Dimanche 5 juin 7 05 /06 /Juin 16:27

J'ai vite compris de quoi il retournait lorsqu'après l'entretien d'embauche le directeur et le sous-directeur m'ont invité au restaurant. D'abord j'ai eu peur mais pourquoi aurais-je eu peur ?

En fait je correspondais parfaitement à l'emploi. Seulement voilà, je l'avais à une seule condition, que j'accepte de passer à la casserole... C'est alors que progressivement, au cours des propos, j'ai compris que ces deux hommes étaient en réalité un couple d'homosexuels. Et un drôle de couple je peux vous l'assurer ! J'avais vraiment envie de ce boulot. Moi aussi je pensais qu'il correspondait parfaitement à mon profil. Et dans la situation actuelle, que pouvais je faire d'autre ? C'était parfaitement odieux de la part de ces deux hommes qui détenaient une mince parcelle de pouvoir. Et pourtant j'ai accepté. Même si aujourd'hui encore je me sens humilié. Ils ne m'emmerdent plus, je fais mon boulot correctement, déjà de nombreuses semaines se sont écoulées mais j'ai besoin de parler de cette soirée.

Je n'ai pas dit oui immédiatement lors du repas. Ils avaient été si nets et si tranchants. Peu à peu, tandis que les minutes filaient, j'ai accepté. Et c'est ainsi que tard dans la nuit, je me suis retrouvé dans un appartement avec deux hommes soit disant bcbg. Ils ont alors changé du tout au tout. Ils se sont montrés encore un peu plus sous leur véritable identité. Vulgaires et cyniques. J'ai dû accepter toutes leurs humiliations. Mais jusqu'où doit-on descendre dans l'odieux pour croire que l'on conserve sa liberté ? C'est une erreur, mais je l'ai commise pour avoir ce boulot. Je me déteste et j'ai envie de le dire. J'étais encore en caleçon. Ils se moquaient de moi. Ils étaient tranquillement assis sur leur canapé. Ce n'étaient que de sales types qui étaient en train de profiter d'une victime.

Alors j'ai dû aussi enlever mon caleçon. Bien évidemment. Ils voulaient me voir à poil pour se foutre encore un peu plus de ma gueule. C'est d'ailleurs ce qu'ils ont fait. Et, dans la foulée, devant eux, j'ai dû me masturber. Je n'éprouvais pas de plaisir. Je prenais mon sexe entre mes doigts et j'essayais de le faire entrer en érection. Mais il restait désespérément mou. Et je me forçais à me branler mais je n'y arrivais pas. Je crois qu'ils commençaient sérieusement à s'échauffer. Je les énervais de ne pas pouvoir bander. J'ai dû m'approcher d'eux. L'un a tendu son bras et sa main. Il m'a pincé les couilles. J'ai eu très mal. C'était terrible. Et puis il a ajouté des mots orduriers comme si je n'étais qu'un moins que rien. Je ne pouvais pas bander. Pourtant selon lui, j'avais sûrement les couilles bien pleines et puis j'aurais théoriquement dû être vachement excité rien que de les regarder tous les deux.

Justement ces deux hommes ne me faisaient nullement bander. J'aurais plutôt eu envie de gerber en les observant. Ils étaient pires que des animaux. Les animaux ne se comportent jamais de la sorte avec leurs semblables. Ils tuent et c'est tout. Tandis qu'eux ils étaient en train de m'assassiner tout en m'humiliant. Ils m'assassinaient deux fois. Cependant je restais vivant. Mais dans quelles conditions ! Perdant toute dignité, tout respect de moi-même. Alors ils continuaient de m'insulter car je ne parvenais pas à bander. Je me faisais mal rien qu'en me branlant. Mais je ne parvenais toujours pas à bander. Alors ils m'ont demandé de me mettre à genoux devant eux. Là, je les ai senti encore un peu plus méchants. Selon eux je ne voulais pas jouer le jeu. Je pressentais qu'ils allaient m'en faire voir de toutes les couleurs... Cela et seulement cela pour un emploi, pour pouvoir bouffer à ma faim. L'un m'a pris vertement la tête. Il serrait mes cheveux. Il m'a alors obligé à lui tailler une pipe. C'était dégueulasse. J'ai ouvert la bouche. J'ai dû enfiler sa bite entre mes lèvres. Lui évidemment il bandait. Et son copain regardait en se marrant. Son sexe s'enfonçait déjà loin dans ma gorge. Et son copain tout en suçant son pote m'a obligé à me frotter le sexe contre la partie basse du canapé car je devais enfin bander dans ces conditions. Mais je ne parvenais toujours pas à bander. C'était humiliant.

L'un me maintenait en me faisant mal tandis que je suçais l'autre qui apparemment prenait son pied. Tandis que moi j'étais contraint et que je n'y prenais aucun plaisir. C'était un semi viol. J'étais obligé d'accepter leurs conditions si je voulais pouvoir vivre. Je suçais le mec qui me fourrait exprès sa bite au plus profond de ma bouche, me permettant à peine de respirer. Même au bord de l'asphyxie je devais continuer de le pomper. Ces deux hommes prenaient leur pied à me faire souffrir. De vrais sadiques. Finalement, il m'a repoussé et il m'a menacé. J'avais intérêt à mieux m'y prendre par la suite sinon je pouvais dire adieu à mon futur boulot. Le deuxième homme m'a aussitôt tiré par les cheveux, me faisant souffrir atrocement, et il m'a forcé à sucer sa queue à lui aussi. Il bandait. Moi j'avais légèrement grossi de la queue mais c'était infime. Ces deux hommes pensaient que je pouvais prendre mon pied à être avili de la sorte ! Ils voulaient me voir bander.

Mais malgré tous mes efforts, fantasmant un max dans ma tête, je n'arrivais à rien. J'ai démarré des va et vient sur la deuxième queue et j'ai fait ce que j'ai pu pour bien faire. Je voulais tout de même montrer que j'étais de bonne volonté même si eux ça ne les satisfaisait pas. Celui là a semblé éprouver un peu plus de plaisir que son ami. En tous les cas il m'insultait quand même, me traitant de tous les noms. Mais moi je sentais bien que sa queue réagissait positivement à mon léchage. Je sentais de petits tressautements à l'intérieur. D'ailleurs lui il s'est carrément abandonné. En m'insultant encore plus fortement il m'a tiré les cheveux en avant comme un malade et il m'a balancé une bonne giclée de foutre au fond de la bouche. Il s'est retiré, l'air victorieux. Alors l'autre s'est déchaîné. Il a commencé à m'assener des coups tout en m'insultant encore plus. J'avais réussi à faire jouir son pote et pas lui. J'avais intérêt à m'y mettre si je ne voulais pas recevoir pire que des coups ! Il a alors allumé une cigarette. Avec des yeux sadiques il m'a demandé si j'avais déjà eu des brûlures de clopes sur la peau. Il était très menaçant et je savais qu'il mettrait sa menace à exécution si je ne faisais pas ce qu'il voulait. Alors il m'a d'abord dit que je devais bander, lui montrer qu'il m'excitait en ayant une queue bien raide.

C'est seulement en voyant ma queue bandante que lui même pourrait éventuellement prendre son pied. Là j'étais contraint. Alors je me suis passé tout un tas d'images de mes dernières baises en accéléré dans ma tête. Au bout d'un bon moment j'ai réussi à entrer en érection je me suis branlé comme un forcené pour la maintenir en l'état. L'autre a été satisfait. Il m'a alors dit de le pomper à nouveau, qu'il se sentait prêt à juter et effectivement quelques allers retours plus tard j'ai reçu toute sa liqueur au fond de la bouche. Moi qui n'avait encore jamais bouffé de foutre, là j'étais servi. Deux doses de sperme à la suite : on ne fait pas mieux pour une première fois. Ils m'ont laissé en plan quelques instants. Je ne pensais plus, j'attendais.

Ils sont revenus munis de cordelettes. Ils possédaient une longue table rectangulaire en bois. Ils m'ont forcé à monter dessus. Puis ils m'ont écartelé, bras et jambes étirés au maximum de chaque côté. Ils m'ont maintenu dans cette position avec la cordelette. Une fois bien liés, ils ont carrément fait basculer la table, ce qui fait que je me suis retrouvé dans une position presque à la verticale. La table était en semi équilibre contre l'un des murs. Ils se sont marrés de me voir ainsi avec la trouille au ventre. Alors je les ai vus sortir divers trucs d'un placard. Concombre, courgettes et godes de toutes les tailles. Ils étaient visiblement décidés à me défoncer le cul sans pitié. Je ne pouvais pas tourner ma tête au delà d'un certain degré. Alors ensuite je n'ai plus rien vu, j'ai seulement senti la douleur qu'ils m'infligeaient tous les deux en me pénétrant le fion de ces diverses fausses bites. Ils m'ont enfoncé progressivement une courgette puis le concombre. Je ne voyais rien mais ils ne manquaient pas de me faire part de ce qu'ils faisaient. Je me faisais déflorer le cul mais pas dans des conditions telles que j'aurais pu l'imaginer. Là il s'agissait d'un viol. A chaque fois qu'ils changeaient l'objet qu'ils m'introduisaient dans le cul, ils commentaient. Ils m'indiquaient le diamètre approximatif de l'objet, sa nature, etc... Et ils me tringlaient violemment. Non seulement j'avais mal aux membres qui étaient écartelés mais en plus ils me faisaient mal dans le cul. Peut-être même me faisaient-ils saigner les sadiques. Ils sont ensuite passés aux godemichés qui étaient énormes.

J'ai senti passer là encore. Je gueulais mais ça les faisait marrer et surtout encore plus bander. Ils m'assuraient qu'en dernier lieu j'aurais droit à leurs pieux dans mon cul pour clore ce superbe ébat où j'aurais été bien consentant et bien gentil. C'était une bonne entrée en matière pour notre collaboration future. Ils m'ont fait affreusement mal en m'introduisant les godes. Ceux ci étaient de dimensions infernales et mon pauvre fion a sacrément souffert. Eux ils s'en fichaient, de cette manière mon cul était prêt à être niqué par eux. L'un d'eux m'a dit qu'il se mettait une capote sur la bite puis d'un coup sec sa queue a pénétré ma rosette. Il m'a violenté, il s'est déchaîné dans mon cul. La table menaçait de basculer ou bien de casser à chaque instant. C'était dingue. L'homme a fini par juter et il s'est aussitôt enlevé pour laisser la place libre à son compagnon. L'autre m'a niqué tout aussi violemment que le premier. Il m'a fait affreusement mal mais il prenait son pied à le faire. Et quel pied visiblement ! Il gueulait comme un malade son plaisir ! Il a juté. Tous les deux sont sortis de la pièce. Ils m'ont laissé en plan, me laissant souffrir, mes membres de plus en plus engourdis et douloureux.

Ce n'est qu'après quelques heures qu'ils sont revenus. Ils m'ont dit que j'avais été reçu à ce test et qu'ils m'embauchaient. Je suis dans leur société aujourd'hui mais je cherche ardemment un autre travail. C'est trop dur moralement.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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