Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 15:53

Je m'appelle Bastien, j'ai 15 ans, je fais partie d'une bande de copains, nous habitons à la campagne. Souvent le weekend, nous allons à la rivière pour nous détendre. Nous passons de grands moments à nous amuser, nous chahutons beaucoup et, depuis quelques temps, nos jeux ont pris une nouvelle orientation.

En effet, il y a 6 mois, nous allions comme souvent avec mes copains : Cyril, Lionel, Jérôme, Grégory et moi même, à la rivière. Quand, arrivé près de l'eau, Cyril nous raconte une aventure qui lui est arrivé cette semaine au lycée (il est en pension et ne rentre que les weekends et pour les vacances). Il nous raconte que le mardi, après le cours de gym, il rentre au vestiaire avec toute la classe pour se changer et que là, un de ses copains lui parle et en fait le retient sans qu'il ne s'en rende compte pendant que les autres quittent le vestiaire à l'exception de 3 garçons de sa classe. Dès qu'il se retrouvent entre eux, l'un des 3 mecs ferme la porte avec le verrou puis tous se jettent sur lui et lui font une «mise à l'air».

— Tu as fait quoi?

— Rien, je n'ai rien pu faire, ils étaient trois à me tenir et le quatrième m'a enlevé mon jogging et mon slip. Je me suis retrouvé la bite à l'air devant eux, c'est tout.

— Ça t'a plu?

— Bof, on est tous pareils, c'est pas grave !

— Oui, t'as raison, on est tous pareils. Mais maintenant, je pense qu'on va te faire la même chose pour voir si tu es bien comme nous. Vous en pansez quoi les autres ?

— Oui OK !

Pendant que je dis ça à Cyril, je me suis approché de lui et mes potes aussi. Il ne peut pas se sauver, il le sait. Alors je passe derrière lui, lui attrape les bras pour qu'il ne puisse pas se débattre tandis que Grégory prend sa ceinture et lui attache les poignets. On finit par le coucher par terre. Il ne peut rien faire. Jérôme et Lionel le tiennent au niveau des épaules, Grégory lui prend les chevilles, moi, je vais me charger de sortir sa queue mais avant de le faire, je passe ma main sur la bosse que fait son sexe dans son survêt.

— Mais tu bandes !

Je dis ça en lui caressant la bite à travers le pantalon. Je sens une bite dure comme du fer. Il ne dit rien. Les autres regardent tout en le maintenant au sol. Et effectivement, dès que j'arrête de lui toucher la queue, on voit tous la grosse bosse dans son pantalon. Les uns après les autres, on échange nos places pour que tous les quatre on lui caresse la queue pour vérifier chacun à son tour. Puis je reprends ma place de leader et lui baisse son jogging puis son slip et découvre une belle bite de 15 ou 16cm, droite, avec un prépuce qui recouvre en partie le gland et deux couilles qui pendent bien, dans leur sac entouré de poils bruns. Je ne veux pas m'arrêter là.

— Alors c'est ce qu'ils t'ont fait au bahut ?

— Oui, mais je bandais pas. Ils ne m'ont pas touché, juste déssapé.

— Et c'est tout ? Ils ont rien fait de plus ?

— Non, que veux-tu qu'ils fassent ? Tout comme ici, je suis à poil devant vous comme je l'étais devant eux. Tu veux quoi de plus ?

— Voir ton foutre !

— Quoi ?

— Voir ton foutre, ton sperme, ta jute quoi ! Appelle ça comme tu veux, mais on va te voir éjaculer...

— Ah oui, mais pour ça il faudrait me donner du plaisir, c'est-à-dire me branler !

— Oui t'as raison...

Et sans rien dire de plus, je lui attrape la queue et je commence une branlette qui a l'air de lui plaire. Les autres aussi car ils n'en perdent pas une miette. Je lui fais un mouvement de piston, assez lent, en prenant bien soin de le décalotter à fond puis de bien remonter tout en haut, en recouvrant son gland puis en rebaissant la peau. Je le branle pendant plus de dix minutes. Chaque fois que je sens une secousse dans son sexe, j'arrête. Je veux qu'il jouisse mais pas trop vite : il n'en peut plus. Là aussi, nous échangeons nos places et en fait ce n'est pas une main mais quatre différentes qui le branlent.

— Vas-y, branle moi et finis moi s'il te plait. C'est trop bon, continue jusqu'au bout, ne t'arrête pas !

— Ok mais tu vas toi aussi me faire jouir... et les autres aussi...

— Oui si tu veux, détachez-moi et je vous branle !

— Non, les mains dans le dos, tu peux nous faire jouir aussi !

— Uh ! Mais comment ?

— Avec ta bouche !

— Non pas ça...

— Si, allez ! Mettez-le à genoux, qu'il ait la bouche à hauteur de nos braguettes...

J'ai dit ça et mes copains le font. Cyril est maintenu par terre, à genoux, la bite droite. Je me place devant lui, dégraffe mon jean, sors ma bite. Les autres ont eux aussi le sexe à l'air, on bande tous.

— Allez, ouvre la bouche !

Je dis ça en avançant ma queue. Il ne peut pas bouger car il est bien maintenu. Il ouvre alors la bouche et je m'introduis.

— Bien ! Maintenant, lèche-moi comme une glace...

Il obéit. Je lui éjacule dans la bouche en moins de deux minutes puis je m'agenouille à mon tour. Il se relève, mon sperme coule de ses lèvres. Il approche à son tour sa queue de ma bouche :

— À ton tour !

Je lui fais alors une super pipe puis aux autres aussi. Nous avons tous joui plusieurs fois dans l'après-midi, et depuis nous le refaisons souvent. Il ne se passe plus une semaine sans que nous nous branlions et nous sucions mutuellement.

 

à suivre...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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