Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 12:18

Le phallus : un organe qui me fascine. Certains me rendent, de par leur beauté, complètement fou et m'amènent à faire toutes sortes de choses toujours plus excitantes.

Ainsi, je procède dans ma tête, à une sorte de collection des plus beaux pénis que j'ai eu l'occasion de toucher, de sucer ou même de sentir en moi. Comme tout bon collectionneur il m'est vraiment difficile d'arrêter ma collection et cela, même en étant dans une relation avec le plus merveilleux des hommes.

Heureusement aujourd'hui il n'est pas très compliqué de rester discret grâce aux différentes applications de rencontre. Alors, quand ma collectionnite aiguë revient en force, je n'ai qu'à utiliser mon smartphone.

Ces poussées de collectionnites se font le plus souvent ressentir lorsque je suis à la BU (bibliothèque universitaire) de mon université. Il y a déjà 4 ans que j'ai remarqué que beaucoup de jeunes étudiants recherchent de quoi se divertir brièvement afin de pouvoir se remettre au travail ensuite. Mon application indique en général au moins 15 profils dans un rayon d'un kilomètre, ce qui est beaucoup compte tenu que mon université se trouve dans une banlieue pavillonnaire à l'écart de la ville.

Au départ je voulais juste regarder qui se trouvait dans les parages. Et au fur à mesure, l'excitation m'a gagné et mon envie de sucer de belles bites me poussa à prendre contact avec ces profils sans images… Allais-je tomber sur un étudiant de mon cours ? Un de mes profs ? Un ami ? Toutes ces incertitudes font monter la tension et m'excite encore plus...

Bref, en 4 ans, je n'ai jamais rencontré de personne que je connaissais déjà. Mais maintenant je connais LA meilleure planque pour baiser : une toilette pour handicapés dans une aile peu fréquentée de mon université. Je l'ai découverte grâce à un étudiant erasmus espagnol et un étudiant anglais qui avaient prévu un plan à trois dans ces chiottes. Depuis, j'en ai sucé pas mal dans cet endroit. Jusqu'à la semaine dernière je n'avais pas osé aller plus loin que sucer et branler.

Mais depuis 5 mois je me retrouvais  régulièrement avec un jeune mec de 24 ans rencontré sur l'appli. En général je préfère les mecs plus âgés et plus grands que moi. J'ai 25 ans, je mesure 1m80 pour 70kg avec un corps légèrement dessiné par la natation. Cependant il avait indiqué dans son profil qu'il avait une bite « XL » ce qui bien sûr, ne me laissait pas indifférent.

La première fois nous nous sommes retrouvés dans ces toilettes. Quand il est entré, j'étais heureux de remarquer une barbe de 3 jours qui lui donnait un côté plus âgé et viril, ce qui compensait bien le fait qu'il soit légèrement plus petit que moi et s'habille en « hipster-jogging ». Après être entré, j'ai fermé la porte. Il m'a poussé contre le mur et m'a fait mettre à genoux. Je remarquais directement une belle bosse sous le jogging gris (finalement c'est sexy un jogging !). Il baissa son pantalon et son boxer d'un coup pour laisser apparaitre une magnifique demi-molle d'au moins 16 cm de longueur, avec un beau prépuce qui cachait presque tout le gland sauf son extrémité. Il fit deux ou trois mouvements de massage, me prit la tête et enfourna sa bite dans ma bouche. Je trouvais son côté dominateur vraiment excitant, ma bite aussi appréciait de lui être soumis.

Il commença à faire des va-et-vient en veillant à me faire avaler toute sa bite. Cela ne dura pas longtemps avant que toute la puissance de son membre ne se développe. Bien dur : au moins 22cm pour 6 de large, de belles grosses veines palpitantes et un gland bien fuselé. Prendre ce morceau en entier n'était pas de tout repos ! Il me baisait la gorge comme si je n'étais là que pour le servir. Il ne faisait pas attention à mes haut-le cœur et continuait toujours plus rapidement. Ma tête était coincée entre le mur et son gourdin. Je ne pouvais plus bouger. De la salive coulait en flot le long de mon menton ; les larmes me mouillaient abondamment les joues.  Bizarrement cette situation me mettait dans un état de transe. Ma bite était dure comme jamais et je ne souhaitais plus qu'une chose : qu'il me gicle en fond de gorge pour que je puisse sentir la chaleur de son jus et que je sois obligé d'avaler. Malheureusement ce ne fut pas le cas. Juste avant de venir il sortit son membre luisant de salive de ma gorge et alla jute dans le lavabo. Il se nettoya la bite, remonta son pantalon et parti en me laissant là sans rien dire...

Après cette première fois, je ne pouvais m'empêcher de repenser à ce mec et à cette bite. Lui devait être aussi satisfait puisque nous nous revîmes 3 fois dans des conditions similaires, à la seule différence qu'on se mettait maintenant à poil. Je pouvais donc admirer son torse poilu mais entretenu avec deux beaux pecs et un ventre plat. Sur ses bras il avait des tatouages en forme de longues lignes rectangulaires parallèles qui complétaient bien son look. Enfin bref, ce rituel a fini par être interrompu la semaine dernière.

Après une matinée studieuse à la bibliothèque, je ne pouvais m'empêcher de penser à lui et à son énorme chibre. Je suis donc allé faire un tour sur l'application de rencontres et ma queue se durcit très rapidement en voyant le point vert dans le coin de son profil. J'écris un bref « salut ». S'ensuit une attente interminable de 30 minutes puis je reçois : « Je bande dur, tu viens me sucer ? Je t'attends ». En vitesse je ferme mon ordi et prends toutes mes affaires. Je me dépêche, mets mes affaires dans mon casier et me dirige automatiquement vers les toilettes pour handicapés. Il m'attend dans le couloir. En me voyant arriver il se dirige vers les toilettes. Je le suis et nous sommes rapidement tous les deux dans notre chiotte.

Comme d'habitude, nous nous mettons à poil. Il me coince contre le mur, se masse la queue et me l'enfourne bien profondément.  Tout se passe comme toujours, salive et larmes coulent en masse, il me baise la gueule sans me ménager. Puis tout à coup je l'entends cracher. Je comprends vite pourquoi. Deux doigts humides se dirigent vers mon trou. Je suis soulagé : en se baissant je n'ai plus sa bite jusqu'en fond de gorge et je peux de nouveau respirer normalement. Il continue à me masser le trou en me mettant un doigt de temps à autre. Bien sûr je continue à lui sucer le chibre comme je peux. Dans ma tête je flippe un peu : « Merde, il veut m'enculer ? J'sais pas si je vais être propre et puis en plus ici dans ces chiottes ?! ».

Après deux minutes de massage du trou il me tire par le bras pour me faire lever, me retourne et me plaque contre le mur. Il commence à frotter son pénis le long de ma raie et crache régulièrement sur sa queue pour bien l'humidifier. Il se frotte de façon toujours plus intense puis me tire les cheveux pour me faire mettre la tête en arrière. Il me roule pour la première fois une belle et me murmure à l'oreille : « Il est temps que je te prenne, sale chienne ». Je n'ose plus rien dire. Je suis figé, excité, je doute. « Oh mon dieu, veut-il vraiment me prendre ici, maintenant et surtout sans capote ? Et puis, si je suis pas propre ? ».

C'est à ce moment-là que je sens qu'il met sa queue à la perpendiculaire de mon trou. Comme une bonne chienne je lui tends automatiquement la chatte. Il prend vraiment son temps, trempe peu à peu son gland dans mon anus qui s'est bien ouvert. Après cinq minutes il a fini par me la mettre jusqu'au bout et commence à me bourriner. J'ai du mal à me retenir de jouir et de gémir. Je sens toute l'ampleur de ses 22cm qui me pénètrent...

Tout à coup, du bruit à l'extérieur. Quelqu'un vient de rentrer dans les toilettes. Je commence à paniquer et essaie de le pousser pour qu'il se retire. Mais il ne bouge pas. Au contraire, après 10 secondes à attendre, il me met la main sur la bouche et me fourre son pilon d'une traite. Il continue à me baiser sans bruit. Nous pouvons ainsi entendre que le visiteur vient de tirer la chasse et s'apprête à sortir.

Lorsque nous entendons le claquement de la porte, il me met de côté devant le lavabo et me baise comme un marteau piqueur. Dans le miroir je peux observer ses mouvements de bassin et admirer son corps en extase.  Puis il se décide de prendre ma bite tout en me baisant. A peine a t'il effleuré mon membre que j'explose et mon sperme abonde et goutte sur le carrelage blanc. Apparemment, les contractions de mon rectum ont fait leur effet puisqu'il se retire, me met à genoux et m'insère sa bite pour me jouir dans la gorge. Je sens les giclées atterrir dans mon fond de gorge et couler le long de mon œsophage.

Comme à son habitude, lui se nettoie et sort en me laissant là, seul comme son sextoy usé. 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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