Dimanche 13 juillet 7 13 /07 /Juil 14:50

En ce 14 juillet, comme chaque année, je me démène comme un fou. Et oui, pas de repos pour un pompier ! C'est notre bal, le fameux bal des pompiers, et les sommes récoltées durant cette nuit nous motivent. Elles peuvent être très intéressantes... En outre, c'est sympa, nous aidons les gens à s'amuser, à danser, à ... draguer. Nous nous occupons de la buvette au rythme d'une musique entraînante, même si elle ne correspond pas toujours à mes goûts personnels... L'ambiance est toujours bonne enfant, quel autre uniforme est aussi populaire que le nôtre chez les Français ? Ce bel uniforme met en valeur nos culs musclés, et s'il est difficile de conclure le soir-même à cause du travail, nous trouvons toujours le moyen de danser un peu avec des nanas trop bonnes et nous récoltons quelques 06 pour consommer plus tard... J'ai en déjà trois, j'espère bien battre Gabriel cette année. Il faut dire que si on aime les grands bruns baraqués aux yeux bleus, je suis l'homme idéal. Je suis jeune, j'ai 25 ans, et je m'amuse ; il n'y a pas de mal à cela. J'aime la chatte, les gonzesses aiment ma grosse bite... J'ai tout le temps pour me ranger et fonder une famille (une femme, deux gosses, un chien). Ce programme m'effraie. La vie est trop courte pour se prendre la tête.

Bien sûr, l'alcool aidant, au cours de la nuit, il faut parfois intervenir pour calmer quelques excités. C'est la partie la moins gratifiante de la soirée, mais bon, c'est notre devoir. Tiens, justement il y a trois jeunes qui draguent une jeune fille (hum, beau cul...) et semblent trop lourds. Entre 18 et 22 ans à première vue, look et attitude de racaille. Ils doivent venir de la cité Jean Jaurès, nous avons déjà eu là-bas des problèmes avec des feux de poubelles allumés intentionnellement afin de nous attirer et de nous caillasser. Prudent, je m'approche avec deux autres collègues.

— Bonsoir, un problème, mademoiselle ?

— Non, ces messieurs allaient partir. N'est-ce pas ?

Le regard lourd de menaces, les trois cailleras (deux beurs et un latino apparemment) se retirent après nous avoir toisés en marmonnant des propos incompréhensibles mais sûrement peu amènes. Je discute un peu avec la jeune fille au beau cul. Bingo ! J'ai mon quatrième 06... Accroche-toi Gabriel, le bogosse number one est dans la place ! Envie de pisser, je dédaigne les W.C. qui doivent déjà puer l'urine et m'approche d'un arbre, en lisière d'un petit bois. J'aime la nature. Alors que je me soulage, j'entends :

— Enculé !

Cela provient de l'une des trois cailleras. Le plus jeune des deux beurs. Il est seul, ses copains ont dû partir. Foi de David, je ne vais pas me laisser insulter par ce petit morveux ! Moi, le mec viril, musclé et tatoué, un enculé ! Je m'égoutte et vais vers lui, prêt à en découdre. Il ne bouge pas, il me regarde, les bras croisés, tranquille, en souriant, comme s'il m'attendait. Si le p'tit con veut la bagarre, il va être servi.

— Ça t'arrive souvent d'insulter les gens ?

— C'est pas une insulte, c'est une promesse !

Avant que je ne puisse réagir et comprendre ce qu'il m'arrive, ses deux copains surgissent par surprise, les traîtres ! et me font tomber violemment. Quel con ! Je suis tombé dans leur piège grossier tête la première. Couché au sol, je n'arrive pas à me relever et essaie juste d'éviter les coups au visage. À trois contre un, je n'ai aucune chance, les lâches... Ils me redressent et m'emmènent dans le petit bois. Il m'obligent à m'agenouiller.

— Ah ! Tu nous as cassé notre coup ? Tu crois qu'on va rentrer à la cité les couilles pleines ? On va se les vider. Dans ton cul de fouteur de merde... On va t'apprendre à t'occuper de nos affaires !

Mon pantalon est descendu, mes autres vêtements à moitié déchirés. Je suis à poil devant des inconnus, j'ai honte... Et je devine déjà que je ne vais pas cesser d'avoir honte, cette nuit. J'avais raison, mes agresseurs sont deux beurs, Hakim 22 ans, Adel 18 ans, et Joao 20 ans, sans doute d'origine portugaise. Au début, je ne les prends pas au sérieux. Il ne vont quand même pas me violer ! Ils ne sont pas homos, j'en ai eu la preuve ! Des mecs hétéros ne violent pas un homme, c'est impossible. Ils veulent juste me faire peur. Mais ils baissent leurs pantalons, leurs caleçons et me tendent leurs grosses bites à pomper. Quelle horreur ! En plus, ils sont tous les trois montés comme des ânes ou des acteurs pornos, c'est bien ma veine. Hakim, qui semble être le chef, m'attrape par la nuque et présente sa queue devant ma bouche. Je résiste. Il appuie alors sa chaussure contre mes couilles. J'ouvre la bouche. Putain ! Il aurait pu se la laver avant, le porc ! Je ne sais pas si je suce ou si je nettoie sa bite! Pour ma première pipe, je suis gâté ! Moi qui n'aime pas le fromage. Comme si la situation n'était pas déjà si terrible et humiliante...

— À fond, salope !

J'ai du mal à tout emboucher, il semble oublier que c'est ma première plume. Non, en fait il s'en branle. Il s'enfonce encore plus et je crois que je vais vomir. Ou mourir étouffé. Je ne peux malgré la situation dramatique m'empêcher d'imaginer le faire-part de décès : Judith et Simon L. ont la douleur de vous faire part du décès de leur fils chéri David, mort tragiquement étouffé par une trop grosse queue. Sans fleurs ni couronnes. La gloire posthume, quoi... Hakim n'est pas satisfait de ma prestation, si j'en crois les deux claques dans la gueule que je reçois... Quel salaud !

— Applique-toi, ordure ! Ce n'est pas tous les jours qu'une pute comme toi a la chance de déguster un si gros morceau !

Je m'applique. Puisque je ne peux pas éviter de le pomper, autant éviter les torgnoles. Et je commence à me dire que j'ai intérêt à le faire jouir avec ma bouche, pour éviter que mon cul de puceau (et qui entend bien le rester) ne prenne la place.

— Ah tu vois, quand tu veux... Elle est bonne la salope ! Je suis sûr que la pouffiasse de tout à l'heure suce moins bien. On a rien perdu au change, au contraire les gars...

— Ouais, dépêche-toi de jouir Hakim, on attend...

En effet, Adel et Joao se branlent en nous matant. Ils s'échauffent, m'insultent, rient. Hakim souffle de plus en plus fort, même si je n'ai pas d'expérience, je comprends qu'il va jouir. J'essaie de me retirer, mais il prend ma tête entre ses grosses paluches et me tient bien. L'inévitable se produit, le fils de pute jouit dans ma bouche.

— Tu vas tout avaler, sinon je ne me retire pas !

J'obéis. De toute façon, la majeure partie de son jus a fini directement dans mon estomac. C'est chaud, épais, gluant et amer... en résumé dégoûtant. Comment des filles peuvent-elles avaler ? Il doit falloir qu'elles soient drôlement amoureuses... Joao prend la place vacante dans ma bouche. Elle est propre et je me prends à apprécier.

— Ouais , ça c'est de la salope de compétition ! Lèche mes grosses couilles, toutes les filles de la cité en sont dingues...

Heureusement, comme il se branle depuis dix minutes, la pipe ne dure pas trop longtemps. Moi qui suis circoncis comme Hakim et Adel, je ne peux pas m'empêcher de jouer avec son prépuce. Il apprécie l'initiative et encourage ma bonne volonté.

— Ouais, je l'avais bien dit... Toutes les truies succombent au pouvoir de ma queue !

Il jouit des litres de sperme. Je sais que c'est impossible, mais c'est l'impression que j'ai. J'en avale le plus que je peux afin d'éviter les représailles. Il en reste encore un. Pour me donner du courage, je me dis que j'ai fait les deux tiers du taf, que le cauchemar va bientôt se terminer. En fait Adel est le plus vicieux. Il prend son temps. J'essaie de le faire gicler rapidement, la langue est de plus en plus agile (j'apprends vite) mais il ne l'entend pas ainsi. Il alterne sauvagerie et douceur. Il me fait caresser et lécher ses couilles rasées. Elles sont si douces... Il prouve qu'il est le maître en me biflant. C'est très dégradant et cela fait rire grassement ses potes.

— Baise-lui la gueule à ce bâtard, Adel ! Qu'il comprenne ce que c'est qu'un vrai mec !

— Oui, qu'il ait dans la bouche le foutre qu'il n'a pas dans les couilles...

Il finit enfin par se vider au fond de ma gorge endolorie par ces trois terribles braquemards. C'est un vrai soulagement. Je ne sais pas pourquoi je bande. J'ai mal à la mâchoire. J'aurais au moins appris ce soir que le foutre n'a pas le même goût chez tous les mecs, il est plus ou moins amer suivant les mecs. Je préfère celui d'Adel... Mais qu'est-ce que je raconte, moi ?

Je crois que mon calvaire est terminé. Ils se sont vengés, vidés les burnes ; ils ont gagné, j'ai perdu.. Ils vont rentrer dans leur cité, fiers d'eux, et moi je sais que je ne pourrais jamais oublier cette humiliation... Le problème c'est que Joao et Hakim rebandent après la pipe magistrale imposée par Adel. Hakim me fait mettre à quatre pattes. Pas besoin d'être grand clerc pour deviner ce qui m'attend.

— Non, par pitié ! Je vous donnerai du fric ! Je n'ai pas grand chose, mais je vous le donnerai !

— Vous entendez, les mecs ? Tu nous prends pour qui ? On ne veut pas de ton aumône ! Tes pièces jaunes, tu te les gardes pour la vioc fétichiste des sacs à main !

— Hypocrite ! Si tu crois qu'on n'a pas vu que tu bandes ! Si tu prends ton pied avec une bite dans la gueule, imagine comme tu vas t'éclater avec nos zobs dans le derche.

À quatre pattes, je ne vois pas ce qui se passe derrière moi et c'est encore plus inquiétant. J'entends Hakim cracher. Il crache sur mon anus vierge et sur sa grosse queue. Je connais très bien sa taille. Hélas !

— Au secours ! Elle est trop grosse. Cela ne rentrera jamais !

Joao me gifle.

— Tais-toi ou l'on va devenir méchant...

Je serre les dents et les fesses. Hakim presse sauvagement les roustons. J'abandonne la résistance. Au moins, l'honneur est sauf. Je cède sous le nombre et la violence. Je vais être un enculé... Ça y est ! Hakim est en moi. Il a fait sauter ma pastille. C'est atroce. C'est une brûlure ! Non, une déchirure ! Ou les deux à la fois. Comment les homos peuvent-ils aimer cela ? J'ai l'impression que je vais mourir empalé, écartelé. Dès le début, Hakim se défoule comme un malade, sans la moindre compassion pour mon anus vierge.

— Aïe, pitié, moins fort ! C'est la première fois... Tu me casses le cul !

— Heureusement que c'est la première fois ! Tu nous prends pour qui ? On baise pas les PD ! Tu la sens bien, hein, ma pute ? Je vais tellement t'élargirr la rondelle qu'elle ne se refermera jamais !

— Ouais, vas-y Hakim !

Comme s'il avait besoin d'encouragements !

— Je vais te féconder, ma petite salope ! Ça vient, je te fais un bébé, prends tout...

— Non, s'il te plaît, ne jouis pas en moi...

— Trop tard ! Je t'engrosse ! Je te la lubrifie bien avec mon jus, Joao !

Je sens ses giclées chaudes dans mon cul. Quand il finit par se retirer, mon cul fait des bruits obscènes. Je sens le jus couler, ils se moquent. L'humiliation est totale. Je crois que se faire remplir est encore pire que le viol. Respectant son doute leur hiérarchie, Joao est encore le deuxième. Il s'allonge sur le dos et me fait m'asseoir sur son zob. J'entre le gland lentement, mais impatient, Joao me saisit par les hanches et s'enfonce d'une traite dans mon cul douloureux.

— Fais pas ta pucelle ! T'es un enculé. Répète !

— T'es un enculé !

Je n'ai pas pu m'empêcher. Une bonne gifle me fait regretter ma provocation.

— Je suis un enculé...

— Encore, putain !

— Je suis un gros bâtard d'enculé qui se fait baiser dans les bois par de beaux salauds ! T'es content, ça te va ?

— Ouais... Descends, remonte plus vite... C'est bon, coulisse bien sur ma tige. Ce n'est pas moi qui te baise, c'est toi qui te baise tout seul... T'aimes ça, hein ? Branle-toi, traînée...

On s'habitue à tout, paraît-il, en tout cas je n'ai plus mal. Je ressens de drôles de sensations, pas déplaisantes pour ma plus grande honte... Joao finit enfin par se vider dans mon cul. Je perçois ses épaisses et nombreuses giclées chaudes. Il se retire et j'ai l'impression que mon trou ne se referme pas. Qu'il ne se refermera plus. Adel, l'imaginatif Adel, s'approche. Que me réserve-t-il ? Il me fait mettre sur le dos. J'ai les jambes sur ses épaules musclées et tatouées.

— Écarte tes lobes ! Je vais te baiser comme une femelle ! Je veux que tu me regardes. Regarde-moi !

J'obéis en me disant que ce sale petit con de merde est beau comme un dieu. Je suis hétéro, mais je reconnais qu'il est splendide à virer su cuti. Adel me fait l'amour. En effet, contrairement à ses potes, il recherche mon plaisir. Il alterne violence et douceur, il rentre et ressort sans arrêt de mon fion. Cela me procure à chaque fois de torturantes sensations. Je gémis, je bande à en souffrir. Je commence à me branler mais mon violeur coince mes bras au dessus de ma tête.

— Non ! Les vraies salopes jouissent du cul. Tu ne vas pas te toucher, mais je vais te faire jouir du cul et de la bite. Et c'est vrai ! J e ne peux plus me retenir. J'éjacule comme un damné six jets sur mon ventre devant mes ennemis qui se marrent. Que c'est humiliant. Les contractions de mon cul ont raison de l'endurance de celui qui abuse de moi. Je me fais remplir le derche pour la troisième fois... Quel dépucelage ! Ce n'est plus un cul que j'ai, mais une fontaine à foutre, tant le jus coule. Mes agresseurs se rhabillent en riant. Il parlent entre eux comme si je n'existais pas. Ils semblent satisfaits d'eux-mêmes. Ils voulaient baiser ce soir et ils se sont livrés à leurs plus bas instincts comme ils n'auraient jamais pu le faire avec une fille. Je me dis que le cauchemar est enfin fini. J'ai tort.

— Allez, on ne va pas se quitter comme cela !

Hakim commence à me pisser dessus. Horreur et infamie ! Joao se marre et fait la même chose.

— On est charitable, on n'allait pas te laisser couvert de foutre ! On te nettoie bien, remercie-nous !

— Merci...

— Après les couilles, viens te vider la vessie, Adel.

— Non, j'ai pas envie de pisser...

— Tu ne sais pas ce que tu manques !

Enfin la douche dorée prend fin. Hakim dit à Adel de prendre mes vêtements, (l'uniforme dont je suis si fier !) et ils m'abandonnent après quelques dernières insultes de rigueur. Ils emportent aussi mes papiers et les clefs de ma caisse et de l'appart. Je n'en peux plus. Je pleure. Les hommes ne pleurent pas, mais là, nu, pisseux, la bouche amère, l'anus défoncé, je n'ai plus aucune force. Impossible de retourner au bal ou chez moi. Les collègues ont du se dire que j'étais parti tirer ma crampe à l'écart avec une gonzesse. Pour la première fois de ma vie, je ne sais pas quoi faire. Je me sens perdu comme un gosse qui aurait perdu sa maman. Je suis seul et j'ai beau réfléchir, je ne vois aucune solution. Il faut que je fasse quelque chose, je le sais bien, mais je suis vidé de mes forces.

J'entends des brindilles piétinées. Je ne relève même pas la tête. Ils reviennent. Pour quoi faire ? M'achever ? Ils ont peur que je ne porte plainte ? J'ai beaucoup trop honte. Une main se pose sur mes cheveux courts, les caresse doucement. Je lève les yeux. Adel ! Avec mon uniforme, mes papiers et mes clefs ! Et avec dans les yeux une expression... Il me tend la main. Je l'accepte. Nous sommes debout l'un en face de l'autre. Il me fixe, sérieux et inquiet avant de me prendre dans ses bras. Je me laisse aller. Je me sens enfin bien. Le monde me semble moins hostile. Il m'embrasse dans le cou. J'ai presque honte d'être couvert de la pisse de ses copains. Je finis par prendre l'initiative et je lui roule une pelle. Nos langues se confondent, nos dents s'entrechoquent, c'est doux et violent. À mon tour, je lui arrache ses vêtements. Sauvagement. Il bande. C'est beau un mec qui bande... J'appuie légèrement sur sa tête et il comprend. À genoux, il fixe ma bite. La première qu'il va sucer et faire jouir un inconnu. Non, nous ne sommes plus des inconnus... Il est déstabilisé. Cette nuit nous a changés à jamais, lui comme moi. Pour le meilleur ou pour le pire ? Il assume ses nouvelles pulsions et me pompe passionnément. Je pue la pisse mais cela ne semble pas le gêner. J'ai été mieux sucé dans ma vie, je dois le reconnaître... Il est évident que Adel est novice dans le noble art de la fellation, mais jamais je ne me suis senti si excité. Je l'encourage avec des petits mots d'amour.

— Hum, tu es une bonne salope, tu veux me faire jouir, c'est bien, mais moi j'ai envie de te remplir ton autre trou...

Je ne vois pas Adel rougir mais je le devine. Il se met sur le dos et relève ses jambes. La position qu'il choisit lui-même pour son dépucelage...

— Écarte tes miches !

Adel obéit. Je me penche et bouffe un cul pour la première fois. C'est poivré, pas dégueu... Adel gémit, se contorsionne, fou du plaisir que je lui donne. J'enfonce un doigt qui entre comme dans du beurre dans mon petit beur. OK, je sors... Mais pas de son cul. Je pointe enfin ma queue sur sa pastille et je m'enfonce d'un seul coup. Pas par vengeance, seulement parce que je sais bien désormais que la douleur est inévitable mais passagère. Alors, autant y aller franco. Adel crie. Pour son bien, je lui mets mon slip dans la gueule et continue à m'enfoncer toujours plus loin. Quand je vois qu'il supporte mieux l'intrusion, je retire le sous-vêtement. Quelques larmes s'écoulent de ses beaux yeux noirs

— Oui, pleure ton pucelage perdu ! Pleure cette bite qui de défonce et te déforme car tu ne seras plus le même après...

— Elle est grosse... Je la sens bien. Tu me fais mal, tu me fais du bien, c'est fou...

Je me retire d'un coup sec.

— Non, remets-là ! Remplis-moi !

— Ouais, je vais te remplir de ma liqueur d'homme ! Oh, je te baptise, mon beau salaud !

Je me vide dans son cul et lui aussi éjacule des litres de foutre sur son ventre. Je m'enfonce le plus possible et nous nous roulons une pelle intemporelle.

— Ton beau salaud s'appelle Adel.

— Oui, je ne suis pas sourd, j'ai entendu tes potes, Hakim et Joao... Moi c'est David.

David ? Il réfléchit, observe ma bite circoncise et comprend. Il semble hésiter une semi-seconde avant de m'embrasser à nouveau. Je me sens bien. J'aime sa force, égale à la mienne. Sa virilité me comble. J'ai toujours joué avec les filles le rôle du protecteur. Quelle plénitude d'avoir une épaule solide désormais à ma disposition ! Sa force remédiera à mes moments de faiblesse, de doute, et réciproquement. Nous serons invincibles. Je crois que je suis amoureux de mon violeur, de cet adorable petit con... Et j'ai l'impression que c'est partagé. Il parait aussi surpris que moi de ce qui nous arrive. Nous nous sentons seuls au monde, enlacés comme si nous voulions nous fondre l'un dans l'autre. Rien ne pourra nous séparer. Nous sommes tellement épanouis dans la joie de notre découverte que nous n'avons pas entendu les pas qui se rapprochent, se rapprochent et nous rejoignent...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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