Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 15:40

Episode précédent :  Frères jumeaux 5 : Karim en veut plus...

 

I. En famille

Au matin, nous nous retrouvons tous dans la cuisine pour le petit déj'. Karim rougit en nous voyant, il détourne et baisse les yeux. C'est un enculé désormais... Il est à poil, comme l'a exigé notre père. Pour le mettre à l'aise, nous lui donnons Julien et moi une petite tape sur les fesses. Papa lui demande ensuite de faire la vaisselle. Il devra passer une nuit par semaine avec nous en faisant croire à sa copine qu'il est de garde à l'internat du lycée. Il devient donc en quelque sorte la femelle de la maison... Qu'il est beau de dos comme de face ! Quel dos ! Et quel cul ! Papa doit penser la même chose que moi, car il s'approche de lui, lui écarte les globes fessiers et le pénètre virilement.

— Non, continue ta vaisselle, salope ! Tu ne vas pas faire des manières ! T'es plus crédible en pucelle !

— Aïe, tu me fais mal, Stéphane !

— Ta gueule ! T'es pas qu'une salope, t'es aussi une pute. Une pute, ça ouvre son cul et ça ferme sa gueule !

— Pardon ! Tu as raison. J'avais oublié...

D'ailleurs Karim bande. Notre père attrape sa queue et la pose sur le bord de l'évier. Le passif fait mine de se branler.

— Qui t'a permis ? Tu vas jouir du cul sans te toucher !

Le pauvre Karim encaisse les coups comme un acteur professionnel jusqu'à ce que notre père le fourre au jus.

— Allez, vas-y, nettoie-moi bien avec ta bouche ! Tu n'as pas joui, tant pis pour toi !

Karim a l'air tout con avec sa queue en érection.

— Viens Karim avec Julien et moi ! Nous allons nous doucher !

Tant bien que mal, nous arrivons à entrer tous les trois dans la cabine de douche. Je laisse tomber le gel-douche. Karim comprend. Il se baisse pour le ramasser, j'en profite pour lui pisser aussitôt dessus, lentement. Julien me rejoint rapidement. Il préfère quant à lui lui pisser dessus à gros jets bien jaunes et odorants.

— Ouvre la bouche ! Tu es à nous ! Tu dois vénérer tout ce qui sort de nos bites !

Il s'exécute, d'abord avec dégoût, puis il finit par se prendre au jeu. Il rebande, le salaud ! Je le bifle quand il essaie de se masturber.

— Papa a dit que tu dois jouir sans te toucher ! Maintenant donne-moi ton cul et suce Julien.

Je pénètre mon dard dans le cul encore juteux. Je tasse au fond bien le jus de Papa. Cela m'excite à mort et je jouis rapidement. Julien aussi. Rempli par nos deux fluides brûlants, Karim explose à son tour sans se toucher.

— Tu vois que tu peux jouir du cul ! Tu es une vraie salope !

— Oui, c'est vrai...

— Nous sommes fiers de toi, hein Julien ?

— Tu parles ! Il est aussi salope que moi, maintenant...

Nous l'embrassons à tour de rôle. Il l'a bien mérité, non ? Nous finissons quand-même par nous doucher vraiment. Karim nous demande si nous pouvons lui passer un slip propre. Julien s'absente et revient avec deux boxers.

— Eh, celui-là je le portais hier ! Je ne vais pas le remettre aujourd'hui.

— Toi non mais moi oui. Toi tu vas enfiler celui que je portais hier !

Karim me regarde, surpris. Il ne comprend pas la logique de Julien : mettre un slip sale après une douche. Il attend de moi un soutien. Il a tort. Je prends le slip de Julien et le lui mets sous le nez.

— Sniffe, salope !

Il obéit, après tout il a fait pire. Il presse contre son nez le slip blanc à l'origine... L'odeur de pisse et les tâches de jus l'enivrent rapidement. Il bande.

— Tu comprends maintenant ?

Karim ne dit rien mais enfile le boxer de mon frère. Julien porte déjà le sien et bande. Son gland va être au contact des traces d'un mâle viril pour toute la journée ! Et ce mâle est condamné à porter ses odeurs jusqu'au soir...


II. Bukkake dans les vestiaires

Le lendemain matin, c'est piscine. J'aime le sport et particulièrement la natation. Cependant, comme beaucoup, ce que préfère à la piscine, c'est rester longtemps sous les douches brûlantes. Je profite de ce moment de pur bonheur avec des camarades, je somnole presque, lorsque des cris provenant des vestiaires interrompent cette douce torpeur.

— Eh, les mecs ! Y a un PD parmi nous !

Inquiet, je cours aussitôt vers les vestiaires. Julien est encerclé par d'autres élèves hostiles.

— Qu'est-ce qui se passe ? Laissez mon frère tranquille !

— Jérémy, ton frère est un sale PD. Je l'ai surpris en train de sniffer mon caleçon !

Jonathan réagit aussitôt.

— Je suis sûr que c'est lui qui a volé mon slip il y quinze jours !

— Qu'est-ce qu'on fait aux PD ? On leur coupe les couilles ?

— Laisse mon frère en paix, ou tu auras affaire à moi !

Nous sommes vingt-huit en classe, seize filles et douze garçons. Malgré ma force, mes camarades ont vite fait de me maîtriser, de me dominer. J'enrage, c'est la première fois qu'ils s'en prennent à moi. D'habitude j'imposer le respect. Jonathan intervient.

— Les PD aiment sucer les bites ! Les vrais mecs, sont qui ont les couilles pleines de bon jus, en profitent. À genoux, Julien !

Mon frère obéit, tu parles ! Sucer 10 garçons à la chaîne ne lui fait pas peur. C'est bien plus intéressant que de sniffer leurs sous-vêtements. Les camarades de classe, fascinés, regarde la grosse bite de Jonathan déformer la petite gueule de mon frère. Certains hésitent, ils ne sont pas homos. Mais ils sont presque tous puceaux, et en ont assez de l'être, alors l'occasion est trop belle. Faute de grives... Ils baissent leur maillot pour se branler. D'ailleurs, pour beaucoup, le gland dépassait déjà du moule-bite réglementaire.

— Aller, suce-moi Julien ! Quand je pense que je te connais depuis cinq ans ! Tu cachais bien ton jeu, salope. Je viens, tu vas avaler ma sauce !

Julien avale tout et lèche bien le gland. Les copains n'en reviennent pas. C'est mieux que les films pornos qu'ils matent en douce sir le net. Ils se battent presque pour remplacer Jonathan. Il reste neuf garçons à faire jouir, et ils commencent à stresser. Mon frère n'aura jamais le temps de tous les pomper, et le prof d'E.P.S. finira par venir voir ce que nous branlons.

— Eh, j'y pense - dit Thibault - si Julien est PD, son frère l'est forcément, puisqu'ils sont jumeaux !

— Tu as raison ! Pas la peine d'attendre notre tour ! Jérémy, mets-toi à genoux et suce-moi !

— C'est moi qui ai eu l'idée ! Moi en premier !

— D'accord !

— Et moi ensuite...

— C'est faux, je suis hétéro, moi !

Incroyable, mes potes se disputent ma bouche. Certains comme Thibault me connaissent pourtant depuis l'école primaire. Je résiste mais me retrouve vite à genoux. Je ferme la bouche mais ils me pincent le nez. Je finis par me résigner. Au fond, cela m'excite de sucer des bites à la chaîne. Je sais qu'ils ne s'en vanteront pas autour d'eux. Cela restera entre nous. Je me donne bonne conscience en me disant que je soulage mon frère d'une partie de son travail. Je bande et me branle.

— Il suce bien le mien ! Et Jérémy, il suce comment ?

— Comme une vraie pute ! J'avais raison, il aime la bite ! Ce n'est pas sa première fois...

— C'est une nymphomane !

— Nymphomane, c'est pour les femmes !

— Mais non ! Pour les femmes, on dit nymphowoman - affirme Quentin, très doué en anglais.

Cinq bites se vident dans ma bouche, cinq dans la bouche de Julien, pas de jaloux ! J'ai joui deux fois. Malgré ma bonne volonté, je n'ai pas réussi à tout avaler. Mon frère non plus.

— Allez, les pervers ! Embrassez-vous, léchez le sperme sur la gueule de l'autre ! Nettoyez-vous bien ! Nous ne vous laisserons pas reprendre une douche.

— Qu'est-ce que vous faites ?

Aïe, aïe, aïe ! Le professeur d' E.P.S. C'est un bel homme de 30 ans, brun et musclé. Sa question est idiote, il voit bien le foutre sur notre visage et les copains à moitié débandés autour de nous. D'ailleurs, il n'attend pas de réponse.

— Je vais faire un rapport ! Julien et Jérémy, vous serez virés ! Ah, vos parents vont être fiers de vous...

Nous n'en menons pas large. La réaction de notre père ne nous inquiète pas, mais celle de maman... Et toute la ville sera au courant. Que va penser Mathilde ? Je me considère toujours comme un hétéro curieux et ouvert avec des tendances bisexuelles. Mon cul est vierge, c'est tout ce qui compte. C'est alors qu'il s'est passé quelque chose que je n'oublierai jamais.

— Nous sommes tous complices. Si vous faites virer les jumeaux, il faudra nous virer aussi - dit Léo.

— Léo a raison. Vous ne pouvez pas faire expulser tous les garçons de la classe ! 12 élèves !

— Elle serait belle la réputation du lycée ! C'est le lycée privé qui va être content...

Je crois que c'est ce dernier argument qui l'a convaincu. Il hésitait mais ne voulait pas perdre la face. Aussi l'avons nous aidé.

— Allez, monsieur ! On vous aime bien ! Vous n'êtes pas comme les autres profs !

— Vous êtes jeune, vous ! Vous n'êtes pas homophobe.

— Bon d'accord... Mais que cela ne se reproduise pas !

Julien s'est approché lentement du prof. Il saisit son paquet et s'écrie :

— J'en étais sûr ! Il bande ! Le prof bande !

— Non, ce n'est pas vrai ! Lâche-moi !

Cela change tout ! Nous l'entourons et baissons son froc. Il ment mais sa bite non. Elle est magnifique, un beau morceau de barbaque. De quoi convertir un végétarien...

— Laissez-nous vous remercier - lance Julien. Aide-moi, Jérémy !

Mon frère et moi nous partageons fraternellement la grosse bite du prof de sport. Sans oublier les couilles. Il gémit.

— Non, non, ce n'est pas bien ! C'est bon, mais ce n'est pas bien... Putain que c'est bon ! Deux langues sur mon gland, vous me rendez fou...

Certains des élèves se branlent à nouveau devant le spectacle. Il finit par jouir sur nos langues réunies. Sept jets généreux. Nous le nettoyons avec soin et amour. Assez gêné, il se rebraguette. Il évite le regard de ses élèves. Julien et moi nous nous relevons et le forçons à nous rouler des pelles parfumées à son jus. Il ferme les yeux. Je lui pince les tétons, il me regarde enfin. Je l'embrasse en le fixant droit dans les yeux. Il accepte mon regard en rougissant. C'est beau un mâle qui rougit.

— Monsieur, il faudra nous faire un mot. Nous allons être en retard en anglais...


III. Le prof d' E.P.S.

Jonathan, Léo, Quentin, Maxime, Dylan, Thibault, Faruk, Antoine, Joao, Noureddine, Julien et moi attendons avec impatience le prochain cours d' E.P.S. Nous avons converti quelques uns de nos camarades au bonheur de la pipe. J'ai retrouvé Dylan et Antoine, et après les avoir sucés, il m'ont rendu la pareille. Et plutôt avec gourmandise... Il m'ont bien asséché le gland. Julien m'a confié avoir connu la même chose avec Max, Léo et Jonathan. Que va-t-il se passer ? Nous attendons le prof d' E.P.S. dans les vestiaires. Nous nous sommes mis en slip. Slips multicolores, boxers blancs ou noirs, caleçons lâches cachant mal des couilles remplies à ras-bord, sous-vêtements de marques, élastiques fatigués, c'est un vrai festival. Montre-moi ton slip et je te dirai qui tu es. J'imagine que Julien doit se croire au Paradis...

— Alors les gars, qu'est-ce que vous foutez ?

— On vous attendait, monsieur.

— Ouais, on peut aussi faire du sport au vestiaire... Vous voyez ce que je veux dire ?

Tu parles qu'il voit ! Son sexe bandé sous son pantalon de jogging est révélateur. Julien et Dylan lui baisse le froc et commence à le pomper. Les hostilités sont déclarées, nous nous jetons tous sur la bite de notre voisin. Même Jonathan et Noureddine, les plus réticents à se faire dépuceler la bouche, finissent par succomber à la tentation. Plus de risque de se faire traiter de PD si tout le monde fait la même chose. Il règne un mélange étrange de bruits de succion de glands, de gobage de couilles et de léchage de hampes dressées. Je suce Léo qui suce Faruk. Je tends ma bite vers le prof. Il hésite. Pas longtemps. Il me fait même peur, l'affamé ! Mais mon propre frère me fait concurrence, le salaud ! Il se met à quatre pattes devant lui en écartant ses fesses de deux mains. Comment résister à l'oeillet rose qui vous regarde et vous invite au centre d'un cul doux et blanc ? Le prof me délaisse et enfonce son gros zob dans la grotte d'amour.

— Oh merci, c'est bon ! C'est plus étroit et plus chaud qu'une chatte !

— Oui, allez-y à fond ! J'encaisse bien, vous savez ? Vous aimez quand je resserre mes muscles autour de votre queue ?

— Ouais, ma cochonne !

Les copains regardent fascinés le mandrin défoncer le petit cul de leur pote. Ils n'y avaient pas pensé. Ils étaient déjà tellement heureux de passer de la branlette à la pipe. Ils envisagent de nouveaux plaisirs. Mais un cul pour onze, c'est la misère ! Je fais bien assimiler aux potes que mon cul s'appelle "pas touche". Ils sont déçus, je les comprends, mais ce n'est pas négociable. L'enseignant retourne mon frère comme une vulgaire crêpe, le met sur le dos et l'enfourne à nouveau. Cette nouvelle position dévoile son cul. C'est beau. Je me penche vers ce territoire vierge et ma langue darde et se déchaîne. Le prof gémit de plus belle. C'est normal, la peau est si fine, si sensible à cet endroit...

— Jérémy, oh Jérémy ! Comment sais-tu déjà comment donner tant de plaisir à un homme ? Tu en sais plus que moi à 30 ans...

— Ne vous inquiétez pas, monsieur ! Je vais vous apprendre quelque chose...

Je mouille un doigt et l'enfonce maintenant à la recherche de sa prostate. Il commence par se plaindre, il me demande de l'enlever, mais c'est trop tard. J'ai trouvé sa prostate et il gémit sous l'effet de ce nouveau plaisir.

— Je vais jouir - dit Dylan.

— Moi aussi - dit Noureddine.

— Jouissez sur le trou du prof !

Les deux copains m'obéissent et visent bien l'orifice. D'un doigt, je récupère le jus, lubrifie avec l'anus vierge encore. J'enfonce deux doigts. Il assure. Il grimace mais ne crie pas. Je récupère le sperme restant et l'étale sur mon dard. Je le pénètre furieusement.

— Non, Jérémy ! Pas ça ! Je suis marié et père de famille ! Aïe ! Tu me fais mal !

— Assure comme un homme. Un athlète comme toi n'est pas une femmelette. Respire bien et pousse ! Un peu de patience ! Le plaisir vient... Les mecs, tenez-le bien ! Il gigote, le bougre ! Aidez-moi, après ce sera à vous de le baiser.

Et oui, je tutoie mon prof. Quand on lui met sa bite dans le cul, on peut, non ? Je retrouve le plaisir incroyable, inoubliable de dépuceler un cul étroit et viril. Je sors ma matraque du trou avant de la remettre d'un grand coup rageur. Et je recommence... Le prof commence à jouir du cul, il mouille bien.

— Aïe ! C'est bon ! Ça brûle, mais c'est bon ! Ouais, mec... Tu me déchires, continue...

Je ne fais pas prier. Pour une fois qu'un prof m'encourage ! Je finis par lui remplir le trou, il enserre trop ma bite. Lui se déverse dans le cul de mon frère. J'ai à peine de temps de me retirer que Quentin prend ma place. Faruk quant à lui empale Julien d'un coup sec. Les enculades s'enchaînent. Mon frère se prend cinq bites dans le cul, cinq bonnes rasades de foutre libéré. Le prof reçoit six enculades viriles. Onze puceaux découvrent le même jour le plaisir d'un cul. Cela crée des liens inoubliables. Le prof a joui trois fois. Il a le cul douloureux et le gland violet. Je demande à Julien et au prof de se mettre à quatre pattes, côte à côte. Derrière eux, je les doigte. Un doigt, deux, puis trois. Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Toutes ces bites les ont bien ouverts. Au bout de cinq minutes de travail, de progression constante, mes mains sont aspirées par les anus voraces. Je fiste mon prof ! Et mon propre frère ! La main droite dans le cul de Julien, la gauche dans celui du prof, quelle vision ! Les camarades n'en croient pas leurs yeux. Ils gémissent et s'embrassent. Je sors et rentre ma main dans les orifices, c'est très excitant. Ils finissent par jouir de concert, je sens leurs contractions autour de mes poings. Le prof tombe quand il essaie de se relever. Cela nous fait rire. Je remets ma bite dans sa gueule virile.

— Ton cul dégouline de jus. Je veux qu'il en soit de même pour ta gueule ! Suce !

— Oui, fais-moi goûter ton jus.

Je lui remplis la cavité buccale, suivi par mes onze copains. Il est très résistant pour ce premier bukkake. Il suce longtemps et ne se plaint jamais de douleur dans la machoire. Aucune lassitude non plus. Il avale la moindre goutte de semence comme si sa vie en dépendait.

— Merci, merci monsieur. Vous êtes vraiment notre professeur préféré.

— Merci à vous, les jeunes de m'enseigner toutes ses bonnes choses... Je ne sais pas si je suis bi, mais je recommence quand vous voulez !

— La prochaine fois alors !

Nous rions parce que nous avons été onze à dire la même chose en même temps sans nous concerter. Depuis ce jour-là nous attendons tous les cours d' E.P.S. avec impatience, même les intellos qui n'aiment pas le sport... L'ambiance entre les garçons de la classe est désormais excellente, il n'a plus de petites jalousies, d'insultes imbéciles ou de provocations puériles. Tous les profs nous en félicitent, s'ils savaient...

 

FIN

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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