Dimanche 3 janvier 7 03 /01 /Jan 17:51

À son départ j'ai demandé dans un chuchotement à Rudy :

— Alors ?

— Reste calme. Il faut attendre un peu, il peut repasser faire une ronde.

Je ne savais pas comment allait se passer ma nuit. J'étais à la fois impatient de connaître le grand frisson et en même temps je balisais un max. En chuchotant aussi il m'a dit :

— Quand je te le dirai, tu viendras dans mon lit. Si tu entends des pas dans le couloir, tu retournes dans ton pieu à fond et ne t'endors pas en attendant.

— Ça, y'a pas de danger !

En attendant seul dans mon pieu et en pensant à ce qui allait se passer après, je bandais à mort. Ma bite me faisait mal à force d'être raide. Si je continue à me faire un film comme ça dans la tête, je vais finir par jouir seul dans mes draps. J'ai le souffle coupé, je n'ose pas me toucher de peur de cracher mon sperme. Après un moment assez long je l'ai entendu me dire :

— Tu viens ?

Ponctué par deux éclairs de sa lampe de poche. Devines si je viens ! Je n’y vais pas, j'y cours ! En moins de temps qu'il n’en faut pour l'écrire, j'avais traversé la pièce et j'étais collé contre Rudy. Ma bouche prenait possession de la sienne, ma langue cherchait la sienne.

— Reste calme, il faut que je bloque la porte.

— Fais vite, ai-je murmuré, déçu.

Il est revenu très vite. Je me suis de nouveau serré contre lui, ma bouche a repris la sienne, lui me caressait partout, il avait mille mains. Je vibrais de partout, mon corps était parcouru de frissons. Il a quitté ma bouche pour embrasser mon cou puis mes tétons, mon ventre et enfin il a enfourné ma bite. Je lui ai dit de ne pas aller trop vite sinon j'allais jouir tellement j'étais excité. Mais il a continué à me sucer, sa main palpait mes couilles, mon cul. Il ne m'a pas fallu une minute pour que je lâche mon foutre dans sa bouche.

— C'est bon… M’a-t-il dit !

Il a continué à la garder dans sa bouche, sa langue jouait sur mon gland, il aspirait avec force les dernières gouttes de sperme. J'étais à la fois déçu que ça ait été si rapide et à la fois ravi de la jouissance qu'il m'avait procurée. Ma queue était devenue minuscule dans sa bouche. Je lui ai dit ma frustration d'avoir joui si rapidement. Il m'a répondu :

— C’n’est pas grave, tu vas voir : on va recommencer !

Il s'est allongé contre moi, sa bite à la hauteur de ma bouche. J'ai compris le message. J'ai commencé à le sucer très doucement. Dire qu'avant, après avoir joui, j'avais hâte que cela finisse vite ! Sa queue, ses couilles, son trou du cul, tout y passait ! Je passais de l'un à l'autre avec de plus en plus de gourmandise. Je mettais beaucoup de salive pour que ça glisse mieux. Il avait écarté mes cuisses et sa langue prenait possession de mon trou.

D'abord il a commencé par la faire courir sur la rondelle puis il l’a rentrée à l'intérieur, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Je recommençais à bander. Elle reprenait vie. Avec ma main je la touchais pour voir comment elle était. Elle pouvait mieux faire mais quand même, l'affaire prenait forme. J'ai senti quelque chose de gros rentrer dans mon cul, j'ai serré les fesses, Rudy m'a dit de rester calme, de ne pas me contracter, que ça n'allait pas faire mal. Il parlait tout bas. Sa voix était chaude, caressante, douce. C'est vrai que ça ne faisait pas mal, j'ai fini par le laisser faire, son doigt entrait et ressortait de mon cul bien lubrifié avec sa salive, tout en douceur. De temps en temps sa bouche revenait à ma bouche pour des baisers gourmands et baveux.

— Tu vois, tu rebandes...

Et toujours il revenait vers mon cul. Après un doigt ce furent deux. Je lui faisais confiance, j'avais pas mal, j'étais bien. Il s'est arrêté, il a allumé sa lampe, il a ouvert son tiroir de table de nuit, en a ressorti un pot de gel et un préservatif. Il a posé la lampe sur le lit et en me regardant il a posé la question qui tue :

— Tu veux bien ?

— Je ne sais pas moi, oui... non... je ne l'ai jamais fait... ça va faire mal ?

— Mais non, Adrien, je te jure ! Je vais faire attention, je vais y aller doucement. Tu verras, tu n'auras pas mal.

Il a déchiré l'emballage de la capote, il l’a mise sur sa queue bien raide. Moi c'était la première fois que je voyais faire. Ma queue était retombée, minuscule sur mon ventre. Il a pris du gel sur ses doigts et me l'a passé dans les fesses. Il a recommencé à mettre un doigt puis deux. Il les faisait venir d'avant en arrière dans mon trou. C'était assez bon. Il est passé derrière moi, il a posé le bout de sa bite sur l'entrée de mon trou. Il a commencé à pousser un peu. J'ai eu peur, j'ai serré les fesses. Il m'a dit de respirer lentement, de relâcher mes muscles, sa main courait sur mes fesses, il était très caressant.

J'ai relâché, il a poussé doucement par petits coups. Il s'arrêtait un moment entre chaque poussée. Il reculait un peu et recommençait à rentrer de plus en plus loin. Par moment ça faisait mal, un peu, mais en même temps c'était super bon ! J'avais l'impression d'avoir quelque chose d'énorme et de brûlant dans moi. J'avais le ventre en feu. Je me touchais la bite sans arrêt, elle n'était pas encore rebandée mais elle coulait comme encore jamais elle n'avait coulée. Quand il a été tout au fond il m'a demandé :

— T'as eu mal ?

— Un peu mais continue, c'est trop bon !

Il est ressorti de mon trou, il m'a mis sur le dos puis a posé mes jambes sur ses épaules. Il est de nouveau entré dans mon cul mais plus vite, plus brutalement. Le chemin était fait, je n'ai presque pas eu mal. Il a commencé à aller et venir dans mes fesses. Des fois il reculait trop, sa queue ressortait, il grognait à chaque fois. Il la pointait sur ma rondelle et d'un grand coup de reins me pénétrait à nouveau. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Moi j'écartais mes fesses avec mes mains pour qu'il rentre encore plus profond. J'avais le ventre en feu. Par moment je serrais mes muscles au maximum pour qu'il ralentisse un peu. Il allait de plus en plus vite, mon cul faisait de drôle de bruits mais à la longue j'ai commencé à avoir de plus en plus mal. Il s'en est sans doute rendu compte car il s'est arrêté. Il est ressorti, m'a embrassé et m'a dit :

— Tu as mal, tu veux qu'on essaie autre chose ?

— Oui je veux bien mais va doucement.

— C'est toi qui va aller à ta vitesse, tu vas diriger !

Il s'est couché sur le dos, m'a mis à califourchon sur son ventre.

— Vas y, c'est à toi de jouer, moi je ne fais que ce que tu veux.

J'ai pris sa queue dans ma main. Je l'ai posée sur mon trou et je me suis assis dessus, doucement au début, mais comme ça allait bien je me suis laissé tomber à fond. J'ai bien serré les fesses et je suis remonté puis descendu à mon rythme, à ma vitesse. L'impression était encore plus forte, plus intense, encore meilleure. J'étais dégoulinant de sueur. Rudy me caressait le ventre, les seins, la bite. Lors de l'enculage elle s'était recroquevillée, il n'en restait plus rien. Maintenant, sous ses frôlements, elle redressait fièrement la tête. Il me branlait pendant que moi je m'empalais sur son pieu raide.

Lorsque j'ai senti que sa branle allait bientôt aboutir, j'ai accéléré la cadence de mon cul, je montais le plus haut possible et je me laissais tomber de tout mon poids sur sa queue. Je poussais des petits cris sans doute car, pendant qu'il me branlait d'une main, il plaquait son autre sur ma bouche. J'allais de plus en plus vite, de plus en plus haut. J'ai craché mon sperme et malgré que ce soit la troisième fois de la journée et que je n'avais plus grand chose à gicler, ma jouissance n'a jamais été aussi forte ! J'ai senti Rudy se raidir aussi. Le moment était arrivé, une dernière descente et j'ai senti son dos se cambrer, mes genoux n'étaient presque plus sur le lit. J'ai dû poser mes mains sur ses épaules pour ne pas me casser la figure, j'ai serré très fort mes muscles, il a rempli la capote de son foutre. Il me donnait des grands coups de bite puis, de plus en plus doucement, je faisais bouger mon cul de gauche à droite.

Je l'embrassais comme un fou. Nos langues menaient un train d'enfer. D'une main j'étalais mon sperme sur son ventre, je le mélangeais à nos sueurs déjà mêlées, j'engluais sa toison. Je portais ma main dégoulinante à nos bouches. Nous goutions notre jouissante intensément. Il a fini par se dégager avant que sa queue soit débandée, il a ôté la capote, il y a fait un nœud. Il voulait la jeter mais je n'ai pas voulu. Je la garde en souvenir de ma première fois. Je l'ai mise dans une enveloppe et je la garde précieusement dans mon portefeuille. Je sais qu’elle n'est pas très propre ni au dedans ni au dehors mais c'est la première. Rudy m'a dit :

— Demain c'est à mon tour !

— Super ! Tu sais... je t'aime.

Depuis, presque chaque soir je change de lit, et pour la première fois je n'aime plus les vacances.

 

Je me souviendrais toute ma vie de ma première journée de pensionnaire.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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