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Il y a un mois, je partais en déplacement professionnel en début d’après-midi. À la sortie d’un village, j’ai pris un jeune auto-stoppeur, assez bien fichu, environ vingt ans, mais pas très bavard. À l’entrée de la ville, malgré son mutisme, je me suis décidé à tenter la manœuvre que j’avais rendue rituelle en pareil cas. Tout en posant une main caressante sur sa cuisse, je lui ai demandé si cela lui disait de poursuivre faire un tour. J’avais tout entendu comme réponses, du genre : «Non merci ; vous pouvez me descendre ici ; non je suis attendu ; j’ai de bons copains comme ça, mais ça ne m’intéresse pas ; non c’est pas mon truc ; etc.» sans compter les : «Sale pédé», et les portières claquées. Mais alors là, il m’a laissé sans voix. Il m’a regardé et m’a dit calmement : «Oui, si vous voulez.» J’en suis resté coi, me demandant si le ciel me tombait sur la tête.
J’ai repris mes esprits pour sortir de la ville, tout en vérifiant à chaque feu rouge par quelques caresses appuyées que je ne rêvais pas. Dans les faubourgs, je lui ai demandé de se mettre à l’aise et, successivement, doucement selon ma demande, il a enlevé blouson, pull, chemise et a même dégrafé son pantalon quand nous avons pénétré dans un chemin forestier. C’est à cet instant que j’ai mesuré mon imprudence : en service avec la voiture de société, avec un gamin de vingt ans dans un chemin où l’on risquait la surprise ou pire l’enlisement en ce début d’hiver froid et humide.
Pour oublier tout cela, je lui enlève son tee-shirt. Il avait un corps émouvant, blanc, doux, tendre, tenant plus de l’enfant par l’absence de poils et la douceur de ses muscles. Quant à l’homme, il se montra bien vite quand j’ai baissé son pantalon, il bandait déjà bien ! De ce côté-là, il n’était pas timide et le montrait fièrement.
Il était assez passif et je dus guider ses mains dans nos premiers contacts. Mais il appréciait beaucoup mes caresses et mes baisers. Je lui ai demandé ce qu’il aimait et il me répondit : «Qu’on me suce.» Ce que je fis complaisamment. Sa queue était très fine au bout et luisait déjà. Je le caressais tout en le suçant, passant ma main sous ses fesses dodues. Je le sentais se détendre, s’enhardir. Il baisait avec plus de chaleur, de fougue. Ses mains se promenaient sur mon corps. Mais j’ai dû pousser sa tête vers mon sexe. Tendrement et sans résistance, il obéit et avala ma queue qui lui remplit la bouche. Là, il avait vite appris car il suça fort bien et fort longtemps. Je dus l’attraper par ses boucles pour lui retirer l’engin de la bouche avant qu’il n’éclate.
Je repris mes caresses. Son corps ondulait et il étouffa un gémissement lorsque j’introduisis mon doigt entre ses fesses. Il semblait très docile, répondant obligeamment à mes ordres ou à mes mains. Son petit cul blanc tressautait à chacun de mes allers-retours. Il me regarda, il haletait, son regard était trouble et semblait me prier d’aller plus loin tout en me suppliant de ne pas y aller. J’attendis un instant puis je l’ai retourné et l’ai débarrassé complètement de son jean afin qu’il ait les jambes à l’aise. Je lui ai ordonné d’écarter ses cuisses et de relever sa croupe qu’il m’a offert ouverte, désirable. Je me suis agenouillé derrière lui, enserrant sa mince taille et j'ai appuyé ma queue toute luisante entre ses fesses. Je ne voulais pas le faire souffrir mais, étant bien monté, le passage du gland lui arracha des cris que j’ai étouffé en le pressant sur le siège. Puis, doucement, je l’ai enfilé complètement avec de petits coups de reins. Je lui ai murmuré à l’oreille : «T’aimes ça, petit salaud, petit enculé !» Il acquiesça par des râles. Je me suis retiré. La réaction ne se fit pas attendre et il me dit : «Oh, refourre-moi ta queue, vite !» Je l’ai bourré à nouveau, d’un coup, ce qui le fit encore rugir. Puis il se détendit, livra son corps à mes coups de boutoir qu’il contenait en s’appuyant sur le dossier arrière. Son corps bondissait à chaque coup jusqu’à ce que j’éclate en lui en l’insultant à nouveau. En m’affalant sur lui, épuisé, je sentis son sperme chaud gicler sur le siège.
Nous nous sommes rhabillés et, en repartant, il m’avoua que c’était son deuxième mec en un mois et que, la semaine précédente, il s’était fait sa première fille. Mais c’était la première fois qu’il s’était fait prendre et il avait fort apprécié. En échange de confidence, je lui ai avoué avoir fort apprécié de pouvoir déflorer un garçon avec un aussi beau cul et qui aurait pu être mon fils. Je l’ai félicité et l’ai encouragé à profiter au mieux de la vie et de ses plaisirs avec autant de naturel. En sortant de la voiture il me dit au revoir et s’éloigna en marchant légèrement en canard, tout en boitillant un peu, ce qui me fit éclater de rire.
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