e suis une larve, un chien, un esclave...
J’ai vingt-quatre ans, je mesure 1m86. Mes cheveux noirs sont coupés courts et mes yeux sont vert-gris. Mon corps est svelte et athlétique grâce aux repas légers que me prépare mon Maître et au sport dont mon Seigneur est friand. Comme un bon chien que je suis, mon cul et mes couilles sont rasés.
Cela fait trois ans que je suis au service de mon Maître. Nous nous sommes rencontrés alors que j’avais vingt-et-un ans et que j’étais en vacances dans une ville côtière du Midi de la France, entre Agde et Aigues-Morte. Maître Jérôme y possède une superbe villa retirée de tous et de tout, avec un immense parc propice aux folies de toutes sortes. Je l’ai rencontré dans des conditions normales lors d’une soirée chez un ami commun. Maître Jérôme comprit rapidement que j’avais besoin de la domination d’un mâle viril et puissant. Mon Maître est excessivement sportif, il mesure 1m88 avec des yeux bleu clair et des cheveux blonds coupés court. Il est kinésithérapeute et il a trente-deux ans
Depuis, sans relâche, jour et nuit, Maître Jérôme, selon son bon plaisir, parfait mon éducation de soumis. N’ayant pas d’attache dans ma région d’origine, j’ai tout quitté et je suis venu vivre avec lui. Dans notre villa je suis toujours entièrement nu, le sexe enserré dans un fourreau de cuir, un gode coincé dans le rectum. Maître Jérôme exige de moi une soumission de tous les instants pour tout ce qu’il souhaite. Cette soumission permanente je la dois envers lui mais aussi envers ses amis hommes, les plus nombreux, mais aussi femmes puisque mon Maître, ne savourant que le plaisir sous toutes ses formes, est un parfait bisexuel. Grâce à son éducation très sévère j’ai pris le parti de ne pas jouir sans sa permission. Maître ne me la donne pas souvent mais la punition qui peut s’ensuivre est là pour me le faire souvenir. Cette absence de jouissance doit être de tous les moments même lorsque ses amies se servent de mon sexe comme d’un godemiché, donnant elles-mêmes les impulsions à ce gode de chair sans se soucier des maux que j’ai à résister.
C’est à la suite d’une soirée spéciale organisée par mon Maître pour un de ses amis parisiens, en juin dernier. Maître invita six autres mâles musclés dotés de beaux attributs et d’esclaves dociles. Nous nous retrouvâmes dans la propriété à huit vrais mâles et dix esclaves soumis. Maître Jérôme a déterminé les rôles que les soumis tiendraient dans un premier temps. Je fus désigné pour être un serviteur avec un chiot de dix-neuf ans. Nous devions nous assurer que rien ne manquerait pour la jouissance de nos Maîtres, nous faisant culbuter là où ils le souhaiteraient. La soirée s’annonçait très chaude et longue. Les invités arrivèrent tous vers vingt heures et découvrirent leurs soumis dans les rôles qui leur avaient été assignés. Tous se mirent rapidement en tenue de plaisir, c’est-à-dire nus, sauf mon Maître qui conserva ses belles chaps noires en cuir. Les deux serveurs, dont je faisais partie, eurent pour tâche première de mettre en condition toutes les belles queues de nos mâles en les suçant sans relâche. Après quelques verres de vin rosé du pays, quelques verres de sangria, nos Maîtres se défoulèrent sur nos corps, fouettant celui qui était attaché à la croix de Saint-André, martyrisant avec finesse et doigté la pointe des seins avec des pinces crocodile, lui tapant ses petites bourses pendantes avec une tapette à mouches.
Celui dont on ne voyait que le postérieur fut largement fouetté au martinet puis godé avec force par plusieurs Maîtres à l’aide de godes de toutes tailles, couleurs et formats. L’un des Maîtres lui planta en dernier ressort une bougie dans l’anus et l’alluma. Un court instant après, la cire commençait à couler le long de la raie rasée, descendant jusqu’aux burnes en arrachant des râles aux soumis. L’un des mâles me demanda alors un cognac que j’ai dû chauffer de ma bite quelques minutes avant que celui-ci ne le boive comme il se doit.
À côté de nous, un jeune esclave de vingt ans, débutant, a eu droit à une grosse canule dans le cul. Le broc de lavement au-dessus de lui vida son litre de lait tiède dans les entrailles du garçon. On entendait le gargouillement du ventre se vidant de son air. Un bassin fut mis sous ses fesses et le Maître lui fit recracher le mélange. Le mâle pissa dans le récipient et versa le mélange dans un grand verre qu’il donna à boire au soumis qui le remercia du mal qu’il se donnait pour lui qui n’était qu’un chiot à dresser. L’un des autres Maîtres me fit me mettre à genoux devant lui, me fit ouvrir la gueule bien grande et me cracha dedans en me traitant de salope, de lopette, de pédé. Il me força à tout avaler, à dire merci après chacune des baffes dont il me gratifia. Un autre soumis fut attaché à une table basse, poignets et mollets liés par des menottes aux pieds de la table. Il avait un énorme gode noir dans le rectum, des pinces crocodile reliées par une chaînette aux tétons. L’un des Maîtres qui est infirmier de métier, lui fit alors un sondage. Il lui serra fortement le gland et glissa dans le conduit une seringue contenant un quart de litre d’eau stérilisée. Le soumis se tordit de douleur comme il le pouvait, chaque mouvement ne faisant que resserrer les menottes. Il ne s’agissait que d’un coup d’essai. Un second Maître vint le gifler afin qu'il stoppe ce qu’il nomma être des singeries. L’esclave dut alors attendre une bonne dizaine de minutes avant de pouvoir se vider la vessie dans ma bouche puisque le second Maître m’avait installé entre les jambes écartées du supplicié. Le moment venu je fus inondé d’un liquide chaud et blanc.
Après un moment de répit durant lequel les Maîtres se reposèrent de leurs puissants efforts en buvant quelques cafés et des cocktails, ils nous tombèrent à nouveau sur le dos pour de nouvelles chevauchées dont ils étaient les maîtres et dont nous n’étions que les simples montures. Je n’étais pas un novice et ces soirées chaudes, dont mon propriétaire avait le secret, m’étaient coutumières.
Certains Maîtres reprirent leurs manoeuvres, nous cassant sans la moindre douceur, la moindre question, nos rosettes endolories. C’est à grands coups de boutoir que mon Maître et Seigneur prit possession de mon cul d’esclave qui lui appartient comme l’ensemble de ma personne et avec lequel il sait pouvoir tout faire, tout tenter. Comme il me l’a enseigné je retenais tous mes soupirs, mes plaintes. Soudain ma gueule de chien fut pénétrée et labourée par la bite enflée de Loïc, celui pour qui la fête battait son plein. Loïc lima avec force ma gueule de chiotte comme s’il s’agissait d’un simple cul mais bouche et cul selon mon Maître, chez un esclave ont la même connotation. Certains esclaves subissaient les assauts virils des Maîtres avec des pinces aux seins, des parachutes lourdement chargés aux couilles misérablement pendantes. Les divers enculeurs n’oubliaient pas de faire violemment joujou avec ces gadgets.
Maître Jérôme, fier de moi, m’attacha un collier en cuir autour du cou sur lequel il était gravé “Enculus – Propriété de Jérôme”. Il déclara me prendre définitivement pour esclave et annonça à tous que mon éducation prenait une nouvelle tournure et que rien ne me serait épargné pour son plaisir et sa jouissance. Afin de marquer son territoire, Maître Jérôme me pissa dessus, déversant sur mon corps d’esclave son urine salée et chaude. Puis il m’enfonça son dard dans la gueule en la tenant fermement serrée entre ses mains puissantes. Il lima ma gueule de chiotte avec vigueur et au bout d’un long moment, cracha dans ce réceptacle indigne, sa précieuse semence de vie, de vrai mâle capable de satisfaire un homme et/ou une femme, prouvant sans relâche sa virilité. Il cramponna ma tête en criant “Nourris-toi, salope !”
Tout au long de la soirée, jusque tôt le matin alors que l’aurore pointait déjà, à plusieurs reprises, tous les soumis que nous sommes avaient servi de vide-couilles, de trous à bites, d’urinoirs, subissant les assauts répétés et virils, nous servant de notre langue pour nettoyer les pines salies, les anus ressortant des toilettes, léchant la sueur qui coulait sur les corps des mâles en chaleur, accusant tous les coups que l’on nous assénait, embrassant la main qui se fatiguait à nous corriger, comptant à haute voix les coups, disant sans faiblir et fort “Merci Maître !”.
Ce fût une belle soirée de plaisirs intenses pour tous les Maîtres, de parfaite soumission pour nous qui avons compris quel est notre véritable rang parmi les mâles virils qui nous entourent et que nous sommes faits pour servir en tout temps, en tout lieu, comme ils le désirent.
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