Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 13:57

Je me présente rapidement : je m'appelle David, je suis en terminale L et j'ai 18 ans. Je suis plutôt mince et mignon, j'ai les yeux bleus et je suis gay, même si personne ne le sait. Il y a quelques mois, en plein milieu de l'année, un nouveau est arrivé. Il s'appelle Baptiste. Il est très sociable et s'est intégré à la classe en quelques semaines. C'était de loin le mec le plus beau que j'avais jamais vu de ma vie : grand, élancé, sexy, gueule d'ange, blond aux yeux bleus, il était remarquable. Quelques jours après son arrivée, il est venu s'asseoir à côté de moi en cours d'espagnol, même s'il y avait de la place partout autour. Nous avons commencé à parler et nous sommes découvert plein de choses en commun. Il sent l'homme, sa voix est super sexy, un petit peu railleuse. Une beauté extraordinaire comme ça ne passant pas inaperçu, il est rapidement devenu la cible de beaucoup de filles au lycée, ce qui ne semblait pas lui être indifférent (il devait être habitué, ceci dit). Nous parlions beaucoup par messages, et il me racontait des histoires avec ses meufs, comme quoi son fantasme absolu était de faire l'amour sous la douche. Il me faisait rêver, je me branlais souvent le soir en pensant à lui. En cours de sport, dans les vestiaires, il enlevait toujours son haut et laissait apparaître un torse divin, totalement imberbe, ses abdos bien dessinés. Il jouait au baseball à très haut niveau. Un jour, il vient me parler pendant la pause.

-       Mec j'suis désolé de te demander ça comme ça, mais j'ai grave besoin d'aide en philo, est-ce que tu peux venir m'aider demain soir ? Comme ça tu peux dormir à la maison, mes parents ne sont pas là !

Je lui réponds que oui. C'est mon pote, après tout. Et j'ai un niveau plutôt pas mal en philo. Le soir, il m'envoie un message pour me dire de venir chez lui vers 19h parce qu'il a entraînement avant. Je lui réponds presque immédiatement qu'il n'y a pas de soucis. Je le verrai peut-être sortir de la douche, qui sait. Le lendemain, vers 18h30, je pars de chez moi – je n'ai que quelques arrêts de bus avant d'arriver chez lui – et finis par arriver dix minutes en avance, car, d'habitude, le bus étant en retard, je prends toujours du temps pour écouter de la musique. Je sonne à la porte, et il m'ouvre quelques secondes après, encore entièrement en tenue de baseball. Son visage est trempé de sueur, et sa tenue le rend encore plus sexy. Son pantalon blanc ultra-moulant laisse deviner ses cuisses superbement musclées et aussi une jolie bosse. J'essaie de ne pas trop me focaliser dessus de peur qu'il me crame. Il est torse nu, ce qui n'est pas facile. Je commence à bander mais je me cache avec mon sac. Il part prendre une douche. Je n'arrête pas de penser à quoi son corps doit ressembler sous la douche ! En sport, quand il est en caleçon, son membre a l'air déjà assez conséquent au repos. Il revient habillé d'un jogging et d'un t-shirt blanc transparent. On fait de la philo pendant à peu près deux heures, et on parle du désir. Je sais de quoi je parle ! A un moment, on sature tous les deux et on décide de s'en arrêter là. Il est 21h. On mange vite fait devant la télé. On commence à parler et la conversation s'oriente assez vite vers le cul. Il me raconte des histoires avec sa dernière copine en date, d'il y a un mois ou deux. Il a l'air sauvage, dans ses histoires, et ça me fait bander. Heureusement, il ne le remarque pas.

-       Tu sais, des fois je rentre de l'entraînement tellement vidé que j'ai même pas la force de me branler la queue, il me dit.
-       Là, tu peux pas ? je demande en rigolant.
-       Je sais pas, faut voir.

Avant que j'aie pu dire quoique ce soit, il se lève et chope un DVD en à côté du canapé. Il le joue et c'est un film de cul avec deux mecs qui baisent une fille, très salope.

-       J'ai toujours rêvé de faire ça, me dit-il.
-       Quoi, tu veux dire baiser une meuf avec un autre mec ?
-       Ouais, je serais grave excité !

Il commence à bander et ça se voit. Et ça me plaît.

-       Ça te dérange si je me fous à poil ?
-       Pas du tout !
-       Fais pareil alors.

Son ton est ferme, un peu dominateur. Il commence à se branler avec concentration, mais son bras fatigue vite. Du moins c'est ce qu'il me fait croire. Sa bite est superbe : 23 bons centimètres, assez large et un gland très appétissant.

-       Tu veux que je te branle ?

Qu'est-ce qui me prend de poser cette question comme ça ?

-       Je le savais !
-       De quoi ?
-       Depuis que t'es arrivé tu me mates la queue. T'es pédé ?
-       Ouais.

Il ne devait pas s'attendre à ce que je réponde si franchement. Il me regarde droit dans les yeux et se met à sourire d'un air pervers.

-       Tu veux me la bouffer hein ?

Je lui lance un regard défiant. Mon dieu ce que j'en ai envie. Je lui enlève son caleçon gris et m'agenouille devant lui. Il croise les bras au-dessus de sa tête et me regarde m'appliquer sur sa queue. Je l'approche de mon visage ; je le branle doucement, il commence à gémir. D'un coup, je lui englobe le gland. Il se crispe et lâche un fort gémissement de plaisir. Puis, je l'enfonce doucement toujours plus profond jusqu'à ce que mon nez touche son pubis poilu.

-       Putain t'es une vraie salope, tu suces mieux que mes meufs.

Je ressors sa bite de ma bouche et entame alors un long et doux va-et-vient, lui titillant le gland avec ma langue. Il ne me regarde plus, il a foutu sa tête en arrière et gémis fortement. Je me demande comment ses copines le suçaient pour qu'il gémisse autant maintenant. Je suis excité comme un âne, à poil, agenouillé, à sa merci. Je lui bouffe les boules, et, soudain, il me prend la tête entre ses mains et me fait aller à son rythme : il me démonte la bouffe, je gémis comme une salope. Il m'insulte et ça m'excite, et je sais que ça l'excite lui aussi. « Tu la kiffes, hein, p'tite pute va », « elle est bonne ma queue ? », « j'vais te niquer ta chatte ». Au bout de quelques minutes, il me dit « je vais te jouir dans la bouche », et il pousse un grand cri de jouissance en me regardant fixement dans les yeux avaler son sperme chaud et agréablement bon. Il paraît surpris, d'ailleurs. « Mes copines voulaient pas avaler… Tu dois vraiment être une grosse chienne toi ». Il a déjà débandé. Je regarde sa queue qui ramollit, et, comme s'il lisait dans mes pensées, il me dit : « T'inquiètes, c'est pas fini. Je vais te bouffer le cul et je vais te baiser ta chatte de salope. Vas te préparer sur le lit, j'arrive. » Je monte, complètement à poil, plus excité que jamais. Il me suit, et, alors que je monte l'escalier, me fout une claque sur le cul. « P'tite pute ». Je souris, et je m'allonge sur le lit, sur le dos. Je me demande ce qu'il est en train de faire. Quand il rentre, je comprends. Il a revêtu ses vêtements de baseball. Ça m'excite et je lui lance un regard de grosse chienne. « Je savais que tu allais kiffer quand j'ai vu ton regard tout à l'heure ».

Il se jette sur moi et me retourne violemment. A mon oreille, il susurre « maintenant, tu es à moi », avant de me bouffer le trou. Ses coups de langue me font frémir. Il insère un doigt, puis deux, puis trois. Je gémis si fort : il ne m'a même pas pénétré que je jouis déjà. Lui s'applique énormément et me couvre d'insultes qui nous excitent tous les deux. Mon cul est bien dilaté, et il présente son gland devant mon orifice offert. Il rentre d'un coup violent. Ses 23 centimètres se font ressentir, je hurle de douleur. Il se presse contre moi et ne bouge plus trop, me laissant le temps de m'habituer. Il me dit « détends-toi, tu vas voir, tu vas kiffer ». Au bout de quelques minutes, la douleur est passée, et il entame un va-et-vient plutôt doux. Nous gémissons en cœur. Ses cuisses parfaites et musclées sont collées contre les miennes, je ressens sa chaleur ardente. « Tu kiffes, hein ? Putain, t'as une meilleure chatte que mes meufs, je vais te remplir ton trou », et tout ce que je peux répondre est un « oui » de jouissance absolue. Il va de plus en plus vite, ses couilles frappent mon cul, nous hurlons de plaisir. Pendant une bonne demie heure, il continue, me mets sur le dos, en missionnaire, ne me ménage pas, mais c'est trop bon. Je me dis qu'il ne jouira jamais mais, à un moment, son corps entier se crispe, mon cul se resserre sur sa bite et nous jouissons en même temps, lui dans mon cul et moi sur ses draps sans même me toucher. « Ça te plait, hein, mon foutre dans ta chatte ? » Il se retire et lèche mon cul pour en recueillir la semence chaude qui s'en sort. Puis il me roule une pelle majestueuse, et nous partageons son sperme que je finis par avaler. Aurais-je cru, il y a quelques heures, que j'avalerais deux fois le sperme de Baptiste ce soir.

Il se lève, me fait signe de le suivre. Nous sommes complètement nus et prenons une douche bien méritée. « Suce moi encore sale pute ». Je le suce sous la douche, et nous retournons dans le lit. Avant de me rebaiser comme une chienne, il me glissera ses mots : « reviens dans trois jours, j'aurai une surprise pour toi. »

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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