Dimanche 11 octobre 7 11 /10 /Oct 15:29

Je suis Vincent, 25 ans, 1 mètre 80, 70kg, blond aux yeux bleus, sportif. Mes proches me disent mignon. J'aime beaucoup de choses mais le plus important pour moi reste les amis. C'est ainsi que je me retrouve souvent chez l'un d'entre eux après le boulot. Je passe, on boit un verre puis je rentre chez moi.

 

Jusqu'au jour où, ayant eu une journée difficile, j'étais cassé, fatigué, énervé. Je suis donc allé comme prévu chez un de mes potes. Il est 20 heures lorsque j'arrive chez lui. Fabrice est un peu plus grand que moi, très mignon mais célibataire de longue durée. Aussi bien lui que moi savons l'un pour l'autre et ne nous cachons pas. C'est ainsi que nous commençons à discuter de tout et de rien. Nous prenons des nouvelles l'un de l'autre, il faut dire que nous ne nous sommes plus vu depuis quelques temps...

 

Au fur et à mesure de la discussion, nous passons en revue quelques sujets classiques : le boulot, les amis, les conquêtes... Nous discutions de tout mais nous prenons notre temps. Comme je bouge pas mal pendant la soirée, mal de dos de la journée oblige, je ne sais pas rester en place. Fabrice me propose alors un massage. Bien que gay lui aussi, nous sommes potes et je ne pense pas à mal en acceptant son offre.

 

Fabrice m'emmène alors vers sa chambre. Il me propose de me mettre torse nu et de m'allonger sur son lit. Ce que je fais. Allongé sur le ventre, la tête posée sur un coussin, Fabrice se met à côté de moi et commence à me masser. Il a les mains chaudes et légèrement humides ce qui les empêche de glisser facilement. Il sort de l'huile de massage et m'en met un petit peu. Maladroitement je crois, il en met sur son lit et me fait remarquer que ça tâche... Je suis vêtu d'un pantalon beige, il me précise qu'une tache d'huile ne partira pas facilement et me propose d'enlever mon pantalon. Je me retrouve donc en boxer sur son lit. Il faut dire que ce genre de chose ne me choque pas, je vais souvent aux thermes (où on se retrouve en tenue d'Adam) avec des amis, dont parfois Fabrice. Je ne suis pas pudique pour un sou.

 

Fabrice reprend le massage qu'il a commencé en prenant même soin de placer sur mon boxer une serviette de bain. Il masse bien, très bien même. Et c’est à ce moment que je perds le fil : je m'endors subitement.

 

Je suis toujours sur le ventre, mais j'ai quelque peu bougé. J'ai un masque sur les yeux, vous savez le style de bandeau que l'on distribue dans les avions, je ne vois rien. Mes bras ne sont plus repliés sous l'oreiller et mes jambes ne sont plus l'une contre l'autre. Je porte quelque chose de doux aux poignets et aux chevilles, je ne vois pas ce que c'est mais ça m’empêche de bouger. Je suis attaché bras et jambes aux quatre coins du lit. J'ai dans la bouche un léger tissu qui s'humidifie avec ma salive. Je suis toujours massé mais différemment. Mon boxer n'est plus à sa place, des mains se trouvent sur mes fesses et je sens qu'une langue passe entre elles.

 

Je suis gay mais ne suis pas passif. Cette position est donc toute particulière pour moi. Je me souviens que je suis chez Fabrice et qu'il m'a proposé un massage. Je reconnais son lit et me souviens où je suis. J'essaye de me débattre mais n'arrive pas à bouger et je n'aurais pas dû car Fabrice sait maitenant que je suis réveillé. Il se place sur mon dos, me bloquant encore plus. Il est nu aussi, je sens sa bite sur mon dos lorsqu'il s'allonge sur moi et me glisse quelques mots à l'oreille.

— Je n'avais jamais pensé faire quelque chose avec toi, pourtant tu m'as toujours plu. Mais en te massant l'envie est devenue trop présente et tu t'es endormi. Maintenant je vais te faire rêver...

Je me débats encore mais le crabe doit avoir bien serré tous les liens qui m'attachent car je suis immobile. Bras et jambes étendus et écartés, lui sur moi, je ne sais rien faire. 

 

Il redescend et recommence à lécher mon trou. Je n'ai pas l'habitude et suis évidemment serré. Fabrice me plait mais sa façon de faire me surprend et j'y oppose toute ma résistance. Inutile. Je découvre donc Fabrice sous un autre jour. Il se lève, ouvre une armoire sur ma droite et prend quelque chose à l'intérieur. Il revient vers le lit et me met un flacon sous le nez. Du poppers. J'ai déjà essayé ce truc et je me sens effectivement partir. Une forte chaleur me prend au ventre. Mon rythme cardiaque s'accélère et je ne comprends plus ce qui m'arrive. Peut-être aussi à cause de la position dans laquelle je suis...

 

Fabrice se repositionne sur moi. J'ai sa queue sur mes fesses. Aidé par la salive qu'il a placée auparavant, il pousse sur mon trou. Je serre au plus que je peux mais sa queue commence à entrer en moi. Son gland entre en moi de quelques petits centimètres. L'effet du poppers, de la position, me fait perdre la tête. Il sort, il me met de la salive encore et encore, joue avec ses doigts tant et si bien que je finis par me décoincer légèrement. Il place à nouveau sa queue sur mon trou et y entre doucement. Centimètre par centimètre il avance. Lorsqu'il est rentré complètement en moi, il vient poser ses lèvres sur les miennes. J'ai toujours son tissu en bouche mais il s'amuse à passer sa langue sur mes lèvres. C'est quelque chose qui m'excite tout particulièrement.

 

Il commence alors à faire deux ou trois va et viens en moi. Je sens ses couilles contre les miennes et sa chaleur en moi. Je réussis à faire tomber le tissu hors de ma bouche et, profitant d'un moment où il revient pour m'embrasser, je lui mords la lèvre. Mordu, mais pas assez longtemps ni assez fort, car cela ne fait que l'exciter.

— Tu m'as mordu ? Tu vas être puni pour ca !

Bien qu'il est sorti de mon cul, il me replace son tissu en bouche et retourne dans sa position initiale, accroupi sur moi, passant ses doigts sur mon trou, le remplissant de salive. Au moment où il represse un de ses doigts sur mon trou je jouis.

 

Je me suis réveille en sursaut. Fabrice est toujours occupé à son massage. Rien n'a changé par rapport au moment où il a commencé. Sauf qu'il m'a enlevé mon boxer et lui est également nu. Il me demande s'il masse bien car il pense que je faisais un rêve assez chouette. Je rêvais effectivement. Le bout de tissu est en réalité son coussin que j'ai mordu. Je n'ai rien autour des poignets ni des chevilles et je peux bouger librement. Ce que j'ai senti en moi, je ne sais pas ! Il bande ferme mais je ne sais pas s'il est venu en moi. Je dois lui avouer que le rêve vient de me faire repeindre son matelas et qu'une douche s'impose. Il me dit que je ne dois pas m'en faire et que c'est de sa faute car il vient de passer à des endroits sensibles. Toujours à l'ouest, je ne sais pas ce qu'il veut dire par là...

 

J'ai de l'huile de massage sur le dos, il est passé entre mes jambes et entre mes fesses avec de l'huile, ça je le sens. Mais je ne sais pas s'il a fait quelque chose d'autre, peut-être a t-il laissé s'aventurer un doigt ? Tout ce que je sais, c'est qu'il est aussi dur que moi et que j'ai toujours cette chaleur en moi ! Donc une envie folle de jouer plus longtemps. Je lui raconte mon rêve. Il est étonné mais touché de savoir que c'est lui qui m'a mis dans un pareil état mais il refuse toujours de me dire si les sensations ressenties proviennent de lui...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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