Dimanche 26 juin 7 26 /06 /Juin 17:10

Je suis souvent sur internet. C'est par ce moyen que je me trouve des queues à me mettre dans le cul. Je suis un enculé de première et j'aime me faire baiser dans des endroits incongrus et glauques. Dernièrement j'ai organisé un plan dans la cave de mon immeuble. J'adore ce lieu sombre et malodorant. Je rêvais depuis longtemps de m'y faire baiser ou de sucer des grosses bites à tout va. Mon désir s'est réalisé grâce à quelques heures de recherche sur le net.

Quand un gars propose un cul très mignon à bourrer dans un plan direct, il y a toujours beaucoup de mecs qui sont tentés. C'est ce que j'ai fait. Seules particularités de mon scénario : les mecs seraient plusieurs et ça se passerait dans ma cave. Quelques types se sont dégonflés. Ensuite j'ai fait ma sélection. Les critères : je voulais des brutes, bien membrés. Le reste m'était égal. Des mecs bien brutaux, crades, virils. Pour la virilité les arabes étaient les bienvenus. J'avais déjà été violenté, avec mon consentement, mais là c'était moi qui organisais une véritable partouze pour mon cul. J'étais dans un grand état d'excitation. Je me touchais la queue en pensant à ce qui m'attendait. Mais j'avais trop envie de passer à la casserole. J'ai donné mon adresse à cinq types. Trois d'entre eux sont venus. Mais ça je ne l'ai constaté que plus tard.

Pour le moment je n'en menais pas large. Je venais de filer mon adresse et le code de mon appart ainsi que les instructions pour aller directement à la cave. Je craignais de tomber sur une bande de loubards vraiment méchants qui m'auraient fait passer un sale quart d'heure. En même temps le danger m'excitait. Passer à la casserole, enculé à la chaîne par une bande de brutes, ça me faisait bander. Lorsque le moment est venu d'aller à la cave, une peur étrange m'a saisi. Il a fallu que je me branle en prenant l'ascenseur qui descend à la cave pour me donner le courage d'affronter ce plan que j'avais moi-même organisé de "A" à "Z".

Finalement je me suis enhardi, prenant le risque de passer un sale moment. Je n'avais pas de slip. J'étais nu sous mon jeans. C'était prévu dans le scénario. J'ai traîné dans la cave. Au début je n'ai pas rencontré âme qui vive. Mon cœur battait très vite. Je m'attendais d'un moment à l'autre à me faire sauter dessus par cinq types en rut qui en voulaient à mon cul. Pourtant j'étais excité à mort... Je tremblais comme une feuille mais c'était plus fort que moi : quelque chose me poussait à continuer. Je bandais. J'ai attendu à l'endroit convenu : il n'y avait personne. J'ai pensé que les types se dégonfleraient et ne viendraient pas. Je me suis branlé, adossé contre le mur, la queue à l'air. Je n'en pouvais plus d'attendre. Si les types ne venaient pas je ne pourrais me retenir plus longtemps. C'est à ce moment que j'ai entendu des bruits de pas et des rires. Les mecs étaient plusieurs.

A deux heures du matin, ce pouvait n'être qu'eux ! J'ai eu très peur tout à coup. Ca m'a pris aux tripes. Il faisait noir dans la cave. Il était convenu qu'on n'allumerait pas. Les types s'approchaient de plus en plus. Ils s'étaient certainement croisés au bas de mon immeuble et ils arrivaient en force. Un des gars tenait une lampe dans la main. Le faisceau a été dirigé dans ma direction. J'ai été ébloui. A présent il était trop tard pour faire marche arrière.
- Tiens ! Le voilà ! s'est exclamé un des gars.
Ils étaient trois. Je les voyais mal car la lumière m'éblouissait.
- Ouais !!! C'est le mec qui veut se faire tirer !
J'étais acculé au mur. Les trois types m'ont encerclé.
En ce qui concerne leur physique je n'étais pas déçu : il y avait un blond body-buildé, un brun musclé aux allures d'ouvrier et un arabe avec une gueule d'égorgeur, pas très costaud mais grand. C'était exactement le genre de mecs que je recherchais, mais maintenant ils m'effrayaient.
- Alors, tu veux te faire défoncer le cul, c'est ça ? a demandé l'ouvrier.
J'étais paralysé de terreur.
- On te parle ! a dit le blond.
- Euh !!! Oui…, ai-je dit en avalant ma salive.
J'avais une boule dans la gorge et une autre au ventre. Le blond aux muscles d'acier m'a pris par l'épaule et il a dit :
- A terre !
Il m'a jeté sur le sol. Ca a fait rire l'arabe. L'ouvrier s'est penché et il a enlevé mon froc. Il l'a tiré jusqu'à mes chevilles.
- Regardez ! a dit l'arabe, c'est bien ce qu'il avait dit : il est à poil là-dessous. Il met pas de slip !
- Tu parles ! Il a tellement envie de se faire enculer : il ne faut pas d'obstacle. Eh bien tu vas avoir ce que tu recherches ! a dit l'ouvrier, menaçant.
L'ouvrier m'a mis à quatre pattes. Sa langue a parcouru ma raie du cul de haut en bas, allant jusqu'à mes couilles rasées et pendantes.

Il a introduit un gros doigt boudiné de travailleur manuel dans mon cul. J'ai jeté un regard vers les autres. J'ai vu que l'arabe avait défait sa braguette et se branlait. Le blond s'est agenouillé devant moi. En se penchant il a fourré sa grosse langue chaude dans ma bouche. L'arabe se branlait de plus en plus violemment.
Derrière moi l'ouvrier redoublait de perversité, écartelant mes fesses, cherchant à les dilater toujours plus. L'arabe se branlait de plus en plus vite. Il avait des yeux de vicelard. Quelle gueule de sale mec ! Mais ça m'excitait de m'exhiber devant un voyeur dans son genre.
Sa queue était longue et moyennement épaisse. L'ouvrier alternait le bouffage de cul et les doigts enfoncés dans mon trou du cul. Sa langue dans le sillon moite de mes fesses me procurait une vive jouissance, tout autant que la langue baveuse qui me fouillait la bouche. Je tortillais mon cul en gémissant. J'étais excité comme une bête.

Le blond a bientôt baissé son pantalon. Il portait un slip kangourou qui mettait tous ses attributs masculins en valeur. Il a baissé son slip blanc et j'ai vu un gros boudin qui pendait entre ses cuisses. Sa bite était à moitié en érection. Je pensais qu'il allait me la donner à bouffer mais il s'est retourné et m'a exhibé ses fesses musclées et glabres. Il s'est mis dans là même position que moi, à quatre pattes devant moi, à portée de bouche. Il a dit :
- Maintenant, lèche-moi les fesses et enfonce bien profondément ta langue dans mon cul !
Super excité j'ai obéi. L'arabe s'est approché de nous et il a écarté les fesses musclées du blond pour m'aider dans ma tache. Une fois les fesses bien écartées j'ai fourré ma langue dans l'anus du blond qui s'est mis à pousser des râles de bête en rut. Bientôt j'ai senti la queue de l'ouvrier chercher mon trou suintant de bave, le long de ma raie. J'ai cambré les reins, les fesses bien hautes, en me tortillant. Pendant ce temps l'arabe s'est retourné et l'arabe m'a donné sa queue à sucer. Au moment même où l'ouvrier m'enculait j'ai reçu la longue queue de l'arabe dans la bouche. Elle devait être sale car elle sentait très fort. L'ouvrier m'a pénétré. Qu'est ce qu'elle était épaisse sa queue ! Un vrai déchirement pour mon cul… Et pourtant il en a déjà vu passer des bites… Mais de ce calibre-là, rarement ! Tandis que je le pompais avec ardeur, l'arabe, les yeux clos, se pâmait. Moi je râlais de plaisir.

Deux bites : une dans ma bouche et l'autre dans mon anus. J'étais comblé ! Je me suis bientôt occupé d'une troisième bite lorsque le blond m'a mis la sienne dans la main. Ce n'était plus un boudin mou mais un gros mandrin très raide avec des veines saillantes, comme sur les biceps de son propriétaire. J'ai secoué la pine du blond dans ma paume, de haut en bas, très rapidement. J'ai fait coulisser la longue bite de l'arabe entre mes lèvres, l'avalant si profondément que je m'étouffais. J'ai tortillé du cul et me suis empalé profondément sur le gros calibre de l'ouvrier qui m'ouvrait le cul en deux. La bite allait et venait dans mon fondement. A chaque fois que l'ouvrier se retirait et qu'il n'y avait plus que le gland à l'intérieur de mon anus, je donnais un grand coup de cul et je m'empalais sur la queue énorme jusqu'à la garde. Les couilles de l'ouvrier allaient buter contre mes fesses dans un grand "plaf ! " Je prenais goût à cette orgie de bites. Je branlais l'un, l'autre introduisait sa bite, longue et dure dans ma bouche. Le dernier me pilonnait le trou du cul. Je râlais de plaisir sous les coups de boutoir répétés de l'ouvrier. Entre mes jambes je caressais les couilles grosses et brunes de ce travailleur de force.

Ca lui a fait beaucoup de bien car il s'est vidé dans mon anus avec un râle, en se cramponnant à mon cul. Sa queue est allée si loin en moi que j'ai cru un instant qu'elle allait me ressortir par la bouche. Ensuite, les deux autres brutes se sont relayés dans mon cul. Ils me sont passés dessus à tour de rôle. Mon cul a eu le droit plusieurs fois à la visite de leurs braquemarts car ils ne s'estimaient pas satisfaits d'avoir tiré un seul coup. A la fin ils se sont barrés et je suis resté pantelant sur le sol dur et froid de la cave, le cul complètement endolori.

Ces salauds ont emporté mes fringues en souvenir et je suis remonté chez moi avec la hantise de rencontrer quelqu'un car j'étais nu et le sperme de ces brutes me coulait partout sur le corps. Ils s'étaient mis des capotes pour m'enculer mais ils ne s'étaient pas privés de m'asperger de leur foutre gras sur le reste du corps. J'en avais sur le visage, dans les cheveux, etc. Quand je suis arrivé dans mon appartement, j'ai poussé un ouf de soulagement et je me suis mis aussitôt à quatre pattes pour me branler car les trois lascars m'avaient interdit de juter. Après, j'ai pris un bon bain et je me suis couché vers quatre heures du matin. Je me suis endormi aussitôt. Au réveil je me souvenais parfaitement de ce qui s'était passé. C'est une expérience qui a marqué ma vie sexuelle. Je n'ai qu'une hâte : organiser une nouvelle orgie avec des brutes où mon cul sera la récompense.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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