Dimanche 26 avril 7 26 /04 /Avr 16:28

Les examens approchant, je sors de cours ce soir-là à 22h30, crevé d’avoir révisé toute la journée et impatient de retrouver mon mec à la maison. Je pense à lui dans le bus, à sa gueule de petite racaille macho, à ses abdos si parfaitement dessinés, à sa queue circoncise de rebeu mais aussi à l’amour infini que je lui porte. J’ai quitté la maison familiale pour m’installer avec lui très tôt et depuis, installé dans le petit deux-pièces qu’il a pu louer après avoir arrêté ses études pour commencer un boulot de réparateur en informatique, nous ne pouvons plus nous quitter. Il est capable d’une incroyable tendresse comme d’une vraie brutalité de mec de cité dominateur et c’est justement ce paradoxe que j’adore en lui.

En arrivant devant notre porte, j’entends des rires et je remarque une odeur de beuh qui se dégage jusque dans le couloir. Putain ! J’avais oublié sa soirée avec ses potes… Moi qui rêvais de me lover dans le canapé, c’est mort. J’ouvre la porte, ils sont là, 6 rebeux entre 22 et 26 ans, avec leur look de racaille, casquette, jogging, baskets, leur verre de sky dans une main et leur joint dans l’autre. Mehdi, mon mec, lève la tête et sourit :

— Ça va ma poule ? On parlait de toi justement !

— Ah ouais ? J’ai bien fait d’arriver avant que ça devienne méchant alors !

— Mais nan t’inquiète on parlait de vendredi soir dernier. Je disais que Karim t’avait méchamment abîmé, tu te souviens ? Hein Kamel ?

Près de la télé, Kamel acquiesce. Je l’aime bien Kamel, il est plutôt timide et doux comparé à ses potes mais il est mignon comme tout et il a une bonne queue. Le vendredi précédent, il m’avait baisé en plan à 3 avec mon mec et un autre, que je connais pas très bien mais que Mehdi adore. C’est vrai que putain, quand j’y repense, ce Karim était plus que domi : c’était un vrai violent. Non seulement il m’avait défoncé à coup de bite bien hard, mais en plus il me foutait des baffes, des fessées et des coups de pied de malade. J’avais morflé ce vendredi-là… Ce soir, à part mon mec bien sûr, je ne connais que Kamel, le gentil. Les 4 autres, je ne les ai jamais vus. Ah si, celui qui est sur la droite peut-être, le grand baraqué tout en gris. Je crois que je l’ai croisé déjà. D’ailleurs Mehdi fait les présentations :

— Les mecs, je vous présente ma poule ; ma poule, je te présente Jordan, Jean-Luc et Ahmed. Et Steph tu le connais non ? Il était là au nouvel an.

Ah oui, c’est ça. Le grand baraqué du nouvel an qui avait fini par embarquer une espèce de pouffiasse à gros seins. Je regarde vite fait les 3 autres, Jordan, super grand, très maigre, avec une barbe mal rasée et des dents déjà pourries ; Jean-Luc, assez looké avec ses strass sur la casquette ; Ahmed, un géant qui doit peser bien 100 kilos mais qui a une bonne tête. Mon mec revient à son sujet :

— Les gars je vous dis pas comment Karim il s’était défoulé. Mais bon c’est un pote, c’est normal, j’allais pas le priver de ça quoi.

Kamel sourit, Jean-Luc et Ahmed se marrent. Jordan, lui, ne dit rien mais lance à mon mec :

— Mais sérieux ça te fait pas chier que ton mec se fasse tirer par d’autres keumés ? Moi ça me foutrait les boules que ma nana aille voir ailleurs.

— Mec c’est pas d’autres keumés, c’est mes potes. Je partage. Ça me fait plaisir. Je me fais pas chier avec une meuf parce que j’ai besoin d’une bonne salope au lit ; j’en ai trouvé une je vais pas la garder que pour moi. Je suis un communiste moi !

Ils se marrent et moi avec. Bref, enfin je suis quand même crevé et je lance :

— Bon, je vais me coucher, suis naze. Faites pas trop de bruit.

— Attends ma poule, prends juste un verre.

Mais je vois déjà Jean-Luc, le looké, qui reprend :

— Eh mais sérieux, si t’es ok Mehdi moi je veux bien me vider les couilles, hein ! Suis pas pédé mais t’as l’air de dire que c’est comme une meuf, quoi !

— Mais mec c’est mieux qu’une meuf, répond mon Mehdi. Et si t’es cho vas-y, fais-toi plaiz. La chambre est à côté.

Et merde… Moi qui voulais me pieuter… Mais déjà Jean-Luc s’est levé, ses mouvements faisant briller ses strass dans la lumière du salon :

— Bon ben les gars, à plus hein ! Mehdi t’es sûr de toi là ?

— Putain fais pas chier et éclate-toi. T’inquiète tu peux y aller, il a l’habitude.

— T’as des capotes ?

— Ouais si tu veux, dans la table de nuit. Mais je te fais confiance, t’es pas obligé.

Jean-Luc passe près de moi, me fait un clin d’œil. Je passe une main sur l’épaule de Medhi qui me sourit en disant : « À tout de suite ma poule. »

J’entre dans notre chambre, Jean-Luc referme la porte et direct vient m’appuyer sur les épaules pour me faire mettre à genoux. Aussitôt je baisse son jogging et commence à lécher son boxer. Le paquet est plutôt prometteur. Je sens les mains de Jean-Luc sur ma tête qui me caressent les cheveux et me plaquent la bouche contre sa queue qui commence déjà à durcir.

— Vas-y sale pute lèche bien ma queue ! Fais-moi bien bander, je vais te la mettre profond. Tu kifes les queues de rebeux hein ? T’es une bonne salope, ça se voit sur ta gueule. Je vais te déboîter la mâchoire.

Je surkife sa façon de me parler. D’une main je baisse son boxer et voit surgir une belle bite circoncise, bien longue, pas ultra large, bien mise en valeur sur des poils entretenus et de belles couilles rondes. Je me jette sur sa bite et direct il m’impose son rythme, bloquant ma tête de ses mains et faisant de grands mouvements du bassin pour me niquer la bouche en continuant à me traiter de salope, de bonne suceuse, de petite pute. Ses gestes font cliqueter sa chaîne en toc dorée. Sa bite est super douce, elle me pénètre bien jusque dans le fond de la gorge et je peux m’éclater à alterner les fonds-de-gorge avec des mouvements plus soft. Après 5 bonnes minutes de suce, il se penche vers mon cul, passe une main sous mon jean et commence à me doigter pendant que je lui lèche les couilles. Puis je me relève, j’ai à peine le temps de virer mes fringues qu’il me jette sur le lit en lançant « Vas y sale chienne fous-toi à quatre pattes que je te nique la chatte ! »

J’obéis aussitôt et je sens direct sa queue coulisser sur mes fesses ; il joue quelques secondes comme ça en crachant sur ma raie, en me doigtant pour lubrifier mon cul avec sa salive, puis il crache sur sa bite et je sens son gland qui se positionne. Je me cambre à fond, son gland essaie d’entrer, il y arrive pas ; je me prends une fessée, puis deux, il me dit de bien m’ouvrir pour accueillir sa queue ; je fais du mieux que je peux mais j’y peux rien si je suis serré. Il crache encore, me fous quelques doigts, puis je sens qu’il s’impatiente et il choisit la méthode forte : d’un coup, c’est tout son gland qui me pénètre brutalement. Je crie, d’une main il m’enfonce la tête sur le lit puis force encore pour faire entrer le reste de sa queue en une fois. Je sens ses couilles sur le bas de mes fesses et ses va-et-vient commencent aussitôt. Je me fais bien niquer par toute la longueur de sa bite qu’il fait coulisser toute entière dans mon cul, la sortant complètement, me la remettant profondément tout d’un coup, puis me baisant comme un chien, par petits à-coups avant de reprendre ses mouvement plus amples. Sa queue me fait du bien, une bonne bite de rebeu comme je les aime, assortie de ce côté macho des petites racailles de cité qui se croient super puissants parce qu’ils ont arrêté le lycée et fument des joints dans leur cave. Ses mots aussi me font du bien, ses insultes, les compliments qu’il se fait sur « sa méga bite qui me défonce bien », les compliments qu’il me fait sur « ma bonne chatte de vide-couilles à doser »… Et effectivement ça ne tarde pas, je l’entends respirer plus vite, un peu plus fort, sa queue gonfle un peu dans mon cul et son râle quand il largue son jus dans mon ventre avant de s’effondrer sur mon dos…

Pendant quelques secondes il ne bouge pas, puis se retire et me lance : « Vas y nettoie-moi la queue vite fait.» Je m’agenouille par terre et ma tête vient entre ses cuisses alors qu’il s’est assis sur le bord du lit. Il a déjà débandé mais sa queue est toujours très longue. Je suce bien son gland pour avaler les toutes dernières gouttes de sperme, je lèche soigneusement toute sa bite, puis il se relève, remonte son jogging qu’il n’avait même pas enlevé et me dit en ouvrant la porte : « Putain c’est vrai que t’es bonne toi ! ».

J’ai à peine le temps de m’allonger sur mon lit que la porte s’ouvre à nouveau, laissant passer Jordan, le grand maigre, et Ahmed, celui qui est vraiment gros. Je souris en les voyant tous les deux l’un à côté de l’autre : deux racailles rebeux avec leurs gabarits tellement différents. Ahmed prend mon sourire pour une invitation et me lance :

— Mehdi nous a dit qu’on pouvait venir aussi.

— Ouais bien sûr, pas de problème.

Je suis fatigué mais je peux pas résister à un truc à trois. D’ailleurs Jordan s’avance déjà en se caressant le paquet à travers son survêt. Je me remets à quatre pattes sur le matelas, il choppe ma tête et la plaque contre ses couilles. C’est un vrai truc chez eux de me faire sniffer leur teub alors qu’elle est même pas sortie ! Je sors ma langue et commence à lécher par-dessus le tissu. La bosse est plutôt prometteuse. À côté, Ahmed a sorti sa queue et se branle déjà en matant. J’ai pas envie d’attendre, à deux mains je descends le fut et le caleçon de Jordan et prends en bouche sa queue à demi-molle. Elle pue un peu la pisse mais je connais mon taf. Il doit le sentir parce qu’il bande direct dans ma bouche et commence à me la baiser. Je joue avec ma langue sur son gland, je caresse ses couilles en même temps ; putain j’en reviens pas du morceau : j’ai la gueule complètement remplie et il en reste encore un bon tiers ! Et vachement épais avec ça. Je vais déguster s’il me nique, celui-là ! Je jette un coup d’œil à côté vers Ahmed qui s’est approché, pantalon sur les chevilles : c’est tout l’inverse, sa bite est bien raide mais assez courte et pas très large. C’est drôle, ça contraste avec son corps massif et sous son gros ventre ultra poilu ça a l’air encore plus petit. Après tout je m’en fous, une queue est une queue et j’ai aussi envie de lui. Il se branle toujours pendant que Jordan me défonce la bouche en silence. Après quelques minutes, je me recule moi-même pour m’occuper de la teub d’Ahmed, qui voyant ça s’écrie : « Putain t’aimes vraiment trop la bite toi ! » ; et aussitôt il me fourre la sienne entre les lèvres. Je le pompe comme une chienne pour bien lui montrer qu’il a raison, en même temps je sens les mains de Jordan qui commencent à me caresser le cul après avoir enlevé toutes ses fringues. C’est tellement bon d’avoir un mec devant et un mec derrière ! Dans ces moments-là je me dis que je suis vraiment fait pour ça. Ahmed aussi me le dit, me traitant de pute à queues, de bonne chienne à tourner, de sac à foutre. Il me claque la gueule avec ses grosses mains, me tient le menton pour que je le regarde en le suçant et me lâche de gros mollards sur le visage, qui coulent sur ma peau et s’écrasent sur mes draps. Derrière moi, Jordan me glisse deux doigts dans la chatte. Je l’entends chercher quelque chose, il ouvre la table de nuit et attrape une capote, déchire l’emballage et se la met rapidement sur la queue. Il place son gland sur mon trou et s’exclame :

— Et merde…

— Qu’est-ce qui t’arrive mec ? lui fait Ahmed en me baisant toujours la gueule.

— J’ai craqué le préso ; attends j’en prends un autre.

Ce qui fait, mais il n’est manifestement pas doué parce qu’il le pète aussi en se le mettant trop vite.

— Fais chier putain.

— Vas y t’emmerde pas baise-la à cru cette pute.

— Ouais mais je sais pas, c’est un pédé quand même.

— Et alors ça fait quoi ? C’est une pute, Mehdi il a dit qu’on pouvait y aller.

— Vas y t’as raison.

J’ai à peine le temps de me cambrer qu’il m’enfonce tout son gourdin dans le cul. Je gémis grave mais suis étouffé par la petite bite d’Ahmed qu’il maintient toute entière dans ma bouche. Ils se mettent à me baiser en rythme, moi avançant vers le gros ventre d’Ahmed en me tenant d’une main à ses larges cuisses poilues quand Jordan vient jusque dans le fond de ma chatte, puis reculant quand il se retire avant de la replonger toute entière. Jordan me tient fermement par les hanches, s’agrippe violemment à la peau de mes fesses mais ne dit toujours pas un mot ; Ahmed, lui, m’insulte copieusement en se faisant plaisir dans ma bouche qu’il baise vraiment comme une chatte. Je sens ses couilles contre mon menton, c’est bon, je me sens bien, la gueule et le cul remplis par des bites de beurs en chaleur qui ne pense qu’à se vider les couilles dans mon corps, le corps du mec de leur pote qui lui-même n’a pas une seconde pensé à me demander mon accord avant de leur dire de me sauter. Je suis sa pute, je suis leur pute, et j’aime ça. Ils le savent d’ailleurs et ne se privent pas d’en profiter, me défonçant brutalement dans tous les sens avant de décider d’inverser les rôles.

Jordan se retire de mon cul d’un coup et vient devant moi pendant qu’Ahmed passe derrière. Je me jette sur la grosse bite de Jordan et le suce avec gourmandise ; c’est kiffant de passer de l’une à l’autre, si différentes. Je sens la queue d’Ahmed qui s’enfonce en moi, malgré le passage de celle de Jordan je me sens bien rempli, c’est peut-être dû au fait qu’il m’écrase avec son poids, il est penché par dessus-moi, ses grosses cuisses collées contre les miennes, son ventre sur mon dos, il me baise très vite, par des petits mouvement saccadés, en respirant très fort ; sa sueur coule de son corps et s’écrase sur ma peau. Il s’est arrêté de m’insulter. Je glisse un regard vers la droite ; le grand miroir sur le mur renvoie l’image de mon petit corps blanc tout mince, baisé d’un côté par un gros rebeu luisant et de l’autre par un grand maigre, à la peau plus foncée encore, qui fait coulisser son sexe gigantesque entre mes lèvres. Jordan m’a attrapé par les cheveux et me fait pomper sa queue à toute vitesse, l’enfonçant le plus loin possible dans ma gorge ; je kiffe cette façon bien macho de me démonter la gueule, je lève les yeux vers lui, il a un sourire pervers, presque sadique en me regardant le sucer, puis il relève la tête, la penche en arrière, ferme les yeux et se met à gémir doucement avant de lâcher toute sa sauce dans ma bouche tout en continuant à me faire pomper sa queue. A peine quelques secondes plus tard, Ahmed se lâche aussi, mais dans ma chatte, me remplissant de son sperme en s’effondrant complètement sur moi. J’avale consciencieusement tout en pensant que le jus d’Ahmed rejoint celui de Jean-Luc au fond de moi. Jordan s’est assis sur le lit, face à moi, sa bite toujours dans ma bouche, que je nettoie doucement. Nous restons tous les trois sans bouger pendant une minute. Je me sens tellement bien, je voudrais rester comme ça toute la nuit. Il ne manque que les mains de mon mec pour me caresser le corps et ce serait parfait. Ahmed est le premier à se relever, sa bite molle se retirant de mon cul dans un bruit mouillé ; presque aussitôt Jordan sort de ma bouche et se lève aussi. Ahmed lance « Putain ça fait du bien d’avoir les couilles vidées » en remontant son survêt pendant que Jordan cherche ses fringues ; Ahmed me sourit en me disant « Allez à plus ! », Jordan me fait un check et ils sortent de la chambre.

J’entends des exclamations, des rires dans le salon, j’ai hâte que Mehdi me rejoigne pour passer la nuit avec lui. Rien ne se passe pendant plusieurs minutes à part les rires et les conversations qui continuent. Je commence à m’endormir.

Je suis réveillé par une voix dans mon oreille : « Ma poule ! T’es encore en forme ? » ; j’ouvre les yeux, c’est lui, mon mec, penché vers moi, qui me tend un verre d’eau : « Vas y rince toi la bouche ». J’obéis puis il m’embrasse. J’aperçois derrière lui Kamel, debout, l’air toujours aussi timide. C’est pourtant pas la première fois qu’il est invité dans notre chambre. Mon mec me murmure : « S’il te plait bébé, Kamel veut juste se faire sucer. Ok ? »

Ben oui ok. Evidemment ok. Je peux pas dire non à mon mec. Je lui dis jamais non d’ailleurs, il le sait. C’est pour ça qu’il ne pose jamais la question, ou alors pour la forme, par politesse, ou pour me faire comprendre qu’il faut que je m’active.

Je fais un sourire à Kamel qui, rassuré, s’approche. Mehdi va s’installer dans le fauteuil pour nous mater. Je le regarde du coin de l’œil en commençant à caresser le torse de Kamel qui a viré son t-shirt. Il me caresse tendrement la tête en sortant sa bite. Il bande déjà, ses 18 centimètres me frôlent la joue, j’ouvre la bouche et lèche son gland, puis descends jusqu’à ses couilles pour passer ma langue tout le long de sa queue avant de toute prendre d’un coup entre mes lèvres pour lui faire un fond-de-gorge direct. Il gémit doucement, je sais ce qu’il aime mon Kamel, je l’ai déjà sucé un nombre incalculable de fois, et il m’a baisé presque autant. Quand Mehdi n’a pas confiance dans certains mecs qui lui demandent de me sauter, mais qu’il n’est pas là pour rester à côté, c’est Kamel qu’il envoie me protéger. Sous ses airs timides, il est capable de bien cogner et m’a déjà sauvé deux fois de connards qui voulaient me tabasser. Alors je lui dois bien de me donner à fond sur sa queue. Il n’a pas besoin de me tenir la tête ou de me tirer par les cheveux pour que je le pompe avec passion et il le sait. Il me laisse faire. J’en profite pour y aller à mon rythme, alternant les moments où je suce tranquillement son gland en caressant ses couilles avec des temps plus rapides, plus profonds, pendant lesquels le contact du fond de ma gorge avec le bout de sa bite lui arrachent des gémissements rauques de plaisir. Quand je sens qu’il est sur le point de jouir, j’enchaîne les fonds-de-gorge puis finis par ne le sucer qu’avec son gland le plus profondément enfoncé dans ma bouche, ne faisant que des petits mouvements très rapides jusqu’à ce que je sente sa queue se gorger de sperme et lâcher sa crème qui tombe directement dans mon estomac. Il est agité de petits soubresauts en giclant, se vidant de ses dernières gouttes de jus toujours calé dans ma bouche pendant que ma langue lui caresse la base du gland. Il se retire, on se sourit, il se penche pour me faire un smack.

Je vois Mehdi qui se branle tranquillement à côté, souriant. Il lance à son pote : « Tu connais le chemin mec. » Kamel sort de la chambre en refermant la porte derrière lui. Mon mec s’approche, d’une main puissante il me fout à quatre pattes sur le lit et, toujours debout, m’enfonce brusquement toute sa queue dans le cul. Ses couilles s’écrasent contre mes fesses et il me baise sauvagement en gueulant « Putain de salope, t’as la chatte bien lubrifiée ! C’est trop facile de te baiser avec tout ce jus de rebeu là ! Je vais te mettre ma dose moi aussi, t’es à moi tu m’entends ? Je tasse bien tout le sperme dans ta chatte et je te remplis sale pute ! »

Je sais ce qu’il veut dire. C’est à lui de me baiser en dernier. Il ne me laisse jamais m’endormir sans son jus dans les entrailles si d’autres m’ont rempli avant lui. Il me rappelle qu’il est mon boss. Même si je n’ai pas besoin de ça pour le savoir, je ne dis rien, trop excité à l’idée qu’il s’apprête à jouir, lui aussi, à l’intérieur de moi. Il ne tarde pas à le faire, ses jets puissants giclant sur les parois de mon cul, se mêlant à ceux de ses potes, avant de s’écrouler à côté de moi, ses bras autour de mon corps, pour nous endormir tous les deux. En sombrant dans le sommeil, j’ai une pensée pour Steph, le grand baraqué, le seul de ces 6 rebeux qui ne m’ait pas baisé ce soir. Mais la bite de mon mec encore en moi compense largement toutes les autres.

 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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