Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 14:00

Episode précédent :  Un chalet en montagne - 21/26

 

Chapitre 22/26: Urtica


La suite nous sera racontée par John lui-même bien plus tard... A partir de ses explications, voila ce qui s'est passé pour lui.

Toujours maintenu par la nuque John est emmené dans la salle où se trouvent les caméras. Dès son entrée on lui tend une petite pilule bleue qu'il est forcé d'avaler avec un verre d'eau. Il suppose, avec raison, que c'est du viagra. Il en ressentira d'ailleurs les effets sans tarder.

Devant les caméras, deux matelas ont été rapprochés. John est poussé au centre de ces matelas.

- « Bien, écarte un peu les jambes et ne bouge plus. »

Inquiet mais docile il reste debout et écarte ses jambes.

- « Branle-toi. Il faut que tu bandes. »

John est surpris. Les caméras ne tournent toujours pas comme à l'accoutumée. Il pressent que quelque chose d'autre se prépare. Et quelque chose de pas agréable pour lui.
Toutefois, sachant qu'il est parfaitement inutile de résister, il place sa main sur son sexe. Il commence alors à se branler. Malgré le contexte et les regards portés sur lui, il bande très rapidement à sa grande surprise d'ailleurs. Il comprend alors la grande efficacité de la pilule qu'il a avalée. Son sexe est dur et érigé vers le haut, presque plaqué contre son ventre. Le gland est plus que dégagé, le prépuce retroussé. Il bande en fait comme un âne sans qu'il ne puisse rien y faire.

- « Ok ! C'est bon. Arrête-toi. »

L'inconnu s'approche alors de lui et, à l'aide d'une ficelle, lui enserre la base des couilles et réalise un nœud complexe qui sépare les 2 testicules du garçon. Chacune de ses boules se trouve séparée et attachée. C'est suffisamment serré pour que la ficelle ne puisse s'enlever mais pas trop pour ne pas couper la circulation sanguine. Mais cette pression maintient et renforce l'érection de John malgré lui. La ficelle se prolonge ensuite sur plusieurs mètres et l'inconnu en tient l'extrémité.
A présent, Raldo et le gardien ont pris place derrière les caméras et commencent à filmer. C'est l'inconnu qui dirige la scène. Le dernier homme reste légèrement en retrait et ne dit rien.

- « Allonge-toi sur le dos ! Et tu écartes les bras et les jambes. »

John obéit. L'homme lui attache alors les chevilles à une barre d'environ 1m de long. Cette barre lui tient les jambes écartées. Au milieu de cette barre un anneau est fixé au sol par une petite cordelette. John ne peut donc lever cette barre vers le haut. Ses bras sont tirés en arrière et de la même manière, une autre barre les maintient écartés et fixés au sol. Il est ainsi écartelé sur le dos mais avec un peu de liberté. Chacun de ses membres peut bouger un peu mais pas trop. Au milieu de son corps, son sexe est toujours en érection, plaqué sur son ventre.

A présent John a peur et roule des yeux effarés. L'homme s'approche de son visage et lui ordonne d'ouvrir la bouche. Le pauvre garçon ne peut qu'obéir. On lui enfonce alors une grosse boule de mousse dans la gueule. Cette boule est trouée pour permettre le passage de l'air mais il ne peut plus parler et ses éventuels cris seront étouffés. Un bâillon l'empêche de cracher cet objet qui lui maintient la gueule ouverte. Jamais il n'a eu aussi peur et ne s'est senti aussi vulnérable.
- « Parfait. Je vais t'expliquer un peu quand même. »

John regarde alors l'homme au-dessus de lui. Il aimerait comprendre pourquoi tout cela.

- « Voila. Jusqu'à présent Raldo a tourné des films avec vous. Mais des films sympas et plutôt soft. Du classique quoi. Moi je produis des films plus hard et plus vrai. Voila pourquoi tu es attaché. Tu vas avoir mal. C'est normal, c'est fait pour. Mais rassure-toi, rien de définitif. Mes acteurs doivent rejouer ensuite, tu comprends ? »

Apeuré par ce discours John comprend surtout qu'il est l'acteur de film genre sado maso mais sans son accord. Et qu'il doit s'attendre au pire. Il se débat mais ses entraves ne lui laissent aucune chance. Il ne réussit qu'à gigoter maladroitement sur ses matelas. Et c'est exactement le but du cruel scénariste : lui faire peur pour augmenter la crédibilité du film...

- « Bien, nous allons commencer. »

L'homme se saisit d'une bougie, l'allume avec son briquet et l'avance sur le sexe toujours en érection du supplicié. Il attend quelques instants que la bougie chauffe et que la cire tombe en goutte. Il dirige la première goutte sur le gland violacé du jeune garçon. A son contact, John crie et s'arque violement, dans un réflexe de douleur. Avec calme et sans tenir aucunement compte de la douleur de son esclave sexuel, l'homme continue à diriger les gouttes de cire sur le sexe tendu. A chaque goutte John subit le martyr. Il crie, gigote, se tortille, essaie de se libérer, remue violement, se cabre mais tout cela ne sert à rien. Ou plutôt si : à produire un film très réaliste. Les gouttes sur le gland sont les plus douloureuses. Sur la verge la tendre peau atténue la douleur mais elle reste forte. Sur les bourses également la souffrance est grande. Pendant environ 10 mn, le temps pour la bougie de fondre de moitié, John se convulse et souffre beaucoup à chaque goutte brûlante. Il ne crie plus mais pleure. Et ne peut s'empêcher de réagir en remuant son corps, en essayant de se libérer avec force.

A présent John ne sait plus si c'est son sexe qui lui fait mal ou les gouttes chaudes sur sa peau. A force de douleur et d'avoir les couilles serrées dans sa ficelle il a mal de partout. Son supplice dure plusieurs longues minutes.

L'homme s'arrête enfin et éteint la bougie. Il examine alors le visage de John plein de larmes. Sur un signe le gardien s'approche de lui et, à l'aide d'une serviette humide, essuie ses larmes. John reprend un peu ses esprits, en même temps que les douleurs à son sexe s'éloignent doucement.

- « Ok ! Tu as subi la première partie. Je passe maintenant à la suite. »

Ces propos ne sont pas faits pour rassurer le pauvre garçon…

Les 2 barres sont désolidarisées du sol mais restent fixées à ses membres. John est relevé et mis debout. Puis la barre liant ses poignets est fixée en hauteur. Il a les bras tendu en V au dessus de sa tête. A nouveau il peut remuer un peu tant ses liens sont lâches. Mais il s'agit d'une liberté de mouvement très relative. A sa grande surprise son érection dure toujours. L'effet de la pilule. Son sexe est rouge et lui fait toujours mal. Il est toujours bâillonné et la boule dans sa bouche le fait saliver anormalement. Le gardien lui donne alors un dernier coup de serviette sur son visage qui redevient dès lors présentable.

Les caméras devant lui se remettent à fonctionner. Une nouvelle séance commence. L'inconnu passe derrière John qui ne voit donc rien et fouette légèrement ses fesses bronzées. John ressent alors non pas une douleur vive mais de cuisantes brûlures sur ses fesses. Il ne comprend pas et hurle de douleur. A chaque coup quelque chose de souple s'écrase sur son corps et l'irrite fortement. Après plusieurs coups il commence à comprendre qu'il s'agit de plantes. Et plus précisément des orties. L'homme tient un gros bouquet de cette plante urticante et s'en sert pour fouetter notre camarade. La brûlure est forte et urticante. De plus John me dira plus tard qu'il craint particulièrement les piqûres d'orties ! Pour le moment ses fesses rougissent et brûlent comme si un fer à repasser était posé dessus. Il se tortille pour essayer d'échapper aux coups mais impossible bien sûr… Ses mouvements ne sont autorisés que pour renforcer le réalisme du film. Avec un cruel sang froid les scénaristes ont tout prévu.

A présent l'homme passe le bouquet d'ortie entre les jambes écartées de John. La peau sensible de ses bourses est atteinte et les brûlures sont encore plus vives. Sur ses cuisses et dans sa raie c'est également très douloureux. Son anus lui brûle également. Habituellement les orties provoquent une vive sensation brève de brûlure qui s'estompe rapidement mais là, le pauvre adolescent est piqué régulièrement et sans arrêt. Ce supplice qui n'est pas dangereux est très simple et douloureux et John déguste. Pour la plus grande satisfaction des caméras et de ceux qui les contrôlent. Les orties passent et repassent entre ses jambes. Il a beau se démener et remuer comme un beau diable, rien n'y fait.

Puis l'homme passe devant et, à bout de bras pour ne pas être dans le champ des caméras, s'attaque à la verge gonflée et violacée de John. Il bande toujours à fond. Déjà que les ficelles lui faisaient mal. Mais là, la piqûre des feuilles le fait littéralement bondir de douleur. Le pire étant les brûlures sur le gland à vif que le prépuce ne protège aucunement. Paradoxalement, sous l'action de la plante urticante, il bande encore plus et il n'a jamais eu si mal de sa vie à son sexe. Ses couilles ne sont plus qu'un bloc rouge, gonflées et irritées de douleur. Sa queue est tendue à l'extrême, les veines saillantes. On dirait qu'elle va exploser. Plusieurs fois et durant plusieurs minutes les orties sont passés sur sa bite, ses couilles et à nouveau entre ses jambes. Jamais John n'aurait pensé avoir autant mal avec une simple plante. Il danse littéralement accroché à ses liens. Pour finir l'homme le flagelle également sur le dos. Puis il change le bouquet et, ne gardant qu'une jeune pousse, celle qui pique le plus, il promène la branche doucement sur les fesses, entre les jambes et bien sûr les couilles, sans oublier le gland fortement gonflé. John encaisse difficilement cette dernière souffrance et ne peut empêcher les larmes de couler sur ses joues.

Son supplice est enfin terminé. L'homme s'approche de son sexe et défait la ficelle nouée autour de ses couilles. Cette libération procure à John un bien fou. Il sent le sang revenir normalement dans sa bite.

- « Voila. C'est fini pour toi. Je te laisse 15 mn encore attaché debout. Pour ne pas que tu te grattes. La douleur va disparaître toute seule. Y qu'à attendre... »

John comprend alors que son calvaire est enfin terminé. Petit à petit la douleur et les brûlures se réduisent. Il a une furieuse envie de se gratter mais bien sûr il ne peut pas. Après quelques minutes on lui retire son bâillon et la boule dans sa bouche. Il peut enfin respirer normalement. L'homme lui tend également un verre d'eau.

- « Tu en veux ?

- Oui. »

Avec gentillesse le verre d'eau lui est porté à ses lèvres. Il peut ainsi se rafraîchir. Durant ce temps Raldo a stoppé les caméras et s'affaire devant les écrans de contrôle. John a maintenant débandé et ses douleurs ont presque disparu. Il reprend ses esprits et va mieux. L'inconnu s'adresse à lui :

- « C'est bien, le film est bon. »

Le garçon ne sait pas trop quoi répondre et choisi la prudence.

- « Ah bien. »

Puis, sentant que l'homme est bien luné, il ose une question :

- « Mais vous ne trouvez pas de vrais acteurs pour faire cela ?

- Si, mais ce n’est pas pareil du tout. Ce n'est jamais aussi bien. Il faut quelqu'un de neuf. Un jeune qui n'a jamais été acteur et qui ne sait pas ce qui l’attend. C'est vraiment plus réaliste. »

John ose poursuivre.

- « Mais ça fait vraiment mal !

- Oui et c'est le but. Mais tu vois après 1h il n'y a plus de trace. Je ne veux pas laisser de traces sur les corps de mes acteurs même s'ils sont forcés. »

Devant la bonne volonté de son scénariste John enchaîne :

- « Mais… euh… on va rester longtemps ici ?

- Ah non, là mon garçon tu vas trop loin, je ne peux te répondre. »

John n'insiste pas et se tait. Le rangement se poursuit. Mais lui reste attaché. Un bon quart d'heure passe. Brusquement l'inconnu lève la tête vers lui et le regarde et lui dit :

- « Tu sais, je sais très bien qui sont tes parents. Et surtout ton père qui est riche. Tu n'es pas là contre une rançon. Mais c'est ce qu'il doit penser et ça nous arrange bien en fait… »

C'est une confirmation pour John qui comprend alors qu'il est prisonnier et acteur uniquement car il est un bel adolescent.

Le montage des images se poursuit par Raldo et l'inconnu toujours penchés sur leurs écrans. Puis l'homme se lève et se dirige vers John. Il lui examine alors les couilles, sa raie et ses fesses. Il vérifie soigneusement l'aspect de sa peau. Il va même jusqu'à retirer avec douceur le prépuce de son sexe. Le gland a retrouvé un aspect et une couleur normale.

- « Tu vois, ta peau n'est même plus rouge maintenant. Je vais pouvoir te libérer. »

Il défait alors les poignets et les mollets du jeune garçon. John a un peu mal aux épaules d'être resté les bras en l'air assez longtemps. Mais à part une douleur diffuse aux couilles il ne ressent plus trace de sa séance de torture. Il est alors ramené par le gardien dans la chambre où il nous retrouve avec soulagement.

Il nous raconte alors ce qu'il vient de vivre. Un silence de plomb suit son récit. Chacun de nous s'attend maintenant à devoir subir une telle séance. De plus nous ne savons toujours pas quand nous serons libérés. En fait on ne sait même pas si ce sont les intentions de nos geôliers...
Une heure passe. La fin de la journée approche. Effectivement un repas nous est porté. Le gardien nous laisse une heure pour manger puis, sans mot dire, passe reprendre la table roulante et les restes. Comme d'habitude pas le moindre couvert en métal. Couvert en plastique et assiette en carton. Rien pour servir d'arme. Nous sommes toujours à la complète disposition de nos scénaristes. Un moment après Raldo entre et demande à John d'approcher. John obéit rapidement.

- « Ecarte un peu tes bras et tes jambes. »

Docilement il réalise l'ordre de Raldo qui se penche alors vers son sexe. A nouveau Raldo vérifie minutieusement l'aspect physique des parties intimes du garçon. Puis c'est au tour des fesses et de la raie d'être examiné avec le même soin.

- « Bien, allonge-toi sur le dos et plie les jambes. »

Sachant maintenant que Raldo ne veut qu'une vue dégagée de son anus et de son périnée John s'exécute rapidement et prend sans crainte la pose demandée. Raldo vérifie alors que sa peau ne comporte plus de rougeur. Tout semble donc aller bien pour John.

- « C'est bon, redresse-toi. »

Et s'adressant à tous :

- « Voilà, maintenant on se revoit demain matin. »

Puis il nous quitte sans dire un mot de plus. Lentement la nuit tombe à travers la seule fenêtre haute et inaccessible de la salle nous servant de chambre. L'éclairage étant contrôlé par nos gardiens, nous nous retrouvons dans le noir dès la nuit tombée. Chacun essaye alors de s'endormir en espérant qu'aucun gardien ne vienne nous importuner et ainsi profiter de la nuit.

 

La suite :  Un chalet en montagne - 23/26

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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