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Le joint sur lequel je tirais touchait à sa fin et ses effets sur mon organisme commençaient à me faire planer. Il faut dire qu'avec 6 pètes au compteur le cerveau commence à ne plus très bien savoir ce qu'il se passe autour de lui. La musique m'assourdissait, les flashs lumineux du stroboscope m’éblouissaient, le parfum de weed m'enivrait et frôler les gens me faisait frissonner. Je n'étais plus un être conscient, uniquement un ensemble de connexions nerveuses reliées à un organe incapable d'interpréter ces signaux sensitifs.
La fête battait son plein. Elle avait lieu dans une vieille maison entièrement vide qui appartenait à une connaissance. Le flot de gens était incessant. C'était comme si tout le vice, toute la jeunesse de ma ville s'y déversait. Le flux était continu, plus de 200 personnes entraient et sortaient de la maison, une teille ou un oinj à la main. Il y avait assez d'alcool pour remplir les rayons d'une grande surface, assez de beuh, de shit, d’ecsta pour intéresser la brigade des stup'. Les gens semblaient en transe, tout le monde dansait le regard perdu dans le vide ou les yeux de quelqu'un d'autre. Les filles relevaient leurs jupes, les mecs enlevaient leur t-shirt sur les flashs lumineux des panneaux led et au rythme des impulsions lâchées par les baffles qui crachaient tout le son qu'elles pouvaient.
De mon côté j'avais le cul du joint dans une main, une teille de Jäger dans l'autre. Je titubais sous l'effet du shit et de l'alcool. Je passais rapidement devant un miroir. Grand, mince et musclé, une légère barbe de 3 jours avec des yeux verts injectés de sang, voilà ce à quoi je ressemblais. Un déchet humain vêtu d'un débardeur à motifs géométriques verts, d'une casquette, d'un jean délavé et d'une paire de bottine en cuir. Je pris un shoot de Jäger avant d'aller m'enfoncer dans la foule. Une fille me suivait du regard depuis plusieurs minutes. Une brunasse sans doute en dessous de la majorité. C'est alors que quelqu'un me toucha l'épaule. Un gars, baraqué, assez petit mais bien proportionné, aux cheveux court et au sourire vicieux.
- T'aurai pas du feu gros? J'ai un oinj à fumer et on m'a pétave mon feu.
Machinalement je sortis mon briquet de ma poche et le lui tendis.
- Hé frère, il y aurait pas moyen de tirer dessus vite fait ?
Le petit gars arrête de tirer sur son pète et me dit qu'il n'y a pas de problème.
-Suis-moi mec, on va se poser. On se fait un 5 barre passante ?
On sort de la maison. En descendant l'escalier, le petit caresse le cul d'une meuf qui buvait à la bouteille. On descend et on se pose à l'entrée du garage qui est bondé. On s'assoit à même le sol. Il tire une grosse latte, lâche un parfait ghost et me fait tourner son bédo.
- Putain bâtard c'est de la bonne! Tu l'as péché où?
- J'ai un contact à Ormesson, je te ferai tourner le num' si tu veux.
Il jette un œil aux alentours et fixe quelqu'un.
- Putain cette meuf là, je me la fais dans la soirée!
-Je la connais mec, elle est lesbienne.
-Non, tu me charries?! T'as vu comment elle se fringue ?! Elle kiffe la bite celle-là !
-Eh mec, la vie de ma mère elle bouffe de la chatte cette zouz!
Le petit gars me regarde faire un rond et se lève.
- Viens gars, je vais te montrer un truc.
Il me prend le joint des mains et se fraye un chemin dans la foule. On arrive devant une sorte de petit meuble minable.
-Tiens-moi ça gars.
Je reprends le tère en main et tire copieusement dessus. Pendant ce temps ce petit mec pousse le meuble avec facilité ce qui a pour effet de dévoiler une trappe souterraine. Il l'ouvre d'un geste ample qui fait ressortir ses bons biceps. Il sort son portable et éclaire le trou.
- Viens gars.
Je le suis et renferme la trappe derrière moi. On n'entend plus que les basses de la musique, le piétinement des gens, le lieu est uniquement éclairé par le portable du gars. On arrive en bas. Je ne bouge plus, perdu dans le noir.
-Attends bouge pas…
Il s'éloigne et, au bout de quelques secondes, une lampe s'illumine enfin. Elle émet une lumière glauque et un bruit aigu insupportable.
-Putain gars c'est géant ici!
La pièce est une petite cave à vin en brique avec un sol en terre battue. Je retire sur le joint.
- Tiens, si tu veux tiser il y a…
Le petit mec perd l'équilibre et tombe par terre sous le coup de la beuh et de l'alcool. De mon côté j'éclate de rire en le voyant s'effondrer mais lorsqu'il se relève mon regard reste accroché à son petit cul qui semble bien ferme.
- Putain, pourquoi tu mates mon cul?!
- Ben il me fait grave envie !
-T'as dit quoi sale pd?
Il s'approche de moi en titubant, le regard rageux.
De mon côté je commence à avoir une bonne gaule. N’y tenant plus je lui roule une grosse pelle qui en fin de compte se transforme en soufflette. Le petit mec subit immédiatement les effets du joint. Il a du mal à tenir debout, son regard se perd. Profitant de cette occasion, je lui appuie sur les épaules, il s'agenouille devant moi. D'une main je baisse ma fermeture éclair, de l'autre je sors ma queue et mes couilles. Je lui fous mes 21cm x 5 encore mi mou dans la gueule. Le petit gars ouvre la bouche et se laisse limer la bouche. Continuant de tirer sur le joint je fais glisser ma bite sur sa langue qui, rapidement, vient taper contre son palais. Je continue de lui faire la gueule et appuie de toutes mes forces derrière sa nuque pour faire passer ma teub dans sa gorge. D'un coup elle y rentre. Le pauvre bâtard a un haut le coeur et tente de s'extirper de mon emprise mais je le maîtrise et garde ma bite dans son fond de gorge. Il ne peut pas crier à l'aide.
Sans quitter sa gorge chaude et accueillante j'entame de longsallers retours. Il tressaute à chaque coup de rein, bavant de partout, les yeux éclatés, injectés de sang. Quand je sens que le con commence à se sentir vraiment mal je sors ma queue de sa gueule. Il tousse tandis que je prends une longue barre sur le joint. Je le lui mets dans la bouche et, automatique, il tire dessus. Le pauvre con : plus il tire, plus je pourrais faire ce que je voudrais de lui. Je finis le joint alors qu'il s'effondre par terre. Je le jette par terre et relève ma pute. Je lui mets quelques claques, il se réveille et sans préparation je refous ma queue dans son fond de gorge. J'entends des bruits de succion baveuse provenir de sa gorge. Le salaud il a une vraie gorge de garage à bite ! Ma queue glisse sans difficulté dedans, trempant mes couilles de sa salive de pute. J'ai même l'impression qu'au fur et à mesure le connard commence à s'enfoncer de lui-même sur la bite. Mais oui, le fils de pute prend son pied à venir me toucher les couilles avec ses lèvres! Il bande comme un porc, son jean est salement tendu entre ses cuisses musclées.
Je sors ma teub de sa chatte buccale et le relève. Il se laisse faire sans émettre un son. Je le fous à 4 pattes dans la terre battue. J'envoie balader son fut et son calbut dans un coin de la cave, lui fait écarter les cuisses, je crache sur son cul, sur ma bite et presque d'un coup sec je l'enfile. Le salaud se cambre direct de douleur en hurlant. Rien à foutre il y a trop de bruit en haut pour que quiconque ne l'entende. Je le défonce sans pitié mais le peu de compassion que j'ai me pousse à lui écarter les fesses pour que mon 21 y glisse mieux.
Je lui écarte le cul et là il bondit et ce n'est plus un cri de douleur mais un cri de plaisir. Le petit gars prend son pied avec une queue dans sa chatte ! Voyant ça je me lâche, je lui démonte le cul. Il tremble de tout son corps, se cambre comme une vraie pute, s'écarte les fesses des deux mains, la gueule enfoncée dans la terre battue. Je sors ma queue, la rentre à nouveau, la sort, la rentre... A force c'est lui qui s'empale tout seul sur ma bite ! Sa cambrure place sa chatte au niveau parfait pour que ma teub y rentre sans effort. Ce sac à foutre a un cul démentiel, large, chaud, je peux faire claquer mes couilles contre son cul sans qu'il ne se crispe. Je lui fous des fessées, des baffes. J'enfonce même un doigt en plus de ma bite dans son cul et le connard prend encore plus son pied. Il ondule du bassin en criant qu'il en veut plus, qu'il veut que j'aille plus au fond de sa chatte que je le fasse boiter demain ! Je l'écoute et lui ramone vraiment le trou, j'entends sa mouille de cul clapoter sous les coups que je lui balance dans la chatte. Je continue de le déglinguer pendant encore une heure facilement. Le salaud n'a même plus la force de crier, je vois juste ses yeux rouler dans leurs orbites, son dos cambré au maximum, sa respiration saccadée.
Je sors alors d'un coup ma queue de son trou, prend quelques secondes le temps d'admirer la chatte que je venais de créer avant de lui fourrer mon membre dans la gorge. Trois ou quatre coups de reins et je lui repeins sa face de pute. Il est couvert de foutre, du sperme dégoulinant de son nez sur son menton. Je lui crache sur la gueule, remonte mon froc, sors mon portable, prends une photo de lui et me casse en laissant la trappe ouverte.
La suite : Viol en soirée - 2/2
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