Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 14:24

Au lycée je n’ai pas beaucoup de copains. Je suis un peu « sauvage ». Un garçon quand même fait souvent le chemin avec moi car il n'habite pas loin. Il s’appelle David, on est dans la même classe et on se voit parfois en dehors des trajets. Il est sportif, bien fait, grand, de la même taille que moi, musclé un peu plus que moi, calme et gentil. J’aime bien être avec lui. Un jour où on trainait ensemble en ville et on regardait les vitrines des magasins, je lui dis que je m’achèterais bien un MP3 mais que je n’avais pas assez d’argent.
– Si tu veux t’en faire, je connais un truc.
– Ouais super ! C’est lequel ?
– Ben... Je ne sais pas si tu vas être d’accord ?
– Ouais, pourquoi ? Je suis près à faire n’importe quoi !
– Là, je ne sais pas si ça va te plaire ! Tu peux te faire facile 50 euros en quelques heures, mais c’est spécial. C’est un photographe et faut se mettre à poil...
– Ah d’accord ! Je l’ai jamais fait.. Et c’est tout ?
– Ben oui. Tu prends des poses, ils te diront ce qu’il faut faire, c’est tout. Si tu leur plais, tu peux te faire beaucoup d’argent.
Je ne voyais pas de difficultés et après tout, se mettre à poil ce n’était pas bien difficile ! Je ne risquais rien à essayer.
– Tu l’as déjà fait toi ?
– Quoi, des photos ? Oui bien sûr !
– Et ce n’est pas difficile de se mettre à poil devant un étranger ?
– Tu te mets bien en maillot de bain devant tout le monde à la piscine ou à la plage... Là c’est pareil sauf qu’il n’y a pas de maillot. C’est tout !
Je réfléchis quelques instants. C’est vrai, après tout : au vestiaire, je me mets bien à poil et ça ne me gêne pas...

– Si tu peux me présenter ce photographe, je veux bien essayer. Si ça rapporte tant que ça.
– Tu verras ils sont très gentils, tu n’as pas a avoir peur. Je leur parlerai de toi et je te dirais.
Le lendemain au lycée, David me dit qu’ils nous attendaient mardi prochain à 10 heures. On n’avait pas cours de 10 heures à midi et on avait tout le temps.
Le mardi matin, je m’étais fais beau : bien coiffé, propre comme un sou neuf, sapé de propre, j’étais prêt ! A 10 heures David et moi nous présentions à la porte d’un pavillon dans une rue calme non loin du lycée.
Le mec qui nous accueillit fut très sympa. Il emmena David et me laissa avec un type qui s’appelait Pierre. Il avait environ trente cinq ans, sportif, décontracté, un peu artiste, très élégant.
Il me posa quelques questions, me dit qu’il faisait des photos de garçons pour des sites pornos américains et qu’il n’y avait que peu de chance que l’on me reconnaisse. Il me proposa de me maquiller un peu et de me poser des tatouages fictifs pour qu’on me reconnaisse moins.
– D’accord ? T’es prêt ? On y va ?
– Prêt ! Répondis-je. Il m’emmena dans une pièce meublée comme une salle de séjour, toute blanche, confortable. Il y avait un canapé en cuir et des fauteuils, des lampadaires et des projecteurs. Au mur une sorte de sculpture abstraite, des tableaux éclairés par des spots lumineux, des appareils photos sur pieds, et tout un tas de matériel de photographie.
– Tu te mets sur le canapé et tu te déshabilles lentement en essayant d’allécher l’objectif ! Tu vois ce que je veux dire ?
– Oui, je vais essayer.
Je m’assis dans le canapé, et il me donna des conseils.
– Moins raide ! Ne regarde pas l’objectif, juste à coté ! Oui, comme ça ! Écarte les jambes qu’on voit bien ton paquet, caresse-toi un peu, si tu bandais ce serait mieux... N’y pense pas, pense plutôt à un truc cochon : au dernier porno que t’as vu !... Maintenant quitte ton polo. Voilà, comme ça ! Caresse-toi les tétons, oui ! Tire un peu la langue. Oui, super !
J’essayais d’être le plus sexy possible, de montrer mon corps, mes formes même si je n’avais pas l’habitude de ça. Je sentais mon sexe gonfler dans mon slip... Est-ce que ça se voyait ?
– Allez c’est bien, on dirait que tu l’as déjà fait. Tu l’as déjà fait ?
– Non, c’est la première fois !
– Alors t’es doué, continue. Déboutonne ton pantalon. Vas-y, ouvre le, laisse apercevoir ton slip, ouais ! Super !
– Et David, il est où ?
– Oh, je ne sais pas, sans doute à coté, en train de faire des photos. Pourquoi ?
– Comme ça, pour savoir.
– Tu sais, ici il ne faut pas s’intéresser à ce que font les autres. La discrétion est la règle. Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire !
En disant cela, toujours l’oeil sur l’écran de son appareil, il le prit à la main et s’approcha de moi pour faire des gros plans.
De sa main libre il ajusta la mèche sur mon front, il me fit tourner la tête en me prenant le menton, écarta ma ceinture puis me l’arracha. Il fit descendre un peu mon pantalon pour dégager mes hanches.
– Quitte-le !
Je baissais donc mon pantalon et me retrouvais en slip. Il me photographia en gros plan et cette situation m’excita un peu plus. Je sentais mon sexe grossir de plus en plus. De sa main il soupesa mon sexe dans la poche de mon slip. J’eu un réflexe de recul...
– N’aie pas peur, je veux juste te mettre en valeur, m’expliqua-t-il. Vas-y, continue à bouger.
On reprit les poses.
– Quitte-le aussi ! Dit-il.
– Quoi ? Mon slip ?
– Ben oui, t’as plus que ça que je sache ! Me répondit-il en riant. T’es là pour ça, non ?
Devant cette évidence je ne pouvais plus me dérober. Je  mis les mains sur ma ceinture élastique et commençais en hésitant à le quitter.
– Allez, vas-y doucement ! Arrête-toi là, oui, retourne toi, c’est ça, montre-moi tes fesses !
– Ah j’adore, elles sont bien rondes et fermes comme j’aime.
Il était tout près et me mis une petite tape.
– Allez tourne toi encore, allez baisse un peu plus ton slibard ! Montre-moi tes poils et la naissance de ta queue.
Il tendit la main et mit mon slip dans la position voulue. Pour cela il effleura ma bite, j’eus de nouveau un réflexe de recul. Je n’avais pas l’habitude qu’un homme – ou une femme– s’approche de mon intimité...
– Oh t’es craintif ! T’en fais pas, je ne vais pas te violer.
Je cru l’entendre murmurer : « Quoi que !... », mais je n’en suis pas sur...
Il continuait à faire ses photos. Puis tout d’un coup, il annonça la pose. Il déposa son appareil par terre et s’assit à côté de moi.
J’avais encore mon slip en haut des cuisses, la bite à moitié découverte. Il se tourna vers moi et me quitta complètement mon slip.
– Fais-moi voir comment t’es monté... Oh, pas mal pour ton âge ! S’exclama-t-il. Je peux toucher ?
Et sans attendre de réponse il prit ma tige en main et se mit à la branler. Il mit l’autre main entre mes cuisses et me caressa les testicules.
– T’es très mignon. Je sens qu’on va bien s’entendre tous les deux...
Je ne répondis pas et me laissais faire. Je le regardais me branler et quand il se pencha pour déposer sur mon gland un baiser je m’enfonçais dans le canapé.
– Tu aimes qu’on te caresse ? Me demanda-t-il négligeamment.
– Je ne sais pas, c’est la première fois.
– Oh tu blagues ! C’est pas la première fois qu’on te caresse ?
– La première fois avec un homme, je ne suis pas pédé.
– T’es pas pédé et tu viens de te foutre à poil devant moi ? Tu te laisses caresser ? Explique-moi.
– Ben j’ai besoin d’argent avançais-je timidement.
– Ah, c’est pour l’argent ? Ca explique tout ! Et pour 50 de plus tu veux bien que je te suce ? Dit-il en riant.
Il se mit à me sucer la bite. C’était bon. Je me sentis de plus en plus excité. Je sentais le sperme monter dans ma tige.
– Arrête je viens !
Il me lacha et se mit à me regarder dans les yeux.
– Tu sais que t’es pas mal pour un hétéro. T’as une petite amie ?
– Non.
– Et avec David, tu l’as déjà fait ?
– Non ! Il est pédé ? Demandais-je étonné.
– A ton avis ?
Je compris que j’avais été piégé. J’allais me faire mettre pour pas cher !
– Bon c’est midi, il faut que tu rentres chez toi, ta mère va se faire du souci ! Comme t’as été sympa et un bon modèle je te donne le double du prix convenu. Ça te va ?
– Oui très bien merci. Je peux revenir ?
– Quand tu veux, on reprendra cette conversation. Je vais voir où en est David pendant que tu te rhabilles.
Il quitta la pièce et laissa la porte ouverte. Je vis David dans la pièce à coté avec le mec qui nous avait accueillis. Ils discutaient avec mon photographe.
Quand je fus rhabillé, je les rejoignais.
– Alors cette séance de photos, pas trop difficile pour une première fois ?
– Si un peu, mais je m’y ferais !
– Si je comprends bien tu as l’intention de revenir ?
– Oui ! Si vous êtes d’accord.
– Pas de problème. Il parait que tu t’y prends bien. Voyons le programme... Mardi prochain à 10 heures ça va ?
– Parfait pour moi dis-je.
– Pour moi aussi dit David.
Sur le chemin du retour, David me dit.
– Alors, Il t’a donné combien ?
– 100.
– Seulement, t’as pas dû faire tout ce qu’il te demandait ! D’ailleurs il n’avait pas l’air très content. Il me l’a dit.
– Ah ? A moi il m’a dit qu’il était content et qu’il me donnait le double du prix convenu parce qu’il était satisfait.
– D’accord, c’est la première fois, c’est normal. T’as pas dû faire tout ce qu’il voulait, ils m’ont plus ou moins dit de t’initier. La prochaine fois laisse-toi faire : tu verras il sera encore plus généreux.
– Le laisser faire, tu veux dire tout ? Même le laisser me faire l’amour s’il veut ?
– Ben oui ! Il n’a pas essayé ?
– Si, mais je ne l’ai pas laissé faire.
– Eh bien voilà ! La prochaine fois laisse le faire ce qu’il veut ...
– Mais je ne l’ai jamais fait avant. Je ne sais pas...
– Tu veux que je te montre ?
– T’as qu’à venir samedi chez moi, je te montrerai.
Rendez-vous fut prit...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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