Mon petit pote David est revenu l'autre jour. Il avait un grand sourire. En me faisant voir ses belles dents blanches il m'a déclaré :

- « Mec j'ai actuellement une rage de cul ! Je n'arrête pas d'avoir la gaule. Je ne pense qu'à ta pine et si je viens aujourd'hui te voir c'est que j'ai envie que tu me mettes profond ! Je voudrais que tu me doigtes en bonne et due forme puis que tu me remplisses le trou avec ton gros zob. Je veux l'avoir avant bien en bouche. Je veux faire un 69 avec toi, que tu me suces aussi ! Je veux qu'on se vidange dans la gueule, qu'on bouffe bien notre sperme… Je voudrais aussi que tu me pisses  dans la gorge : je veux être ta pute, ton urinoir… Je veux que tu me pilonne très fort en me claquant le cul et en me disant que je suis ta pute, ta bonne salope ! Regarde comme je bande... »

En effet, David avait une bite bien décalottée et dure comme du bois. J'ai commencé à le foutre bien à poil et à le lécher partout. Ce mec n’est pas très poilu et j'adore sa peau lisse. Je lui ai bouffé les lèvres, la gueule, la gorge, le cou, partout… Puis je suis descendu sur sa poitrine, je lui ai bien léché et mordillé les têtons puis je l'ai léché sous les aisselles… Sa queue raide, tendue à mort, laissa échapper un filet de précum qui sortait du bout de son méat  tant son gland était gonflé et rouge cramoisi. Puis je me suis attaqué à ses fesses que j'ai bien écartées pour y découvrir une petite fente de mec d'où sortait un liquide tant il mouillait comme une vraie salope… J'ai tout léché et j'ai enfoncé le bout de ma langue à fond dans sa rondelle de pédé pendant que lui me suçait… Nus, bien à poil tous les deux, nous étions en communion.

Quand j'ai entendu ses râles, ses soupirs, ça a indiqué qu'il était prêt à être pourfendu, bien enculé. Je l'ai donc pris à plat ventre en lui relevant un peu le bassin à l'aide d'un oreiller et j'ai enfoncé d'un trait ma grosse tige de 22 centimètres dans son cul qui ne demandait que ça. Puis je l'ai pilonné sans arrêt pendant au moins 30 minutes tout en le caressant et le branlant, en lui tenant les couilles, en jouant avec jusqu'à ce qu'il crache de longs jets de foutre le libérant d'une tension sexuelle intense. Puis, ensuite, je me suis mis à jouir dans sa bouche. Il avala tout mon foutre chaud et crémeux puis je me mis à pisser sur et dans sa gueule. Il avala tout ! David je l'adore, mais quelle pute ce mec : il a 25 ans et tous mes potes lui sont passés dessus…

C'est en me rendant à un spectacle de variétés que je me suis fait palper. En ces temps merdiques on comprend que la fouille soit de rigueur, mais là le mec qui m'a palpé a dû bander en le faisant tant il a insisté sur ma pine ! Faut dire qu'il a dû prendre mon bâton pour une arme cachée tant je bandais et il ne s'est pas contenté de me toucher : il a vraiment insisté, me demandant de le suivre dans une petite cabine afin que je me foute complètement à poil. Là il a vu que je ne dissimulais rien entre mes cuisses. Le seul truc qu'il y avait étant mon nœud, il s'excusa. Mais je ne me contentai pas de l'affront qu'il venait de me faire… Le mec avait une trentaine d'années. Un mec à lunettes, mignon et brun. J'eus une idée qui me traversa la tête :

- « Alors, tu vois que je ne cache rien ! Pour ta peine tu vas me faire une fellation, tu me dois bien ça… »

Il refusa en me disant que de toute manière il n'était pas homo mais hétéro et qu'il ne ferait pas ce que je lui demandais.

- « Ok bonhomme, dans ce cas c'est moi qui vais te sucer la bite… Fais-moi voir ton sexe...

- « Non mais, ça va pas ? »

Je ne sais pas pourquoi, plus il me disait non, plus il m'excitait… En un tour de main je lui baissai son froc. Il se trouva con mais il bandait à moitié :

- « Allez, laisse-toi faire, tu vas voir comme c'est bon de se faire lécher la bite par un autre mec ! »

Il rougit mais il me la mit quand même dans la bouche :

- « Ok sucez-moi… Après tout vous devez en avoir l'habitude… »

Des yeux je lui fis signe que oui et je le pompai à vive allure si bien qu'il me déchargea très vite dans la bouche en gueulant :

- « Oui…  Oh c’est bon !  Je  jouiiiiis !!! »

Ensuite il se laissa faire et je lui mis ma grosse tige baveuse sur la langue :

- « Tiens mec, suce-moi ça, ouvre toute grande ta bouche... »

Et, en disant ces mots, je me mis à pousser ma pine dans sa gorge pour que mes 22 centimètres s'enfoncent jusqu'aux couilles, jusqu'à ce qu'il ait un haut le cœur… »

Je savais que ça lui plaisait et que la partie était gagnée car, de son gland, sortait un filet de précum. Il reprit de lui-même mon chibre au gland violacé par le désir et la situation pas banale et se le remit dans la bouche tout en tapant ma grosse queue sur ses joues qui ne tardèrent pas être pleines de bave. Entre deux succions j'entendis :

- « C'est bon, elle est bonne ta queue mec... »

Après m'avoir bien sucé, je me décidai à l'enculer :

- « Tu sais quoi ? Maintenant tu vas me donner ton cul, mec. »

Là il était réticent mais, comme je sais tellement bien m'y prendre, je le tournai face à ma bouche et lui ordonnai de se baisser afin que son trou s'ouvre. Là je lui léchai l'œillet puis lui mis des doigts dans l'oignon jusqu'à ce qu'il couine.

- « Oooooh, oui c'est bon, qu'est-ce que tu me fais mec ?

- Je prépare ton cul pour bien t'enculer ! »

Tout en lui tirant sur les couilles, je mis mon gros gland trempé au bord de sa rosette. Et, comme il était maintenant presqu'à poil, en lui caressant les tétons et tout le torse, je m'enfonçai dans ce cul d'hétéro-pédé en lui disant tout bas :

- « Laisse-toi faire petite salope, tu vas voir comme c'est bon d'avoir ma bite dans ton trou… »

Il se laissa faire et je pus le pilonner un bon quart d'heure pendant lequel je l'entendais dire :

- « Ouuuui c'est bon… Mets-moi ta grosse pine… Fais-moi jouir mec, t'es un bon coup toi ! C'est bon, c'est trop bon... »

Puis, sentant que j'allais décharger, je me mis à lui pincer fort les mamelons et lui envoyai tout un flot de sperme dans le cul. Puis je le redressai pour qu'il se branle et je pris sa pine dans ma main en lui astiquant le gland bien fort jusqu'à ce qu'il envoie une bonne purée.

Après ça je ne sais pas s'il palpera tous les mecs comme il m'a palpé...

Jordy se faisait bien enculer par ma grosse queue. Je lui tenais un pied en l'air pour bien lui ouvrir le cul et moi j'avais mis mes pinces à tétons. Putain, je prenais un pied d'enfer à dépuceler ce petit cul de mec de 19 ans qui m'avait dit être puceau. Il était sidéré d'avoir vu mon gros et grand chibre et m'avait dit :

- « Tu vois pas l'engin que tu te payes ? On dirait presque une 3ème jambe ! Puis tes poils partout aux aisselles, sur la poitrine et ta touffe à la bite, c'est trop beau de voir ça ! Mais jamais je ne pourrais en prendre une dans le cul comme ça : ça doit faire énormément mal au fion... »

Et moi je l'avais rassuré en lui faisant des bisous partout sur sa petite gueule d'ange qui, je le savais, allait être maculée de sperme au final :

- « Mais non, t'auras pas mal si tu te laisses bien faire, si tu te laisses bien enculer ! Je vais te bouffer le cul puis je te mettrai du gel sur et dans ta rosette. »

Un peu craintif quand même il se laissa faire. Tandis qu'il me suçait le gland, j'avais son petit cul à portée de ma bouche… Pour ça il était sur le dos et je l'avais retourné. Je lui tenais les reins et ma pine descendait dans son gosier. Il avalait tout ce qu'il pouvait et moi, du bout de ma langue, je lui taquinais l'œillet. Puis j'allais sur ses 17 centimètres et je lui bouffais les couilles. A ce stade là il se mit à jouir très vite :

- « Excuse-moi mais c'est trop bon, tu me fais trop de trucs !

- T'inquiète bébé, maintenant c'est là que tu vas couiner… »

Et là je lui demandais de se mettre à genoux dans le plumard puis, après lui avoir mis un tas de gel au cul, je décidai de l'enfiler :

- «  Prêt à la défonce, mec ? »

Il ne me répondit rien, mais à voir tout le précum couler de sa bite, je compris qu'il était hyper excité… Je me mis à lui caresser les tétons puis à les pincer légèrement et poussai mon gland complètement cramoisi au bord du petit cul vierge :

- « Laisse-moi faire petite salope, tu vas t'en prendre une bonne dans le cul ! »

Là je rentrai légèrement dans son antre. Il couina fort :

- « Aaaah, c’est trop gros ! Tu me déchires le cul, mec ! »

Sans l'écouter je poussai un peu plus puis je le tins par les cheveux :

- « Laisse-moi faire, respire un bon coup : là tu m'excites de trop, je vais tout te mettre... »

Il écarta un maximum les genoux et, en crachant sur mon chibre, je lui rentrai toute ma pine bien à fond dans son trou de pédé puis je le pris ensuite sur le côté. En dernier lieu je me retirai puis je me branlai à mort sur sa belle petite gueule lui éclaboussant toute la tronche. Il tira la langue pour en avoir dessus. Il bouffa tout puis je le pris contre moi et l'embrassai dans la bouche… Il soupira :

- « Voilà, c'est fait ! » me dit-il.

Lorsqu'il partit, je ne suis pas certain qu'il n'avait pas mal au cul...