Dimanche 13 septembre 7 13 /09 /Sep 15:52

Je viens de terminer mes études d'infirmier à l'armée mais avant d'être officiellement diplômé, nous devons faire un dernier stage dans une unité et moi j'ai hérité d'un lycée ! Des jeunes gars de 16 à 18 ans si j'ai bien compris. Et cela m'arrange assez. Une unité avec de jeunes conscrits aurait aussi fait mon affaire !

C'est vrai que depuis mes 14 ans – j'en ai 21 maintenant – je fantasme sur les gars. C'est peut-être pour cela inconsciemment que j'ai choisi la carrière d'infirmier militaire. Qui sait.

 

En tout cas, ce 24 février je me rends à mon lieu de stage et ma feuille de route me dit que je dois me présenter à 15 heures devant le médecin chef attaché au lycée. Et à l'heure dite je frappe à la porte de son bureau.

On m'invite à rentrer, j'avance jusqu'à 2 mètres du bureau, je me mets au garde-à-vous et me présente : Brigadier Demeuse au rapport lieutenant. Et oui, c'est un tout jeune médecin, je lui donne 26 ans max. Mais bien vite il me met à l'aise et vient vers moi, me tend la main et se présente comme le lieutenant Lermite et m'invite à m'asseoir.

— Tu sais... Olivier nous sommes les deux seuls représentants de la division médicale dans ce lycée, alors quand on est seul je t'appellerai par ton prénom et toi par le mien, Pierre.

Puis nous parlons un long moment de ma formation et de la sienne et, durant cette longue discussion, il me regarde tout le temps droit dans les yeux. Moi, j'en fais de même : c'est vrai que je le trouve à mon goût mon supérieur hiérarchique !

 

Puis, il m'emmène vers l'infirmerie : mon domaine. Il m'explique que médicalement je n'apprendrai pas grand-chose ici si ce n'est de faire quelques fois par semaine l'un ou l'autre bandage ou soigner des rhumes, des grippes ou des coliques. Des petits bobos quoi. Rieur, il ajoute :

— Le plus chouette ce sont les gars qui se portent pâles pour éviter les corvées, les tests ou les exercices militaires. Et ils sont parfois nombreux. Aussi, un de mes prédécesseurs ici a mis un petit manège au point pour décourager les "tire au cul". Je vais t'expliquer et te montrer.

L'infirmerie comprend une salle de consultation avec un lit du même nom, un petit bureau et une armoire remplie de médoc avec pas mal de thermomètres, ainsi qu'une plus grande salle avec 6 lits. Aujourd'hui aucun lit n'est occupé. Et Pierre reprend ses explications :

— Tu vois, aucun malade ! Mais ce matin tous les lits étaient occupés. Alors j'explique et toi tu joues le rôle du lycéen qui veut se débiner pour l'une ou l'autre corvée.

J'acquiesce de la tête.

— Alors Olivier, qu'est-ce qui t'amène ?

— Je ne me sens pas bien lieutenant ce matin.

— Bon déshabille-toi complètement et va te coucher sur l'un des lits.

Alors je me dirige vers un des lits et je me déshabille jusqu'à mon boxer – car je bande légèrement – et je me couche sur le lit. Quelques instants plus tard, Pierre s'approche muni d'un thermomètre et d'un petit pot.

— J'ai dit à poil, Olivier, dit-il d'un air fâché.

J'ôte mon caleçon rapidement et laisse apparaître ma bite gonflée que Pierre ne peut pas ignorer. Il me fait coucher sur le ventre et tout en faisant, il m'explique :

— Une fois qu'il est couché sur le ventre, tu prends une petite noisette de vaseline sur ton doigt ganté et tu graisses bien sa petite rosette et tu enfonces bien ton doigt dans sa fente : le gars doit un peu souffrir. Ensuite tu lui enfonces le thermomètre.

Moi, je sens l'engin me pénétrer et Olivier l'enfonce bien profondément jusqu'à ce qu'il passe complètement mon sphincter. Je me remets à bander. Mais Pierre continue son explication :

— Et tu l'enfonces jusqu'à ce qu'il ne reste plus que 2cm du thermomètre visible. Ensuite, tu fais mettre le lycéen sur son côté de telle façon que tu vois comment il réagit et tu le laisses ainsi durant au moins dix minutes.

A ce moment là, je sens qu'il me prend par l'épaule pour m'obliger à me tourner sur le côté et Pierre découvre évidemment que je bande aussi avec ce truc planté dans mon cul. Et Pierre d'enchaîner :

— Alors tu aimes ça aussi mon petit brigadier !

Et, toujours le thermomètre planté dans mon cul, il me prend par le cou et m'emmène vers la salle de consultation. Et ses explications continuent. Je bande toujours.

— Après les dix minutes, tu vas chercher le gars, tu laisses le thermo en place dans son cul, tu l’amènes près de la table de consultation et là seulement tu lui retires le thermomètre et tu lis la température mesurée. Ici, comme tu le sais, on a de la fièvre à 37°C. Si le gars est vraiment fiévreux, tu le renvoies dans son lit. Dans les autres cas, une fois le thermomètre retiré, tu le fais prendre la position suivante.

Et il m'oblige à me coucher de tout mon long en travers du lit de telle façon que mon bassin repose sur le bord du lit.

— Ainsi, Olivier, tu voulais échapper à un cours ou une corvée mais tu n'es pas du tout malade. Tu as essayé de tricher : voici le tarif. Ou je fais un rapport négatif sur toi avec toutes les conséquences pour la suite de tes études mais aussi une suppression certaine de tes prochaines permissions ou tu te soumets au règlement du corps médical. Tu as le choix.

Moi, je joue le jeu et dis :

— Non, non lieutenant, je me soumets à votre règlement.

Alors, sans attendre, je sens la main de Pierre qui s'abat sur mes fesses et il me donne une fessée magistrale d'une bonne dizaine de minutes. Je crie, je gesticule mais en vain car il a pris position sur le petit banc au pied du lit et d'une main il me fesse et de l'autre il me tient plaqué contre le lit à la hauteur de mon cou.

Et enfin, quand il me lâche et me redresse, je ne peux et je ne veux cacher ma terrible érection. Je me couche sur le lit pour récupérer un peu mais déjà Pierre s'est emparé de ma bite qu'il masse d'une main tandis que de l'autre il me travaille les tétons et me dit :

— En te voyant tout à l'heure et au vu du regard perçant que tu m'adressais, je savais que je ne m'ennuierais pas avec toi !

Et Pierre d'engloutir ma queue dans sa bouche et de me pomper à fond jusqu'à ce que je crache tout mon jus dans sa bouche. Il s'est alors couché sur moi de tout son long et a posé ses lèvres sur les miennes et quand j'ai ouvert ma bouche il a déposé sur ma langue tout le foutre que je venais de juter. Nous sommes restés un court moment ainsi, puis je me suis rhabillé.

 

Ensuite il m'a emmené vers notre logement de fonction. En effet, comme nous sommes tous deux célibataires, nous devons loger dans le quartier et comme nous sommes détachés du corps médical nous bénéficions de quelques avantages : chacun une belle grande chambre, un salon et une salle de bain en commun et, ce qui n'est pas négligeable, une sorte d'aide de camp, de loufiat, de bonne à tout faire.

Une fois installé dans ma chambre je me suis fait couler un bon bain et, avant que je ne réagisse, Pierre se trouvait à mes côtés à poil et nous avons pris notre bain ensemble. Il n'arrêtait pas d'essayer de me peloter mais je dois dire honnêtement que j'en faisais autant.

Puis il m'a annoncé que notre aide de camp sera là vers 17 heures et qu'ainsi j'aurai l'occasion de faire sa connaissance. Un coup d'œil sur ma montre : dans 3 minutes il sera là ! Je fais mine de me lever, je dois dire que je suis un peu paniqué à l'idée qu'un jeune gars aille me surprendre avec un autre mec dans un bain !

— Ne panique pas Olivier, tu verras, tout se passera bien. Benjamin notre loufiat, aime aussi les jeux entre mecs et il vient d'avoir 18 ans. C'est ton prédécesseur – qui, entre parenthèse n'était pas gay – qui l'avait sélectionné avant que je ne sois muté ici. Mais j'ai vite découvert les qualités de Benja et je l'ai gardé à mon service.

Et quand Benja fait son entrée, Pierre est assis sur moi dans le bain occupé à se faire enculer par ma bite gonflée à bloc.

— Salut, petit. Je te présente notre nouveau brigadier pilule, Olivier. Mets-toi à l'aise comme d'hab. Et prépare-nous un bon apéro, nous en avons bientôt fini.

— Bien, mon lieutenant et Benja disparaît dans le salon.

Ma bite est au plus profond du cul de Pierre qui fait d'incessants vas et viens assis sur mon bas-ventre et je suis tellement excité que je crie presque lorsque j'explose en lui. Durant mes quelques coups de rein, Pierre s'est mis à se branler et avant que je ne sois complètement vidé de mon jus, il me prend par le cou et m'oblige à prendre sa queue en bouche. Quand il crache tout son jus, j'avale le tout sans broncher. Il faut dire que j'aime le goût du sperme.

Nous nous séchons rapidement, je passe dans ma chambre pour mettre un short et un t-shirt. Je sais pour la saison un short cela peut paraître bizarre mais quand je me mets à l'aise je porte un short ou rien du tout. Et je ne suis pas seul car quand je fais mon entrée dans le salon, Pierre ne porte qu'un Jock-strap et Benja, un slip tout fin en lycra noir.

Nous buvons notre apéro et je m'intéresse à Benja qui est plus qu'appétissant.

— Tu es aussi passé par la consultation matinale ?

— Non, pas souvent. La fessée m'intéresse mais plus en tant que fesseur, n'est ce pas Pierre ? »

Et il caresse sans vergogne les fesses du toubib.

— C'est vrai qu'en Benja j'ai trouvé le jeune maître que je cherchais. Alors, Olivier ne sois pas effrayé par ce que tu vas peut être voir ce soir et tous les soirs de ton séjour parmi nous.

Et Pierre, de se mettre à genoux devant Benja, de lui embrasser les pieds et de dire :

— J'attends votre verdict maître.

— Quelles furent tes fautes, sale chien ?

— Maître, je vous ai appelé 'loufiat' en présence de monsieur Olivier. Ensuite, sans votre permission, j'ai sucé monsieur Olivier dans l'infirmerie et je l'ai forcé à boire son propre sperme à mes lèvres et enfin ce soir, ici dans la salle de bain, je me suis empalé sur sa verge, me suis masturbé et j'ai joui dans la bouche de monsieur Olivier.

— Vas chercher ta badine à quatre pattes sale chien et reviens ensuite à mes pieds.

Et Pierre de quitter le salon à quatre pattes. Moi, je suis à la fois intrigué et excité et malgré ce que j'ai déjà vécu aujourd'hui je bande à nouveau.

— Ça te fait bander hein de voir un jeunot comme moi dominer un mec de 27 ans qui en plus est lieutenant ? Tu vas voir, je vais le rosser jusqu'à ce qu'il me demande de lui pisser dessus.

Et, une fois Pierre revenu à quatre pattes la badine entre les dents, Benja lui fait prendre place à genoux sur la table basse du salon, les mains sur la nuque et commence à le frapper avec la badine. D'abord sur les fesses ensuite sur le dos et les cuisses. Pierre résiste assez longtemps mais ensuite il craque, pleure, gémit...  Ensuite il jette le gant et j'entends entre ses gémissements, le murmure de Pierre essayant de dire à son maître qu'il est prêt à boire sa pisse.

Enfin Benja s'arrête, baisse son slip noir en lycra et Pierre boit la pisse de son maître à la source sans perdre une seule goutte. Moi, pendant ces 25 minutes, je n'ai pas arrêté de me branler le chicon. J'étais soufflé par le nombre de coups de cravache que Pierre a encaissé.

Ensuite, une fois que toute sa pisse était avalée, Pierre toujours à 4 pattes sur la table basse, s'est retrouvé en moins de deux enculé par le mignon Benja qui, ayant vu ma bite prête à exploser, m'a proposé de me faire sucer au même moment par Pierre. Et bien sûr je n'ai pas hésité un moment. Quand Benja et moi avons été apaisés, Pierre était couché sur la table le cul en feu.

 

Il était déjà près de 19 heures et Benja devait regagner ses quartiers pour le repas du soir. Il s'est remis en uniforme à toute vitesse, m'a fait la bise et a embrassé assez longuement Pierre puis il est parti en courant pour ne pas avoir de réprimande de l'officier de service.

Pierre et moi nous avons bu encore un verre ou deux, le temps qu'il se remette complètement. J'ai appris qu'il subissait ces séances avec plaisir au moins 4 fois par semaine et puis nous sommes allés au mess pour dîner. Ensuite j'ai regagné ma chambre pour me préparer pour ma première journée dans ce lycée militaire.

 

A 6.30 j'étais dans mon infirmerie et, avant que mes premiers patients se présentent, tout était fin prêt. Bien sûr j'étais un peu nerveux avec tout ce que Pierre m'avait raconté. Et juste avant que la consultation ne commence j'ai reçu la visite de l'adjudant chargé de la discipline. Et là, j'ai compris que lui aussi préférait les règles 'médicales' plutôt que le règlement du lycée.

Pierre avait raison. Ils étaient 6 pour la consultation. Ils étaient tous, comme le prescrit le règlement en tenue de sport. Puis, l'un après l'autre, j'ai noté leur nom et leur classe. C'était tous des élèves de la première année de lycée, tous âgés d'environ 15/16 ans.

Ensuite, d'une voix ferme, je les ai fait rentrer dans la salle et chacun a pris place devant un lit. Je leur ai donné l'ordre de se déshabiller complètement et de se coucher sur le ventre. Puis je suis revenu muni de mon pot de vaseline et de six thermomètres ainsi que de ma feuille de rapport. Le premier petit gars paraissait très jeune et frêle et c'est avec douceur je dois dire que je lui ai enfoncé le thermomètre dans les entrailles. Quand il s'est couché sur le côté il ne bandait pas du tout. J'avais pitié de lui : peut être était-il réellement malade ?

Pendant que je m'occupais du deuxième, deux autres lascars troublaient le calme et, du coin de l'œil, j'avais vu qu'ils faisaient des gestes 'obscènes' et se touchaient le cul et la bite. Aussi j'intervins immédiatement :

— Vous deux, debout, au garde-à-vous jusqu'à nouvel ordre.

Et les deux gars de se lever et de prendre position avec deux belles bites bien droites. Je devrai les mater ces deux là ! Après avoir enfoncé 4 thermomètres dans les culs ils me restaient à m'occuper des deux trouble-fête qui, et oui, bandaient encore...

— Tu souffres de quoi toi le blondinet ?

— Je ne sais pas chef, mais en me levant ce matin j'avais mal au ventre.

— OK, je verrai cela tout à l'heure mais pour le moment couche toi sur le ventre.

Et une fois couché, je lui ai enfoncé le thermomètre sans même graisser son trou ce qui le fit un peu gémir mais quand il s'est mis sur le côté, sa bite était franchement dure et dressée.

Son copain, après avoir vu comment je traitais son ami, n'était pas à son aise et avant que je ne m'occupe de lui il m'a dit :

— Excusez-moi chef pour mon attitude.

Mais malgré ses excuses il a reçu le même traitement que son copain et quand il s'est couché sur le côté, sa bite aussi bien gonflée, je lui ai dit à l'oreille que je réglerai son compte durant la visite privée. Je me suis d'abord occupé des petits gars qui me laissaient indifférents. Bien sûr aucun d'eux n'avait de la fièvre, ils ont reçu chacun vingt coups de ceinturon et ils ont pu se rhabiller et rejoindre leur classe.

Ensuite je me suis occupé du petit gars. Pas de fièvre non plus mais que lui soit ici cela me troublait. J'avais envie d'avoir une conversation avec lui. Aussi, je l'ai renvoyé dans son lit en attendant que je termine avec les deux lascars. J'ai appelé le premier dans l'infirmerie. Il bandait encore et j'ai l'impression qu'il s'était branlé car sa queue était bien rouge. Quand je lui ai ôté le thermomètre que je n'ai même pas regardé, je l'ai fait coucher sur la table d'auscultation.

— Alors tu avais mal où ?

— Là chef !

Et il me montre son bas ventre. Alors tout en parlant, je me dirige vers la petite armoire et je prends le petit rasoir électrique et je lui dis :

— Pour pouvoir bien t'ausculter, je suis obligé de te raser.

Mais malgré ses protestations je commence à lui raser totalement son pubis et quand j'arrive près de sa queue, je la prends fermement en main en la maltraitant. Une fois terminé je lui pose la question :

— Alors encore toujours mal à cet endroit ?

— Non, chef.

— Ainsi, tu as voulu me rouler deux fois. Dois-je faire un rapport à l'adjudant ou te soumets-tu à mon règlement ?

Et bien sûr il choisit la deuxième solution. Je lui fais prendre place sur le lit comme les autres et je lui applique trente coups de ceinturon. Il a résisté longtemps mais à la fin, il crie et pleure mais je le maintiens fermement par le cou.

Ensuite, je m'installe sur une chaise et je lui donne l'ordre de venir se coucher sur mes genoux. Il a l'air surpris et il bande encore. Une fois couché, je guide sa bite tendue et je la coince entre mes cuisses. Il se laisse faire. Et je commence à le fesser fortement. Pas uniquement ses fesses mais aussi ses cuisses. Il gigote sans cesse, il pleure, gémit et quand je sens son corps se raidir à 3 ou 4 reprises je comprends qu'il vient de juter entre mes jambes.

Mais je n'arrête pour autant pas sa punition et ce n'est que 50 coups plus tard que je m'arrête. Je le redresse et je vois par terre et sur mon froc son jus.

— Excusez-moi chef, je n'ai pas pu me retenir, chef mais j'ai aimé chef. Merci chef !

Il se met aussitôt au garde-à-vous et avant qu'il ne puisse se rhabiller il me nettoie encore le sol évidemment et je le convoque pour 17 heures pour nettoyer l'infirmerie totalement.

Quant à son copain, il m'avoue qu'il a été entraîné par Raoul, qu'il mérite une punition, qu'il se souvient que sa première érection et éjaculation il l'a eue durant un jeu 'de fessée' avec son cousin et que d'une certaine manière dans ce lieu de promiscuité masculine il avait envie de raviver ce souvenir.

Lui, Louis, je l'ai directement allongé sur mes genoux, j'ai aussi mis sa queue bandante entre mes cuisses et je l'ai fessé à la main jusqu'à ce qu'il jouisse. Il faisait tout pour que sa bite soit le plus possible en mouvement et après environ un quart d'heure de fessée assez forte il s'est mis à gémir longuement de plaisir.

Je l'ai redressé et comme je faisais mine de prendre du papier pour le faire essuyer ces traces de sperme, il s'est mis à genoux et sans dire un mot il a léché tout son foutre. En partant, il m'a demandé s'il pouvait revenir de temps en temps et, de la tête j'ai fait oui.

Puis je me suis occupé de David, le petit garçon frêle. Il m'a dit qu'il me connaissait, que nous étions du même pays et quand il s'est resitué dans son contexte je savais qu'il était le petit frère de mon premier amour. Il m'a avoué qu'il était aussi homo, qu'il m'avait toujours admiré, qu'il était sans expérience et que s'il s'était porté malade c'était pour être fessé par moi et peut être plus ajouta-t-il.

Il m'a aussi avoué qu'il n'était pas resté couché sur son lit et qu'il avait vu comment j'avais puni Raoul et Louis. Mais je n'avais pas envie de punir le frérot de mon premier amant pour l'instant et je l'invitais à revenir le même soir à 17 heures.

 

Ces premières heures de ma nouvelle affectation étaient bien remplies et quand j'ai rejoins ma chambre, Pierre était nu dans le salon. Il m'a demandé si j'avais dû donner beaucoup de fessées.

Il s'est approché de moi, il bandait légèrement, il a porté sa main sur ma croix en me demandant si j'avais beaucoup bandé et en moins de deux ma braguette était ouverte et ma bite dans sa bouche. J'étais tellement excité que j'ai craché dans les trois minutes.

 

A 17 heures, Raoul et David étaient à l'infirmerie. J'ai obligé Raoul à nettoyer toute l'infirmerie à poil. Ses fesses étaient encore bien rouges. Moi, pendant ce temps j'ai donné la fessée à David, sa bite coincée entre mes jambes mais avant que je ne lui donne sa première claque, il crachait déjà son jus. Alors, pour me calmer, j'ai appelé Raoul, je me suis couché sur la table d'auscultation et je l'ai obligé à s'empaler sur ma bite.

Après une vingtaine de vas et viens j'ai joui en lui puis j'ai cédé ma place à David qui pouvait ainsi pour la première fois enculer un gars dont, en temps normal, il aurait lui surement dû subir les assauts. Et avant qu'ils ne regagnent leur quartier les deux jeunot se sont encore fait mutuellement une bonne pipe.

 

En définitive, je suis resté 6 mois comme infirmier dans ce lycée. 6 mois de grand plaisir. De Raoul j'avais obtenu d'en faire mon aide de camp. David lui, comme il était presque de ma famille, il venait souvent dans mes appartements.

A nous trois plus Pierre et Benja c'était une fête de stupre presque continuellement. Et Louis, je le voyais une fois par semaine au moins à l'infirmerie. Je resterai en contact avec mes 3 premiers lascars car nous avons convenu de passer un mois de vacances ensemble.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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