Dimanche 20 septembre 7 20 /09 /Sep 14:05

Avant qu’il m’arrive ce que je veux vous raconter, je ne savais pas si j’étais pédé. J’ai vingt-et-un ans et j’ai déjà baisé pas mal avec des filles. Et puis je suis parti en vacances en stop parce que je n’avais pas de thunes et que je voulais aller au bord de la mer. En stop, ce fut un peu long et je me suis emmerdé un peu. Après deux jours de route, j’étais toujours pas arrivé et je commençais à flipper parce qu’il ne me restait plus que trente bornes à faire et que ça faisait déjà au moins deux heures que je m’étais fait larguer sur cette route sans une putain de bagnole pour s’arrêter !

Enfin une voiture a stoppé. Une Audi TT blanche plutôt cano.

— Tu vas où ?

— Vers la mer.

Le mec s’est marré en me disant :

— Ça, c’est précis au moins ! Monte !

Je suis monté. Le type était plus vieux que moi, la trentaine peut-être... En tout cas il avait du fric pour se payer une bagnole comme ça. Il m’a dit qu’il bossait dans une grosse boîte, qu’il voyageait beaucoup. Et puis il m’a demandé si j’aimais baiser, si j’avais déjà baisé à plusieurs et si j’avais déjà baisé avec un mec.

Je me suis dit : “Ça y est, je suis tombé sur un pédé !” Mais en même temps il était vraiment sympa ce mec. Pas le genre pédé efféminé qu'on imagine. Plutôt costaud, sportif. Je n’ai pas répondu tout de suite parce que je ne savais pas ce qu’il fallait que je réponde. Mais comme il n’était pas con il m’a dit :

— Ça ne te dirait pas d’essayer ?

Il y avait une drôle d’ambiance dans cette bagnole, je me sentais bien, cool. Je me suis entendu bafouiller : “Pourquoi pas ?”. Il voulait m’emmener chez lui et là j’ai dit non. Il a souri et m’a dit que c’était comme je voulais. Quand il a posé sa main sur ma cuisse, j’ai sursauté.

— On s’arrête dans un coin tranquille ?

J’ai fait signe de la tête que oui. Je commençais à regretter ce que j’avais dit... Et puis tout a été très vite. Je me suis retrouvé coincé contre une espèce de baraque en bois avec une main qui me pétrissait les couilles vigoureusement. C’était une drôle de sensation. J’étais toujours assez méfiant mais j’avais la bite qui gonflait dans mon slip. Le type était assez autoritaire. Après m’avoir malaxé le paquet, il a carrément défait ma ceinture et baissé mon froc. Il s'est agenouillé. Là, je me suis senti très excité. Je me suis dit : “Il va me sucer !”.

Il a approché ses lèvres de ma queue. J’ai senti sa bouche qui m’aspirait le nœud, ça m’a fait presque mal tellement c’était fort. Et puis cette langue qui me léchait pendant que je me faisais pomper ! Jamais une gonzesse ne m’avait sucé pareillement. J’aurais vraiment voulu que ça dure des plombes. En plus il s’est aidé de ses mains pour me les glisser le long de la raie du cul, derrière les couilles. Moi, une fois, je m’étais mis un doigt dans le cul et j’avais bien aimé. J'avais presque envie qu’il le fasse. Seulement, je sentais que j’allais jouir tout de suite. Alors j’ai laissé parce que j’avais envie que ça dure encore. Je me suis retenu un peu. Et comme j’avais la bite qui menaçait d’exploser, j’ai averti que j’allais jouir. Le type a sorti ma queue de sa bouche et j’ai gueulé pendant que je déchargeais. Putain de jouissance ! J’en revenais pas. J’avais les jambes qui tremblaient méchamment. Je suis tombé sur les genoux en fermant les yeux. J’ai senti que le mec défaisait son ceinturon et baissait son froc à son tour. Il a guidé ma tête vers son ventre. Ça sentait bon ! J’aurais pas aimé sinon... Je ne savais pas comment faire mais j'ai trouvé tout seul et j'ai commencé à lécher sa queue avec ma langue puis je l'ai prise en entier dans ma bouche. J’ai trouvé que c’était vachement bon ! Après, je l’ai sucé tout en faisant glisser ma main derrière les couilles comme il m’avait fait avant, jusqu’au trou du cul. Il avait un trou plutôt large et j’ai mis un doigt. Ça avait l’air de lui plaire. Je lui ai branlé le cul comme ça pendant que je le suçais. J’ai entendu qu’il gémissait de plus en plus et sa queue a grossi encore dans ma bouche. Elle prenait toute la place. Il m’a écarté la tête pour gicler et puis il s’est essuyé avec des Kleenex. Il m’a demandé comment j'avais trouvé ça et j’ai dit : “Super !”.

Après on a parlé un peu dans sa bagnole. Il m’a laissé au bord de la mer, au camping. Avant, il m’a montré des endroits où il y a des hommes qui viennent pour draguer. Je n’aurais jamais imaginé ça, je ne le croyais pas. Il m’a dit : “Regarde !” et effectivement j’ai vu qu’il y avait quelques mecs qui attendaient. J’étais à nouveau très excité. En plus j’étais arrivé et j’étais plutôt content. Le type est reparti. J’ai monté ma tente et je suis parti voir la mer avant qu’il ne fasse complètement nuit. Mais cette aventure en auto-stop ça m’avait excité et, bien que j’aie craché mon foutre, j’avais l’impression qu’il m’en restait encore dans la queue. Je suis retourné vers le lieu que le type à l’Audi m’avait montré. J'étais comme dans un état second, sinon je n’aurais jamais osé faire ça. C’était dans une espèce de petite pinède, sur des dunes, au bord de la mer. J’ai rien eu à faire. Il y a mec qui s’est approché de moi et qui m’a demandé du feu. On a allumé une clope ensemble. Après on s’est branlés tous les deux en même temps. Au moins au début il m’a soulevé mon tee-shirt et a commencé à me mordiller un téton. J’ai trouvé que c’était super-bon ! Surtout qu’il continuait à m’astiquer avec sa main. Je lui ai dit que j’avais très envie de me faire sucer la bite. C’était un contact différent, plus doux, plus moelleux. Il suçait bien aussi et j’ai joui une autre fois, presque dans sa bouche. Mais on n’avait pas envie de s’arrêter. Je l’ai branlé jusqu’à ce qu’il jouisse. Il n’a presque pas craché. Il m’a dit en rigolant que c’était parce qu’il baisait trop. Incroyable ! J’étais encore excité ! J’avais l’impression que ma bite en avait encore envie. Ça m’est déjà arrivé d’avoir besoin de me branler trois fois par jour, mais là, c’était encore pire !

J’ai glissé à l’oreille du mec : “J’ai envie de t’enculer !” Il a sorti de sa poche de jean un préservatif, il me l’a tendu et il m’a dit en se marrant :

— Tu m’encules pas comme un sauvage, j’ai le trou du cul fragile !

Je lui ai écarté la raie du cul et j’ai fourré ma langue dedans. J’ai essayé de pousser ma langue très loin. J’ai mis le préservatif sur ma queue et je l’ai guidée entre les fesses. Elle a buté contre l’anus. Je pensais que c’était plus mou. J’ai un peu hésité. Le mec a donné un coup de reins et ma bite est entrée dans son cul. Et c’est moi qui ai gueulé le plus fort ! Je n’avais jamais connu des sensations pareilles. J’avais la bite serrée dans ce trou et en même temps je sentais mes couilles, les couilles du mec, sa bite. C’était trop et je n’ai pas pu résister très longtemps. Moi qui suis parfois long à jouir, j’ai craché ma purée presque tout de suite. Je me suis écroulé sur lui en gémissant. Le mec m’a demandé :

— C’est la première fois que t’encules un mec ?.

J’ai dit oui. Et puis je lui ai dit que je n’étais pas pédé. Alors il s’est marré et il m’a dit que tout ça, ça ne voulait rien dire, qu’on prenait son pied comme on voulait et que du moment qu’on prenait son pied, c’était le principal...

J’ai revu ce mec plusieurs fois pendant mes vacances et puis quelques autres types aussi, la nuit. Et puis, à la plage, j’ai continué à draguer des filles. Mais je crois que c’est avec les mecs que je m’éclate le plus !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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