Le blog de Krampack

Episode précédent : Soumission - Episode 1/3

Ce soir là, le sommeil ne vint pas. Allongé sur mon lit, je réfléchissais à ce qui m'étais arrivé. Je m'étais fait prendre comme une poupée gonflable par une dizaine de mecs et je dois bien l'avouer, à quelques passages près, cette séance m'avait bien plus ! Je décidais donc d'aller prendre cette copie. Cette idée me fit bander et je me suis branlé deux fois dans la nuit et j'ai avalé à chaque fois mon sperme que j'étalais sur une biscotte...
Je passais la journée du lendemain à me demander ce qui se passerait à 20 heures ce même jour. Je dû me rendre une fois aux toilettes afin de me branler car j'avais la gaule et cela pouvait se voir...
A 19h30 j'arrivais au rendez-vous, à la fois excité et terrifié de ce qui pouvait se passer... J'attendis jusqu'à l'heure convenue.

A 20 heures pile, un homme en imper beige s'arrêta et me demanda l'heure puis il continua son chemin. Dix minutes passèrent et toujours personne. Je regardais à nouveau ma montre : il était 20h10 quand tout à coup l'homme en imper beige repassa devant moi, me regarda et s'approcha. Il était de taille moyenne et un peu corpulent si on regardait de près. Il sortit alors un CD de son imper, me le tendit et dit : « Voilà le CD de ce que l'on t'a fait subir. ». Il se retourna puis s'en alla. Après un flash dans ma tête, me remémorant tout ce qui s'était passé et mes réflexions de la nuit, je m'engageais dans la rue pour chercher l'homme en imper. Je le vis qui s'éloignait par la droite et s'engageait dans une ruelle située un peu plus loin et qui redonnait sur la fac. Je le poursuivis dans la ruelle.
Je le retrouvais adossé contre un mur, une clope à la main. Lorsqu'il me vit il me fit un sourire et me fit signe d'approcher, ce que je fis, l'excitation commençait à déformer mon pantalon ! Arrivé devant lui il me regarda, tira une bouffée sur sa cigarette et dit :
- « Tu en redemandes, c'est bien ça ? »
Je devins rouge de honte mais lui me fit un signe approbateur de la tête et il éclata de rire...
- « Tu es bien le premier à qui on fait subir ce traitement et qui en redemande ! Tu es vraiment sûr de toi ? » me dit-il.
- « Oui, j'y ai beaucoup réfléchi. J'ai adoré être votre poupée gonflable, votre esclave sexuel ! » lui répondis-je presque sans le vouloir.
Sur ces mots, il me prit par la main et m'emmena à la fac. Arrivés près des bâtiments de cours, il me fit rentrer dans le bâtiment le plus proche et me tira dans les toilettes. On devait être seuls dans la bâtisse. A peine arrivé, il déboutonna son imper et je vis qu'il portait un pantalon qui laissait le pénis, les couilles et le cul à l'air libre ! Il me regarda et me dit :
- « Allez mon petit esclave, viens faire plaisir à ton nouveau maître : suce-moi ! »
Sans un mot, je me mis à genoux devant lui et avalais son pénis jusqu'à la garde. Il n'était pas encore très gros à cause du froid du dehors, mais je le sentis grossir dans ma bouche au cours des va-et-vient jusqu'à atteindre un bon 18 cm ! Je lui lapais le gland, avalais sa tige le plus loin possible et enfin je le suçais en m'appliquant le plus possible. Je passais ma tête entre ses jambes et je me mis à lui laper les couilles comme un bon chien puis revint le sucer. Il éjacula par terre et dit : « Lape le sol où j'ai répandu mon sperme petit toutou ! »
Je nettoyais donc le sol avec ma langue tandis qu'il se rhabillait. Puis il me regarda
et dit :

- « Demain on est Mercredi, tu finis à quelle heure ? »
- « Je finis à 12h30 » lui dis-je.

Il me mit une baffe qui me fit trébucher en disant : « On doit toujours dire Maître ! »

Je repris donc ma phrase : « Je finis à 12h30 Maître ! »
- « C'est mieux, dit-il. Tu te présenteras à 12h45 devant la Bibliothèque Universitaire : un mini fourgon blanc sera garé sur le parking. Tu tocques à la vitre du chauffeur et tu lui demandes s'il aimerait te goder. Si il acquiesce, tu rentres par la porte latérale. D'accord ? »
- « Oui Maître ! » lui répondis-je.

Il me sourit et dit : « Tu commences à comprendre esclave ! A demain ? »
Le lendemain, à 12h30 je sortais de cours et courus pour être devant la B.U. à 12h45 car j'étais à l'autre bout de la fac. J'arrivais à 12h40 et recherchais le fourgon blanc que je vis garé au bout du parking. J'avais peur de ce qui allait arriver mais je me décidais à y aller.
Arrivé au fourgon je toquais à la vitre du chauffeur et lui demandais si il voulait me goder. Il me répondit par l'affirmative et la porte latérale du fourgon s'ouvrit, un bras se tendit vers moi et m'attira dans le fourgon ! Aussitôt entré, on me fit mettre nu puis on me mit une balle dans la bouche afin de m'éviter de crier. Je regardais l'intérieur du fourgon : il y avait des chaînes au plafond, au sol et sur les cotés, quelques godes traînaient par terre et trois personnes s'occupait de moi. On m'attacha les mains aux chaînes du plafond, les pieds furent écartés par une barre de fer que l'on attacha à mes chevilles puis on m'enchaîna les jambes...

Le camion démarra une fois qu'ils eurent fini de m'attacher. Un des hommes prit un des godes qui se trouvaient par terre, il était rose et faisait environ 10 cm de long, l'homme l'enduisit de vaseline et me le mit dans le cul sans ménagement. Mon cri fut étouffé par la boule que j'avais dans la bouche. Le voyage continua, moi nu et enchaîné à l'arrière du fourgon avec un gode dans le cul, partant vers l'inconnu...

Dim 27 jun 2010 Aucun commentaire