Dimanche 17 mars 7 17 /03 /Mars 17:24

Je suis un papa célibataire et je fais souvent appel aux services des baby-sitters : des garçons bien évidemment ! Ce sont toujours de jeunes étudiants, la plupart du temps très mignons et je n'hésite pas à tenter ma chance pour les baiser.
Je connais toutes les agences qui les fournissent et je dois avoir là-bas une réputation de tombeur ou plutôt de pédé vicieux, encore que je doute que mes "victimes" aillent se plaindre des traitements que je leur fait "subir"...
Je ne les force jamais à se faire baiser. Ils aiment ça.
Celui qui m'a le plus marqué s'appelait Christophe. C'était un jeunot de dix-sept ans, un joli blond à l'air candide et à la braguette arrogante.
Le plus dur restait à faire : me taper le bandant Christophe. A 17 ans il était sûrement puceau : l'enjeu était de taille. Mais les jeunes mecs difficiles sont toujours ceux qui m'ont fait le plus bander !
J'ai évidemment tenté de le séduire de manière normale, avec sourires et frôlements de main à la clef. Ca ne donnait rien.
Alors j'ai décidé de passer vraiment aux actes. J'avais trop envie de voir sa bite et de baiser son cul.
Quand j'ai envie de niquer, je peux avoir un culot monstre... Un soir où je suis rentré, il était là, en train de donner le biberon à mon fils. Il portait un short et un débardeur et il était vraiment trop sexy pour ne pas donner envie de le baiser. Alors qu'il était penché au dessus de mon fils, je voyais tout son cul à travers le short rouge. Il avait une de ces paires de fesses à se damner !
- Vous pouvez rester encore un peu le temps que je prenne une douche ?
Il a acquiescé à ma question. Moi, j'allais mettre mon plan en action.
Un quart d'heure plus tard, il revenait de coucher mon fils et entrait dans le salon.
- Ca y est, il s'est endormi, enf...
Puis il s'est interrompu, les yeux ronds, la bouche grande ouverte. Il avait de quoi être surpris : j'étais sur le divan, vautré à poil, en train de me branler la bite !
A la vue d'une belle bite, il y en a pas mal qui deviennent de vraies salopes : Christophe, lui, est resté interloqué. Je me suis approché de lui, la bite ballottant à vingt centimètres devant moi. Le baby-sitter restait immobile, comme en état de choc, mais nullement dégoûté. En fait, je dirais plutôt fasciné. Il la regardait fixement et sous son débardeur ses tétons bandaient. Quant à sa braguette, elle prenait du volume... Lentement, il s'est agenouillé avec l'air d'avoir envie et d'avoir peur à la fois.
Sans me gêner, j'ai attrapé ma bite et je la lui ai frottée contre les lèvres. Il a eu un mouvement de recu mais je me suis approché encore plus et je l'ai attrapé par les joues. Il avait de grands yeux affolés, mais quand j'ai un peu forcé, ses lèvres se sont lentement écartées.
Ca y est ! Le jeune puceau était en train de me sucer ! Il le faisait maladroitement au début, mais après un quart d'heure il découvrait le plaisir de pomper une belle bite et il se régalait !
C'est là que je l'ai foutu à poil et j'ai détaillé son corps. Parfait : sèchement musclé et totalement imberbe, avec une belle jeune bite en érection.
Le meilleur, c'était de se branler la bite dans son trou ! La jolie corolle qu'il avait ! Presque imberbe, alors bien sûr, je me suis empressé de la lécher.
Finalement, à la fin de mon léchage, c'est lui qui m'a supplié que je le baise.
- Tu en veux, hein, salope?
- Oh oui ! Je veux !
- Alors, supplie-moi.
- Baisez-moi, s'il vous plait...
- Mieux que ça !
Il hésitait entre la décence et l'envie d'être salope.
- Fourre-moi la rondelle !
Il avait dit ça avec un air gêné, presque dégoûté de lui-même et ça, ça m'a encore plus excité ! Je lui ai enfilé ma bite d'un seul coup. Il a crié, mais très vite ses cris se sont transformés en gémissements.
- Tu aimes te faire trouer, hein ?
- Oui, oui, criait-il.
- C'est la première fois que tu te fais trouer par une belle bite ?
Il a eu un demi-sourire.
- Pas vraiment. Pour mes seize ans, je me suis fait enfiler par le meilleur ami de mon père...
Ce faux puceau savait décidément bien se faire enculer ! Alors que je lui donnais des coups de bite de plus en plus violents, il me racontait comment l'ami de son père l'avait surpris en train de se branler le cul sous la douche et comment il lui avait proposé d'essayer une bonne bite dans le cul.
- Et tu as accepté, hein, ahanai-je, la bite de plus en plus raide dans le cul de Christophe.
- Oh oui et c'était trop bon... Vas-y plus fort, encule-moi à fond, continua-t-il, alors que je lui donnais déjà de grands coups de boutoir.
Je me suis acharné sur sa croupe de petite pédale. A chaque coup de pine, il en redemandait.
Nous avons terminé à même le sol alors que ses couilles et sa bite frottaient contre la moquette comme si il voulait se branler sur le sol. Pour moi, Christophe n'était plus qu'une belle paire de fesses, rondes et joufflues. Il se cambrait, se pâmait, alors que je sentais ma bite prête à exploser.
Puis, d'un seul coup, je me suis dégagé de son anus, je l'ai retourné et sans plus de préambule, j'ai enfoncé mon zob entre ses lèvres.
Ah, ce petit vicieux... Il éprouvait un de ces plaisirs à sucer ma bite qui avait bien suinté dans son cul !
- Jouis, jouis dans ma bouche, chéri !
En même temps, il me pressait les couilles comme si il voulait que mon jus lui explose plus vite dans la gorge.
Quand c'est arrivé, j'ai été étonné qu'il soit salope à ce point. Je repensais à ses airs de puceau effarouché et j'avais devant moi une salope puissance dix qui me tétait la bite comme un biberon à sperme. Il avalait, il déglutissait, les yeux clos comme si le bonheur ultime c'était de boire mon sperme. Il se branlait toujours.
- Ah que c'est bon, que c'est bon !
Il illustra sa tirade en jouissant sur ses doigts. Il les porta, gluants, sur mon gland qui finit par rutiler de son foutre. Puis il lapa mon gros bout avec des mines de chienne en chaleur.
Quand on dit que l'habit ne fait pas le moine, moi je dis que c'est vrai.
Méfions nous des puceaux qui dorment : ce sont souvent des salopes en puissance ! Et le beau Christophe, à chaque fois qu'il avait fini sa vacation de baby-sitter, venait se foutre à poil devant moi, à quatre pattes, les reins cambrés et le cul offert à ma bite taraudeuse.

Par Krampack - Publié dans : L'histoire de la semaine
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