Le blog de Krampack
Episode précédent : Frères jumeaux 2 : nouvelle complicité
Je suis dans la chambre ce soir, très occupé à faire semblant de résoudre mes exercices de maths, la matière que je déteste le plus (en fait, je n'aime que l'E.P.S., le travail est une malédiction, je l'ai appris au cathé), quand des cris interrompent ma douce torpeur au moment précis où j'allais caresser sans doute le projet d'envisager d'effleurer ces foutus exos. Des cris paternels, ce qui me surprend. Papa engueule Julien. Normalement, c'est plutôt moi ! Notre père est plutôt cool pour un vieux de 42 ans. Ouais, je sais on n'est pas vieux à cet âge-là d'après mon père, mais mon frère jumeau et moi avons 16 ans ! Tant qu'on le fait pas chier, il nous fout la paix. De toute façon, il n'est plus très crédible quand il nous engueule pour une mauvaise note depuis que Mamie (je l'adore) nous a montrés ses anciens bulletins. Il est fier que nous ayons choisi de vivre avec lui après le divorce. Ce n'était pas un dilemme pour nous, pas question de vivre avec notre mère maquée avec Christophe, le frère de mon père et donc oui, son beau-frère ! Trop glauque. Si j'y pense bien, il est même assez génial comme père : il décongèle les pizzas comme personne et ne dit rien quand je laisse traîner mes chaussettes sales par terre dans les endroits les plus incongrus. D'ailleurs, il fait la même chose... La vie entre hommes, cela a du bon. Maman est du genre maniaque. Quand je prends un verre pour boire, je dois aussitôt le laver, l'essuyer sans laisser aucune trace et le ranger. Elle abuse. Franchement, je suis plus heureux qu'à l'époque où ils étaient mariés. Finies les perpétuelles engueulades. Le bonheur, c'est la liberté, pas un bon repas ou un foyer bien tenu. En revanche, la vie ne doit pas être drôle tous les jours pour Papa. En effet, il a du mal à retrouver une copine, car les femmes de son âge sont pour la plupart divorcées de machos, et comme mon père en est un beau, elles n'ont pas envie de refaire la même erreur. Un soir, je l'ai surpris en train de se branler devant un DVD porno, c'était bizarre. Je sais bien qu'un père est aussi un homme, mais quand même... Au fait, il a une grosse bite, j'espère en avoir une aussi belle plus tard. Je me dirige vers la salle de bain d'où proviennent ces cris inhabituels.
— Sale PD ! Tu me fais honte ! Il n'y a jamais eu de tapettes dans ma famille ! Cela vient sûrement du côté de ta mère... Comment peux-tu me faire une chose pareille ? Trompé, humilié par ma femme avec mon propre frère... et maintenant, un de mes fils, la chair de mon sang me déçoit et me dégoûte ! Que vont dire les voisins qui se moquent déjà assez de moi depuis le divorce ? Le cocu est le père d'un PD... La totale. Tu crois que j'avais besoin de ça ? Tu sais, la vie des adultes n'est pas toujours facile, je ne m'amuse pas tous les jours au boulot, alors j'aimerais à la maison...
Julien baisse la tête, sans mot dire, avec dans le main gauche un slip blanc avec quelques tâches jaunâtres et d'autres plus suspectes, brillantes et fraîches. Un slip plus dans le genre des sous-vêtements paternels que de nos boxers. Je comprends tout. Il a été surpris en pleine crise de fétichisme. C'est comme cela que j'avais découvert son homosexualité. Cela ne lui a pas servi de leçon. En outre, je me sens trahi. Depuis un mois que mon frérot me suce matin et soir, je suis comblé. Lui ne l'est pas. Je ne lui suffis pas, ma bite ne lui suffit pas, mon amour propre en prend un coup. Heureusement qu'on ne peut pas être jaloux d'un slip, parce que sinon je me poserai des questions.
— Ah, Jérémy, te voilà. Tu le savais, toi, que ton frère est un sale petit PD ? Que tu partages ta chambre avec un gros pervers que j'ai surpris en train de se masturber en reniflant un slibard de son propre père ? Je vais vite régler cette affaire : Julien, tu fais tes bagages, et ouste, tu dégages chez ta mère. Toi, mon cher Jérémy, tu restes avec moi. Heureusement que je t'ai...
— Pas pour très longtemps, Papa. Je suis désolé, mais si Julien part, je le suis.
— Du chantage maintenant ? Toi aussi tu me déçois, Jérémy...
— Papa, je t'aime et te respecte, mais mon frère ne mérite pas de perdre ton affection. Quand j'ai découvert l'homosexualité de Julien, j'ai réagi plutôt violemment, n'est ce pas Juju ? Mais j'ai compris que j'avais tort. Regarde ton fils qui t'aime et qui souffre lui aussi... Julien, s'il te plaît, lâche ce slip !
— Je pense que la plupart des homos ne sniffent pas le slip de leur père. Julien n'est pas seulement gay, il est aussi pervers. Les jeunes de maintenant trouvent peut-être que l'homosexualité c'est cool, mais moi j'ai été élevé avec des valeurs.
— Et la tolérance, ce n'est pas une valeur ? Écoute ton cœur au lieu d'imaginer la réaction des voisins. Le Julien que tu aimais et dont tu étais fier il y a une heure à peine est toujours là.
— Peut-être que ce n'est qu'un passage dans la sexualité de ton frère ? Réponds franchement, Julien : tu te sens homo ou tu "t'amuses", si je peux dire ?
— Papa, je suis gay. Je ne changerai pas. Je ne veux pas te causer de mal, ni de peine. Tu es mon idole. J'ai remarqué que chaque soir tu te branles et que tu t'essuies avec le slip que tu as porté dans la journée. Puis tu le mets au sale et tu prends ta douche. Non, ne rougis pas, ne sois pas gêné, c'est naturel. Regarde ce que je fais ensuite...
J'y crois pas, le con ! Moi qui essaie de calmer notre père, le voilà qui se met à lécher le slip à la recherche de sperme encore frais... Papa va le tuer ! Mais non, le short de son pyjama prend vie : Papa bande ! Julien l'a remarqué aussi et le chauffe.
— Papa, ce n'est pas sale. Je viens de ce sperme, je suis né dans tes couilles. Cela ne me dégoûte pas parce que je t'aime, Papa. J'aime tout chez toi. Ta voix, tes mains, ta sueur, ton odeur... ton rire si rare, hélas, depuis trop longtemps.
Notre père bande comme un taureau mais il ne fera jamais le premier pas. Je le fais pour lui. Pour lui qui mérite mieux que ses branlettes, pour mon frère qui en a tellement envie et pour moi qui n'ai aucune envie d'aller vivre chez ma mère, mon oncle et mon cousin. Alors traîtreusement, par derrière, je baisse le short de mon père pendant que Julien se met à genoux. Le braquemart sort du short comme un diable de sa boîte. C'est la première fois que je vois de près une bite d'adulte. Je ne comprends pas pourquoi certains disent que c'est laid. La queue est énorme, 22 centimètres ! Les couilles poilues sont généreuses. C'est impressionnant. Je suis fier d'avoir un père si bien équipé. Ça y est, la bouche gourmande de Julien enfourne la grosse bite.
— Non, arrête Julien... Ce n'est pas bien... Tu es mon fils... Oui, c'est bon, personne ne m'a jamais sucé ainsi... Comment fais-tu pour me pomper entièrement, toutes les femmes que j'ai baisées ont prétendu que c'était impossible... Oh, je vais avoir honte demain...
Notre père enlève son T-shirt et dévoile un magnifique torse musclé et poilu juste où il faut. C'est vraiment un bel homme, une belle bête. La plupart des hétéros prétendent qu'ils ne sont pas capables d'apprécier la beauté chez un autre homme, c'est faux. Dès qu'ils détestent un homme sans savoir pourquoi, ils avouent qu'ils sont jaloux de sa plastique parfaite qui en fait un concurrent redoutable dans la chasse aux chattes. Je retire ce que j'ai dit auparavant, mon père n'est pas vieux, il est à point.
— Continue... Oui, les couilles... Ta langue... Qui t'a appris à sucer aussi bien ? Sûrement pas ta mère... Que fais-tu à mon gland ? C'est inespéré... Attends, je vais me retirer, je vais jouir... Je n'en peux plus...
— Non, Papa, je t'en supplie ! Le foutre n'est pas sale, c'est de là que je viens, je suis né dans tes couilles. Donne-moi tout.
— Tiens, ma petite salope chérie, avale tout !
Mon père prend mon frère par les oreilles et se termine en lui baisant férocement la gueule avant de le bloquer pour jouir directement au fond de sa gorge. Mais il y a tellement de bon jus dans les couilles de Papa que du sperme dégouline de la bouche. Il se retire enfin, il ne reste pas la moindre goutte et Julien, en le fixant effrontément comme il sait si bien le faire, se relève et ouvre sa bouche pleine avant de tout avaler. Quand il montre sa bouche vide, mon père, grand seigneur, récolte avec ses doigts virils les gouttes tombées sur le menton de son fils à nouveau chéri et les fait lécher. Julien est aux anges.
— Merci fiston ! C'est la deuxième fois que je jouis ce soir, mais la seconde fois était sans comparaison. Dîtes-moi, les garçons, depuis combien de temps vous vous amusez ensemble ?
— Cela fait un mois que Julien me suce dans mon lit tous les matins et tous les soirs. Il est très doué.
— C'est peu de le dire ! À partir de maintenant, si vous le voulez bien, je me joindrai à vous tous les soirs.
— Oui, répondons-nous dans un seul cri, un seul désir.
— Bon, j'ai joui deux fois ce soir, mais vous vous n'avez pas craché depuis ce matin. Ce n'est pas bon, à votre âge... Et il faut calmer ces érections. Julien, je comprends. Mais toi, Jérémy, mon fils hétéro, ça te fait bander de voir ton père se faire sucer par ton jumeau ?
— Le spectacle était magnifique : Julien a de si belles lèvres, et toi une si belle matraque...
— Merci. Passons aux choses sérieuses. Jérémy, tu vas enculer Julien. Ma "matraque", comme tu dis, est trop grosse pour une première fois. En tant que père aimant, mon rôle est de ne pas (trop) abîmer son jeune cul encore vierge pour peu de temps.
— Hein ? Mais je ne suis pas homo ! Je ne veux pas mettre ma bite dans le cul de mon frère. Sa bouche me suffit. D'ailleurs, je suis sûr que Julien n'en a pas envie.
— Arrête de dire des conneries. Bien sûr que j'en meurs d'envie. Mon cul veut connaître le plaisir que tu as trop longtemps réservé à ma bouche.
Trahi par mon frère jumeau... Papa nous amène dans sa chambre, le lit sera plus confortable que le carrelage de la salle de bain. C'est au tour de mon père de baisser mon pantalon et mon boxer. Julien n'a pas besoin d'aide. Papa dit que nous avons de beaux chibres pour notre âge. Il prend les choses en main.
— Julien, suce bien ton frère pour bien le lubrifier. Ne sois pas avare de ta langue, c'est ton intérêt !
Julien n'a pas besoin d'encouragements. Il me suce avec amour pendant qu'il se glisse un, puis deux doigts dans le cul.
— Julien, à quatre pattes ! Écarte tes fesses. Attends, je reviens.
Papa, toujours au garde-à-vous, revient en effet avec un appareil photo (numérique) et photographie l'anus encore vierge de son fils. Nous ne comprenons pas pourquoi, mais ne posons pas de questions. Très ému, j'approche ma bite du petit œillet et je m'enfonce lentement sur deux, trois centimètres. Julien crie. Pas encore de plaisir... Je crache et sur ma bite et sur son cul et cette fois j'y vais franco. Julien gémit, me demande d'y aller moins fort, mais comme Papa n'intervient pas et que la situation m'excite trop, je continue à m'occuper de mon plaisir. Le sien finira bien par arriver.
— Tais-toi, salope ! Tu voulais te faire enculer, alors tu assumes ! Qu'est-ce que tu croyais ? Que ça passerait comme une lettre à la poste ? Papa, mets-lui encore ta grosse bite dans la gueule pour le faire taire.
Je suis fier de dépuceler Julien. Mon frère se fait donc baiser par les deux trous. Celui qui m'accueille est chaud et étroit. J'ai l'impression que ce cul a été fait pour ma tige. Je l'élargis avec mes passages enragés. Je baise vraiment ! C'est autre chose que de se faire sucer, je passe dans la cour des grands. Et sur le lit de mon père ! Bon, ce n'est pas avec Mathilde, mais j'aurai déjà une certaine expérience quand cette allumeuse sera prête. J'ai l'idée de sortir ma queue complètement du trou et de le replonger d'un grand coup, et de recommencer. Bonne idée, très jouissive. Julien a l'air, lui aussi, d'apprécier. Son cul m'inspire.
— Tu aimes ma bite, ma salope, tu la sens t'élargir le trou de balle ? Tu ne seras plus jamais le même à partir d'aujourd'hui. Je vais jouir... Où veux-tu que je le fasse ? Dans ta gueule de putain ou dans ton cul de salope ?
— Dans mon cul de salope, frangin ! Ouais, je sens ton foutre qui jaillit dans mon trou ! Deux jets, trois jets, encore ! Tu l'aimes mon cul, hein ?
Je sors à regret de ce cul que je ne voulais pas pénétrer il y a encore vingt minutes : je ne pouvais pas savoir... Aussitôt, mon père prend la place, il retourne Julien et le met sur le dos avant d'entrer en lui d'un seul coup rude et sauvage. Il doit estimer que je l'ai assez ouvert et que mon foutre fait un bon lubrifiant. Julien ne pense pas la même chose, d'après les cris qu'il pousse. Je lui mets ma queue débandée dans la bouche, il la nettoie et la tète. Elle durcit de nouveau rapidement.
— Oh, Papa, comme tu me défonces ! Je sens les parois de mon cul qui ne se referment plus quand tu te retires avant de replonger. Je jouis du cul, c'est incroyable.
Mon père le baise avec une force incroyable, sa bite disparaît entièrement dans le petit trou. Ses coups de bassin semblent indiquer qu'il veut s'enfoncer encore plus. Il pénètre son fils sur le lit où il baisait notre mère. Y pense-t-il ? Il a déjà joui deux fois ce soir, alors mon frère déguste ! C'est trop, ce spectacle est si pervers. Je jouis dans la bouche de Julien. À peine ai-je enlevé ma queue de cette bouche bien aimée que mon père embrasse fougueusement mon frère, sa langue virile et conquérante remplaçant ma bite. Je suis troublé, leur premier baiser doit avoir le goût de mon jus... Cela n'a pas l'air de troubler mon père qui continue à explorer la bouche de Julien avec sa langue.
— Tiens, fiston chéri, aspire mon jus avec ton cul !
Mon père jouit enfin dans le cul de Julien, toujours en lui roulant des pelles. Il s'effondre sur lui et ne semble pas pressé de se retirer. Il le fait enfin. Le sperme dégouline. Il prend une nouvelle photo et la montre à Julien. À la vue de son cul déformé, ouvert et foutreux, Julien jouit... Quelle salope... Nous nous embrassons tous les trois sur la bouche, ce n'est pas facile mais c'est vachement excitant.
— Alors Papa, tu n'as pas été trop difficile à convaincre, lance mon frère qui n'a pas le triomphe modeste.
— Que veux-tu ? Je ne suis qu'un homme. Si tu arrives à faire bander un mec, tu en fais ce que tu veux...
— Bon, Papa, c'est pas tout, il faut qu'on aille faire nos valises pour aller chez Maman, lui dis-je en affectant mon air le plus résigné.
— P'tit con !
Ce "p'tit con" vaut tous les mots d'amour. Mon père adoré se jette sur moi en riant et me roule un patin inoubliable.
A suivre...