Le blog de Krampack
Il faisait la manche en bas de chez moi et je ne l'avais jamais trop remarqué. Pourtant ce matin là c'est lui qui est venu à moi et il m'a demandé :
- « Si j'osais, seriez-vous d'accord pour que je vienne prendre une douche chez vous ? »
Perso je n'avais rien contre et je lui dis :
- « Si tu veux. Je pense que ça ne pourrait pas te faire de mal ! Dis-moi, tu n'as pas de famille ? »
Il me répondit que oui mais qu'il s'est brouillé avec ses parents et qu'ils l'ont mis à la porte. Je m'approche de lui. Sous sa barbe naissante je m'aperçois qu'il est jeune. Je vois qu'il ne doit pas avoir plus d'une vingtaine d'année et, en le regardant bien, je m'aperçois que c'est un beau loulou. Intérieurement je pense qu'il faut être pourri pour laisser un jeune comme ça dans la nature… Je lui propose de l'héberger, il refuse gentiment en me disant :
- « Vous êtes gentil mais après une bonne douche ça ira. Ca fait une semaine que je n'ai pas pu me laver.
- Et tu n'as pas faim ?
- Je gère comme je peux… »
Et là je décide de le prendre sous mon aile :
- « Allez, viens chez moi, histoire de te refaire une petite santé. »
Il me fait un petit sourire et décide d'accepter ma proposition :
- « Ok je vous remercie, c'est vrai que je mangerai bien un bout ! »
Le lendemain, après s'être restauré et lavé, le garçon voulut repartir mais je m'y opposai catégoriquement :
- « Arrête tes bêtises, tu ne vas pas refaire la manche ! Je vais m'occuper de toi et ne crois pas que je vais te demander quelque chose en échange… Dis-moi simplement pourquoi tes parents t'ont fichu dehors : ils sont malades ces gens-là ! »
Diégo m'avait dit son prénom et moi le mien et je lui avais dis que nous allions nous tutoyer.
- « Bah c'est simple, ils m'ont viré car ils m'ont surpris avec un pote dans une position qu'ils n'auraient jamais dû voir… Ouais, je suis gay et comme eux sont plutôt cathos ça ne leur va pas, tu comprends...
- Hélas oui, c'est nul, encore plus à notre époque ! Ceci dit, mon père était contre aussi. Je ne sais pas si c'est parce qu'il avait un frère homo mais il détestait tous les gays. Il était plus qu'homophobe : c'était un vrai con ! Donc si quelqu'un peut te comprendre c'est bien moi, d'autant plus que moi je suis gay aussi ! »
A ces mots, il vint vers moi et m'embrassa sur la joue :
- « Super ! Donc nous sommes en pays de connaissance... »
Une semaine est passée. Le petit espagnol habite chez moi désormais en tout bien tout honneur. Je n'ai rien osé avec lui malgré qu'il soit un beau garçon, grand, cheveux noirs mi-longs légèrement ondulés avec des sourcils fournis et une peau mate à souhait. Je mentirais si je disais qu'il ne me fait pas kiffer : il est à croquer et je le croquerais bien mais comme je ne veux pas qu'il pense que je l'héberge pour son cul, je fais tout pour attiser son désir… Genre je n'hésite pas à me balader à poil, d'ailleurs entre mecs... On est tous fait pareil ! Enfin il faut croire que non car Diégo m'a déjà dit que j'étais super bien monté et que j'avais dû en faire bander plus d'un… Comme je suis un peu bête, je n'ai même pas osé lui demander qu'il me fasse voir la sienne quand il m'a dit ça ! Mais ce soir je pense qu'il va craquer et qu'il va se donner à moi car ça fait deux ou trois jours qu'il me reluque avec insistance… Je suis certain qu'il doit se branler tout seul dans le canapé qui lui sert de lit.
Comme je l'avais prévu, la nuit venue il frappe à ma porte :
- «Tu dors ?
- Non, t'as un problème ? »
Il vient près de mon lit, baisse son shorty et me fait voir sa bite en érection :
- « C'est ça mon problème ! Je voudrais que tu me fasses l'amour. Je voudrais que tu me prennes. J'ai envie d'un mec ! »
Aussitôt je lui ouvre mon lit et le laisse venir se blottir tout contre moi. Je ne peux m'empêcher de l'embrasser et il répond instinctivement à mon baiser et sa belle queue se met à grandir à vive allure : un bon 17 centimètres vient cogner ma cuisse et il m'attrape mes 22 cm en les branlant d'une main experte :
- « Tu aimes ce que je te fais ?
- Oui c'est bon, continue ... »
Puis il prend l'initiative de me chevaucher la tête pour que je lui bouffe son p'tit cul pendant qu'il enfile mon bâton tout raide dans sa bouche :
- « Ah putain, c'est bon ! T'es un vrai mâle toi ! Elle est bonne ta bite… »
Tout en me suçant, il n'arrête pas de me peloter les noix et de soupeser mes couilles. Au bout de 20 minutes de tels préliminaires, n'y tenant plus, je le mets à genoux, la tête baissée et je lui enfile le bout de ma pine entre ses fesses. Puis, le tenant par les deux épaules, j'enfonce mon gros bâton dans son cul. Il accuse le coup. Je marque un temps d'arrêt puis, une minute après, je me mets à le pilonner à fond tout en lui caressant sa poitrine parsemée de quelques poils noirs et en lui pinçant le bout des tétons. Il ne faut pas longtemps de ce traitement pour qu'il jute lorsque j'entreprends de m'attaquer à sa queue par un savant branlage de ma composition. Ensuite il se laisse noyer la tronche de mon foutre chaud : je vois qu'il en avait tellement envie...
Je ne sais pas quand il repartira le petit Diego, mais en attendant notre vie est au beau fixe à tous les deux et il ne regrette rien et moi non plus !