Jordy se faisait bien enculer par ma grosse queue. Je lui tenais un pied en l'air pour bien lui ouvrir le cul et moi j'avais mis mes pinces à tétons. Putain, je prenais un pied d'enfer à dépuceler ce petit cul de mec de 19 ans qui m'avait dit être puceau. Il était sidéré d'avoir vu mon gros et grand chibre et m'avait dit :
- « Tu vois pas l'engin que tu te payes ? On dirait presque une 3ème jambe ! Puis tes poils partout aux aisselles, sur la poitrine et ta touffe à la bite, c'est trop beau de voir ça ! Mais jamais je ne pourrais en prendre une dans le cul comme ça : ça doit faire énormément mal au fion... »
Et moi je l'avais rassuré en lui faisant des bisous partout sur sa petite gueule d'ange qui, je le savais, allait être maculée de sperme au final :
- « Mais non, t'auras pas mal si tu te laisses bien faire, si tu te laisses bien enculer ! Je vais te bouffer le cul puis je te mettrai du gel sur et dans ta rosette. »
Un peu craintif quand même il se laissa faire. Tandis qu'il me suçait le gland, j'avais son petit cul à portée de ma bouche… Pour ça il était sur le dos et je l'avais retourné. Je lui tenais les reins et ma pine descendait dans son gosier. Il avalait tout ce qu'il pouvait et moi, du bout de ma langue, je lui taquinais l'œillet. Puis j'allais sur ses 17 centimètres et je lui bouffais les couilles. A ce stade là il se mit à jouir très vite :
- « Excuse-moi mais c'est trop bon, tu me fais trop de trucs !
- T'inquiète bébé, maintenant c'est là que tu vas couiner… »
Et là je lui demandais de se mettre à genoux dans le plumard puis, après lui avoir mis un tas de gel au cul, je décidai de l'enfiler :
- « Prêt à la défonce, mec ? »
Il ne me répondit rien, mais à voir tout le précum couler de sa bite, je compris qu'il était hyper excité… Je me mis à lui caresser les tétons puis à les pincer légèrement et poussai mon gland complètement cramoisi au bord du petit cul vierge :
- « Laisse-moi faire petite salope, tu vas t'en prendre une bonne dans le cul ! »
Là je rentrai légèrement dans son antre. Il couina fort :
- « Aaaah, c’est trop gros ! Tu me déchires le cul, mec ! »
Sans l'écouter je poussai un peu plus puis je le tins par les cheveux :
- « Laisse-moi faire, respire un bon coup : là tu m'excites de trop, je vais tout te mettre... »
Il écarta un maximum les genoux et, en crachant sur mon chibre, je lui rentrai toute ma pine bien à fond dans son trou de pédé puis je le pris ensuite sur le côté. En dernier lieu je me retirai puis je me branlai à mort sur sa belle petite gueule lui éclaboussant toute la tronche. Il tira la langue pour en avoir dessus. Il bouffa tout puis je le pris contre moi et l'embrassai dans la bouche… Il soupira :
- « Voilà, c'est fait ! » me dit-il.
Lorsqu'il partit, je ne suis pas certain qu'il n'avait pas mal au cul...
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