L'histoire de la semaine

Dimanche 17 juillet 7 17 /07 /Juil 11:29

Avertissement aux lecteurs : 

Cette histoire inédite m'a été transmise par filou68 que je remercie pour cette contribution et son intérêt pour mon blog. Bonne lecture à tous ! 

 

Comme promis je vous raconte aujourd’hui cette soirée naturiste que j’ai vécue au sauna. Vous vous apercevrez cependant qu’elle n’a pas duré très longtemps et qu’elle s’est terminée dans un club gay.

En arrivant au sauna, on m’a remis une petite serviette et on m’a bien signalé qu’aujourd’hui tout le monde serait à poil. Moi qui suis habitué aux plages naturistes je me suis vite retrouvé très à l’aise. Sexe et couilles totalement rasés, cul nettoyé, cockring bien en place, j’ai pris place dans le sauna pour me réchauffer un peu. Mais j’avais très envie de rendre visite à toutes ces bites qui devaient certainement prendre du plaisir dans les couloirs et les cabines de l’établissement. Effectivement, un petit groupe d’hommes entourait trois gars en pleine action. L’un, allongé sur le matelas, ouvrait ses jambes au maximum et présentait son cul bien ouvert à son copain qui profitait de l’aubaine pour l’enfiler. Pendant ce temps là, il suçait une autre bite qui lui était présentée. Nous étions tous là en train de profiter du spectacle et de nous caresser la queue. Toutes les bites étaient au garde à vous.

Soudain, une main est venue me caresser les fesses et me titiller le trou. Je me suis retourné et j’ai vu un beau gars totalement épilé, à la queue impressionnante : environ 22 centimètres ! J’adore les grosses bites et les gars épilés... Il m’a entraîné dans une cabine dont nous avons laissé la porte ouverte et nous nous sommes sucés. Ses doigts parcouraient mon petit trou sans toutefois le pénétrer. Je lui ai gobé ses grosses couilles qui regorgeaient de foutre. Il n’avait pas juté depuis trois jours. Quelques voyeurs s’étaient arrêtés devant la porte et nous observaient très excités. Quel plaisir de voir toutes ces bites tendues au bord du plaisir et toutes ces couilles prêtes à se vider !

Un autre gars s’est alors approché de nous et nous a proposé de l’accompagner dans un club gay qu’il connaissait bien. Il adorait les gars exhibes comme nous. Nous avons accepté sa proposition et nous avons quitté le sauna pour ce club.

Après 20 minutes de route nous sommes arrivés devant ce club à l’apparence très discrète. Notre nouveau copain a sonné et la porte s’est ouverte. Visiblement il était connu du portier qui l’a tout de suite fait entrer. C’est alors qu’il lui a dit : «Salut, je t’amène deux salopes bien montées qui sont prêtes à tout. » Nous n’étions pas préparés à un tel accueil mais nous ne pouvions pas faire demi-tour. Nous étions pris au piège mais pas du tout effrayés. A deux on risque moins que tout seul...

Il devait y avoir au moins une trentaine de gars de tous les âges dans ce club. Tout le monde portait des strings, des slips ou du cuir. L’ambiance était chaude. Nous avons immédiatement été pris en charge par deux gars qui nous ont débarrassés de nos vêtements et nous avons dû enfiler deux jocks en cuir, le cul bien dégagé. Puis nous avons été menés dans une salle où se trouvaient un sling et une croix de St André. Mon copain a été allongé sur le sling et j’ai été attaché à la croix. Les mains sont parties à la découverte de mon corps. Des bouches ont pris possession de ma queue, ont gobé mes couilles pendant que des doigts ont perforé mon cul. Pendant ce temps là, mon copain, sur le sling, servait de vide couilles à toute une bande de gars qui pouvait ainsi profiter de son trou. Pendant ce temps, d’autres avaient pris sa bite en charge : elle allait et venait dans les bouches avides de sperme...

J’ai été sucé par de nombreux mecs qui m’ont aspiré toute la semence que j’avais emmagasinée dans mes burnes depuis une semaine. J’ai été enculé par au moins dix bites différentes. Certaines étaient très épaisses et m’ont littéralement perforé. A la fin de la séance nous avons été allongés sur un lit et la trentaine de gars présents a commencé à se branler autour de nous jusqu’au moment où le sperme de toutes ces couilles a giclé sur nos corps. Nous étions recouverts de jus de couilles ! Un gars s’est alors approché de nous et a commencé à nous masser avec tout ce sperme. Quel plaisir ! Une bonne douche a mis fin à cette soirée. 

A présent nous sommes les bienvenus dans ce club. La prochaine fois je vous raconterai comment j’ai été mis à poil, branlé et enculé dans un wc public devant une bande de voyeurs. 

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 10 juillet 7 10 /07 /Juil 16:19
Avertissement aux lecteurs : 
Cette histoire inédite m'a été transmise, ainsi que 2 prochaines, par filou68 que je remercie pour cette contribution et son intérêt pour mon blog. Bonne lecture !

J’avais un copain qui me proposait toujours de l’accompagner dans un sauna mais je ne pouvais pas étant donné que je n’étais pas majeur. Le jour de mes 18 ans, j’ai donc accepté son invitation. C’était un habitué de ce sauna et j’ai rapidement compris que ce jour là je pourrais profiter de toutes les bites présentes. J’allais comme on dit « passer à la casserole ». Dès mon entrée après m’être déshabillé, j’ai été faire un tour dans toutes les pièces. Le sling était occupé par un gars qui se faisait prendre par plusieurs mecs et j’ai été très excité. Je me suis juré de m’y allonger un jour. Je n’ai pas eu beaucoup de temps à attendre car mon copain a rameuté une bonne douzaine de gars qui m’ont fait pénétrer dans une cabine pour soit disant me faire visiter le sauna. En fait ils désiraient me loper. Ils ont commencé par me caresser de bas en haut. Puis un gars a sorti un matériel de rasage dans le but de me raser la bite, les couilles et le cul. A la fin j’étais lisse comme le jour de ma naissance. Puis ils m’ont présenté leurs queues à sucer, leurs couilles à gober. L’un d’entre eux était particulièrement bien monté. Une bite d’environ 22 cm sur 6 de diamètre. Un véritable pieu. J’ai été alors porté vers la pièce dans laquelle se trouvait le sling et c’est là qu’a commencé mon initiation. Les queues se sont succédées dans mon cul vierge. La première a eu du mal à rentrer mais j’ai bien apprécié. Au bout de quelques temps, le gars a vidé ses couilles dans mon cul et le deuxième s’est empressé d’y plonger sa bite. Le chemin était ouvert. J’ai ainsi pris plus de 10 rasades de sperme dans le cul. Il dégoulinait de semence toute chaude. Le dernier gars s’est alors avancé, celui à la bite de cheval. Il a posé sa queue devant mon cul et a poussé lentement pour faire rentrer son dard. J’ai eu très mal au début mais la souffrance s’est rapidement transformée en jouissance. Pendant qu’il m’enculait, je devais sucer d’autres gars qui avaient fait leur apparition. Le grosse bite est alors sortie de mon cul et elle s’est répandue en longs jets de sperme sur mon ventre. Le sperme de plusieurs autres gars a giclé également sur mon ventre qui a été ensuite massé avec tout ce jus. Je rêve à présent de connaître une telle expérience avec d’autres gars. Mais à présent le Sida a fait son apparition et tout n’est pas aussi facile.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 3 juillet 7 03 /07 /Juil 17:31

Mon fils, Vincent, a toujours été un jeune déluré, un consommateur d'hommes et je l'ai toujours laissé faire, en bon père libéral, acceptant totalement l'orientation sexuelle de son rejeton. Je me suis bien gardé de lui révéler mon côté "voile et vapeur", même si je me laisse aller parfois à donner mon avis sur les conquêtes de mon fils. Je reste très soft dans mes remarques, alors qu'en moi-même je note souvent que tel ou tel a la braguette bien remplie, ou un beau cul, ou une "bouche à pipes"... Mais jamais je ne me suis permis de toucher à un de ses amants : décence et cinquantaine obligent ! Enfin, c'est ce que j'arguais jusqu'à ce fameux soir où ma libido et ma vigueur sexuelle d'antan se sont réveillées. Et mon côté homosexuel aussi...

Cette nuit-là je me suis relevé pour aller aux toilettes. Jusque là rien que de très coutumier. Comme d'habitude je suis sorti dans la même tenue que celle que j'utilise pour dormir : la nudité totale. Je suis entré dans la salle de bains et là, surprise, un jeune homme était assis sur la cuvette des wc, occupé à satisfaire des besoins... sexuels !

Il se masturbait et l'engin entre ses cuisses était très beau. Un joli gourdin raide que j'ai fixé un bon bout de temps avant de réagir. Le jeune homme était réellement très beau et, nullement gêné, il affichait un grand sourire.
- Je comprends pourquoi je n'y arrivais pas avec Vincent, dit-il. Je préfère en fait les hommes virils dans la fleur de l'âge.
Il me fixait avec tant de désir qu'une envie purement sexuelle est montée en moi, que mon sexe a grossi, grossi, sous les yeux ravis du jeune garçon.

L'andropause n'était pas pour moi ! Je me suis rué sur le jeune homme et, penché au dessus de lui, j'ai pris son gros sexe dans ma bouche, retrouvant avec plaisir mon goût vorace de la fellation. Il avait glissé les mains sur mes pectoraux, me les pétrissait lentement avant de faire descendre ses doigts sur mon ventre puis entre mes cuisses. Il y avait bien dix ans qu'un homme ne m'avait pas branlé !
- Qu'elle est grosse ! S'extasia le jeune homme.
Très vite, l'envie de jouir a monté en moi et comme j'avais envie d'être pénétré j'ai demandé au jeune homme de se coucher sur le dos. J'avais une formidable envie de le chevaucher et je ne m'en suis pas privé. Je me suis accroupi au dessus de sa belle bite dure, écartant mes fesses avec mes mains. Puis je me suis assis sur sa bite, m'enfonçant encore et encore sur le gros dard qui me perforait délicieusement le trou du cul, s'enfonçait très loin, me remplissait, me saillait. Pour moi qui n'avais "consommé" que des femmes ces dernières années, c'était le réveil total de mon anus.

Comment avais-je pu passer tant de temps sans une bite dans le cul ? Là je me rattrapais largement, pendant que le garçon me branlait et pétrissait mes couilles pleines. Nous avons joui ensemble, moi le précédant de quelques secondes. Il avait posé ses mains sur mes tétons, les pétrissant, les maltraitant presque. Je me relevai, calme, le cul plein de sperme. Je me penchai pour remettre en place la tapis de bain que nous avions roulé en boule, sous le feu de la passion de nos corps gigotant.

Alors que j'étais ainsi penché je sentis soudain sa bouche brûlante contre mes fesses et son haleine, puis sa langue sur mon anus. Je comptais partir après notre moment d'égarement dans la salle de bains mais finalement nous avons passé la nuit ensemble, la première d'une longue série.

Depuis, je suis comme un jeune homme, toujours en train de bander et de sucer. Mon fils à qui j'ai fini par apprendre la chose, me dit souvent que je vais le battre au niveau appétit sexuel. Peut-être, mais avec un seul homme...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 26 juin 7 26 /06 /Juin 17:10

Je suis souvent sur internet. C'est par ce moyen que je me trouve des queues à me mettre dans le cul. Je suis un enculé de première et j'aime me faire baiser dans des endroits incongrus et glauques. Dernièrement j'ai organisé un plan dans la cave de mon immeuble. J'adore ce lieu sombre et malodorant. Je rêvais depuis longtemps de m'y faire baiser ou de sucer des grosses bites à tout va. Mon désir s'est réalisé grâce à quelques heures de recherche sur le net.

Quand un gars propose un cul très mignon à bourrer dans un plan direct, il y a toujours beaucoup de mecs qui sont tentés. C'est ce que j'ai fait. Seules particularités de mon scénario : les mecs seraient plusieurs et ça se passerait dans ma cave. Quelques types se sont dégonflés. Ensuite j'ai fait ma sélection. Les critères : je voulais des brutes, bien membrés. Le reste m'était égal. Des mecs bien brutaux, crades, virils. Pour la virilité les arabes étaient les bienvenus. J'avais déjà été violenté, avec mon consentement, mais là c'était moi qui organisais une véritable partouze pour mon cul. J'étais dans un grand état d'excitation. Je me touchais la queue en pensant à ce qui m'attendait. Mais j'avais trop envie de passer à la casserole. J'ai donné mon adresse à cinq types. Trois d'entre eux sont venus. Mais ça je ne l'ai constaté que plus tard.

Pour le moment je n'en menais pas large. Je venais de filer mon adresse et le code de mon appart ainsi que les instructions pour aller directement à la cave. Je craignais de tomber sur une bande de loubards vraiment méchants qui m'auraient fait passer un sale quart d'heure. En même temps le danger m'excitait. Passer à la casserole, enculé à la chaîne par une bande de brutes, ça me faisait bander. Lorsque le moment est venu d'aller à la cave, une peur étrange m'a saisi. Il a fallu que je me branle en prenant l'ascenseur qui descend à la cave pour me donner le courage d'affronter ce plan que j'avais moi-même organisé de "A" à "Z".

Finalement je me suis enhardi, prenant le risque de passer un sale moment. Je n'avais pas de slip. J'étais nu sous mon jeans. C'était prévu dans le scénario. J'ai traîné dans la cave. Au début je n'ai pas rencontré âme qui vive. Mon cœur battait très vite. Je m'attendais d'un moment à l'autre à me faire sauter dessus par cinq types en rut qui en voulaient à mon cul. Pourtant j'étais excité à mort... Je tremblais comme une feuille mais c'était plus fort que moi : quelque chose me poussait à continuer. Je bandais. J'ai attendu à l'endroit convenu : il n'y avait personne. J'ai pensé que les types se dégonfleraient et ne viendraient pas. Je me suis branlé, adossé contre le mur, la queue à l'air. Je n'en pouvais plus d'attendre. Si les types ne venaient pas je ne pourrais me retenir plus longtemps. C'est à ce moment que j'ai entendu des bruits de pas et des rires. Les mecs étaient plusieurs.

A deux heures du matin, ce pouvait n'être qu'eux ! J'ai eu très peur tout à coup. Ca m'a pris aux tripes. Il faisait noir dans la cave. Il était convenu qu'on n'allumerait pas. Les types s'approchaient de plus en plus. Ils s'étaient certainement croisés au bas de mon immeuble et ils arrivaient en force. Un des gars tenait une lampe dans la main. Le faisceau a été dirigé dans ma direction. J'ai été ébloui. A présent il était trop tard pour faire marche arrière.
- Tiens ! Le voilà ! s'est exclamé un des gars.
Ils étaient trois. Je les voyais mal car la lumière m'éblouissait.
- Ouais !!! C'est le mec qui veut se faire tirer !
J'étais acculé au mur. Les trois types m'ont encerclé.
En ce qui concerne leur physique je n'étais pas déçu : il y avait un blond body-buildé, un brun musclé aux allures d'ouvrier et un arabe avec une gueule d'égorgeur, pas très costaud mais grand. C'était exactement le genre de mecs que je recherchais, mais maintenant ils m'effrayaient.
- Alors, tu veux te faire défoncer le cul, c'est ça ? a demandé l'ouvrier.
J'étais paralysé de terreur.
- On te parle ! a dit le blond.
- Euh !!! Oui…, ai-je dit en avalant ma salive.
J'avais une boule dans la gorge et une autre au ventre. Le blond aux muscles d'acier m'a pris par l'épaule et il a dit :
- A terre !
Il m'a jeté sur le sol. Ca a fait rire l'arabe. L'ouvrier s'est penché et il a enlevé mon froc. Il l'a tiré jusqu'à mes chevilles.
- Regardez ! a dit l'arabe, c'est bien ce qu'il avait dit : il est à poil là-dessous. Il met pas de slip !
- Tu parles ! Il a tellement envie de se faire enculer : il ne faut pas d'obstacle. Eh bien tu vas avoir ce que tu recherches ! a dit l'ouvrier, menaçant.
L'ouvrier m'a mis à quatre pattes. Sa langue a parcouru ma raie du cul de haut en bas, allant jusqu'à mes couilles rasées et pendantes.

Il a introduit un gros doigt boudiné de travailleur manuel dans mon cul. J'ai jeté un regard vers les autres. J'ai vu que l'arabe avait défait sa braguette et se branlait. Le blond s'est agenouillé devant moi. En se penchant il a fourré sa grosse langue chaude dans ma bouche. L'arabe se branlait de plus en plus violemment.
Derrière moi l'ouvrier redoublait de perversité, écartelant mes fesses, cherchant à les dilater toujours plus. L'arabe se branlait de plus en plus vite. Il avait des yeux de vicelard. Quelle gueule de sale mec ! Mais ça m'excitait de m'exhiber devant un voyeur dans son genre.
Sa queue était longue et moyennement épaisse. L'ouvrier alternait le bouffage de cul et les doigts enfoncés dans mon trou du cul. Sa langue dans le sillon moite de mes fesses me procurait une vive jouissance, tout autant que la langue baveuse qui me fouillait la bouche. Je tortillais mon cul en gémissant. J'étais excité comme une bête.

Le blond a bientôt baissé son pantalon. Il portait un slip kangourou qui mettait tous ses attributs masculins en valeur. Il a baissé son slip blanc et j'ai vu un gros boudin qui pendait entre ses cuisses. Sa bite était à moitié en érection. Je pensais qu'il allait me la donner à bouffer mais il s'est retourné et m'a exhibé ses fesses musclées et glabres. Il s'est mis dans là même position que moi, à quatre pattes devant moi, à portée de bouche. Il a dit :
- Maintenant, lèche-moi les fesses et enfonce bien profondément ta langue dans mon cul !
Super excité j'ai obéi. L'arabe s'est approché de nous et il a écarté les fesses musclées du blond pour m'aider dans ma tache. Une fois les fesses bien écartées j'ai fourré ma langue dans l'anus du blond qui s'est mis à pousser des râles de bête en rut. Bientôt j'ai senti la queue de l'ouvrier chercher mon trou suintant de bave, le long de ma raie. J'ai cambré les reins, les fesses bien hautes, en me tortillant. Pendant ce temps l'arabe s'est retourné et l'arabe m'a donné sa queue à sucer. Au moment même où l'ouvrier m'enculait j'ai reçu la longue queue de l'arabe dans la bouche. Elle devait être sale car elle sentait très fort. L'ouvrier m'a pénétré. Qu'est ce qu'elle était épaisse sa queue ! Un vrai déchirement pour mon cul… Et pourtant il en a déjà vu passer des bites… Mais de ce calibre-là, rarement ! Tandis que je le pompais avec ardeur, l'arabe, les yeux clos, se pâmait. Moi je râlais de plaisir.

Deux bites : une dans ma bouche et l'autre dans mon anus. J'étais comblé ! Je me suis bientôt occupé d'une troisième bite lorsque le blond m'a mis la sienne dans la main. Ce n'était plus un boudin mou mais un gros mandrin très raide avec des veines saillantes, comme sur les biceps de son propriétaire. J'ai secoué la pine du blond dans ma paume, de haut en bas, très rapidement. J'ai fait coulisser la longue bite de l'arabe entre mes lèvres, l'avalant si profondément que je m'étouffais. J'ai tortillé du cul et me suis empalé profondément sur le gros calibre de l'ouvrier qui m'ouvrait le cul en deux. La bite allait et venait dans mon fondement. A chaque fois que l'ouvrier se retirait et qu'il n'y avait plus que le gland à l'intérieur de mon anus, je donnais un grand coup de cul et je m'empalais sur la queue énorme jusqu'à la garde. Les couilles de l'ouvrier allaient buter contre mes fesses dans un grand "plaf ! " Je prenais goût à cette orgie de bites. Je branlais l'un, l'autre introduisait sa bite, longue et dure dans ma bouche. Le dernier me pilonnait le trou du cul. Je râlais de plaisir sous les coups de boutoir répétés de l'ouvrier. Entre mes jambes je caressais les couilles grosses et brunes de ce travailleur de force.

Ca lui a fait beaucoup de bien car il s'est vidé dans mon anus avec un râle, en se cramponnant à mon cul. Sa queue est allée si loin en moi que j'ai cru un instant qu'elle allait me ressortir par la bouche. Ensuite, les deux autres brutes se sont relayés dans mon cul. Ils me sont passés dessus à tour de rôle. Mon cul a eu le droit plusieurs fois à la visite de leurs braquemarts car ils ne s'estimaient pas satisfaits d'avoir tiré un seul coup. A la fin ils se sont barrés et je suis resté pantelant sur le sol dur et froid de la cave, le cul complètement endolori.

Ces salauds ont emporté mes fringues en souvenir et je suis remonté chez moi avec la hantise de rencontrer quelqu'un car j'étais nu et le sperme de ces brutes me coulait partout sur le corps. Ils s'étaient mis des capotes pour m'enculer mais ils ne s'étaient pas privés de m'asperger de leur foutre gras sur le reste du corps. J'en avais sur le visage, dans les cheveux, etc. Quand je suis arrivé dans mon appartement, j'ai poussé un ouf de soulagement et je me suis mis aussitôt à quatre pattes pour me branler car les trois lascars m'avaient interdit de juter. Après, j'ai pris un bon bain et je me suis couché vers quatre heures du matin. Je me suis endormi aussitôt. Au réveil je me souvenais parfaitement de ce qui s'était passé. C'est une expérience qui a marqué ma vie sexuelle. Je n'ai qu'une hâte : organiser une nouvelle orgie avec des brutes où mon cul sera la récompense.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 19 juin 7 19 /06 /Juin 16:50

Je me suis toujours montré fidèle à mon mec. Mais après tout, si ma conduite a dérapé, c'est un peu sa faute.
Pendant des années il me trouvait trop "tiède". Il faut dire que j'ai vingt ans mais qu'il m'a connu à dix-huit, entièrement puceau et avec des idées obsessionnelles sur l'amour pur et tout ça. Il m'a éduqué à grand renfort de livres et de films pornographiques.

- Regarde comme ils font... me disait-il toujours alors qu'il me forçait à regarder des scènes où des gars se goinfraient d'énormes sexes qu'ils suçaient, les lèvres frémissantes, les yeux clos et les joues creusées.

- Regarde comme ils se font prendre par derrière ! s'exclamait-il encore, alors que je regardais, sans comprendre leur plaisir, des gars à quatre pattes, la croupe relevée, les fesses offertes et l'anus dilaté par les mêmes bites qu'ils venaient de sucer.

"Bite" : je ne disais même pas ce mot à l'époque et d'ailleurs je ne parlais pas de sexe. Pour moi l'amour devait être comme dans les livres : passionné, pur, avec le sexe de temps en temps mais surtout pas comme obsession principale. Alors j'écoutais juste les divagations vicieuses de mon mec, très peu convaincu au départ puis un peu plus, puis beaucoup, puis tout à fait... En effet, par amour j'ai commencé à faire les choses dont mon mec avait envie : sucer et avaler, me faire sodomiser, me masturber l'anus devant lui avec un godemiché, etc... Au départ c'était tout juste si je ne faisais pas tout cela avec des mines de martyr. Mais ne dit-on pas que l'appétit vient en mangeant ? C'est bien ce qui m'est arrivé ! J'ai pris goût à tout ce que m'imposait mon mec et cela a presque été l'élève qui dépasse le maître. De moi-même je m'octroyais des séances particulières et j'aimais de plus en plus m'exhiber devant mon mec ou lui demander de me sodomiser... 

Donc, comme je le disais, c'est un peu de sa faute si je l'ai trompé. Et en plus c'est lui qui a engagé ces deux peintres pour refaire l'appartement alors que je me proposais de m'en charger tout seul. Bref, un matin, je les ai accueillis pour leur expliquer tous les travaux à faire, les détails techniques, etc...

Je me souviens de leur avoir ouvert en peignoir, presque sans pudeur, et que le plus grand des deux a louché sur l'entrebâillement exagéré de mon peignoir : on voyait mon torse (je suis plutôt musclé) et aussi les poils de mon bas-ventre. J'aurais pu tout à fait refermer mon peignoir mais je ne l'ai pas fait. Ça me plaisait que ces deux jeunes hommes puissent deviner ma nudité. Ça me plaisait encore plus de constater qu'un garçon pouvait les intéresser. Ils avaient environ entre vingt-deux et vingt-cinq ans, tous les deux de type latin, disons espagnol ou portugais. Sur leur salopette, leurs prénoms étaient épinglés sous le sigle de la société qui les employait. Anton était le plus grand et le plus viril. C'était lui qui me reluquait le plus. Matteo était plus jeune, plus petit, plus râblé. Plus timide aussi.

Anton me draguait ouvertement alors que je leur expliquais ce que je voulais pour le salon. Matteo risquait des coups d'œil du côté de ma bite qui gonflait un peu et soulevait le peignoir. Nous avons pris rendez-vous pour le lendemain où commenceraient les travaux. La nuit-même, alors que mon mec m'enculait et que je suçais le gode, je me suis mis à imaginer que les deux peintres me prenaient par la bouche et le cul. Mon mec s'est extasié devant ma jouissance aussi bruyante qu'intense. S’il avait su le pourquoi de cet orgasme...

La "chose" est arrivée le troisième jour où ils travaillaient. Durant chaque jour écoulé je les avais reçu en tenue légère : peignoir, ou torse nu avec un pantalon de pyjama, ou même en caleçon court moulant, genre Dim. Ils ne s'en sentaient pas gênés, bien au contraire. Les deux jeunes hommes plaisantaient avec moi et ils ont fini par me demander s’ils pouvaient travailler torse nu. J'ai bien sûr accepté sans trop montrer mon enthousiasme.
Il n'empêche que ce troisième jour, je les regardais travailler et j'étais plus qu'ému par leurs torses puissants, leurs peaux bronzées où coulaient la sueur et la peinture. J'étais assis sur une chaise tout près de l'entrée. J'étais en short hyper court avec un jean's à moitié déchiré. C'était sans doute la tenue la plus osée et la plus sexy que j'avais revêtue jusque-là devant eux. D'ailleurs, leurs regards étaient encore plus appuyés qu'à l'habitude et quand j'ai vu que la braguette d'Anton était gonflée, beaucoup plus gonflée que de coutume, il y a eu comme un déclic en moi et je me suis totalement déluré.

Je me suis absenté et, quand je suis revenu, ils m'ont détaillé, surpris par mon audace. Ils en ont arrêté de travailler ! Je portais un string qui évidemment ne cachait plus rien de mon cul. Devant c'était un tissu transparent et on voyait bien ma bite qui commençait à raidir. Je me suis installé dans un des fauteuils du salon sans même retirer la bâche qui le couvrait. Regardant les deux hommes bien en face, j'écartai les cuisses puis je fis glisser mon string.

- Vous aimez ? leur demandai-je d'une voix rauque.

Ils secouèrent la tête sans rien dire. Apparemment ils étaient surpris de tomber sur un patron aussi chaud.

- Alors, je continue le spectacle !

Les deux hommes, bien que muets, ne restaient pas inactifs. Presque machinalement ils se malaxaient l'entrejambe et leurs braguettes semblaient prêtes à exploser. J'étais ravi que le spectacle de ma rondelle fouillée par mes doigts leur fasse tant d'effet. J'ai allongé la main vers la commode et, du tiroir du haut j'ai extirpé mon godemiché que je leur ai bien exhibé avant de le diriger vers mes cuisses ouvertes. J'ai enfoncé le gode dans mon trou du cul en écartant bien les fesses pour qu'ils voient tout. Puis j'ai entamé des mouvements de va-et-vient, très lents, tout en gémissant plaintivement. Les deux hommes respiraient très vite. Et ils ouvrirent leurs braguettes. La bite de latex était grosse et me remplissait bien. Les deux bites jaillirent de leurs braguettes et je poussai une sorte de cri où se mêlait la victoire, le désir, l'excitation folle.

Soudain, enfin, ils me sautèrent dessus. Matteo se mit à me caresser les pecs et joignit ses lèvres aux miennes. Sa langue caressa la mienne. Pendant ce temps Anton embrassait mon ventre. Bientôt il eut la tête entre mes cuisses. Sa langue et ses doigts explorèrent ma rondelle après que le gode soit retiré.
Les deux hommes se relevèrent, achevèrent de se déshabiller puis me saisirent par les bras et les jambes, me transportèrent jusque sur la grande table où ils entreposaient les pots de peintures et tout le matériel. Ils m'allongèrent sur le plateau débarrassé. Anton remit sa tête entre mes cuisses et recommença à me lécher en enfonçant sa langue très profondément. Parfois il me sauçait la bite, me gobait les couilles, mais c'est à mon trou qu'allait sa préférence. Il était fasciné par les poils blonds qui ornaient ma raie et mon anus. À croire que les hommes préfèrent les blondes rondelles !

- On va t'en donner, salope, dit Matteo.

Il dit cela en présentant son sexe énorme au-dessus de mon visage. J'attrapai le gros pénis raide et je le pris dans ma bouche. Cette bonne bite que je suçais était encore plus grosse que mon godemiché et j'en étais vraiment affamé. Je la suçai avec plus de frénésie et d'avidité que je n'en avais jamais eues avec mon mec. Je fais référence à lui maintenant mais lors de ces évènements il était bien loin de mes pensées. Je me consacrais à ces deux beaux hommes qui prenaient leur plaisir avec moi. Anton se releva, la bouche humide de "trop" m'avoir léché et exhiba sa verge raide, encore plus impressionnante que celle de son comparse. Il joua un peu avec, le temps que j'apprécie la grosseur et la beauté de l'engin, et que l'envie de me faire baiser me taraude.

Quand il me l'enfonça dans la rondelle, je gémis, sans pour autant cesser de lécher la bite de Matteo. Matteo dont je caressais les couilles, les fesses et même un peu l'anus, ce qui ne semblait pas du tout lui déplaire ! D'ailleurs, à un moment, il s'assit sur mon visage et je fouillai son trou poilu. Anton me baisait si bien que l'envie de jouir menaçait. D'ailleurs, le désir de juter possédait aussi Matteo. Celui-ci finit par jouir en hurlant, bloquant sa bite au fond de ma gorge. Je me délectai de chaque gorgée amère de son sperme. Anton me baisait de plus en plus fort et il finit par juter dans mon anus. Je giclai à fond et je faillis même m'évanouir ! Je crois que l'expression "petite mort" utilisée pour l'orgasme n'a jamais été aussi juste !

Ils ne m'ont guère laissé longtemps en paix. Anton a vite récupéré et a exprimé le désir de m'enculer. J'étais encore en forme et prêt à recommencer. Je me suis mis à quatre pattes et j'ai présenté mon cul au peintre. Il m'a sodomisé avec une vigueur étonnante pour un homme qui venait de jouir. Très vite, Matteo s'est mis à bander de nouveau et les deux hommes se sont relayés derrière mes fesses tendues à l'extrême, se partageant mon anus. Cela a occasionné une seconde jouissance qui nous a terrassés presque en même temps. J'ai dû aller me laver tant mon anus dégoulinait de sperme.

Et voilà comment j'ai trompé mon mec. Avec deux hommes en même temps. J'ai honte de moi. Du moinsdurant les périodes où je ne suis pas excité. Et ces périodes, au fur et à mesure que je m'octroie des séances avec Anton et Matteo deviennent de plus en plus rares. Les ébats sexuels ne me calment pas : ils m'excitent. L'appétit me vient en baisant. Je suis un gars de plus en plus indigne et je crois que j'aime ça.

Mais le plus étonnant dans cette histoire c'est le cas Matteo-Anton. Ces deux beaux gosses hyper-virils et hyper-membrés, je les imaginais hétéros avec quelques goûts homos mais pas plus. Aussi, lorsqu'ils m'ont avoué qu'ils formaient un couple, j'en suis resté baba. Ils ont exprimé le désir de baiser à quatre, avec mon mec et moi, après que je leur aie montré la photo de mon petit ami. Ça commence à me turlupiner cette requête. Ça va être à mon tour de dépraver mon mec pour une partie carrée !

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Avertissement

Blog réservé à un public majeur.

 

La plupart des éléments publiés sur ce blog sont à caractère sexuel et proviennent du net. Si certains contenus ne sont pas libres de droit, merci de m'en avertir et il seront immédiatement retirés.

Derniers Commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés