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Les panards, comme j'aime ça, oh putain de putain !! Si je pouvais j'en boufferais à longueur de journées et en plus du bien
dégueu de préférence... Ça, je le dois à un mec avec qui j'ai partagé ma chambre du temps où j'étais en prépa. Ce salaud-là a tout de suite compris que j'étais pédé mais lui, ce con, il ne
l'était pas, surtout pas. C'était un très beau mec, il le savait et il savait surtout qu'il me faisait flasher. Un soir, alors que l'on venait juste d'éteindre la lumière, très direct, il m'a
demandé comme ça :
- T'es pédé, pas vrai ?
Jamais je n'aurais avoué… Et pourtant mon silence puis ma voix tremblante lui répondait.
- Pourquoi tu dis ça ?
Il a tout de suite compris.
- J'ai envie de toi… M'a-t-il alors lancé. Viens…
Comme un automate je me suis levé et j'ai progressé dans le noir jusqu'à son lit. Arrivé tout près je l'ai entendu me dire en rigolant :
- Mais non, je déconne, pédé !
Alors je l'ai traité de con, de sale con. Mais je tremblais de tout mon être, pensant à ce qui se passerait s'il venait à raconter à tout le monde que j'aimais les mecs. Avant même que j'ai eu le
temps de rejoindre mon lit, il m'a dit et même presque ordonné :
- Par contre j'ai envie que tu me lèches les pieds…
Là encore j'ai réagi comme un automate et j'ai fait demi-tour vers lui. Je me suis agenouillé. Ses deux pieds m'attendaient, sortis de dessous les draps. Et c'est donc comme ça que tout a
commencé. Il adorait ça, il me disait de bien téter chaque orteil. Je devais lui lécher les pieds presque tous les soirs. La plupart du temps je m'exécutais lumière éteinte. Car ce mec avait beau
me répéter que j'étais fait pour ça, lécher les pieds, j'étais assez gêné de le faire même si j'y trouvais un vrai plaisir authentique, c'est clair ! Il disait que je n'avais aucune honte à avoir… Puisque c'était, selon lui, inné. Parfois il m'insultait pendant que je bouffais ses pieds.
J'étais sa tapette esclave mais d'autres fois il ne disait rien et ce silence m'angoissait presque.
Un dimanche matin, de retour de son jogging hebdomadaire, il m'a demandé de lui lécher les pieds… Volontairement et
contrairement à son habitude il n'était pas passé à la douche.
- Aujourd'hui tu vas sucer de la sueur de panards. Tu vas te régaler, tu vas voir !
Il s'est assis sur son pieu et il m'a simplement fait signe de venir le déchausser. Sans un mot, comme souvent, je me suis approché ! Il faut dire que j'étais devenu en quelque sorte sa bonniche
et que cette situation n'avait plus rien d'extraordinaire. Sans aucune gêne je suis donc venu me mettre à genoux entre ses jambes. Je lui ai enlevé les pompes et déjà ça dégageait bien ! Ça puait
le panard à mort. Et je peux dire qu'après m'être habitué à l'odeur je n'ai fait qu'une bouchée de ses orteils. Je les ai dévorés comme un malade. Je savais qu'il me regardait et qu'il devait
être surpris de mon enthousiasme. Il m'a quand même demandé, plutôt perplexe :
- Alors, donne-m'en des nouvelles… Est-ce que c'est bon ?
Le plus naturellement du monde j'ai répondu :
- Je les préfère même comme ça ! Tu peux pas savoir comme je me régale.
- Si, si ! J'imagine…
Le week-end suivant, je l'attendais de pied ferme dans la piaule, la salive déjà au bec. Comme je me suis précipité sur lui
alors qu'il venait à peine de refermer la porte à clef derrière lui, il m'a mis une baffe !
- Eh, doucement pédé ! Laisse-moi le temps d'arriver !!!
Ce n'était pas la première fois qu'il me mettait une baffe mais je me souviens lui avoir répondu cette fois-ci qu'il était complètement malade… Ce qui m'en a valu une deuxième !
Bref, j'ai dû attendre quelques minutes, qui me parurent une éternité, avant de me mettre à table.
Aussitôt le bonheur de déguster ses panards puants me fit oublier les baffes cinglantes que j'avais prises dans la gueule. Hélas il n'y a jamais rien eu de cul entre nous. Rien d'autre que du
léchage de pieds. Sans réciprocité évidemment et avec quelques baffes…
Par la suite j'ai souvent eu des plans culs qui tournaient pour la plupart autour du panard. A vrai dire, souvent, c'était à prendre ou à laisser. L'un de ceux qui m'a le plus marqué fut Yann, un beau mec, complètement imberbe de la tête aux pieds. Même pas un poil sur le caillou. Ce très joli garçon disait être skin mais en fait il n'en avait pas la mentalité, heureusement. Avec lui on s'est fait des parties de bouffe panards démentes, je m'en souviens encore. Ça pouvait durer des heures, surtout les fois où on avait un bon coup dans le nez. Car on n'a jamais baisé sobres, jamais ! On était presque toujours bien allumés et même plus que cassés ! Les canettes vidées se comptaient par dizaine... Mais on ne faisait pas que se bouffer nos panards. Il y avait aussi nos culs, nos couilles, nos bites bien sûr, tout y passait. Très voraces de la gueule on se bouffait souvent nos culs en soixante-neuf. Embranchés l'un dans l'autre, on ne formait plus qu'un ! Une boule humaine formée de deux corps, avec chacun la gueule dans le cul de l'autre. Lui par contre il avait les panards toujours très propres et je dois dire que c'était très bon aussi !
Je me rappelle également de Mohamed, dit momo. C'était un grand cochon au niveau des pieds. Il ne se les lavait que rarement ce
qui donnait en fin de compte beaucoup de travail à ma langue. Ses grands pieds étaient crads, mais crads ! Avec lui c'est souvent du panard gluant que j'ai eu à déguster ! Momo était un petit
beur de 19 ans, je dis bien petit car il ne devait mesurer à peine plus d'un mètre soixante. Il était tout menu et avec une frimousse de coquin. Il flottait littéralement dans son tee-shirt
lorsque je l'ai rencontré. Plus bas, son caleçon en lycra moulait sa petite bite large et ses jolies fesses, carrément petites, super musclées et aussi rondes que des ballons. Malgré son
manque d'expérience et son petit sexe je me souviens qu'il n'a pas mis longtemps à se montrer autoritaire avec moi. Au moment de me dire qu'il venait de décider de m'enculer j'ai vu son visage
changer… Est-ce pour me mettre en condition ? Sans doute. Il m'a demandé, pour commencer, de lui lécher ses tout petits pieds. Visiblement ça lui plaisait de me rabaisser ainsi. Je me souviens
l'avoir observé se branler nonchalamment pendant tout le temps du léchage. Sa frimousse n'était alors plus du tout celui du mec serein, il respirait le vice jusqu'à dans cette façon de me
regarder lui aspirer les pouces de pieds. Momo a décidé de m'enculer sur le lit. Nous étions l'un comme l'autre allongé, lui derrière moi. J'avais le cul posé contre son pubis. Il a plaqué sa
main contre mes abdominaux puis l'a glissée jusqu'à ma rondelle. Je ne fis évidemment aucun problème pour le laisser me faire entrer son index.
Après avoir travaillé mon petit trou quelque temps il s'est introduit sans violence en moi. Enfin, sans violence, du moins au début… Car très rapidement il s'est remis à jouer au dominateur. Ça
ne sonnait pas forcement vrai mais ça y ressemblait et lui comme moi jouions le jeu… Il faut dire que de toute façon, à chacune de ses insultes je devenais plus salope, je donnais "mieux" le cul.
Il s'est mis à me chevaucher comme un petit fou. D'où tirait-il cette fougue presque surhumaine ? Momo était à présent un petit démon à la force inouïe, en train de me grimper et de me labourer
le cul avec son large petit boudin de queue. Petit, ok, mais vigoureux à un point !!!
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