Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 14:31

 

L'homme est étendu sur le lit, en croix, les pieds et les mains liés par de fins cordons verts attachés aux montants du lit. Seul son sous-vêtement rouge contraste avec la couleur de sa peau mate. Il sourit aux caresses, excitantes, douces, attentionnées de celle qui l'a attiré dans cette chambre. L'homme veut du sexe : il sera servi, mais pas comme il le souhaite. La femme, entièrement nue, excite son partenaire en palpant les couilles et frottant de sa paume droite la longue queue qui se tend et étire les fibres du tissu du slip.

L'homme émet des sons étouffés face à cette délicieuse torture. La femme glisse ses doigts sous l'élastique du slip et entre en contact avec la soie du gland de ce pieu de chair tendu, dont l'extrémité se mouille délicatement. Elle se lève, saisit un fin tissu noir, s'agenouille sur le corps de l'homme, sa toison noire finement rasée à hauteur de son nez et lui bande les yeux.

La femme se lève, sort de ce lit, quitte la chambre pendant que pénètre dans celle ci, un tout jeune homme, son frère, entièrement nu, le sexe tendu, décalotté. Il a assisté à la scène de séduction par un judas situé dans le mur d'une des parois de la chambre. Pendant plusieurs minutes, il s'est caressé à l'abri du regard de l'homme, rêvant de posséder ce partenaire que sa sœur lui a amené cet après midi, comme elle le fait régulièrement. Le jeune poursuit les caresses là où sa sœur les a interrompues... Ses doigts fins dessinent sur la peau de l'homme des cercles autour des mamelons qui durcissent au contact de ses doigts. Puis poursuivent leur chemin sur ce ventre plat, musclé jusqu'à rencontrer la frontière de l'élastique du sous vêtement. L'homme gémit, sans se rendre compte de la supercherie jouée par la femme. Son sexe, prisonnier de ce tissu, se tend de plus en plus et mouille légèrement le tissu rouge. La bouche du jeune garçon se pose sur ce sexe caché, la langue lape ce tissu distendu.

Le regard acidulé du garçon est empli de feux d'excitation, obnubilé par la turgescence occasionnée par cette grosse érection. Il s'assied en position de lotus entre les jambes écartées de l'homme. Dans cette position, il lui malaxe à travers le tissu, les couilles de sa main gauche pendant qu'il se branle de la main droite, bouche grande ouverte comme un poisson en manque d'oxygène. Le jeune garçon voudrait tant jouir dans la bouche de son partenaire mais ne veut pas éveiller la supercherie mise en place par sa soeur. Il tend son bras droit vers la table basse de chevet, ouvre un petit tiroir et en saisit une paire de ciseaux en argent. Toujours aucun mot n'est prononcé ni par l'un ni par l'autre. Seules deux respirations fortes, saccadées, emplissent l'atmosphère de cette chambre.

 

Le jeune homme tourne légèrement sa tête vers le mur, là où se trouve le judas caché dans les motifs muraux, se demandant si sa soeur est spectatrice de ce moment. De toute manière, elle fera son retour dans cette chambre dès que son frère aura pleinement profité de son jouet sexuel. Lentement, les deux lames des ciseaux, froides sur la peau hâlée de l'homme, entaillent le tissu rouge sur chaque flanc. Les prémices de la toison noire corbeau du pubis apparaissent. Le tissu cède. À ce moment précis une colonne de chair gainée de veines bleues, longue, brune, épaisse, circoncise, émerge, jaillit, se tend, s'étire lourdement sur le ventre, droite, bien au delà du nombril. Plus de 25 centimètres sous ses yeux ! Et deux grosses couilles qui s'agitent lourdement dans ce sac de peau légèrement velue.

La queue plus modeste du garçon vibre fortement sous l'afflux sanguin occasionné par ce mandrin tendu, agitée tel un fétu de paille sous les caresses du vent. Le jeune homme saisit alors ce lourd pieu de chair et constate qu'il ne peut l'enserrer entre ses doigts, tellement il est épais. Il mouille du cul. Assis devant l'homme, jambes toujours écartées, le jeune garçon salive son majeur gauche et le dirige vers l'auréole intime de son partenaire, se positionne à l'entrée légèrement velue et l'enfonce d'une poussée de toute sa longueur. L'homme trésaille devant cette pénétration. En même temps, le garçon se penche vers le gland de soie marron, y dépose sa langue, lèche ce pieu tendu jusqu'aux couilles. Sa bouche en saisit l'extrémité qui emplit la cavité buccale et glisse sur la chair. Mais soudain, l'homme, d'un coup de reins puissant, enfonce le plus loin possible dans la bouche sa queue qui cogne au fond de la gorge du garçon qui manque d'étouffer. Des larmes jaillissent et le jeune garçon se relève prestement. Il sent l'homme au bord de la jouissance. Il prend un tube de lubrifiant, enduit le gland luisant de l'adulte puis en appose tout autour de sa rondelle, glisse son doigt délicatement dans l'orifice par de petits va-et-vient très lents. Il emjambe ensuite l'homme, sa main gauche retenant ses propres couilles afin qu'elles ne claquent pas sur la peau de l'autre. Le jeune homme relève son cul, saisit l'érection bien vigoureuse et place le gland à l'entrée de sa grotte intime. Respirant une bouffée d'air, il s'empale délicatement sur ce mandrin de chair, le gland étant plus gros que la verge. Ses sphincters s'ouvrent, s'écartent, se distendent, le gland se fraie un chemin dans sa cavité, le lubrifiant aidant fortement la pénétration. Les yeux du jeune se perlent face à ce supplice excitant. Le pénis s'enfonce doucement. Mais l'homme, jusque là passif, d'un coup de reins puissant, enfonce sa monstrueuse colonne de chair jusqu'à la garde dans le cul du garçon qui émet un râle de douleur. 25 centimètres enfouis dans son cul ! L'homme poursuit ses va-et-vient. Le jeune, le cul fortement écarté, prend appui de sa main droite sur l'abdomen de son partenaire afin de ne pas être projeté sur le corps de l'homme. Il devine cette grosse queue coulisser en lui, le plaisir remplaçant maintenant la douleur, et souhaite que ce moment perdure encore quelques minutes. Mais des signes annonciateurs indiquent que la jouissance est proche. Effectivement, par des sons étouffés, l'homme crache sa crème au plus profond du jeune, tapissant ainsi ses parois anales.


Arrêt momentané de tout va-et-vient et le garçon extirpe cet obélisque de chair de son fondement, la semence coulant le long de ses cuisses. Il s'allonge près du corps musclé de l'homme, couvert de sueur, la respiration rapide, saccadée. Alors, le jeune homme se caresse, d'abord doucement, faisant courir ses doigts sur sa tige tendue, puis plus fermement, l'empoignant fortement. Devant l'imminence de la jouissance, le jeune homme saisit le slip rouge découpé de l'adulte et quatre longs jets de semence blanc nacré maculent ce tissu... L'homme, les yeux toujours bandés, tourne sa tête vers les râles du jeune, se demandant sans aucun doute ce qui se passe.

Le jeune homme se lève du lit, le sexe à demi bandé, luisant de semence et quitte la chambre. La femme croise son frère, l'embrasse sur la joue droite au passage, trempe quelques doigts dans le sperme se trouvant dans le slip rouge, et se dirige vers ce corps étendu. Elle ôte le bandeau noir des yeux de l'homme et plonge les doigts souillés de semence dans la bouche de son partenaire qui les suce avec délectation. Elle pense déjà à la prochaine proie qu'elle offrira à son frère tout en s'empalant sur cette énorme queue à nouveau tendue.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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