Je connais Sebastian depuis des mois maintenant. C'est un superbe garçon roumain, qui travaille dans le bâtiment. Je le vois assez régulièrement, à mon grand bonheur... Beau gosse, belle gueule, cheveux châtain clair, peau très blanche, sauf les bras, dorés par le soleil sur les chantiers. Un vrai mec, bien musclé grâce aux efforts physiques quotidiens, mais sans excès. Rien à voir avec tous ces mecs qui, à force de pompes et autres tractions, de programmes démentiels d'entraînement (par muscle !), et en observant une nutrition prétendûment sportive, consistant à se gaver de protéines, spiruline et acides aminés en gélules…, deviennent finalement des monstres ! Bien sûr, avec de pareils exercices et régimes alimentaires, ces garçons arrivent à développer outrageusement leur masse musculaire, mais ils y parviennent au détriment hélas de leur esthétique. Non, Sebastian, je peux l'affirmer pour avoir longuement contemplé et caressé son corps, ne ressemble en rien à ce genre de poupons gonflables. Il est, heureusement pour lui, un garçon bien bâti, à la musculature équilibrée, à "fleur de peau" pourrait-on dire, ce qui rend son anatomie particulièrement attirante : un beau torse aux pectoraux bien dessinés, des abdos délicieux, des bras et des cuisses solides, de bons mollets. Par nature, il est peu poilu; même sur son pubis : sa verge, au repos, se love dans de jolis poils blonds frisés, peu abondants
Il serait long de raconter comment nous nous sommes connus, et pourquoi, bien que d'aspect très viril, il apprécie de se faire caresser, sucer, bouffer la rondelle par un mec…; pourquoi même il ne rechigne pas à me pénétrer, quand je l'ai bien chauffé… Nous nous voyons à peu près chaque semaine, le vendredi soir, car il ne travaille pas le week-end. Le samedi matin, il va faire du foot avec des potes, le soir il sort en boîte avec certains d'entre eux. Il m'a avoué qu'il n'est pas trop doué pour draguer des filles, même s'il parle bien le français et qu'avec sa seule belle gueule il en branche pas mal…
Donc, grand amateur de foot, il m'a souvent parlé du match d'ouverture de l'Euro 2016, qui allait opposer son pays, la Roumanie, à la France. Je lui ai proposé de voir le match ensemble. Il m'a expliqué qu'il préférait le voir avec ses deux copains roumains, ceux qui partagent l'appartement que leur a prêté le patron de leur entreprise. Puis, il a ajouté : « Mais si ça te dit, tu peux venir le voir chez nous. On commandera des pizzas. Apporte de la bière, parce que mes copains et moi on aura la gorge sèche à force de gueuler !» J'hésite un moment, craignant de le gêner; mais son insistance me décide et rendez-vous est donc pris pour le 10 juin !
Quand je sonne en bas du petit immeuble, la tête de Sébastian apparaît à une fenêtre du premier étage. Il me dit qu'il descend m'ouvrir. L'immeuble est assez vieux, mais pas minable. Leur appartement me paraît plutôt grand, si j'en juge par la pièce principale donnant sur une cuisine "américaine". Les meubles, anciens, devaient être déjà là. Sébastian me présente ses amis : Alex, 24-25 ans, très beau brun athlétique, et Valentin, légèrement plus âgé, brun aussi, beau sourire dans un visage rond. Ils ont l'air sympathique, mais ma venue semble les embarrasser un peu. Sebastian me présente comme "l'ami français dont je vous ai parlé". Les deux sourient, ne sachant pas comment réagir. Pour dégeler l'atmosphère j'explique à Sebastian et aux autres ce que j'ai apporté : de la bière mexicaine (déjà fraîche !), de la belge, et comme dessert de la glace. Les trois applaudissent, et pendant que Sebastian commande par téléphone quatre grandes pizzas, Valentin et Alex m'annoncent que "la France n'a aucune chance de gagner" et que "la Roumanie va l'écraser 3 à 0 !" Alex, le plus beau des trois, prend place dans l'unique fauteuil, et je me retouvre sur le divan, assis entre Valentin et Sebastian… Les premières bières, celles achetées par le trio roumain, sont aussitôt décapsulées. Je crains de ne pas pouvoir suivre le rythme…
Le livreur de pizzas quitte l'appartement juste au moment où retentissent les hymnes nationaux. Les trois garçons roumains chantent en chœur. Quand vient le tour de la Marseillaise, j'ose l'entonner seul, ce qui me vaudra des applaudissements des trois et une tape sonore sur une cuisse de la part de Sebastian. Tous mangent et boivent sans quitter l'œil de l'écran télé, tandis que de mon côté je mate discrètement mes compagnons d'un soir. Je reluque particulièrement Alex, les traits virils de son visage, sa bouche superbe, la bosse de son jeans… S'il est aussi chaud que Sebastian, il doit être un amant d'exception ! Même Valentin est un beau mec et son entrejambe me paraît contenir de quoi me régaler… Mais ne suis-je pas en train de rêver ?
L'équipe de France semble à la peine, comme paralysée par l'enjeu; mais les Roumains n'arrivent pas non plus à prendre l'avantage. La première période se terminera sans le moindre but de part et d'autre. On boit plusieurs bières chacun. Reprise. A la 58ème minute, le camp français, grâce à un but de la tête marqué par Giroud, jubile. Par jeu, je nargue mes compagnons roumains, mais ils me répondent que le match est loin d'être fini et que je vais voir de quel bois les Roumains se chauffent... Dans un mélange de français et de roumain, les trois me font une leçon de tactique et de technique footbalistiques… C'est Alex qui semble le plus concerné et excité. En m'annonçant l'inévitable (et très prochaine !) égalisation de son équipe, il se touche le sexe, comment s'il en bandait déjà ! Ce geste machinal, sans signification sexuelle (sauf pour mon esprit "tordu"), est d'une banalité répandue chez les garçons de leur pays, comme d'ailleurs dans de nombreuses régions du globe, en Afrique du Nord notamment. Mais bien que sans signification, ce mouvement m'a bien sûr ravi, et j'espère qu'il sera renouvelé tout au long de la soirée… La prédiction d'Alex ne va pas tarder pas à se réaliser : une faute d'Evra, pénalty ! Stanciu tire : les Roumains égalisent. Hélas, la réaction des Français ne sera pas à la hauteur de l'enjeu. Les frappes sont trop timides pour inquiéter et tromper le gardien Tatarusamu. Il faudra attendre la 89ème minute pour que Dimitri Payet délivre enfin la France ! 2 à 1 !
Le match d'ouverture se sera donc soldé par la victoire de notre équipe. Je suis heureux, mais n'ose pas trop triompher. Les trois garçons roumains échangent dans leur langue ce que je devine n'être qu'une série de reproches destinés à leur équipe ou au sélectionneur. Ils sont debout, la canette de bière à la main; ils parlent fort, accompagnant leurs paroles de coups de poing dans le ventre ou sur les épaules des deux autres. Ils ne se battent pas, c'est seulement le défoulement de l'agressivité accumulée tout au long du match, et dont le trop-plein peut enfin s'exprimer de cette façon. Je les regarde, ravi de voir trois jeunes mâles, tout près de moi, excités, libérant leur testostérone… Trois garçons que j'aimerais aider à soulager leur fougue mâle, par quelques câlineries, voire en m'offrant carrément à eux… Mais, à part Sebastian, dont je sais qu'il apprécie caresses et succions bien placées, les deux autres se lâcheraient-ils ? Et, même mon amant habituel osera-t-il, ce soir, devant ses potes, me confier son entrejambe pour quelques cajoleries dont j'ai le secret ?
Sébastien propose qu'on mange la glace. Il la sert dans de grands verres. Je reprends ma place sur le divan, à côté de Valentin. Alex et Sebastian mangent debout. Tout à coup, je sens que quelqu'un se frotte à ma tête, derrière. Je me tourne : c'est Alex qui appuie son paquet contre ma nuque. C'est clair : il bande. Sa queue raide pousse à plusieurs reprises ma tête vers l'avant. Je fais exprès de résister. Alex pousse encore plus fort : je sens bien que son sexe est dur… Je lève la tête pour voir son visage. Il me regarde, l'air amusé, lèchant sa petite cuillère. Puis s'arrête de lécher et agite sa langue en tout sens, comme s'il pratiquait une fellation… Sebastian ne réagit pas, mais Valentin se marre. Cette initiative d'Alex a tout pour me plaire : non seulement, elle débloque la situation, mais elle me confirme que Sebastian leur a parlé de mes goûts sexuels et de nos rencontres hebdomadaires… D'ailleurs, pour me faire venir dans son appartement, il a dû obtenir le feu vert préalable de ses potes. Peut-être même ont-ils, à trois, imaginé comment la soirée pourrait se terminer… Alex me demande tout à coup : « T'as pas envie d'une autre glace ?... J'ai un cornet à deux boules pour toi… là… dans mon jeans… Deux grosses boules… T'as qu'à te servir… Mais attention il y a même en plus, à la fin, de la crème chantilly…». Les trois éclatent de rire. Alex déboutonne la braguette de son jeans. Je vois son slip rouge, gonflé, dépasser dans la fente…
Les choses sont claires maintenant. Mis au parfum par Sebastian, Alex et Valentin, à l'évidence, comme leur copain, ne sont pas contre une petite douceur prodiguée à leur organe génital… même par un mec ! Valentin, d'ailleurs, a ouvert et baissé pantalon et slip, puis placé ma main sur sa verge déjà bien raide. Il n'est pas mal membré, le cochon ! 16 ou 17 cm, à première vue, une tige assez épaisse et terminée par un beau prépuce. De l'autre main, j'ai sorti la queue d'Alex de son slip. Comme je m'y attendais, il est pourvu d'une bite énorme, foncée, très droite et longue, avec, dessous, deux énormes pruneaux très poilus. De pareilles couilles doivent contenir une sacrée quantité de jus ! Il bande bien et je ne peux résister plus longtemps. J'avale le gland du beau Roumain et le mouille abondamment de salive. Sans quitter la bite de Valentin, que je branle lentement, je mouille bien la tige d'Alex pour que je puisse l'astiquer plus facilement avec ma bouche. Je n'arrive pas à avaler entièrement le merveilleux bâton de chair brune qu'il me tend. Pourtant, par des coups de reins plutôt brutaux, il essaye bien de faire entrer tout son sexe dans ma bouche. Mais son zob est trop gros, et ses mouvements brusques n'ont pour seul effet que de m'irriter le fond de la gorge. Pendant que je suce son beau copain et branle l'autre, je cherche des yeux Sebastian. Il est assis dans le fauteuil : il regarde la scène. Il semble contempler avec un certain intérêt le tableau qu'on lui offre. Peut-être, pour la première fois, aperçoit-il les queues bandées de ses potes Valentin et Alex. A moins que, en prenant leur douche, ils en aient profité pour se mater les uns, les autres… peut-être même pour se branler à trois ! J'aurais bien assisté au spectacle. Toujours debout, derrière le divan, Alex a entrepris de me baiser la bouche : sa queue entre et sort avec force. On sent le mâle alfa, sûr de lui, de l'attraction qu'exerce son anatomie sur les tapettes dans mon genre. Il a envie de me niquer la gueule, avant peut-être de me défoncer le cul. Je vais comprendre, pense-t-il, ce que c'est qu'un vrai mâle roumain. Il me donne quelques claques sur les joues, puis sort sa bite et me frappe le visage avec. Il semble déchaîné. C'est clair : il veut me faire mal. Cette violence soudaine m'empêche de donner à Valentin toute l'attention qu'il mérite. Il bande pourtant comme un bouc et je sens que le spectacle d'Alex se faisant sucer ajoute à son excitation. Je ne voudrais surtout pas qu'il jouisse trop vite.
Soudain, Alex m'ordonne de me lever, d'enlever mon froc et de me placer à plat-ventre, sur le dossier du divan, couché devant lui. Il demande à Sebastian de lui passer une capote. Son copain s'exécute, comme s'il avait renoncé à s'opposer et même à prendre part aux ébats. Alex quitte son jeans, enfile la capote et commence à passer le bout très dur de sa verge entre mes fesses. Deux ou trois fois, il s'arrête sur ma rondelle, comme s'il vérifiait sa position, mais il ne cherche pas à me pénétrer. J'appréhende un peu ce qui va suivre : d'une part, Alex est très excité… d'autre part, c'est un gars super membré, or j'ai rarement pris un engin pareil dans le cul, enfin, et surtout, il ne m'a pas lubrifié l'anus, pas même avec de la salive. Non dilaté et non lubrifié, je sens que je vais déguster !! J'ai, parallèlement, repris ma branlette de la bite de Valentin. L'interruption a fait un peu retomber sa tension. Il bande encore bien, mais n'est plus au bord de l'orgasme… Sebastian s'est rassis dans le fauteuil et continue de jouer au spectateur. Je remarque quand même que son pantalon est bien gonflé : la scène ne le laisse pas de glace !
Quand Alex entre sa tige dans mon cul et qu'il pousse fort pour me pénétrer profondément, une forte brûlure me torture immédiatement le rectum. Je lâche un cri et me mets à respirer de plus en plus vite. Les coups de boutoir du jeune mâle me paraissent toujours plus rapides et intenses. Me faire enculer de la sorte n'est plus un plaisir, et des larmes me montent aux yeux. J'arrête de branler Valentin tant la douleur est forte et m'empêche de penser à autre chose. Alex se comporte comme une furie : il m'enfonce sa queue sans ménagement, faisant, à chaque va et vient, claquer ses couilles contre mes fesses. Je me demande si lui même n'a pas mal… s'il éprouve vraiment du plaisir à me posséder de la sorte. Valentin, de son côté, est très excité par le spectacle de cet accouplement hors normes : il se branle, debout, face à moi, approchant de temps en temps sa bite de mon visage. Un parfum de mâle en rut vient titiller mes narines. Il comprend que l'odeur me plaît et tend sa queue vers ma bouche. Bien que secoué par les saillies déchaînées d'Alex, je prends le gland de Valentin en bouche. J'adore ce goût de bite. Valentin tout en se faisant pomper continue de s'astiquer. J'aperçois du coin de l'œil Sebastian sur son fauteuil. Il a baissé son pantalon jusqu'à mi-cuisses et se masturbe lui aussi. Son sexe est magnifique : je le connais bien pour l'avoir sucé, léché, pompé, mordillé, pris entre les fesses maintes et maintes fois. Mais Dieu qu'il est beau ce jeune mâle !
Valentin ne va pas tarder à montrer des signes d'un orgasme prochain Sa queue se tend, son bas-ventre s'avance vers ma gueule, comme s'il voulait faire entrer sa verge davantage encore. Le jeune Roumain arrête soudain de se masturber et, aussitôt, je sens un premier jet de sperme gicler dans ma gorge. Je serre bien sa tige, entre mes lèvres, pour éviter que les autres jets m'échappent. Et il va bien juter, le salaud : j'ai maintenant la bouche pleine de son foutre. J'avale avec ravissement cette semence tiède, offerte avec tant d'amour. Alex a dû comprendre que son copain venait de se vider les couilles, car avant même que celui-ci ne retire sa bite de ma bouche, mon enculeur s'effondre sur mon dos en poussant un râle animal. Ça y est, il a joui ! J'en suis ravi, mon calvaire va enfin cesser. Je sens qu'il sort sa queue de mon cul. Je me retourne et voit son énorme bite baignant dans une capote blanche de foutre. Il retire le préservatif et approche sa queue encore raide de ma bouche ; «Vas-y, salope, nettoie-moi bien la queue !» J'obéis, sans me faire prier. Je n'ai aucune répugnance envers les sexes gluants de sperme… Au contraire.
Sebastian s'est levé de son fauteuil, a quitté son froc, et, tenant sa bite d'une main, vient vers moi. J'ai à peine terminé de lécher et de nettoyer l'organe de son pote qu'il me demande, comme un service « Tu veux pas te retourner ? J'ai trop envie…» Je reprends donc ma position, le ventre couché sur le dossier du divan, les fesses en l'air. Alex m'ayant défoncé le cul comme un malade, Sebastian n'a aucun mal à faire pénétrer sa queue. Je sens maintenant sa longue tige bien au fond… Je n'ai plus mal comme tout à l'heure, ou alors le bonheur de me faire prendre par mon amant préféré me fait-il supporter la douleur que la bite de Sebastian provoque tout de même dans un rectum, maltraité pendant pus d'une demi-heure. Pour montrer à mon amant toute la fierté que j'éprouve à me donner à lui, j'accompagne chacun de ses coups de reins d'un gloussement, de petits cris qui se veulent être un remerciement, pour Sebastian et, à la fois, une forme de bravade, de défi adressé à Alex. Mon amant, comme toujours, va me pilonner le cul un long bout de temps. Il ne souffre pas d'éjaculation rapide, le bougre !… Cela me ravit, d'habitude, mais ce soir j'aurais voulu que la mayonnaise prenne plus vite ! Quand enfin, dans un superbe gémissement de jouissance, Sebastian atteint l'orgasme, je l'accompagne d'un râle très fort, comme si, moi aussi, en même temps, j'étais parvenu au climax de la volupté. Il retire son dard de mon cul. Sa capote est pleine elle aussi de son beau jus blanc. D'habitude il me le donne, pour que je le déguste. Mais ce soir…
Alex a regardé la scène jusqu'au bout. Je vois qu'il bande à nouveau. «Dis donc, t'as pas éjaculé, toi ? T'es impuissant ou t'as pas joui du cul ?» Valentin se fout à rire. Alex, persuadé d'être spirituel, me lance : «Dans un moment, je te baise encore… J'ai pas réussi à me vider totalement les couilles… J'ai encore envie de ton petit cul… Tu vas délirer, parole ! Et cette fois, toi aussi tu vas cracher !»
Et ce qui, au début, m'a paru n'être qu'une fanfaronade va se réaliser ! Alex, comme promis, m'a de nouveau niqué. En me faisant face, cette fois, mes jambes posées sur ses épaules. Encore une fois, il m'a fait un mal de chien. Valentin et Sebastien m'ont donné leurs queues à sucer. A un moment j'avais leurs deux bites dans la bouche et celle d'Alex dans le cul ! Ils ont joui tous les deux, à tour de rôle, et j'ai avalé leur foutre. Je me suis branlé et ai éjaculé sur mon ventre. Alex, sans doute fatigué par sa première performance, a baissé de rythme. Je me demande s'il est arrivé à éjaculer une deuxième fois. J'en ai douté quand je l'ai vu retirer très vite sa capote et la jeter en douce dans la poubelle. Je dois à la vérité de dire que j'ai beaucoup plus apprécié sa façon de me pénétrer la deuxième fois. J'étais même fier qu'un si beau mâle, à l'évidence hétéro, ait pris son pied en me démontant le cul ! Les deux autres, que ce soit mon amant de longue date, ou Valentin dont l'instrument m'a paru des plus délicieux, ont été des amants d'un soir irréprochables.
D'ailleurs, avant de quitter leur appartement, après une bonne douche, je leur ai dit tout le bien que je pensais de cette folle soirée, et ai reconnu que, sans la moindre discussion, la troisième mi-temps avait été remportée par leur pays : Roumanie 3 - France 0.
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