Le blog de Krampack
Je vois souvent Seb qui est de plus en plus accroc au cul et à ma bite. On est tout le temps ensemble et il a du mal à ne pas me peloter… Quand on sort, il fout une main dans une de mes poches de froc histoire de m'attraper la queue et comme il est devenu un petit vicelard, il m'astique au travers de mon shorty. Il adore faire gonfler mes 22 centimètres tout en me roulant des pelles. L'autre jour dans ma bagnole il a failli me violer (enfin j'étais consentant). Il m'a dit :
- « Laisse-toi faire, je veux te voir torse nu ! »
Et il m'a retiré mon t-shirt. En moins de deux je me suis retrouvé presqu'à poil, la pine à l'air. Je bandais comme un âne. Il m'a branlé tout en me caressant le torse et en me disant des mots un peu plus crus que lorsque je l'ai connu :
- « J'ai envie de te démolir le cul Yanno. Tu me fais trop bander. Quand je te vois arriver dans ton froc en cuir, j'ai directos la trique ! Je vois ta grosse pine moulée sur son côté gauche, là je ne peux m'empêcher d'y toucher… »
Et, en me disant ces paroles, il baisse son fut et me fait voir sa pine décalottée et pleine de mouille :
- « Vas-y, suce-moi, je sais que tu aimes le précum. »
J'ai à peine le temps de dire ouf qu'il me penche la tête sur son bas ventre et m'enfile toute sa queue dans la bouche...
- « Vas-y salope, suce bien mon gourdin jusqu'aux couilles ! T'es trop bon, trop beau et je veux que tu en aies plein la gueule… »
Et moi, entre deux soupirs :
- « Oui c'est bon, donne-moi bien ta bite, pince-moi les tétons Seb, ça va me faire gicler, tu sais que j'adore ça…
- C'est bien… J'adore quand tu fais ta bonne pute comme ça ! Après tu me donneras bien ton cul car j'ai une terrible envie de t'enculer et je sais qu'avec toi je peux te décharger dans le trou : ça me fait doublement bander ! »
N'y tenant plus on s'enfouit dans un bois à bord de mon break et là, à l'abri des regards, je m'installe à l'arrière du véhicule. Je m'allonge sur le dos en repliant mes genoux sur ma poitrine. Après m'avoir craché au cul et m'avoir bien titillé la rosette, Seb, la pine à la main, entre direct dans mon antre de mec. Il pousse ses 18 centimètres à fond et là je sens ses couilles frapper mes fesses. Il est tellement excité qu'il me baise très vite, très fort… Je me mets à jouir en un rien de temps. Je reçois toute sa jute au plus profond de mon cul et, quand il a fini de jeter sa purée, il vient me mettre son dard encore tout raide dans la bouche. Je me mets à le sucer comme un môme suce une bonne sucette.
Après 5 minutes de repos c'est moi qui l'attire à moi et lui demande de s'enfiler à présent mon gros pénis en venant s'asseoir dessus… Moi aussi je veux me vider dans son cul. Sans broncher il s'exécute et je le vois tout nu face à moi avec ma queue dans son cul. Sa bite va et vient de droite à gauche pendant que je le pilonne de toutes mes forces. Cela dure un moment puis tout à coup on se met à jouir à nouveau : moi la queue bien enfoncée, lui bien enculé… je reçois son foutre sur la gueule tandis que je lui déverse toute ma liqueur de mec dans son puits d'amour... Quand il se retire de ma queue je vois tout mon foutre sortir de son cul et lui couler entre les cuisses. Et ouais : on a refait nos bonnes salopes ! Seb était très excité et, par la même occasion, ça m'a donné le virus d'amour de 2 mecs qui s'aiment d'amour.
Ensuite on est reparti les couilles vides tous les deux et Seb a continué à me faire des bisous dans le cou pendant que je conduisais... Je savais que quand j'arriverai chez moi, je le repinerai. Car à force de me faire des papouilles ma pine s'était carrément redressée et elle commençait à me faire mal tant je bandais ! Ouais, le Seb n'avait pas idée de ce que je lui réservais mais dans ma tête tout était clair : je savais qu'il allait me demander grâce à force de le faire jouir tant et tant comme je savais si bien le faire… Avec lui je me laissais enculer parce que je savais que c'était un actif, mais mon truc à moi était aussi de fendre les culs et, quand nous étions dans un tel état de furie sexuelle, il se laissait faire aussi. Il me donnait tout de lui… Là j'arrête d'en parler car je sens que ma sauce monte dans ma zézette et je ne voudrais pas tout foutre dans mon shorty ! Je veux le mettre bien à fond, faire de grands va et vient entre ses fesses, bien lui ramoner le cul, mettre mes doigts dans sa bouche, le lécher partout et sous les bras, bien le faire bander, oh putain... Je le regarde, je lui bouffe les lèvres et la bouche et je lui dis :
- « Viens petit enculé, on est arrivé. Bah tu sais quoi ? Je vais te défoncer ! Je vais me revider dans ton cul de petite salope... »
Il en trésaille et me répond :
- « Oui je reveux ta grosse queue ! Je veux sentir encore ton gros bâton dans ma bouche… Je veux que tu me frappes la gueule avec ta bite puis que tu me l'enfiles de nouveau dans le cul ! Je t'aime tant, je veux jouir et jouir encore… Je veux ta semence et que tu me décharges sur le torse, le ventre et partout sur et dans ma gueule : je te veux ! »