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Episode précédent : Un chalet en montagne - 16/26
Chapitre 17/26: Affolement
Raldo se dirige vers Archie et lui attache les mollets à 2 anneaux. Le garçon a ainsi les pieds écartés d'un mètre environ et ne peut donc plus resserrer ses jambes. J'ai un mauvais pressentiment
et je crains pour la suite…
Puis il tend les cordes qui tirent les bras d'Archie en l'air. Au final c'est tout juste si Archie repose sur le sol. Il est presque sur la pointe des pieds.
Sa position est pénible et je devine Archie qui grimace sous son bâillon. Mais ce n'est pas fini… Raldo se saisit d'une ficelle, passe devant le garçon dont le corps est tendu comme un arc et entoure la base de son sexe et de ses couilles avec un nœud coulant. Puis il passe la ficelle entre les jambes et il se déplace deux mètres en arrière. Il tend alors le lien et, sous la douleur et la menace de se faire arracher les parties, Archie est obligé de reculer son bas ventre en se cabrant davantage. Ses fesses sont ainsi mises en évidence, offertes vers l'arrière. Et il ne peut bouger car au moindre mouvement vers l'avant, le lien se tend et il a l'impression de se faire arracher la bite.
Raldo farfouille alors dans un carton, derrière les caméras et en ressort une baguette, souple et ferme à la fois : Archie va recevoir une fessée…
Je n'ose rien dire, sachant que cela ne servira à rien. Raldo se place alors derrière Archie, lève le bras et lui assène le premier coup. La baguette siffle en fendant l'air et frappe avec un claquement sonore et sec les tendres fesses du prisonnier. Sous la violence du coup, le corps de l'adolescent s'arque. Instinctivement il avance sous le coup. Mais se faisant il tire sur la cordelette entourant son sexe et croit s'arracher la queue. Il hurle alors de douleur, mais bâillonné comme il est, son cri ne porte pas.
Raldo poursuit ses coups et froidement frappe le postérieur du garçon avec grande force. A chaque fois Archie lutte et hurle. Mais il ne peut rien faire, ni bouger, ni hurler… Il ne peut contrer les coups et doit lutter pour ne pas avancer et ne pas s'arracher ainsi les couilles.
Je suis horrifié par cette violence gratuite et je ferme les yeux pour ne plus voir le pauvre garçon souffrir à chaque coup. Encore une dizaine de coup et Raldo stoppe.
Je rouvre alors les yeux et les lève vers le visage du supplicié. Archie est épuisé et ne tient debout que par les cordes qui tirent ses bras vers le haut. Son visage est en larme. Je remarque alors que son sexe est bandé au maximum. Bien involontairement, sous la tension de la ficelle, il bande fortement. Même plus que cela : les veines sont saillantes et le gland rouge vif est très gonflé. Je me demande alors si la ficelle ne lui coupe pas la circulation sanguine dans ses organes génitaux.
Raldo passe alors devant lui, se positionne et, avec une précision diabolique, assène un dernier coup de baguette sur les testicules d'Archie. Le coup ne semble pas fort, pourtant Archie hurle à nouveau et manque s'évanouir de douleur. Je me retiens d'hurler moi aussi, de colère et de dégoût.
Calmement Raldo se retourne vers moi et m'explique :
- « Voila, j'ai fini avec lui, libère-le et réconforte-le. Il en a besoin. Lève-toi ! »
Je me lève et il me retire mes menottes. Je suis toujours nu mais au moins je n'ai plus d'entraves. Puis il pose le fouet dans son carton et me jette un tube de crème. D'un réflexe je le rattrape sans comprendre. Je regarde l'étiquette et je devine qu'il doit s'agir de crème apaisante contre les coups et les rougeurs.
Me laissant à ma surprise Raldo, non sans me prévenir de ne pas toucher aux caméras en place, m'annonce aussi qu'il reviendra d'ici une heure.
Je me précipite alors vers Archie qui semble assez mal en point. Son visage est baigné de larmes. Je commence par la ficelle entourant son sexe. Avec précaution je la retire. Je défais ensuite ses liens aux poignets et aux pieds. Il s'effondre alors littéralement dans mes bras. Je l'assoie sur un oreiller, en égard à ses fesses certainement douloureuses, et doucement commence à le réconforter.
- « C'est fini. Il est parti… »
Petit à petit, il reprend ses esprits. Après quelques minutes de repos il va mieux. Son sexe a débandé et a repris des couleurs normales. Il me demande alors :
- « Mais qui sont-ils ? Pourquoi ils nous ont filmés ?
- Je t'expliquerai… »
Doucement Archie se calme et me demande alors de lui expliquer la situation. Je lui raconte rapidement notre randonnée puis notre capture. Et je termine par les scènes que Raldo nous a obligé à réaliser en nous filmant. Je ne lui cache rien. Après tout il est dans la même galère que nous et il a le droit de savoir ce que, malheureusement, il risque de subir par la suite… Il reste sans voix pendant quelques minutes à la fin de mon récit. Je le laisse le digérer. Puis à mon tour je lui demande de m'expliquer comment il est arrivé ici.
- « C'est hier soir vers 18h. Je me baignais seul dans la rivière en bas de la vallée. Et j'étais dans un endroit que personne ne connaît. Soudain deux hommes sont arrivés. Ils ne me regardaient pas spécialement, ils se sont juste assis sur les cailloux. Puis je suis remonté sur la berge pour partir. Et dès que j'ai eu fini de me rhabiller ils se sont emparés de moi. J'ai rien pu faire. Ils m'ont surpris, je ne m'y attendais vraiment pas. Ils m'ont attaché et ramené dans le coffre de leur voiture jusqu'à ce chalet. J'ai passé la nuit dans une chambre enfermé. Et ce matin ils m'ont attaché là où tu m'as trouvé. Je ne comprenais rien à mon enlèvement... Mes parents ne sont pas spécialement riches. Maintenant, j'ai compris…
- « Mais tu habites dans le coin ?
- Oui, c'est pour cela que je me baignais dans un endroit tranquille que personne ne connaît.
- Ben comment t’ont-ils trouvé alors ?
- Je ne sais pas. Ils m'ont peut être suivi depuis la route…
- Moais… Et tes parents ? T'as pas de portable ?
- Si bien sûr. Mais ils m'ont confisqué toutes mes affaires. »
Il est évident, que nos agresseurs n'auraient pas commis une faute aussi grossière en lui laissant de quoi prévenir le monde extérieur. Il me demande alors :
- « Et tes deux copains ?
- Ben… Ils doivent être encore dans la salle d'à côté. Je ne sais pas vraiment. Ce matin, Raldo m'a embarqué seul pour venir te rejoindre.
- Et vous n'avez pas réussi à prévenir quelqu'un ou à faire quelque chose ?
- Euh non. On est trop bien gardé. Tu as bien vu d'ailleurs… »
Il se tait et réfléchit. J'ai encore une question à lui poser :
- « Et dis-moi, tout à l'heure, avant euh… le gode que j'ai dû te mettre. Quand je suis sorti, que s'est il passé ?
- Ah ! Raldo m'a donné 2 gifles et m'a menacé avec un fouet si je ne coopérais pas davantage. C'est la première fois qu'il me frappait depuis hier soir. J'ai eu très peur… Je ne comprenais rien… Et je n'ai plus résisté. Tu as bien vu d'ailleurs…
- Oui. J'espère que tu n'as pas eu trop mal avec le gode.
- Non tu as fait attention, j'ai bien vu. Le pire, ce n’était pas toi… c'était lui quand il m'a frappé.
- Pourtant depuis hier jamais ils ne nous ont frappés devant les caméras. Au contraire, ils ont fait attention à ne pas "nous abîmer". Enfin, sauf les 2 gardiens… Enfin un surtout.
- J'espère qu'ils ne vont pas recommencer ? »
Sa voix tremble légèrement. Il est inquiet et ne souhaite pas souffrir à nouveau comme tout à l'heure.
- « Et maintenant, que fait-on ?
- J'en sais rien… Mais alors vraiment rien… »
Nous nous taisons. Aucun de nous deux ne voit comment se sortir de cette situation... Archie réfléchit et son regard se porte sur moi. Puis, soudain, il descend ses yeux vers mon sexe rasé et revient vers mon visage. Il réalise alors que c'est anormal et me demande avec étonnement :
- « Tu te rases les couilles ?
- Non, c'est eux qui nous ont obligés.
- Hein ?
- Oui, ils nous ont obligés à nous raser entre nous et devant les caméras en prime. J'ai bien peur que toi aussi tu y passes… »
Il ne dit alors plus rien. Cinq minutes passent. Puis son visage s'éclaire :
- « Et si on pouvait… »
Brusquement Archie se tait. La porte vient de s'ouvrir et Raldo entre. Il n'est pas tout seul, un garde l'accompagne : c'est Mike. J'espère alors qu'il va me "protéger" ou tout au moins éviter que Raldo ne nous fasse mal... Mais Raldo, son chef, est présent et comme d'habitude il ordonne et dirige les opérations :
- « Archie ! Lève-toi et approche. »
Mon nouveau compagnon obéit prestement. Mike passe alors derrière lui et lui écarte les jambes.
- « Bien. Penche-toi en avant maintenant. »
Archie obéit et Mike voit alors le cul du jeune garçon s'ouvrir et son sillon devenir visible. Il écarte les fesses d'Archie avec ses mains et dégage ainsi davantage sa rondelle et son anus. Puis il palpe la raie quasi imberbe du garçon et examine son anus qui semble ne rien présenter d'anormal. Ses fesses par contre sont encore rouges. Je réalise alors que je n'ai pas utilisé la crème apaisante que Raldo m'avait balancée avant de sortir. J'espère qu'il ne va pas s’en apercevoir…
Mike me regarde alors :
- « C'est bien, tu as mis de la crème ? »
Je décide de mentir, redoutant une punition.
- « Oui, tout à l'heure.
- Bien, mais vas lui en mettre encore. Approche. Et toi Archie mets-toi à quatre pattes et écarte les jambes… »
Archie, comprenant qu'il ne risque rien, prend la position demandée. A nouveau j'ai une vue précise sur son entre jambe. Je m'accroupis devant son postérieur offert et je commence à lui étaler une bonne couche de crème sur ses fesses. Sa peau est blanche et lisse. Rapidement, Mike m'interrompt.
- « Parfait. C'est bon. Maintenant on va montrer à Archie comment jouer avec un autre garçon. »
Raldo demande alors à Archie qui se redresse doucement.
- « Tu n'as jamais joué sexuellement avec un gars je parie ?
- Euh non…
- Et bien ce sera une première ! Il y a un début à tout dans la vie.
La suite : Un chalet en montagne - 18/26
Un beau jeune mec dans un superbe slip tanga blanc dévoilant un superbe cul se repose... Bientôt, le surveillant entre dans sa chambre et le découvre si excitant... Il ne peut s'empêcher de laisser ses mains aller se balader partout sur le corps du jeune mec qui va se réveiller peu à peu et faire sa femelle pour prendre en bouche puis dans le cul la bonne queue qui se présente à lui !
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