Dimanche 27 juin 7 27 /06 /Juin 19:11

Episode précédent : Soumission - Episode 2/3

Une fois le fourgon en route, un des hommes s'approcha de moi, sortit une petite corde de sa poche et m'attacha les couilles et la bite, ce qui me coupa la circulation du sang à cet endroit.
Le deuxième homme me fit basculer vers l'avant, s'amusa avec le gode en le rentrant et le sortant complètement de mon cul. Le troisième homme s'approcha et sortit sa queue qu'il m'enfonça au fond de la gorge et il m'imposa la vitesse avec un mouvement du bassin...
Cette position dura une bonne dizaine de minutes puis le fourgon s'arrêta. Le chauffeur descendit et un quatrième individu entra avec deux objets dans les mains. Les trois autres hommes me détachèrent les bras et les jambes. Le quatrième homme me retira le gode du cul et mit à la place un plug de taille moyenne qui se terminait par une queue de chien ! Puis il me fit mettre une ceinture de chasteté assez spéciale : cette ceinture m'écrasait les couilles qui étaient toujours ligotées, laissant seulement passer mon pénis dont le gland était dégagé au maximum et laissait mon anus ouvert par le plug au grand air. Une fois la ceinture installée, on me prit par les bras et on me jeta hors du camion. Je me retrouvais nu par terre, dans la rue. Un homme arriva et me passa un collier autour du coup et dit :

- « Allez petit chien, viens à l'intérieur, tu as du travail qui t'attend ! »

Il m'obligea à marcher à quatre pattes jusqu'à l'intérieur de la maison.
Une fois rentré on m'entraîna de force dans ce qui semble être le salon où je vis trois hommes assis sur un canapé, la queue dans leur main en train de se branler ! Un coup sec sur la laisse me fit comprendre que je devais aller les sucer. Je m'y rendis donc à quatre pattes, je suçais l'homme du milieu tout en branlant les deux autres, puis je faisais passer les bites de ma main à la bouche et inversement... Le numéro dura jusqu'à ce qu'un autre homme entre dans le salon avec un mug et là, je vis les 3 hommes se lever et finir de se branler pour éjaculer dans le mug. L'homme repartit avec le mug à la main... L'homme qui m'avait mis le collier (on l'appellera M) reprit la laisse et me dit :

- « Il est 13h30. Tu repartiras d'ici à 18h. Ce qui te fait 4h30 à jouer les chiens, mais vu comment tu bandes on dirait que ça te plait hein ? Petite bite ! »

J'ouvris la bouche pour lui répondre mais M me fila un coup de pied dans les côtes en répliquant :

- « Un chien ça ne parle pas, ça aboie et ça obéit ! »

Je me relevais et lui répondis par un ouaff ! M me regarda et sourit puis m'emmena dans une pièce où il me retira la ceinture puis le plug. Je vis alors l'état de mes couilles : violettes et compactées, ainsi que mon pénis qui ne se recapotait plus ! Il me fit remettre la ceinture. M me traîna dans une autre pièce où un homme (G) m'attendais. Il avait un pénis énorme (25*4/5) qu'il était en train de branler. A peine était-on entré dans la pièce qu'il s'allongea sur le lit la queue bien dressée. M me retira la laisse, prit une caméra et dit :

- « Va t'empaler sur cette matraque ! Tu te tourneras vers moi pour que je puisse te filmer quand tu t'enfonceras ça dans ton cul et que l'on puisse bien voir que c'est toi... »
Je montais donc sur le lit, me tournant vers M, puis m'assis sur ce pénis. Sans lubrifiant, ce fut très dur et cela me fit très mal. J'écartais mes fesses le plus possible afin de faciliter la pénétration du gland, mais cela ne marchais pas trop ! Soudain, je sentis les deux mains de G se poser sur mes épaules et il me força à m'empaler sur son pieu de chair ! Je hurlais à chaque centimètre qui me pénétrait... Une fois empalé jusqu'à la garde, je faisais des aller et venue qui changèrent peu à peu la douleur en plaisir. Au bout de 10 minutes de ce traitement, je jouis sans même me toucher ! M me dit alors de déculer de ce pénis et me força à lui montrer la dilatation. Il me traîna dans plusieurs autres pièces ou je dû faire d'autres jeux d'esclave...
A 18heures on m'emmena dans le fourgon ou l'on me jeta avec mes vêtements.
Je rentrais chez moi à 19h30, le sourire aux lèvres et le cul complètement éclaté.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 27 juin 7 27 /06 /Juin 18:55

Episode précédent : Soumission - Episode 1/3

Ce soir là, le sommeil ne vint pas. Allongé sur mon lit, je réfléchissais à ce qui m'étais arrivé. Je m'étais fait prendre comme une poupée gonflable par une dizaine de mecs et je dois bien l'avouer, à quelques passages près, cette séance m'avait bien plus ! Je décidais donc d'aller prendre cette copie. Cette idée me fit bander et je me suis branlé deux fois dans la nuit et j'ai avalé à chaque fois mon sperme que j'étalais sur une biscotte...
Je passais la journée du lendemain à me demander ce qui se passerait à 20 heures ce même jour. Je dû me rendre une fois aux toilettes afin de me branler car j'avais la gaule et cela pouvait se voir...
A 19h30 j'arrivais au rendez-vous, à la fois excité et terrifié de ce qui pouvait se passer... J'attendis jusqu'à l'heure convenue.

A 20 heures pile, un homme en imper beige s'arrêta et me demanda l'heure puis il continua son chemin. Dix minutes passèrent et toujours personne. Je regardais à nouveau ma montre : il était 20h10 quand tout à coup l'homme en imper beige repassa devant moi, me regarda et s'approcha. Il était de taille moyenne et un peu corpulent si on regardait de près. Il sortit alors un CD de son imper, me le tendit et dit : « Voilà le CD de ce que l'on t'a fait subir. ». Il se retourna puis s'en alla. Après un flash dans ma tête, me remémorant tout ce qui s'était passé et mes réflexions de la nuit, je m'engageais dans la rue pour chercher l'homme en imper. Je le vis qui s'éloignait par la droite et s'engageait dans une ruelle située un peu plus loin et qui redonnait sur la fac. Je le poursuivis dans la ruelle.
Je le retrouvais adossé contre un mur, une clope à la main. Lorsqu'il me vit il me fit un sourire et me fit signe d'approcher, ce que je fis, l'excitation commençait à déformer mon pantalon ! Arrivé devant lui il me regarda, tira une bouffée sur sa cigarette et dit :
- « Tu en redemandes, c'est bien ça ? »
Je devins rouge de honte mais lui me fit un signe approbateur de la tête et il éclata de rire...
- « Tu es bien le premier à qui on fait subir ce traitement et qui en redemande ! Tu es vraiment sûr de toi ? » me dit-il.
- « Oui, j'y ai beaucoup réfléchi. J'ai adoré être votre poupée gonflable, votre esclave sexuel ! » lui répondis-je presque sans le vouloir.
Sur ces mots, il me prit par la main et m'emmena à la fac. Arrivés près des bâtiments de cours, il me fit rentrer dans le bâtiment le plus proche et me tira dans les toilettes. On devait être seuls dans la bâtisse. A peine arrivé, il déboutonna son imper et je vis qu'il portait un pantalon qui laissait le pénis, les couilles et le cul à l'air libre ! Il me regarda et me dit :
- « Allez mon petit esclave, viens faire plaisir à ton nouveau maître : suce-moi ! »
Sans un mot, je me mis à genoux devant lui et avalais son pénis jusqu'à la garde. Il n'était pas encore très gros à cause du froid du dehors, mais je le sentis grossir dans ma bouche au cours des va-et-vient jusqu'à atteindre un bon 18 cm ! Je lui lapais le gland, avalais sa tige le plus loin possible et enfin je le suçais en m'appliquant le plus possible. Je passais ma tête entre ses jambes et je me mis à lui laper les couilles comme un bon chien puis revint le sucer. Il éjacula par terre et dit : « Lape le sol où j'ai répandu mon sperme petit toutou ! »
Je nettoyais donc le sol avec ma langue tandis qu'il se rhabillait. Puis il me regarda
et dit :

- « Demain on est Mercredi, tu finis à quelle heure ? »
- « Je finis à 12h30 » lui dis-je.

Il me mit une baffe qui me fit trébucher en disant : « On doit toujours dire Maître ! »

Je repris donc ma phrase : « Je finis à 12h30 Maître ! »
- « C'est mieux, dit-il. Tu te présenteras à 12h45 devant la Bibliothèque Universitaire : un mini fourgon blanc sera garé sur le parking. Tu tocques à la vitre du chauffeur et tu lui demandes s'il aimerait te goder. Si il acquiesce, tu rentres par la porte latérale. D'accord ? »
- « Oui Maître ! » lui répondis-je.

Il me sourit et dit : « Tu commences à comprendre esclave ! A demain ? »
Le lendemain, à 12h30 je sortais de cours et courus pour être devant la B.U. à 12h45 car j'étais à l'autre bout de la fac. J'arrivais à 12h40 et recherchais le fourgon blanc que je vis garé au bout du parking. J'avais peur de ce qui allait arriver mais je me décidais à y aller.
Arrivé au fourgon je toquais à la vitre du chauffeur et lui demandais si il voulait me goder. Il me répondit par l'affirmative et la porte latérale du fourgon s'ouvrit, un bras se tendit vers moi et m'attira dans le fourgon ! Aussitôt entré, on me fit mettre nu puis on me mit une balle dans la bouche afin de m'éviter de crier. Je regardais l'intérieur du fourgon : il y avait des chaînes au plafond, au sol et sur les cotés, quelques godes traînaient par terre et trois personnes s'occupait de moi. On m'attacha les mains aux chaînes du plafond, les pieds furent écartés par une barre de fer que l'on attacha à mes chevilles puis on m'enchaîna les jambes...

Le camion démarra une fois qu'ils eurent fini de m'attacher. Un des hommes prit un des godes qui se trouvaient par terre, il était rose et faisait environ 10 cm de long, l'homme l'enduisit de vaseline et me le mit dans le cul sans ménagement. Mon cri fut étouffé par la boule que j'avais dans la bouche. Le voyage continua, moi nu et enchaîné à l'arrière du fourgon avec un gode dans le cul, partant vers l'inconnu...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 27 juin 7 27 /06 /Juin 18:21

Tout a commencé il y a 2 ans mais je m'en souviens comme si c'était hier...

J'avais 18 ans, on était en hiver, il était environ 7H45 du matin et je me rendais à la fac. Je marchais tranquillement quand 2 hommes cagoulés sont arrivés derrière moi et m'ont mis à terre. Un des hommes derrière moi m'a fait respirer un mouchoir qui était imbibé de chloroforme et donc je me suis évanoui. Je me suis réveillé une heure plus tard dans une grande pièce qui contenait exclusivement un bureau. Je me rendis compte que j'étais nu et que j'avais les mains attachées. J'ai tenté de me libérer quand une voix cria que j'étais réveillé. Une dizaine d'hommes nus entrèrent alors dans la pièce, me regardèrent allongé nu par terre... Le dernier homme entra, ferma la porte derrière lui et s'approcha de moi avec des cordes à la main. Deux hommes le suivirent, me levèrent, me détachèrent et l'on me força à me mettre à 4 pattes sur le bureau. Une fois installé, plusieurs cordes vinrent s'attacher à mes membres, m'empêchant de me libérer ou même de bouger !

Le dernier homme entré dans la salle se mit derrière moi, me prit les couilles dans une main et les attacha à une corde de l'autre main, me les tira en arrière et m'attacha finalement cette corde en passant sous le bureau pour rejoindre mes poignets de sorte que je ne puisse plus bouger les mains sinon cela me tirerait les couilles en arrière. L'un des hommes s'approcha de moi, la bite bien raide et me la fit avaler jusqu'à la garde puis m'imposa un rythme de va et vient assez élevé tandis que je sentais des mains me caresser les fesses, les couilles et l'anus. Puis, pendant que j'étais forcé de sucer cet homme, je sentis une langue me fouiller l'anus puis quelques secondes plus tard, le mec sortit de ma bouche et alla se placer pour me pénétrer. Il rentra d'un coup sec si bien que je faillis crier mais une bite comblait déjà ma bouche ! Chacun leur tour, ils allèrent successivement de ma bouche à mon cul et vice-versa. Une fois qu'ils eurent tous joui au moins une fois en moi, un des hommes prit un anneau de fer de 4 cm de diamètre et me l'enfila autour de l'anus, ce qui eut pour effet de me faire très mal au début et de me maintenir mon cul ouvert où le sperme commençait à couler. Un à un, les hommes quittèrent la pièce, me laissant seul, les couilles attachées qui commençaient à être froides et l'anus ouvert.

Au bout d'un temps qui me paru une éternité, deux hommes entrèrent dans la pièce, me bâillonnèrent, me détachèrent les mains, mais pas les couilles et m'emmenèrent dans une pièce un peu plus grande qui ne contenait qu'un lit et une étagère remplie de godes et d'objets divers...
On me jeta sur le lit, m'attacha les mains et les jambes aux deux montants. Les 10 hommes entrèrent dans la pièce et j'en vis un prendre des objets sur l'étagère et s'approcher de moi. Il avait pris une paire de pinces pour téton, des menottes et une petite cordelette. Il m'installa en premier lieu les pinces sur mes tétons, ce qui me fit crier silencieusement à cause du bâillon, me détacha les mains de la corde et les raccrocha aux montants du lit avec les menottes. On me libéra les pieds. L'homme me prit les couilles et me les libéra mais trop peu de temps puisque juste après il prit mon pénis et mes couilles, passa la fine cordelette autour et la referma de plusieurs noeuds, ce qui eut pour effet de priver mon pénis et une nouvelle fois mes couilles de sang. J'avais mal mais je ne pouvais que subir...

On me fit mettre à quatre pattes et l'on m'appuya sur le ventre, ce qui me fit recracher les restes du sperme avec une peu de merde. Les hommes rigolèrent, m'enlevèrent l'anneau et mon anus ne se referma pas tout de suite. Un des hommes passa sous moi, rentra son sexe dans mon cul et me sodomisa. Un autre homme vint alors se positionner en levrette anale et je subis ma première double sodomie ! On me retira le bâillon pour que je puisse les sucer à nouveau, ils échangèrent leurs places jusqu'à ce qu'un nouvel homme entre avec un mug remplis d'un liquide blanchâtre. Je vis les hommes se vider dans le mug puis me remettre sur le dos. Ils me retirèrent la cordelette et me branlèrent jusqu'à la jouissance, ce qui ne fut pas long ! Je n'avais jamais encore vu autant de sperme sortir de mon pénis... Mon sperme alla dans le mug que l'on m'obligea à vider : je fus contraint de le boire mais je dois reconnaître que j'ai aimé !

Un nouveau mouchoir se colla à mon visage...
Je me réveillais je ne sais combien de temps plus tard, dans une ruelle près de la fac, mal habillé et les couilles encore une nouvelle fois ligotées. Je me relevais avec difficulté et regardais autour de moi. Je vis un papier par terre qui disait :
« Si tu veux, on te donnera une copie de ce que l'on t'a fait subir, reviens ici demain à 20 heures. »

Je mis le papier dans ma poche et je rentrais chez moi.
Est-ce que j'irai récupérer le film ? Vous le saurez la prochaine fois...

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Avertissement

 

Blog réservé à un public majeur.

 

La plupart des éléments publiés sur ce blog sont à caractère sexuel et proviennent du net. Si certains contenus ne sont pas libres de droit, merci de m'en avertir et il seront immédiatement retirés.

Présentation

Pour suivre mon blog...

Je m'efforce de publier :

  • La "photo du jour"  chaque soir en semaine : une nouvelle photo d'un beau mec. Suivez les publications par catégorie.
  • Une "vidéo" chaque samedi complétée parfois alternativement d'un nouvel album ou d'une nouvelle galerie de photos.
  • L'"histoire de la semaine" chaque dimanche : un nouveau récit pornographique de mes fantasmes et envies les plus excitantes. 

Pour votre plus grand plaisir faites connaître ce blog et merci d'avance si vous prenez la peine de laisser un petit message ou un commentaire...ça encourage et ça fait toujours plaisir !

Derniers Commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés