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Des événements peuvent marquer à jamais une vie surtout quand, par timidité, on a honte de montrer un corps malingre... sauf à la Veuve Poignet. Et, aujourd'hui encore je me souviens de ces camps sans confort : dortoirs immenses, douches collectives, visites médicales...
Heureusement, vers mes 17 ans, l'Auberge de Jeunesse qui accueille notre groupe possède des chambres individuelles tamisées la nuit par les réverbères du jardin mais encore équipée de douches
sans porte ou rideau et d'urinoirs sans séparation. Toujours pas facile de se cacher face à des mecs musclés, super bien montés et qu'il faut mater discrètement.
Aussi, pour cette dernière nuit chaude d'été, se coucher en pyjama étant de la folie un drap et un simple caleçon suffisent... Je dors tellement profondément que je ne sais même pas si le
surveillant est passé car les portes ne ferment pas à clé pour des raisons de sécurité en cas d'éventuelle évacuation d'urgence.
Soudain je sursaute et, sans avoir le temps de crier, un gros pansement me ferme la bouche, un foulard est posé sur mes yeux et attaché derrière la tête et mes poignets sont ligotés de chaque
côté du sommier. Et hop le slip en bas ! Mais combien sont-ils ?
Le premier me lèche le torse en pinçant mes tétons. Le deuxième, tout en ajoutant quelques chiquenaudes sur mon gland, descend le prépuce au maximum afin que le dernier me lie les testicules avec
une fine cordelette fixée au pénis par de nombreux nœuds bien serrés. Et au plus je gesticule, au plus cela irradie dans les couilles.
Me débattre ne sert donc plus à rien. C'est justement ce qu'attend celui qui me ficelle car, à l'aide d'une paire de ciseaux il coupe les poils pubiens et rase tous ceux qui restent, au millimètre près.
Le bâillon est ensuite arraché. Pas le temps de crier : on m'introduit de force un braquemart en érection, on me suce énergiquement et on écarte mes jambes pour inonder ma rondelle d'une salive gluante. D'un coup sec une queue hors-norme s'enfonce jusqu'à ce que les burnes touchent mes fesses et elle effectue des rotations dans le sens des aiguilles d'une montre puis de l'autre côté en dilatant de plus en plus les parois. La douleur est tellement insupportable que mes dents se referment sur la queue du mec que je pompe.
La correction ne se fait pas attendre. Il empoigne mes cheveux, en arrache quelques-uns et laisse retomber ma tête lourdement sur l'oreiller qui amortit le choc, heuresuement ! Ces trois gars
sont vraiment balaises et sûrement plus âgés que moi... Pourquoi le lit ne grince-t-il pas? Il pourrait donner l'alerte... Mais non, il joue bien son rôle de complice.
Dans des spasmes de plus en plus rapprochés suivis de plusieurs soubresauts je décharge ma semence. Le sucre d'orge quitte ma bouche tandis que quelqu'un se colle sur mon ventre pour boire ma
sauce. Le second passe sa langue sur le gland et vient y ajouter ce qu'il a récolté. Le troisième, jusque là toujours bien enfoncé, fait de même.
Durant cette «dégustation» la tournante continue. Des coups de marteau piqueur, toujours aussi violents, reprennent dans mon tunnel et je n'ai pas encore fini de tout avaler qu'on y ajoute un
liquide crémeux qui me brûle la gorge. Le type essuie sa pine encore dégoulinante sur le pavillon de mon oreille pendant que le deuxième prend déjà la place du premier et que le dernier bien sûr,
imite ses comparses.
A cause de l'embouteillage buccal, un haut-le-cœur les avertit que je vais gerber. Pas question ! Vlan ! Un nouveau pansement sur la bouche. Quand cela va-t-il donc finir ? Je l'ignore mais une
chose est bien visible : je bande...
Bientôt un des lascars introduit, au fur et à mesure mais assez rapidement, ses doigts dans mon anus et le plus loin possible. L'autre mâchouille mes couilles, le troisième suce ma colonne à tout
rompre et me branle jusqu'à obtenir la toute dernière goutte. Il recrache la purée sur mon ventre et six mains étalent cette mixture pâteuse. Mes poignets sont détachés, je suis soulevé du lit et
déposé sur le carrelage.
Le premier serre mes pieds avec les siens ; le deuxième colle mes bras le long du corps et fait de même ; quant au troisième il incline ma tête vers l'arrière et la coince pour m'immobiliser
complètement. Très lentement et par jets saccadés, ils vident leurs vessies le long de mes jambes, du torse sur la zigounette sans oublier de bien humidifier la cordelette, ainsi que vers les
yeux et dans les narines. Je ruisselle de partout, y compris du méat et du cul !
Vidé dans tous les sens du terme, il me faut un certain temps pour reprendre mes esprits et réaliser qu'ils sont partis sans jamais avoir prononcé un seul mot ! Je passerai le restant de la nuit
à d'abord m'empresser de retirer le bandeau et surtout le pansement imbibé de ce jus «multi-foutre érotique» puis de dénouer très péniblement le lien emballant le service trois pièces et, enfin,
à me laver, ventiler la chambre et la nettoyer.
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