L'histoire de la semaine

Dimanche 21 août 7 21 /08 /Août 17:23

Je connais Sebastian depuis des mois maintenant. C'est un superbe garçon roumain, qui travaille dans le bâtiment. Je le vois assez régulièrement, à mon grand bonheur... Beau gosse, belle gueule, cheveux châtain clair, peau très blanche, sauf les bras, dorés par le soleil sur les chantiers. Un vrai mec, bien musclé grâce aux efforts physiques quotidiens, mais sans excès. Rien à voir avec tous ces mecs qui, à force de pompes et autres tractions, de programmes démentiels d'entraînement (par muscle !), et en observant une nutrition prétendûment sportive, consistant à se gaver de protéines, spiruline et acides aminés en gélules…, deviennent finalement des monstres ! Bien sûr, avec de pareils exercices et régimes alimentaires, ces garçons arrivent à développer outrageusement leur masse musculaire, mais ils y parviennent au détriment hélas de leur esthétique. Non, Sebastian, je peux l'affirmer pour avoir longuement contemplé et caressé son corps, ne ressemble en rien à ce genre de poupons gonflables. Il est, heureusement pour lui, un garçon bien bâti, à la musculature équilibrée, à "fleur de peau" pourrait-on dire, ce qui rend son anatomie particulièrement attirante : un beau torse aux pectoraux bien dessinés, des abdos délicieux, des bras et des cuisses solides, de bons mollets. Par nature, il est peu poilu; même sur son pubis : sa verge, au repos, se love dans de jolis poils blonds frisés, peu abondants

Il serait long de raconter comment nous nous sommes connus, et pourquoi, bien que d'aspect très viril, il apprécie de se faire caresser, sucer, bouffer la rondelle par un mec…; pourquoi même il ne rechigne pas à me pénétrer, quand je l'ai bien chauffé… Nous nous voyons à peu près chaque semaine, le vendredi soir, car il ne travaille pas le week-end. Le samedi matin, il va faire du foot avec des potes, le soir il sort en boîte avec certains d'entre eux. Il m'a avoué qu'il n'est pas trop doué pour draguer des filles, même s'il parle bien le français et qu'avec sa seule belle gueule il en branche pas mal…

Donc, grand amateur de foot, il m'a souvent parlé du match d'ouverture de l'Euro 2016, qui allait opposer son pays, la Roumanie, à la France. Je lui ai proposé de voir le match ensemble. Il m'a expliqué qu'il préférait le voir avec ses deux copains roumains, ceux qui partagent l'appartement que leur a prêté le patron de leur entreprise. Puis, il a ajouté : « Mais si ça te dit, tu peux venir le voir chez nous. On commandera des pizzas. Apporte de la bière, parce que mes copains et moi on aura la gorge sèche à force de gueuler !» J'hésite un moment, craignant de le gêner; mais son insistance me décide et rendez-vous est donc pris pour le 10 juin !

Quand je sonne en bas du petit immeuble, la tête de Sébastian apparaît à une fenêtre du premier étage. Il me dit qu'il descend m'ouvrir. L'immeuble est assez vieux, mais pas minable. Leur appartement me paraît plutôt grand, si j'en juge par la pièce principale donnant sur une cuisine "américaine". Les meubles, anciens, devaient être déjà là. Sébastian me présente ses amis : Alex, 24-25 ans, très beau brun athlétique, et Valentin, légèrement plus âgé, brun aussi, beau sourire dans un visage rond. Ils ont l'air sympathique, mais ma venue semble les embarrasser un peu. Sebastian me présente comme "l'ami français dont je vous ai parlé". Les deux sourient, ne sachant pas comment réagir. Pour dégeler l'atmosphère j'explique à Sebastian et aux autres ce que j'ai apporté : de la bière mexicaine (déjà fraîche !), de la belge, et comme dessert de la glace. Les trois applaudissent, et pendant que Sebastian commande par téléphone quatre grandes pizzas, Valentin et Alex m'annoncent que "la France n'a aucune chance de gagner" et que "la Roumanie va l'écraser 3 à 0 !" Alex, le plus beau des trois, prend place dans l'unique fauteuil, et je me retouvre sur le divan, assis entre Valentin et Sebastian… Les premières bières, celles achetées par le trio roumain, sont aussitôt décapsulées. Je crains de ne pas pouvoir suivre le rythme…

Le livreur de pizzas quitte l'appartement juste au moment où retentissent les hymnes nationaux. Les trois garçons roumains chantent en chœur. Quand vient le tour de la Marseillaise, j'ose l'entonner seul, ce qui me vaudra des applaudissements  des trois et une tape sonore sur une cuisse de la part de Sebastian. Tous mangent et boivent sans quitter l'œil de l'écran télé, tandis que de mon côté je mate discrètement mes compagnons d'un soir. Je reluque particulièrement Alex, les traits virils de son visage, sa bouche superbe, la bosse de son jeans… S'il est aussi chaud que Sebastian, il doit être un amant d'exception ! Même Valentin est un beau mec et son entrejambe me paraît contenir de quoi me régaler… Mais ne suis-je pas en train de rêver ?

L'équipe de France semble à la peine, comme paralysée par l'enjeu; mais les Roumains n'arrivent pas non plus à prendre l'avantage. La première période se terminera sans le moindre but de part et d'autre. On boit plusieurs bières chacun. Reprise. A la 58ème minute, le camp français, grâce à un but de la tête marqué par Giroud, jubile. Par jeu, je nargue mes compagnons roumains, mais ils me répondent que le match est loin d'être fini et que je vais voir de quel bois les Roumains se chauffent... Dans un mélange de français et de roumain, les trois me font une leçon de tactique et de technique footbalistiques… C'est Alex qui semble le plus concerné et excité. En m'annonçant l'inévitable (et très prochaine !) égalisation de son équipe, il se touche le sexe, comment s'il en bandait déjà ! Ce geste machinal, sans signification sexuelle (sauf pour mon esprit "tordu"), est d'une banalité répandue chez les garçons de leur pays, comme d'ailleurs dans de nombreuses régions du globe, en Afrique du Nord notamment. Mais bien que sans signification, ce mouvement m'a bien sûr ravi, et j'espère qu'il sera renouvelé tout au long de la soirée…  La prédiction d'Alex ne va pas tarder pas à se réaliser : une faute d'Evra, pénalty ! Stanciu tire : les Roumains égalisent. Hélas, la réaction des Français ne sera pas à la hauteur de l'enjeu. Les frappes sont trop timides pour inquiéter et tromper le gardien Tatarusamu. Il faudra attendre la 89ème minute pour que Dimitri Payet délivre enfin la France ! 2 à 1 !

Le match d'ouverture se sera donc soldé par la victoire de notre équipe. Je suis heureux, mais n'ose pas trop triompher. Les trois garçons roumains échangent dans leur langue ce que je devine n'être qu'une série de reproches destinés à leur équipe ou au sélectionneur. Ils sont debout,  la canette de bière à la main; ils parlent fort, accompagnant leurs paroles de coups de poing dans le ventre ou sur les épaules des deux autres. Ils ne se battent pas, c'est seulement le défoulement de l'agressivité accumulée tout au long du match, et dont le trop-plein peut enfin s'exprimer de cette façon. Je les regarde, ravi de voir trois jeunes mâles, tout près de moi, excités, libérant leur testostérone…  Trois garçons que j'aimerais aider à soulager leur fougue mâle, par quelques câlineries, voire en m'offrant carrément à eux… Mais, à part Sebastian, dont je sais qu'il apprécie caresses et succions bien placées, les deux autres se lâcheraient-ils ? Et, même mon amant habituel osera-t-il, ce soir, devant ses potes, me confier son entrejambe pour quelques cajoleries dont j'ai le secret ?

Sébastien propose qu'on mange la glace. Il la sert dans de grands verres. Je reprends ma place sur le divan, à côté de Valentin. Alex et Sebastian mangent debout. Tout à coup, je sens que quelqu'un se frotte à ma tête, derrière. Je me tourne : c'est Alex qui appuie son paquet contre ma nuque. C'est clair : il bande. Sa queue raide pousse à plusieurs reprises ma tête vers l'avant. Je fais exprès de résister. Alex pousse encore plus fort : je sens bien que son sexe est dur… Je lève la tête pour voir son visage. Il me regarde, l'air amusé, lèchant sa petite cuillère. Puis s'arrête de lécher et agite sa langue en tout sens, comme s'il pratiquait une fellation… Sebastian ne réagit pas, mais Valentin se marre. Cette initiative d'Alex a tout pour me plaire : non seulement, elle débloque la situation, mais elle me confirme que Sebastian leur a parlé de mes goûts sexuels et de nos rencontres hebdomadaires… D'ailleurs, pour me faire venir dans son appartement, il a dû obtenir le feu vert préalable de ses potes. Peut-être même ont-ils, à trois, imaginé comment la soirée pourrait se terminer… Alex me demande tout à coup : « T'as pas envie d'une autre glace ?... J'ai un cornet à deux boules pour toi… là… dans mon jeans… Deux grosses boules… T'as qu'à te servir… Mais attention il y a même en plus, à la fin, de la crème chantilly…». Les trois éclatent de rire. Alex déboutonne la braguette de son jeans. Je vois son slip rouge, gonflé, dépasser dans la fente…

Les choses sont claires maintenant. Mis au parfum par Sebastian, Alex et Valentin, à l'évidence, comme leur copain, ne sont pas contre une petite douceur prodiguée à leur organe génital… même par un mec ! Valentin, d'ailleurs, a ouvert et baissé  pantalon et slip, puis placé ma main sur sa verge déjà bien raide. Il n'est pas mal membré, le cochon ! 16 ou 17 cm, à première vue, une tige assez épaisse et terminée par un beau prépuce. De l'autre main, j'ai sorti la queue d'Alex de son slip. Comme je m'y attendais, il est pourvu d'une bite énorme, foncée, très droite et longue, avec, dessous, deux énormes pruneaux très poilus. De pareilles couilles doivent contenir une sacrée quantité de jus ! Il bande bien et je ne peux résister plus longtemps. J'avale le gland du beau Roumain et le mouille abondamment de salive. Sans quitter la bite de Valentin, que je branle lentement, je mouille bien la tige d'Alex pour que je puisse l'astiquer plus facilement avec ma bouche. Je n'arrive pas à avaler entièrement le merveilleux bâton de chair brune qu'il me tend. Pourtant, par des coups de reins plutôt brutaux, il essaye bien de faire entrer tout son sexe dans ma bouche. Mais son zob est trop gros, et ses mouvements brusques n'ont pour seul effet que de m'irriter le fond de la gorge. Pendant que je suce son beau copain et branle l'autre, je cherche des yeux Sebastian. Il est assis dans le fauteuil : il regarde la scène. Il semble contempler avec un certain intérêt le tableau qu'on lui offre. Peut-être, pour la première fois, aperçoit-il les queues bandées de ses potes Valentin et Alex. A moins que, en prenant leur douche, ils en aient profité pour se mater les uns, les autres… peut-être même pour se branler à trois ! J'aurais bien assisté au spectacle. Toujours debout, derrière le divan, Alex a entrepris de me baiser la bouche : sa queue entre et sort avec force. On sent le mâle alfa, sûr de lui, de l'attraction qu'exerce son anatomie sur les tapettes dans mon genre. Il a envie de me niquer la gueule, avant peut-être de me défoncer le cul. Je vais comprendre, pense-t-il, ce que c'est qu'un vrai mâle roumain. Il me donne quelques claques sur les joues, puis sort sa bite et me frappe le visage avec. Il semble déchaîné. C'est clair : il veut me faire mal. Cette violence soudaine m'empêche de donner à Valentin toute l'attention qu'il mérite. Il bande pourtant comme un bouc et je sens que le spectacle d'Alex se faisant sucer ajoute à son excitation. Je ne voudrais surtout pas qu'il jouisse trop vite.

Soudain, Alex m'ordonne de me lever, d'enlever mon froc et de me placer à plat-ventre, sur le dossier du divan, couché devant lui. Il demande à Sebastian de lui passer une capote. Son copain s'exécute, comme s'il avait renoncé à s'opposer et même à prendre part aux ébats. Alex quitte son jeans, enfile la capote et commence à passer le bout très dur de sa verge entre mes fesses. Deux ou trois fois, il s'arrête sur ma rondelle, comme s'il vérifiait sa position, mais il ne cherche pas à me pénétrer. J'appréhende un peu ce qui va suivre : d'une part, Alex est très excité… d'autre part, c'est un gars super membré, or j'ai rarement pris un engin pareil dans le cul, enfin, et surtout, il ne m'a pas lubrifié l'anus, pas même avec de la salive. Non dilaté et non lubrifié, je sens que je vais déguster !! J'ai, parallèlement, repris ma branlette de la bite de Valentin. L'interruption a fait un peu retomber sa tension. Il bande encore bien, mais n'est plus au bord de l'orgasme… Sebastian s'est rassis dans le fauteuil et continue de jouer au spectateur. Je remarque quand même que son pantalon est bien gonflé : la scène ne le laisse pas de glace !

Quand Alex entre sa tige dans mon cul et qu'il pousse fort pour me pénétrer profondément, une forte brûlure me torture immédiatement le rectum. Je lâche un cri et me mets à respirer de plus en plus vite. Les coups de boutoir du jeune mâle me paraissent toujours plus rapides et intenses. Me faire enculer de la sorte n'est plus un plaisir, et des larmes me montent aux yeux. J'arrête de branler Valentin tant la douleur est forte et m'empêche de penser à autre chose. Alex se comporte comme une furie : il m'enfonce sa queue sans ménagement, faisant, à chaque va et vient, claquer ses couilles contre mes fesses. Je me demande si lui même n'a pas mal… s'il éprouve vraiment du plaisir à me posséder de la sorte. Valentin, de son côté, est très excité par le spectacle de cet accouplement hors normes : il se branle, debout, face à moi, approchant de temps en temps sa bite de mon visage. Un parfum de mâle en rut vient titiller mes narines. Il comprend que l'odeur me plaît et tend sa queue vers ma bouche. Bien que secoué par les saillies déchaînées d'Alex, je prends le gland de Valentin en bouche. J'adore ce goût de bite. Valentin tout en se faisant pomper continue de s'astiquer. J'aperçois du coin de l'œil Sebastian sur son fauteuil. Il a baissé son pantalon jusqu'à mi-cuisses et se masturbe lui aussi. Son sexe est magnifique : je le connais bien pour l'avoir sucé, léché, pompé, mordillé, pris entre les fesses maintes et maintes fois. Mais Dieu qu'il est beau ce jeune mâle !

Valentin ne va pas tarder à montrer des signes d'un orgasme prochain Sa queue se tend, son bas-ventre s'avance vers ma gueule, comme s'il voulait faire entrer sa verge davantage encore. Le jeune Roumain arrête soudain de se masturber et, aussitôt, je sens un premier jet de sperme gicler dans ma gorge. Je serre bien sa tige, entre mes lèvres, pour éviter que les autres jets m'échappent. Et il va bien juter, le salaud : j'ai maintenant la bouche pleine de son foutre. J'avale avec ravissement cette semence tiède, offerte avec tant d'amour. Alex a dû comprendre que son copain venait de se vider les couilles, car avant même que celui-ci ne retire sa bite de ma bouche, mon enculeur s'effondre sur mon dos en poussant un râle animal. Ça y est, il a joui ! J'en suis ravi, mon calvaire va enfin cesser. Je sens qu'il sort sa queue de mon cul. Je me retourne et voit son énorme bite baignant dans une capote blanche de foutre. Il retire le préservatif et approche sa queue encore raide de ma bouche ; «Vas-y, salope, nettoie-moi bien la queue !» J'obéis, sans me faire prier. Je n'ai aucune répugnance envers les sexes gluants de sperme… Au contraire.

Sebastian s'est levé de son fauteuil, a quitté son froc, et, tenant sa bite d'une main, vient vers moi. J'ai à peine terminé de lécher et de nettoyer l'organe de son pote qu'il me demande, comme un service « Tu veux pas te retourner ? J'ai trop envie…» Je reprends donc ma position, le ventre couché sur le dossier du divan, les fesses en l'air. Alex m'ayant défoncé le cul comme un malade, Sebastian n'a aucun mal à faire pénétrer sa queue. Je sens maintenant sa longue tige bien au fond… Je n'ai plus mal comme tout à l'heure, ou alors le bonheur de me faire prendre par mon amant préféré me fait-il supporter la douleur que la bite de Sebastian provoque tout de même dans un rectum, maltraité pendant pus d'une demi-heure. Pour montrer à mon amant toute la fierté que j'éprouve à me donner à lui, j'accompagne chacun de ses coups de reins d'un gloussement, de petits cris qui se veulent être un remerciement, pour Sebastian et, à la fois, une forme de bravade, de défi adressé à Alex. Mon amant, comme toujours, va me pilonner le cul un long bout de temps. Il ne souffre pas d'éjaculation rapide, le bougre !… Cela me ravit, d'habitude, mais ce soir j'aurais voulu que la mayonnaise prenne plus vite ! Quand enfin, dans un superbe gémissement de jouissance, Sebastian atteint l'orgasme, je l'accompagne d'un râle très fort, comme si, moi aussi, en même temps, j'étais parvenu au climax de la volupté. Il retire son dard de mon cul. Sa capote est pleine elle aussi de son beau jus blanc. D'habitude il me le donne, pour que je le déguste. Mais ce soir…

Alex a regardé la scène jusqu'au bout. Je vois qu'il bande à nouveau. «Dis donc, t'as pas éjaculé, toi ? T'es impuissant ou t'as pas joui du cul ?» Valentin se fout à rire. Alex, persuadé d'être spirituel, me lance : «Dans un moment, je te baise encore… J'ai pas réussi à me vider totalement les couilles… J'ai encore envie de ton petit cul… Tu vas délirer, parole ! Et cette fois, toi aussi tu vas cracher !»

Et ce qui, au début, m'a paru n'être qu'une fanfaronade va se réaliser ! Alex, comme promis, m'a de nouveau niqué. En me faisant face, cette fois, mes jambes posées sur ses épaules. Encore une fois, il m'a fait un mal de chien. Valentin et Sebastien m'ont donné leurs queues à sucer. A un moment j'avais leurs deux bites dans la bouche et celle d'Alex dans le cul ! Ils ont joui tous les deux, à tour de rôle, et j'ai avalé leur foutre. Je me suis branlé et ai éjaculé sur mon ventre. Alex, sans doute fatigué par sa première performance, a baissé de rythme. Je me demande s'il est arrivé à éjaculer une deuxième fois. J'en ai douté quand je l'ai vu retirer très vite sa capote et la jeter en douce dans la poubelle. Je dois à la vérité de dire que j'ai beaucoup plus apprécié sa façon de me pénétrer la deuxième fois. J'étais même fier qu'un si beau mâle, à l'évidence hétéro, ait pris son pied en me démontant le cul ! Les deux autres, que ce soit mon amant de longue date, ou Valentin dont l'instrument m'a paru des plus délicieux, ont été des amants d'un soir irréprochables.

D'ailleurs, avant de quitter leur appartement, après une bonne douche, je leur ai dit tout le bien que je pensais de cette folle soirée, et ai reconnu que, sans la moindre discussion, la troisième mi-temps avait été remportée par leur pays : Roumanie 3  -  France 0.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 13:28

Avertissement : 

Même si cette histoire est très excitante, elle n'est pas une incitation au sexe bareback. La capote reste le plus sûr moyen de se protéger lorsqu'on est pas sûr de son partenaire... 

 

J'avais 36 ans à l'époque,  1m75 pour 65kg. On peut pas dire que je sois musclé ni que je sois un top model, j'ai la tête de monsieur tout le monde et j'ai quand même mes petits succès.

Comme beaucoup je me connecte aux applis mobiles pour rencontrer des mecs. Et comme beaucoup, je tombe souvent sur des fakes et des mythos.

Les meilleurs mythos sont les plus jeunes. Jusqu'à 23 ans en moyenne, on peut considérer qu'on va juste discuter pour envoyer des photos (hard de préférence) sans jamais voir la tronche du petit jeunot d'en face et qu'une fois sa honteuse branlette achevée devant mes photos hot, je le verrai disparaitre de mon historique sans un mot.

Je suis sûr que ce genre de chose t'es arrivé, hein ?!

Donc cette soirée débute avec un petit jeune de 20 ans qui se dit passif et qui vit à quelques kilomètes de chez moi. C'est lui qui prend contact en voyant ma photo. Son profil laisse juste apparaitre un torse imberbe.

Bon, tu te doutes que si j'écris cette histoire, c'est que cette fois-ci il ne s'agit pas d'un mytho. Non, à ma grande surprise il veut qu'on s'envoie en l'air et me demande si je suis dispo et intéressé.

A ce stade-là, tu comprends bien que je pense encore à un truc du genre : je donne mon adresse et il se pointe pas, ou alors c'est pas celui qu'il dit être et je vais me retrouver devant une racaille -ou plusieurs- pour m'agresser. Bref j'y crois plus que moyen sur l'instant, mais je lui donne rendez-vous pas loin de chez moi en me disant qu'au pire je vais me barrer dare dare.

Etonnamment il est donc là, sur le parking, alors que j'arrive à pieds. Il est aux alentours de 22h, il fait bon et il fait nuit. On se dirige l'un vers l'autre et il est vachement mieux en vrai que sur ses photos. Il me roule un patin direct : j'en reste presque sur le cul ! Il s'est parfumé et il embrasse super bien : j'ai la quéquette qui fait un bond dans le boxer.

Alors vu comment ça se présente (je pensais faire un plan extérieur), je le ramène chez moi direct.

Il est super chaud. On continue les patins tout en se déshabillant. C'est vraiment difficile de te décrire la scène tellement c'est bien et agréable. Vraiment il embrasse super bien : c'est un vrai régal ! Et en même temps c'est la première fois que je constate tant de désir et d'assurance chez quelqu'un d'aussi jeune.

Je l'emmène dans ma chambre, l'allonge sur le dos et je titille ses tétons avec ma langue. Bingo : il adore ça et il me le dit. Là je me dis qu'on va vraiment se faire du bien tous les deux. Je descends ensuite vers son nombril en le caressant, en lui faisant des bisous sur sa peau électrisée par le désir.

De sa position sur le dos, il bascule et c'est moi qui suis sur le dos maintenant. Il m'embrasse, essaye aussi de me lécher les tétons et comprend très vite que j'y suis insensible. Il descend alors vers mon boxer pour y trouver mon sexe bandé.

Tu vois ce qu'il va faire? Et bien t'as raison ! Il commence à me sucer. Et contrairement à plein de jeunes qui débutent, il ne fait pas comme dans les pornos à vouloir faire des va et viens avec sa bouche le plus vite possible. Non : il prend le temps de gouter ma teub. Et ça c'est vraiment trop bien pour moi. Ça, c'est du sexe de grande qualité !

Et puis il revient de lui-même m'embrasser avec tendresse et envie. Putain mais il est trop trop bien ce petit jeune ! Je lui malaxe les fesses en passant mes mains dans son boxer et puis je le descends et le pousse avec mon pied pour qu'il soit entièrement nu au-dessus de moi...

On s'embrasse, je le caresse et nos sexes durs se touchent, se frottent.

On est totalement en phase, j'y crois à peine. C'est juste incroyable le plaisir qu'il me donne et je vois bien qu'il prend sa part lui aussi.

Tu te doutes que ça continue sur la lancée.

Il est toujours sur moi et il prend ma teub pour la mettre au-dessus de ses fesses tout en continuant à me rouler des pelles. Il fait ça pour m'exciter et c'est vrai que c'est super chaud ma teub sur ses fesses rebondies et imberbes. Il fait des mouvements pour qu'elle frotte bien le long de son sillon fessier et il m'embrasse avec fougue.

Moi je mouille sur sa peau tant il m'excite. Ça frotte de moins en moins sur sa peau vu comme je mouille beaucoup. Il continue ses mouvements en écartant bien ses fesses et en me roulant des patins. Mon gland touche sa rondelle plusieurs fois pendant qu'il glisse maintenant sur ma bite.

Et d'un coup, sans préambule, il prend ma teub, la met contre sa rondelle et s'enfonce dessus. Direct, sans capote.

Tu aurais fait quoi toi ?

Ben moi je lui demandé pour la forme s'il était clean, il m'a répondu : "Et toi ?" et puis je l'ai laissé faire parce que j'avais envie de lui sans latex... Je l'ai pris dans différentes positions, toujours en l'embrassant quand il me faisait face. Il gémissait de plaisir.

Au bout de pas mal de positions et de temps à le sodomiser on a terminé en levrette. Il m'a dit : "Vas-y remplis-moi !" et là il a carrément fait sauter un verrou chez moi. Je lui ai rempli le cul avec tout le jus qu'il méritait et en haletant comme un ours. Incroyable le pied que j'ai pris à ce moment-là ! Rien à voir avec ce que je peux ressentir habituellement. J'ai vu ma teub se contracter à chaque jet que je propulsais entre ses fesses.

Pendant que je le remplissais il a joui sur les draps en gémissant, serrant du coup son anus sur ma teub, histoire de bien la dégorger à fond.

On a terminé sous la douche ensemble en continuant à se rouler des pelles. On s'est remis à bander mais on n'a pas pu remettre le couvert pour un deuxième round. J'ai regardé l'heure : on a baisé pendant 2 heures ensemble.

Donc tu vois, parfois les minets qui paraissent être des mythos, et ben c'est pas des mythos. C'est même carrément les meilleurs plans ! Moi je suis tombé juste une fois sur un coup comme ça. Mais tu vois que ça me laisse un souvenir inoubliable.

C'est vraiment une histoire vécue et je suis toujours séronégatif. 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 12:18

Le phallus : un organe qui me fascine. Certains me rendent, de par leur beauté, complètement fou et m'amènent à faire toutes sortes de choses toujours plus excitantes.

Ainsi, je procède dans ma tête, à une sorte de collection des plus beaux pénis que j'ai eu l'occasion de toucher, de sucer ou même de sentir en moi. Comme tout bon collectionneur il m'est vraiment difficile d'arrêter ma collection et cela, même en étant dans une relation avec le plus merveilleux des hommes.

Heureusement aujourd'hui il n'est pas très compliqué de rester discret grâce aux différentes applications de rencontre. Alors, quand ma collectionnite aiguë revient en force, je n'ai qu'à utiliser mon smartphone.

Ces poussées de collectionnites se font le plus souvent ressentir lorsque je suis à la BU (bibliothèque universitaire) de mon université. Il y a déjà 4 ans que j'ai remarqué que beaucoup de jeunes étudiants recherchent de quoi se divertir brièvement afin de pouvoir se remettre au travail ensuite. Mon application indique en général au moins 15 profils dans un rayon d'un kilomètre, ce qui est beaucoup compte tenu que mon université se trouve dans une banlieue pavillonnaire à l'écart de la ville.

Au départ je voulais juste regarder qui se trouvait dans les parages. Et au fur à mesure, l'excitation m'a gagné et mon envie de sucer de belles bites me poussa à prendre contact avec ces profils sans images… Allais-je tomber sur un étudiant de mon cours ? Un de mes profs ? Un ami ? Toutes ces incertitudes font monter la tension et m'excite encore plus...

Bref, en 4 ans, je n'ai jamais rencontré de personne que je connaissais déjà. Mais maintenant je connais LA meilleure planque pour baiser : une toilette pour handicapés dans une aile peu fréquentée de mon université. Je l'ai découverte grâce à un étudiant erasmus espagnol et un étudiant anglais qui avaient prévu un plan à trois dans ces chiottes. Depuis, j'en ai sucé pas mal dans cet endroit. Jusqu'à la semaine dernière je n'avais pas osé aller plus loin que sucer et branler.

Mais depuis 5 mois je me retrouvais  régulièrement avec un jeune mec de 24 ans rencontré sur l'appli. En général je préfère les mecs plus âgés et plus grands que moi. J'ai 25 ans, je mesure 1m80 pour 70kg avec un corps légèrement dessiné par la natation. Cependant il avait indiqué dans son profil qu'il avait une bite « XL » ce qui bien sûr, ne me laissait pas indifférent.

La première fois nous nous sommes retrouvés dans ces toilettes. Quand il est entré, j'étais heureux de remarquer une barbe de 3 jours qui lui donnait un côté plus âgé et viril, ce qui compensait bien le fait qu'il soit légèrement plus petit que moi et s'habille en « hipster-jogging ». Après être entré, j'ai fermé la porte. Il m'a poussé contre le mur et m'a fait mettre à genoux. Je remarquais directement une belle bosse sous le jogging gris (finalement c'est sexy un jogging !). Il baissa son pantalon et son boxer d'un coup pour laisser apparaitre une magnifique demi-molle d'au moins 16 cm de longueur, avec un beau prépuce qui cachait presque tout le gland sauf son extrémité. Il fit deux ou trois mouvements de massage, me prit la tête et enfourna sa bite dans ma bouche. Je trouvais son côté dominateur vraiment excitant, ma bite aussi appréciait de lui être soumis.

Il commença à faire des va-et-vient en veillant à me faire avaler toute sa bite. Cela ne dura pas longtemps avant que toute la puissance de son membre ne se développe. Bien dur : au moins 22cm pour 6 de large, de belles grosses veines palpitantes et un gland bien fuselé. Prendre ce morceau en entier n'était pas de tout repos ! Il me baisait la gorge comme si je n'étais là que pour le servir. Il ne faisait pas attention à mes haut-le cœur et continuait toujours plus rapidement. Ma tête était coincée entre le mur et son gourdin. Je ne pouvais plus bouger. De la salive coulait en flot le long de mon menton ; les larmes me mouillaient abondamment les joues.  Bizarrement cette situation me mettait dans un état de transe. Ma bite était dure comme jamais et je ne souhaitais plus qu'une chose : qu'il me gicle en fond de gorge pour que je puisse sentir la chaleur de son jus et que je sois obligé d'avaler. Malheureusement ce ne fut pas le cas. Juste avant de venir il sortit son membre luisant de salive de ma gorge et alla jute dans le lavabo. Il se nettoya la bite, remonta son pantalon et parti en me laissant là sans rien dire...

Après cette première fois, je ne pouvais m'empêcher de repenser à ce mec et à cette bite. Lui devait être aussi satisfait puisque nous nous revîmes 3 fois dans des conditions similaires, à la seule différence qu'on se mettait maintenant à poil. Je pouvais donc admirer son torse poilu mais entretenu avec deux beaux pecs et un ventre plat. Sur ses bras il avait des tatouages en forme de longues lignes rectangulaires parallèles qui complétaient bien son look. Enfin bref, ce rituel a fini par être interrompu la semaine dernière.

Après une matinée studieuse à la bibliothèque, je ne pouvais m'empêcher de penser à lui et à son énorme chibre. Je suis donc allé faire un tour sur l'application de rencontres et ma queue se durcit très rapidement en voyant le point vert dans le coin de son profil. J'écris un bref « salut ». S'ensuit une attente interminable de 30 minutes puis je reçois : « Je bande dur, tu viens me sucer ? Je t'attends ». En vitesse je ferme mon ordi et prends toutes mes affaires. Je me dépêche, mets mes affaires dans mon casier et me dirige automatiquement vers les toilettes pour handicapés. Il m'attend dans le couloir. En me voyant arriver il se dirige vers les toilettes. Je le suis et nous sommes rapidement tous les deux dans notre chiotte.

Comme d'habitude, nous nous mettons à poil. Il me coince contre le mur, se masse la queue et me l'enfourne bien profondément.  Tout se passe comme toujours, salive et larmes coulent en masse, il me baise la gueule sans me ménager. Puis tout à coup je l'entends cracher. Je comprends vite pourquoi. Deux doigts humides se dirigent vers mon trou. Je suis soulagé : en se baissant je n'ai plus sa bite jusqu'en fond de gorge et je peux de nouveau respirer normalement. Il continue à me masser le trou en me mettant un doigt de temps à autre. Bien sûr je continue à lui sucer le chibre comme je peux. Dans ma tête je flippe un peu : « Merde, il veut m'enculer ? J'sais pas si je vais être propre et puis en plus ici dans ces chiottes ?! ».

Après deux minutes de massage du trou il me tire par le bras pour me faire lever, me retourne et me plaque contre le mur. Il commence à frotter son pénis le long de ma raie et crache régulièrement sur sa queue pour bien l'humidifier. Il se frotte de façon toujours plus intense puis me tire les cheveux pour me faire mettre la tête en arrière. Il me roule pour la première fois une belle et me murmure à l'oreille : « Il est temps que je te prenne, sale chienne ». Je n'ose plus rien dire. Je suis figé, excité, je doute. « Oh mon dieu, veut-il vraiment me prendre ici, maintenant et surtout sans capote ? Et puis, si je suis pas propre ? ».

C'est à ce moment-là que je sens qu'il met sa queue à la perpendiculaire de mon trou. Comme une bonne chienne je lui tends automatiquement la chatte. Il prend vraiment son temps, trempe peu à peu son gland dans mon anus qui s'est bien ouvert. Après cinq minutes il a fini par me la mettre jusqu'au bout et commence à me bourriner. J'ai du mal à me retenir de jouir et de gémir. Je sens toute l'ampleur de ses 22cm qui me pénètrent...

Tout à coup, du bruit à l'extérieur. Quelqu'un vient de rentrer dans les toilettes. Je commence à paniquer et essaie de le pousser pour qu'il se retire. Mais il ne bouge pas. Au contraire, après 10 secondes à attendre, il me met la main sur la bouche et me fourre son pilon d'une traite. Il continue à me baiser sans bruit. Nous pouvons ainsi entendre que le visiteur vient de tirer la chasse et s'apprête à sortir.

Lorsque nous entendons le claquement de la porte, il me met de côté devant le lavabo et me baise comme un marteau piqueur. Dans le miroir je peux observer ses mouvements de bassin et admirer son corps en extase.  Puis il se décide de prendre ma bite tout en me baisant. A peine a t'il effleuré mon membre que j'explose et mon sperme abonde et goutte sur le carrelage blanc. Apparemment, les contractions de mon rectum ont fait leur effet puisqu'il se retire, me met à genoux et m'insère sa bite pour me jouir dans la gorge. Je sens les giclées atterrir dans mon fond de gorge et couler le long de mon œsophage.

Comme à son habitude, lui se nettoie et sort en me laissant là, seul comme son sextoy usé. 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 31 juillet 7 31 /07 /Juil 12:17

Moi c'est Léo, 20 ans, sportif, poilu, et mon histoire s'est passée il y a quelques semaines. J'étais tout seul chez mes parents à Paris. Je trainais sur les sites de rencontre sur internet. Mon mec venait de me larguer, et j'avais grave envie de baiser. Je suis branché plan cool avec mec bien viril tandis que mon mec n'aimait pas ça.

Alors je cherche et je tombe sur un mec bien viril, musclé, genre rugbyman, hyper poilu et barbu comme je kiffe. On parle des banalités. Il est actif, moi versa. Il s'appelle Max, il a 25 ans. On se chauffe un peu, on s'envoie des photos. Il commence à me dire ce qu'il kiffe : sket, tn, rekin, lascar, exhib, odeur... Il ne m'en fallait pas plus ! Je lui envoie mon adresse direct. Il me demande si j'aime les lascar, survet, tn... Encore un bon point mec. Il me dit qu'il s'habille : à poil sous son survet, casquette, t-shirt. Il m'ordonne de l'attendre chez moi, porte ouverte, à poil avec juste TN et chaussette aux pieds sur ma terrasse. J'obéis sans discuter : ce plan va être bon.

Je vais ouvrir la porte, je me déshabille, je garde mes tn aux pieds. L'appart de mes parents est grand, dernier étage de l'immeuble, terrasse, je l'attends nu sur celle ci.

Je l'entends qui arrive. Encore plus chaud et plus beau qu'en photo ! Hyper poilu, tn , t-shirt ultra moulant, des poils dépassent de partout, bien musclé et surtout à poil sous son survet ! Sa queue est bien moulée, bien épaisse, elle est visible sous son survet.

Je suis couché sur le transat, à poil. Il arrive vers moi et me roule une grosse pelle. Il n'attend pas que je bouge, il prend mes jambes, les lève et me bouffe le cul. Il a l'air de bien kiffer ça ! Il donne de grands coups de langue, il me bouffe les poils. Ca dure 5 bonnes minutes. Il remonte me rouler une pelle et me demande si je kiffe ça. Je lui réponds oui et je remets ma langue dans sa bouche. Sa barbe me picote le visage, il voit que j'aime ça. Il me dit de rester coucher sur le transat. Il met son cul au niveau de mon visage et sa bouche attrape ma queue. Je lui mange son petit cul poilu : j'ai des poils partout, je prends mon pied comme jamais ! Après ça il se retourne, enlève une chaussure et me la colle sur le visage. Je respire ses bonnes odeurs. Il alterne entre sa TN  et sa grosse queue, pas très grande mais bien large. On prend notre pied et ça s'entend. On est à poil dehors : heureusement personne ne peut nous voir.

On passe 20 bonnes minutes à se sucer, se lécher le corps, les pieds, le cul. Il me demande si j'ai des capotes. Je cours les chercher, heureusement elles sont à sa taille. Il est assis sur le transat, il me met 2 doigts dans le cul pour bien dilater et je m'assois sur lui. Le gland passe, tout passe... Je suis face à lui, on se roule de grosses pelles. Je m'amuse avec ses tétons, il aime ça. Il se retire, me couche par terre et me donne de grands coups de langue sur mon trou. Max est très doux avec moi, il me dit de me relever et me dirige vers la rambarde. Heureusement on est caché par des pots de fleur ! Mes mains accrochent la barre et là il pilonne mon cul comme jamais... En même temps il me branle et alterne avec des pincements sur mes tétons. Il accélère, je sens qu'il va venir. Il sort sa queue de mon cul et, du regard, me désigne une des ses TN. Je lui donne et il jute dedans. 8 ou 9 jets puissants. Je prends sa chaussure, il va se mettre sur le transat. Je fais couler le jus sur son torse bien poilu et j'éjacule sur ses poils. Avec ses 2 grandes mains il prend ma tête et me fait lécher. Je m'écroule sur lui fatigué et le cul bien ouvert.

Pendant qu'il se rhabille on discute. Il me dit qu'il est étudiant comme moi et qu'il n'habite que 3 rues plus loin. Je lui propose de rester la journée. Il ne peut pas, il a des choses à faire. On s'échange nos numéros. Je suis tout seul chez moi pendant une semaine : mes parents sont en vacances. On se roule une dernière pelle et il s'en va. On s'échange des sms toute la journée.

Vers 19 heures, alors que je n'attends personne, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je découvre Marc, encore plus beau que quelques heures auparavant. Il tient un sac de sport avec plein d'accessoires : jockstrap, gode, cockring, sket, survet...

- Alors, chaud pour une bonne semaine ? me demande-il.

La semaine ne fait que commencer...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 11:29

Avertissement aux lecteurs : 

Cette histoire inédite m'a été transmise, ainsi que 2 autres par filou68 que je remercie pour cette contribution et son intérêt pour mon blog. Bonne lecture !

 

Je devais avoir une vingtaine d’années lorsque j’ai été pris d’une envie pressante. Je suis donc rentré dans un WC public pour me libérer de cette envie. Trois hommes étaient déjà présents. Je me suis placé à côté d’un gars qui m’a dévisagé dès mon arrivée. Je me sui rapidement aperçu qu’il n’était pas là par hasard car il manipulait sa queue avec énergie et tournait sans cesse la tête de droite à gauche. J’ai compris quelques instants plus tard à qui étaient destinés tous ces mouvements de tête. Les deux gars à côté de lui étaient assurément des comparses et partageaient ses envies. Je suis resté pour voir ce qui allait se passer. Ma bite avait pris du volume et j’ai continué à la masser pour la garder en forme. Un des gars a alors reboutonné sa braguette et au lieu de sortir est venu se poster derrière moi. Il m’a bloqué les mains derrière le dos et m’a donné l’ordre de ne rien dire et de ne pas bouger. Les deux autres se sont alors rapprochés.

 

« C’est un bon coup ! T’as vu sa bite ! J’espère que son cul est aussi bon ! Désape le » Ils m’ont débouclé la ceinture, ôté le short que je portais et arraché le slip. « Penche-toi, on veut voir ton cul ! » Je me suis donc plié en avant et ai présenté mon cul aux trois gars. Mon trou a été inspecté par plusieurs doigts. Ils continuaient à s’astiquer la bite pour la tenir tendue. C’est alors qu’un autre homme est arrivé. Certainement surpris par la scène, il s’est approché de nous, a sorti sa bite et m’a caressé les fesses. Pendant ce temps là un autre gars a encapuchonné son sexe et sans aucun lubrifiant a perforé mon trou. La douleur a été vive mais elle s’est vite transformée en plaisir. Les bites se sont succédées dans la bouche tant est si bien qu’au bout de quelques minutes le groupe s’est agrandi. De nombreux gars qui étaient arrivés ont ouvert leur pantalon, ont descendu leur slip et m’ont présenté leur bite. Je les ai toutes branlées. J’ai vidé toutes les couilles et je me suis retrouvé la poitrine recouverte de sperme tout frais. Quel plaisir de voir toutes ces queues tendues d’excitation !

 

Depuis ce temps-là j’adore les bites. J’adore aussi voir sur la plage en été les gars qui arborent un maillot de bain bien rempli laissant présager un beau paquet.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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