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Faire une gâterie, turluter, tailler une pipe, éponger un mec, voilà ma vraie vocation ! J’ai commencé à seize ans, je pratique chaque fois que je peux cet art subtil et je peux vous affirmer que je suis un virtuose de la sucette.
Mon plus grand bonheur c’est d’avoir à ma disposition le ventre, les cuisses et bien sûr la queue et les couilles d’un mec. Alors là, avec le bout des doigts et de la langue, je peux le faire gémir pendant des heures. Ma récompense : recevoir la liqueur chaude et épaisse qui a souvent le goût d’amande. Depuis des années, je ne drague plus dans les endroits gay, les mecs sont compliqués et cherchent toujours la grande aventure. En revanche, hors des circuits habituels, on trouve de vrais mâles, souvent mariés, mais qui sont presque toujours partants pour une petite gâterie, évidemment pas question d’autre chose. Une seule chose les intéresse : la jouissance que vous allez leur procurer avec votre bouche. Ils vous confient leur sexe et se laissent faire. J’adore ce rapport rapide, purement sexuel, où le mâle vous domine. Vous êtes à ses pieds et en même temps c’est vous qui dirigez les opérations. C’est vous qui procurez la jouissance.
J’ai pompé des centaines de mecs, n’importe où, à n’importe quelle heure, et je connais mon affaire du lycéen au vieux marin ! Toujours le même objectif : faire jouir le mâle. Aujourd’hui j’ai tellement avalé de foutre que je n’ai plus faim. Alors, un verre de whisky et j’ai envie de vous raconter ma journée...
J’ai pris l’autoroute ce matin pour aller dans un endroit que je connais bien. À 9 heures j’étais sur une aire de parking déserte. Un motard arrive dans un bruit d’enfer, il descend de moto et se dirige vers moi, son casque sur la tête. Je ne vois pas son visage, il a une allure jeune, il m’apostrophe : “Tu veux sucer ?" Je réponds oui et je le suis vers un bosquet de verdure en contrebas. Il est grand, mince, jean et blouson de cuir. Il s’arrête près d’un gros arbre contre lequel il s’adosse, il retire son casque. Il a vingt ans maximum et il est particulièrement beau. Il a baissé son jean sur ses chevilles et relevé son tee-shirt jusqu’aux épaules. Un corps glabre, juvénile, m’est offert, la queue raide. Je le pompe à fond comme un affamé de plusieurs jours.
Il veut que ça dure et me demande de ralentir, ça lui plaît. Il finit par m’envoyer quelques giclées au fond de la gorge en poussant des petits cris. C’est au tour d’une grosse cylindrée, très luxueuse de s’arrêter. Un beau mec d’environ trente ans en descend, costume, cravate, alliance, il respire l’aisance et la virilité : le mâle distingué. Il m’attire, je le suis aux toilettes, il est devant l’urinoir. Je me place à côté. Il me regarde, je lui souris et passe ma langue sur mes lèvres. Il a l’air étonné et me regarde interrogativement. Je lui fais signe de me suivre dans une cabine. Il hésite mais me suit. Je prends l’initiative de défaire sa ceinture, il se laisse faire. Le costume est de chez St Laurent, le caleçon en soie mais c’est surtout sa bite qui est belle, longue, épaisse. Je lèche son ventre, ses cuisses, je bouffe ses couilles. Il apprécie, se tortille, gémit, puis je le pipe à fond. Les mains sur mes épaules, il se cabre en arrière et râle en éclatant dans ma bouche. En sortant de la cabine il me dit : "C’est la première fois que je me fais sucer par un homme, vous faites ça très bien."
Je me retrouve sur le parking. Je suis sur un petit nuage quand une camionnette blanche s’arrête. Un mec jeune et basané style beur descend aux toilettes. Très naturellement il exhibe une matraque large et circoncise. Un énorme paquet de couilles presque noires pend entre ses cuisses. Très vite, nous sommes dans la cabine, je lèche son corps musclé et lisse au goût salé et je lui fais une turlute d’enfer. Il agrippe mes cheveux en crachant au fond de ma gorge. Il sort sans rien dire, sans un regard. Ça fait une heure que je suis là et il est temps que je parte mais un énorme camion immatriculé en Espagne arrive. Au volant, un jeune homme brun, bouclé, vingt-cinq ans. Lui aussi porte une alliance. Je lui souris, il fronce les sourcils et me fait signe de déguerpir. Je fais un tour, je repasse. Apparemment il a changé d’avis, il me fait signe de monter. Il tire les rideaux, il se fout complètement à poil. Il est très musclé, très poilu, tatoué sur les épaules. Le paquet pendant entre ses jambes, il ne bande pas. Il attend que je le mette en forme. Je tripote son gros sexe flasque, ses couilles lourdes, je le suce et il finit par bander. J’ai du mal à l’emboucher jusqu’à la garde. Il me fait allonger et vient se placer à hauteur de mon visage. Ses cuisses enserrent mon visage, ses couilles s’étalent sur mon menton et son gros gourdin s’enfonce dans ma bouche jusqu’à la glotte. Il m’étouffe mais ce n’est pas son problème, il lime ma bouche comme une chatte. Ça dure presque un quart d’heure, il dit des cochonneries en espagnol et se met à gueuler en lâchant un flot de semence tiède et abondante que je ne peux faire autrement que d’avaler jusqu’à la dernière goutte.
Il est temps que je quitte ce parking. Au retour je souhaite m’arrêter sur l’aire de repos, hélas, elle est fermée pour travaux. Je suis déçu, aussi en rentrant je vais rendre visite à un épicier arabe que je connais. Il me fait passer dans l'arrière-boutique puis vient me rejoindre en disant : "Mes cousins vont s’occuper des clients !" Pendant ce temps, moi je vais m’occuper de vider ses grosses prunes. Évidemment, j’ai eu droit aux deux cousins, jeunes, un peu style loubards de banlieue mais peu importe, l’un comme l’autre ont joui très vite.
Arrive 16 heures. J’ai fait sept pipes, je me lance un challenge : aujourd’hui il faut que j’en fasse dix !
Alors je pousse jusqu'au bois voisin, dans un coin calme, peu fréquenté, où s’arrêtent les mecs pressés qui rentrent chez eux après le travail. Ce n'est pas l’endroit de la drague traditionnelle. Je reste au volant. Une estafette ralentit. Je fais un signe amical au chauffeur. Très vite je me retrouve dans l'estafette, agenouillé entre les jambes brunes et très velues d’un garçon portuguais et là, au milieu des pots de peinture, des échelles, je tête son gros dard qui ne tarde pas à inonder ma bouche.
Ensuite, dans un buisson de hautes fougères, ce sera le tour d’un monsieur distingué, aux cheveux argentés. Il est bien membré, je le pompe avec frénésie, il jouit en m’insultant, en me traitant de salope. Encore un et j’aurai atteint mon objectif. Trois mobylettes avec trois jeunes passent devant moi. Ils rient, plaisantent et disent : "Vise un peu. C’est sûr, il cherche à pomper !” Lorsqu’ils repassent, je passe ma langue sur mes lèvres pour les inviter. Le plus vieux doit avoir vingt ans. J’hésite parce qu’ils sont jeunes. Je leur dis, et, très spontanément, le plus jeune me répond : “J'ai dix-huit ans !" Dans le même buisson de fougères, l’un après l’autre viendront défoncer ma bouche. Paradoxalement, la plus grosse bite est celle de celui qui a dix-huit ans. Douze pipes, je peux rentrer. Ma voiture roule, un mec m’interpelle, très direct, il me demande avec insistance une petite gâterie. Sa femme est enceinte, il a besoin de se vider les couilles. A l’entendre il ne peut plus attendre. Il est beau, blond aux yeux très bleus. Je craque, j’ai eu raison. C’est une queue royale. Il est très long à jouir. La nuit tombe, ça coule dans ma gorge.
Je suis enfin rentré, j’ai pris une douche, voilà ma journée. J’ai fait treize pipes, oui treize pipes ! J’ai donné du plaisir à treize mecs, je vais bien dormir, heureux, comblé, comme vont le faire les treize mecs que j’ai honorés.
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