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POUR LE PLAISIR DES YEUX ET DES SENS...
Je suis un papa célibataire et je fais souvent appel aux services des baby-sitters, des garçons uniquement, bien évidemment. Ce sont toujours de jeunes étudiants, la plupart du temps très mignons et je n'hésite pas à tenter ma chance de les baiser. Je connais toutes les agences qui les fournissent et je dois avoir la-bas une réputation de tombeur ou plutôt de pédé vicieux, encore que je doute que mes "victimes" n'aillent pas se plaindre des traitements que je leur fait "subir". Je ne les force jamais à se faire baiser. Ils aiment ça !
Celui qui m'a le plus marqué s'appelait Christophe. C'était un jeunot de dix-neuf ans, un joli blond à l'air candide et à la braguette arrogante. Le plus dur restait à faire : me taper ce bandant Christophe, sûrement encore puceau, l'enjeu était de taille, mais les jeunes mecs difficiles sont toujours ceux qui m'ont fait le plus bander. J'ai évidemment tenté de le séduire de manière normale avec sourires et frôlements de main à la clef. Ca ne donnait rien : il se défilait le puceau.
Alors j'ai décidé de passer vraiment aux actes. J'avais trop envie de voir sa bite et de baiser son cul. Quand j'ai envie de niquer, je peux avoir un culot monstre. Un soir où je suis
rentré, il était là, en train de donner le biberon à mon fils. Il portait un short et un débardeur et était vraiment trop sexy pour ne pas se faire baiser. Alors qu'il était penché au dessus de
mon fils, je voyais tout son cul à travers le short rouge. Il avait une de ces paires de fesses !
- Vous pouvez rester encore, le temps que je prenne une douche ?
Il a acquiescé à ma question. Moi, j'allais mettre mon plan en action...
Un quart d'heure plus tard, alors qu'il revenait de coucher mon fils, il arriva dans le salon en disant :
- Ca y est, il s'est endormi, enf...
Il s'est aussitôt interrompu, les yeux ronds, la bouche grande ouverte. Il avait de quoi être surpris : j'étais sur le divan, vautré, à poil, en train de me branler la bite.
A la vue d'une belle bite, il y en a pas mal qui devienne de vraies salopes: Christophe, lui, est resté interloqué. Je me suis approché de lui, la bite ballottant à vingt centimètres devant moi. Le baby-sitter restait immobile, comme en état de choc, mais nullement dégoûté. En fait, je dirais plutôt fasciné. Il la regardait fixement et, sous son débardeur, ses tétons pointaient. Quant à sa braguette, elle prenait du volume. Lentement il s'est agenouillé avec l'air d'avoir envie et d'avoir peur à la fois.
Sans me gêner, j'ai attrapé ma bite et je la lui ai frottée contre les lèvres. Il a eu un mouvement de recul mais je me suis approché encore plus et je l'ai attrapé par les joues. Il avait de
grands yeux affolés mais quand j'ai un peu forcé, ses lèvres se sont lentement écartées.
Ca y est ! Le jeune puceau était en train de me sucer ! Il le faisait maladroitement au début mais, après un quart d'heure, il découvrait le plaisir de pomper une belle bite et il se régalait
!
Un peu plus tard je l'ai foutu à poil et j'ai détaillé son corps. Parfait ! Sèchement musclé et totalement imberbe, avec une belle jeune bite en érection. Le meilleur, c'était de se
branler la bite dans son trou ! La jolie corolle qu'il avait ! Presque imberbe, alors bien sûr je me suis empressé de la sucer. Finalement, à la fin de mon léchage, c'est lui qui m'a supplié
que je le baise.
- Tu en veux, hein, salope ?
- Oh oui ! Je veux !
- Alors, supplie-moi.
- Baisez-moi, s'il vous plait...
- Mieux que ça !
Il hésitait entre la décence et l'envie d'être salope.
- Fourre-moi la rondelle !
Il avait dit ça avec un air gêné, presque dégoûté de lui-même et ça, ça m'a encore plus excité. Je lui ai enfilé ma bite d'un seul coup. Il a crié mais très vite ses cris se sont transformés en
gémissements.
- Tu aimes te faire trouer, hein ?
- Oui, oui, criait-il.
- C'est la première fois que tu te fais trouer par une belle bite ?
Il a eu un demi-sourire.
- Pas vraiment. Pour mes dix-huit ans je me suis fait enfiler par le meilleur ami de mon père.
Ce faux puceau savait décidément bien se faire enculer ! Alors que je lui donnais des coups de bite de plus en plus violents, il me racontait comment l'ami de son père l'avait surpris en train de
se branler le cul sous la douche et comment il lui avait proposé d'essayer une bonne bite dans son cul.
- Et tu as accepté, hein, ahanai-je, la bite de plus en plus raide dans le cul de Christophe.
- Oh oui, et c'était trop bon... Vas-y plus fort, encule-moi à fond, continua-t-il, alors que je lui donnais déjà de grands coups de boutoir.
Je me suis acharné sur sa croupe de petite pédale. A chaque coup de pine, il en redemandait. Nous avons terminé à même le sol, alors que ses couilles et sa bite frottaient contre la moquette, comme s'il voulait se branler sur le sol. Pour moi, Christophe n'était plus qu'une belle paire de fesses, rondes et joufflues. Il se cambrait, se pâmait, alors que je sentais ma bite prête à exploser.
Puis, d'un seul coup, je me suis dégagé de son anus, je l'ai retourné et, sans plus de préambule, j'ai enfoncé mon zob entre ses lèvres. Ah, ce petit vicieux... Il éprouvait un de ces
plaisirs à sucer ma bite qui avait bien suinté dans son cul !
- Jouis, jouis dans ma bouche, chéri !
En même temps, il me pressait les couilles comme si il voulait que mon jus lui explose plus vite dans la gorge.
Quand c'est arrivé, j'ai été étonné qu'il soit salope à ce point. Je repensais à ses airs de puceau effarouché et j'avais devant moi une salope puissance dix qui me tétait la bite comme un
biberon à sperme. Il avalait, il déglutissait, les yeux clos comme si le bonheur ultime c'était de boire mon sperme. Il se branlait toujours.
- Ah que c'est bon, que c'est bon !
Il illustra sa tirade en jouissant sur ses doigts. Il les porta, gluants, sur mon gland qui finit par rutiler de son foutre. Puis il lapa mon gros bout avec des mines de chienne en
chaleur.
Quand on dit que l'habit ne fait pas le moine, moi je dis que c'est vrai. Méfions nous des puceaux qui dorment : ce sont souvent des salopes en puissance ! Et le beau Christophe, à chaque fois qu'il avait fini sa vacation de baby-sitter, venait se foutre à poil devant moi, à quatre pattes, les reins cambrés et le cul offert à ma bite taraudeuse.
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