Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 12:55

C'était il y a un an à peine et je n'avais que dix-sept ans depuis peu. C'était en fin du mois de juin au bord de mer où je retrouvais chaque week-end quatre bons camarades d'un ou deux ans plus âgés que moi. Il y avait Jacques et Pierre, dix-neuf ans tous les deux, Alain, dix-huit ans et fabien à peine... Fabien est toujours celui que je préfère car il est très proche de moi dans les idées et les goûts et il est le plus attentif à notre bonne entente et à notre complicité mutuelle. Jacques, Pierre et Alain sont quant à eux très sympas mais à mon goût plus ordinaires que Fabien. Néanmoins nous nous entendons tous les cinq très bien et nous passons ensemble de bons moments d'insouciance.
L'action s'est passée un samedi après-midi très ensoleillé de juin 89. Toute l'équipe que nous étions avait gagné une plage isolée et tranquille où nous avions l'habitude de nous amuser et de nous baigner. Ce jour-là, et je m'en souviens encore comme si c'était hier, après nous être longuement baignés nous avions devisé à bâtons rompus sous les rayons du soleil qui nous bronzait le corps. Sans savoir comment notre discussion en était venue sur les petits problèmes de sexe. Fabien et moi étions plutôt attentifs aux propos de Pierre, Jacques et Alain. Jacques et Pierre étaient plutôt du genre moqueur. Nous prenant à partie, Fabien et moi, le premier eut l'idée saugrenue de me provoquer et me mit au défi de m'exhiber devant tous.
Désemparé et désarmé devant son autorité mais aussi devant sa prestance physique, je me suis hasardé toutefois à lui retourner le défi, rouge jusqu'à la pointe des pieds par la tournure que prenait la discussion. Fabien s'insurgea en prenant ma défense. Mais en un éclair, Jacques, Pierre et Alain se levèrent brutalement et se précipitèrent sur moi sans que j'eusse le temps de faire le moindre geste. Jacques m'immobilisa avec force les jambes et Pierre en fit tout autant des bras et des épaules. Alain se contenta de tenir en respect Fabien pour ne pas qu'il s'interpose s'il ne voulait qu'il lui en coûte. Jacques et Pierre m'ont maintenu immobilisé sur le dos ainsi de bonnes minutes en me pressant de questions indiscrètes et intimes dont j'avais honte et auxquelles je me suis refusé de répondre. Assez sensible je me mis à éclater en sanglots, honteux de la situation. Surveillé par Alain, Fabien malgré tout me réconforta et, dans un élan de tendresse, m'embrassa le front et les joues mouillées de larmes.
Alain pria Fabien de s'écarter et de rester sage. Fortement maintenu par Jacques et Pierre, Alain se plaça sur le côté et dessina du bout de ses doigts des arabesques sur ma poitrine, glissant sur mon ventre, allant sur mes cuisses et remontant en ligne directe par le devant de mon slip de bain. Tout en sanglotant je les suppliais de me laisser tranquille. Rien n'y fit. Très doucement Alain glissa sa main dans mon slip et me toucha la verge et les boules. Fabien se pencha sur mon visage et se contenta de me tenir des propos rassurants. Alain retira sa main de mon slip et cette fois, de ses deux mains, il baissa mon slip au plus bas, jusqu'aux genoux. Je me trouvais ainsi exhibé aux yeux de Pierre, Jacques et Alain ainsi que de Fabien pour la toute première fois.
Anéanti et impuissant ma résistance m'abandonna. Toujours maintenu par Jacques et Pierre, Alain abusa de mon immobilisation pour jouer avec mes couilles et ma bite qu'il décrivait et commentait gentiment au reste du groupe. Avec une expérience indéniable il sut me palper les boules, vérifier qu'elles étaient à la fois bien descendues et bien accrochées. Sous ses attouchements je sentis une érection naissante. Cela facilita Alain dans son exposé anatomique pour prendre ma verge entre ses doigts et tenter de me découvrir le gland. J'ai crié aussitôt qu'il arrête, que cela me faisait mal. Fabien se pencha sur moi, me caressa le visage et me rassura de ne pas paniquer car je risquais d'avoir encore plus mal. Sans pouvoir en expliquer la vraie raison j'ai imploré du regard Fabien et, dans le même temps, j'ai étouffé mes pleurs.
Fabien me tenait toujours la main pendant qu'Alain me masturbait légèrement et se montrait très attentionné pour me découvrir tout doucement le gland. Il humecta de salive le bout de ma verge et força par passes successives sur le prépuce. Après plusieurs passages je ne pus retenir un léger cri lorsque le prépuce glissa totalement, découvrant mon petit bout rouge sous les regards satisfaits de Pierre, Jacques, Alain et Fabien qui me couvrit d'un baiser du bout des lèvres, comme une récompense d'avoir bien passé l'épreuve.
Indéniablement Jacques, Pierre et Alain faisaient preuve d'une certaine expérience en la matière. Pierre proposa que l'on me fasse jouir et ce fut approuvé par Jacques et Alain. Fabien suggéra qu'on me laisse tranquille mais il ne fut pas écouté. Alain saisit à nouveau ma verge entre ses doigts et entreprit de me masturber. Il le fit très adroitement car il sut ne pas m'irriter le petit bout. Rapidement il provoqua une érection très ferme tout en me massant le pubis et les boules et en poussant même ses caresses jusqu'aux abords de mon anus. Je transpirais beaucoup, ce qui lui facilitait d'autant les caresses et lui permettait de s'imiscer loin entre mes fesses. De plus en plus je sentais le plaisir venir. J'ai fermé les yeux pour ne pas voir les visages réjouis de mes camarades. C'est à cet instant qu'Alain a décidé de me sucer. Sa bouche a avalé ma verge toute entière. Sur l'instant, de surprise, jaurais voulu protester mais, en même temps, j'ai eu conscience d'un plaisir nouveau. Je me suis abandonné totalement ce dont s'aperçurent Jacques et Pierre.
- "C'est bon, hein ? Et tu aimes ça, Dominique !"
Alain me suçait admirablement et il sentit les premières contractions de ma queue. Le plaisir arriva avec puissance et mon sperme jaillit quatre ou cinq fois, retombant sur ma poitrine pendant que je râlais de plaisir. Lorsque j'ouvris les yeux, Pierre, Jacques et Alain me félicitèrent. Fabien ne voulut pas être en reste et il déposa un vrai baiser sur ma bouche devant tout le monde. J'en ressentis une profonde tendresse. Je croyais en être quitte et commençais à peine à me remettre de cette situation qu'Alain vint prendre la place de Jacques dans l'immobilisation des mes jambes. A eux deux ils me les replièrent en me ramenant les genoux sur la poitrine puis, Alain se positionna pour me maintenir dans cette position avec cette fois-ci, l'anus bien en évidence. Inquiet j'ai imploré à nouveau Fabien pour savoir ce qu'ils me préparaient à subir. Mais il me gratifia d'un nouveau baiser après m'avoir dit qu'il ne savait pas. Pierre, Jacques et Alain me dirent simplement que je n'avais pas lieu d'avoir peur, qu'ils ne me feraient pas de mal et qu'ils allaient me faire découvrir un autre plaisir.
En effet je sentis les deux mains de Jacques me caresser les fesses. Puis sa bouche y déposa de doux baisers qui, progressivement, se rapprochèrent de mon anus jusqu'à carrément s'y poser. Je sentis alors sa langue me pénétrer un peu pendant qu'avec ses deux mains, Jacques m'écartait les fesses au maximum. J'aurais voulu résister mais c'était si bon que je me suis laissé aller. Jacques retira sa bouche pour la remplacer par un doigt qu'il m'enfonça doucement. Mon fessier était totalement humide. Fabien était devenu curieux et regardait avidement ce que Jacques me faisait. Jacques enfonçait son doigt, le retirait, l'enfonçait à nouveau. Il présenta progressivement deux doigts puis trois. Il réussit à les enfoncer très loin jusqu'à masser ce que j'ai appris aujourd'hui comme étant la prostate.
Me jugeant sans doute assez préparé Jacques enleva son slip de bain, se retrouvant à son tour totalement nu sous les regards de Pierre, Alain et Fabien. Moi je ne voyais rien et j'étais inquiet de ne pas voir ce qui allait m'arriver. Fabien me prit la main en souriant comme pour m'accompagner et me suggéra de ne pas bouger. Je sentis la main de Jacques me mouiller l'anus avec ses trois doigts puis, comprenant ce qui allait se passer, je sentis la verge de Jacques s'appuyer sur mon anus, forcer tout doucement, puis entrer très progressivement. Jacques se retira et se glissa en moi à nouveau aussi doucement. Je sentis sa verge glisser très loin jusqu'à venir buter à fond. Fabien se tourna vers moi avec un clin d'oeil complice et me dit :
- "Ça va bien, Dominique ? Ça ne t'a pas fait mal, hein  C'est très bon aussi, n'est-ce pas ? Tu sais, c'est vraiment beau à regarder !"
Je l'ai regardé droit dans les yeux et je lui ai répondu :
- "Oui, c'est très bon !"
J'en ai profité pour demander à Pierre de me lâcher, lui promettant de me laisser faire totalement. Tout doucement il me libéra les épaules pendant qu'Alain me maintenait les fesses bien relevées. Jacques, qui m'avait ainsi pris sans brutalité aucune après m'avoir parfaitement préparé, se mit à me limer tout doucement puis de plus en plus vite. Au bout de dix minutes je sentis sa verge se contracter dans mes profondeurs jusqu'au moment où il me déversa son sperme chaud. Immobile, sa verge rapetissa et Jacques se retira, quelque peu épuisé de son effort.
Craintif, apeuré, inquiet au départ, j'étais devenu totalement réceptif à ce qui s'était passé. Tour à tour, Pierre, Alain, Jacques et Fabien me félicitèrent d'avoir su dominer mon appréhension. De mon côté je leur ai avoué que je ne leur en voulais plus du tout et j'ai même remercié Alain et Jacques d'avoir été doux. Tous étaient très excités par ce qui venait de se passer. Alain me proposa de le sucer. Désormais, sans retenue, je lui ai baissé son slip, j'ai avalé sa queue. Pierre se prépara à m'enculer. Très vite Pierre et Alain déversèrent en moi leur sperme. Alain me tint la tête pour que j'avale tout. Il restait à satisfaire Fabien. Comme il m'avait si bien accompagné dans mon initiation, je lui ai ôté son slip et, sur la suggestion de Jacques, Fabien et moi avons fait un soixante-neuf total sous les regards de tous.
Aujourd'hui, quelques années après, je suis heureux d'avoir ainsi été dépucelé, en douceur et profondeur, sans brutalité aucune. Toujours aussi régulièrement, Fabien, Pierre, Alain et Jacques, nous nous retrouvons. De temps en temps il nous arrive de nous satisfaire tous ensemble mais, plus souvent encore, c'est entre les bras de Fabien que je m'abandonne entièrement..

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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