté de mes organes génitaux puis sous mes couilles et atteint d'un doigt mon anus. Il le titille mais ne cherche pas à y rentrer. La situation est très humiliante et gênante pour moi. J'ai l'air ridicule avec ce boxer à peine baissé, en train de me faire tripoter et malaxer ! De plus, le faisceau lumineux du projecteur éclaire mon corps avec violence aux yeux de tous.
Puis il baisse à nouveau mon boxer de 20 cm, jusqu'aux genoux cette fois-ci. A présent mon sexe et mon cul sont parfaitement dégagés du textile. Il en profite et, devant mes deux camarades, il continue à me caresser et à jouer avec mes organes sexuels. A bout de quelques minutes il m'enlève complètement le boxer. Je suis à présent complètement nu devant lui et devant mes camarades qui eux sont habillés… Quoique depuis hier, nous ayons tous découverts les corps des autres, il m'est très désagréable d'être le seul ainsi exhibé à poil devant tous. Je ne sais où porter mon regard. Je suis gêné d'être ainsi utilisé pour son streap-tease personnel. Mais je sais bien que notre gardien se moque de nos sentiments et de nos états d'âme…
A présent Mike me demande de m'allonger sur un des matelas qui repose sur le sol. Je m'y allonge sur le dos. Il me glisse un coussin sous la tête et un autre sous les reins. Ce deuxième coussin est destiné à soulever mes fesses. Puis il ordonne à Chris et à John de se saisir chacun d'un de mes pieds et de me tenir les jambes relevées, légèrement repliées, mais en l'air. Ils obéissent et me voila à nouveau mes parties intimes, mes fesses, ma raie et mon anus exposés aux yeux de tous. En plus le projecteur est dirigé en plein sur mon entre jambe... Mon sillon imberbe et blanc est fortement éclairé, en pleine cible du faisceau lumineux. Dans le genre "plus exposé", il est difficile de faire mieux ! Mes deux compagnons, toujours habillés eux, ont aussi une vue imprenable sur moi. Je comprends alors que c'est la stratégie de Mike : moi seul suis nu et exposé afin de renforcer ma gène au dépend de ma pudeur. En plus je suis allongé presque par terre. Ils me dominent tous les trois. Mon sentiment de vulnérabilité est ainsi augmenté. J'ai beau savoir que Mike ne doit pas "nous abîmer" je n'en suis pas vraiment rassuré pour autant…
Mike farfouille dans le carton qui contenait nos vêtements et en ressort un tube et un gode long mais fin. Je devine alors qu'il va alors m'enfoncer ce gode. Mais à ma grande surprise il me tend
le gode.
- « Tiens, voila : tu joues avec puis tu te branles à fond. C'est simple ! »
C'est simple certes, mais terriblement humiliant !
Quant à Mike il va tranquillement s'asseoir entre mes deux camarades, c'est-à-dire juste entre mes jambes. Sa vue sur moi est ainsi imprenable. Il va pouvoir me mater parfaitement, voir la moindre de mes actions et surtout, admirer mon cul et ma bite, car c'est cela qu'il aime.
- « Allez ! Vas-y ! »
Dans mon humiliation je ne sais plus où porter mon regard. Je décide alors de fixer un point au plafond. Je sais très bien que je vais devoir accomplir les ordres donnés. Alors je commence doucement à ouvrir le tube qui est en fait du gel lubrifiant. Je m'en étale une couche sur l'anus et aussi sur l'extrémité du gode. Ce gode n'est pas très gros et il devrait rentrer sans problème. Il est moins gros que ceux déjà utilisés auparavant... Puis je le présente devant ma rosette. Je me trouve ridicule de faire tout cela devant eux trois, mais ma gêne fait partie du plaisir de Mike…
Je commence alors à enfoncer le gode en moi. Très facilement et sans douleur mon sphincter s'ouvre et laisse passer l'instrument. Mes chairs s'écartent avec facilité. C'est finalement plus facile et moins douloureux quand on contrôle soi-même les opérations mais c'est plus humiliant, surtout sous les feux de la rampe ! Je continue à enfoncer le gode. A présent, dix bons centimètres du cylindre noir sont logés dans mes entrailles. Doucement je remue le gode et lui impulse des petits mouvements d'aller retour. Je me rends alors compte que mon sexe ne reste pas insensible à ces sollicitations annales. Je commence doucement à durcir et à bander. Je ferme alors les yeux et me concentre sur le plaisir solitaire qu'on m'oblige à me donner et à donner en spectacle aux autres… Petit à petit ma gêne et ma honte se réduisent et s'effacent progressivement. Comme tous acteurs le trac se réduit en jouant. Mon autre main parcourt mon ventre lisse et mes cuisses. Une minute plus tard ma verge est devenue une tige de béton dure et droite. Je bande fortement : maintenant toute ma honte est refoulée et cette exhibition forcée est devenue un plaisir… Je ne comprends pas ce revirement mais pour le moment je ne m'en inquiète pas outre mesure. Après tout puisqu'il faut se donner en spectacle allons-y de bon cœur ! Alors que ma main gauche s'occupe de titiller et de remuer le gode toujours profondément en moi, ma main droite saisit vigoureusement ma verge et je commence à asticoter mon membre. Je regarde à présent Mike qui me sourit. Il semble content de ma prestation. A nouveau il me fait un clin d'œil. A présent dans mon trip je le prends comme un encouragement. J'écarte davantage les jambes, je lève légèrement mon cul du cousin sur lequel il reposait jusqu'à présent. Alors que tout à l'heure j'étais honteux et gêné de montrer ainsi les parties les plus secrètes et intimes de mon corps, j'ai maintenant envie de me dévoiler complètement...
Je regarde alternativement Chris et John. Bien malgré eux, ou bien volontairement, leur regard est dirigé sur mon sexe et le gode qui sort de mon cul. Ils regardent avec détail mon exhibition qui, de forcée, est devenue un plaisir... Je retire complètement le gode et arque davantage mon cul ouvert. Je veux que les trois spectateurs voient chaque centimètre carré de mes fesses, de ma raie et bien sur de ma rondelle ouverte. Je replonge le gode en moi, dans un râle de plaisir que je ne peux m'empêcher d'émettre. Cette pénétration rapide me procure un plaisir intense et je la reproduis plusieurs fois. A chaque fois, j'offre aux spectateurs attentifs la vue sur mon anus ouvert et dilaté qui n'a pas vraiment le temps de se refermer entre chaque intromission. Sur mon sexe turgescent à l'extrême, mon autre main s'active toujours aussi vigoureusement.
Je suis devenu en quelques minutes une vraie salope qui aime s'exhiber. Toutes mes barrières sont tombées. Bien qu'au fond de moi une petite voix me dit que j'en fais trop, je ne peux pas
l'entendre.
Dans mon nirvana de plaisir, je sens que je ne vais pas tarder à juter. Encore quelques mouvements vifs et rapides de ma main sur ma hampe et quelques jets de ma liqueur blanche jaillissent de ma
queue. Je referme alors les yeux et profite de ces derniers instants du trip dans lequel je me suis enfermé, avec force plaisir, je dois maintenant l'avouer…
Les ondes de jouissance qui me parcouraient diminuent rapidement. Le gode est toujours fiché en moi, bien enfoncé dans mon cul. Je ne bouge pas et calmement ma respiration retrouve un rythme plus raisonnable.
- « Ne bouges pas ! Reste comme cela. »
C'est Mike qui me donne cet ordre. Je reste alors immobile écartant juste mes bras de mon corps. Je reste les yeux fermés pour ne pas voir le ridicule de ma situation et le regard de mes compagnons. Je sens alors que Mike se saisit du gode et me retire doucement l'instrument de mon fondement. Puis sa langue lèche avec délectation le sperme qui tache mon ventre. Il nettoie ensuite avec soin ma queue, à demi débandée après cette forte jouissance.
- « Très bien. Tu as été parfait. Relève-toi. »
Chris et John lâchent mes pieds et docilement je me relève. Au passage John me jette un regard désapprobateur. Il m'en veut de m'être ainsi offert en spectacle. Et peut être aussi d'avoir pris du plaisir dans cette action... Je le comprends mais je n'ai pas pu m'en empêcher. Je ne suis qu'humain et, finalement, ne maîtrise pas tout complètement. Mike continue à ordonner :
- « Ok, tu te rhabilles et maintenant c'est Chris qui va te remplacer. »
Je remets le boxer, le short et le maillot que je portais. Chris se place debout et reste immobile. Mike se met devant lui. La scène est prête à être rejouée avec un nouvel acteur dans le rôle principal : mon jeune cousin.
Comme à moi tout à l'heure, Mike lui retire lentement et un à un ses vêtements en jouant doucement avec son sexe et ses fesses. Il est longuement caressé et malaxé. Puis une fois complètement nu, de lui-même et sans attendre les ordres du gardien, il s'allonge sur le matelas. Je saisis dès lors son pied gauche et John le droit. Nous lui levons et écartons ses jambes. Il se retrouve alors dans la même posture que moi précédemment et j'ai ainsi la vision qu'ils avaient sur mon corps… Je regarde son entre jambe et je peux alors constater à quel point cette position met en évidence son jeune corps, lisse et quasiment imberbe. Sa raie est très ouverte, sa rondelle marron clair entoure son anus rose et serré. Ses bourses pendent et reposent devant son périnée. Chaque détail, chaque pli est visible. Son exposition à nos yeux est totale. Sa queue se trouve pour l'instant au repos. Il va devoir arranger cela et il le sait.
Lui aussi est gêné par sa position et son visage est empourpré de rouge. Alors que son regard croise le mien je lui prodigue un petit signe de la tête pour l'encourager. Il me répond par un léger sourire à peine esquissé. J'en suis rassuré.
Mike s'assoie maintenant devant lui, entre ses jambes, et lui donne le gode et le tube de gel. Mon cousin ferme les yeux et répète à son tour le scénario imaginé par Mike. Il s'enfile le gode qui semble rentrer sans douleur entre ses lèvres anales, puis il commence sa masturbation. Il a du mal à bander et il met beaucoup de temps avant d'obtenir une érection correcte. Il est évident qu'il n'arrive pas à prendre ne serait ce qu'un minimum de plaisir dans cette exhibition forcée. Toutefois il s'applique au mieux car il redoute les colères de notre gardien en cas de refus… Petit à petit, à force de mouvement de va et vient vigoureux sur sa tige érigée, il arrive enfin à jouir et à propulser trois jets de sperme sur son ventre. Je réalise alors que j'ai suivi avec attention ses mouvements, je l'ai maté sans vergogne et avec attention. Et je dois avouer que le spectacle de sa rondelle dilatée par le gode qui sort de son anus me fascine grandement ! Cette fascination se traduit d'ailleurs au niveau de ma queue : je suis légèrement bandé. La scène ne m'a pas laissé indifférent. Mais personne ne semble le remarquer cette fois.
Et Mike lèche aussi le ventre de Chris et avale avec attention la liqueur de mon cousin. Puis il se relève.
- « Relevez-vous tous les trois ! »
Avec docilité nous obtempérons. Quelle suite a-t'il prévue ? Chris est toujours à poil et se trouve à ma gauche. Mike nous ordonne alors :
- « Pascal et John : à poil ! »
Ainsi donc les fringues n'étaient qu'un accessoire du scénario. Je les retire rapidement et me retrouve comme Chris. John fait de même. Mike les ramasse et les met tous dans le carton. Puis il reprend également le gode et le tube. Il nous regarde enfin tous les trois :
- « Voila j'ai terminé, je vous laisse. Raldo revient demain matin. D'ici là, vous resterez enfermés ici. Je vous porterais un repas dans la soirée. »
Puis il se retourne vers moi :
- « Tu t'es bien comporté tout à l'heure, tu devrais faire acteur de film X… »
Je ne sais que répondre et bafouille :
- « Euh… oui… enfin… »
Sans répondre mais me jetant un sourire il se retourne et quitte la salle. Le verrou qui se referme émet un clac sonore. Nous sommes toujours tous les trois nus et prisonniers dans ce chalet.
L'après midi s'étire lentement. Après avoir encore une fois discuté sur les possibilités inexistantes de fuite, chacun se repose et réfléchit aux derniers événements. Pour ma part je me demande encore comment et pourquoi j'ai pris autant de plaisir à me branler avec un gode entre les fesses devant mes camarades de captivité et devant Mike. Mais plus je réfléchis, plus je m'embrouille et moins j'y vois clair dans mes sentiments... Finalement je finis par m'endormir sur un des matelas. Je me réveille un long moment plus tard. Alors que la nuit tombe, Mike fait son entrée avec des plateaux repas qu'il pose par terre.
- « Levez-vous. Je dois juste vérifier un truc. Pascal, approche ! »
Je me lève du matelas et m'approche. Il me fait signe de me tourner.
- « Penche-toi en avant et écarte les fesses avec tes mains. Je veux voir ta raie et ton trou du cul. »
Docilement je m'exécute. J'écarte mes globes fessiers avec mes mains et lui présente mon cul ainsi ouvert. Il vérifie alors soigneusement que mon anus ne porte aucune trace des scènes qu'il nous a imposées en début d'après-midi, auquel cas il aurait de sérieux problèmes avec le vrai maître des lieux, c'est-à-dire Raldo. Mon inspection intime est à présent terminée.
- « Ok, au suivant. A toi John. »
Avec mauvaise grâce John obéit. Mike l'examine rapidement. Puis c'est au tour de Chris de lui présenter son anus. Il est examiné durant une longue minute et avec attention.
- « Ok, c'est tout bon. Mangez maintenant. On se retrouve demain matin. »
Et sur ces paroles notre gardien se retire. Nous restons à présent seuls avec nos repas. Nous avons faim et nous finissons les copieux plateaux, puis chacun de nous cherche le sommeil, dans l'attente du lendemain incertain... Je finis par m'endormir, perdu dans des tourbillons de pensée érotiques où se mélangent des scènes de cul, des bites érigées et fières, des anus ouverts par des godes surdimensionnés…
La suite : Un chalet en montagne - 16/26
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