Le blog de Krampack
Mon fils, Vincent, a toujours été un jeune déluré, un consommateur d'hommes et je l'ai toujours laissé faire, en bon père libéral, acceptant totalement l'orientation sexuelle de son rejeton. Je me suis bien gardé de lui révéler mon côté "voile et vapeur", même si je me laisse aller parfois à donner mon avis sur les conquêtes de mon fils. Je reste très soft dans mes remarques, alors qu'en moi-même je note souvent que tel ou tel a la braguette bien remplie, ou un beau cul, ou une "bouche à pipes"... Mais jamais je ne me suis permis de toucher à un de ses amants : décence et cinquantaine obligent ! Enfin, c'est ce que j'arguais jusqu'à ce fameux soir où ma libido et ma vigueur sexuelle d'antan se sont réveillées. Et mon côté homosexuel aussi...
Cette nuit-là je me suis relevé pour aller aux toilettes. Jusque là rien que de très coutumier. Comme d'habitude je suis sorti dans la même tenue que celle que j'utilise pour dormir : la nudité totale. Je suis entré dans la salle de bains et là, surprise, un jeune homme était assis sur la cuvette des wc, occupé à satisfaire des besoins... sexuels !
Il se masturbait et l'engin entre ses cuisses était très beau. Un joli gourdin raide que j'ai fixé un bon bout de temps avant de réagir. Le jeune homme était réellement très beau et, nullement
gêné, il affichait un grand sourire.
- Je comprends pourquoi je n'y arrivais pas avec Vincent, dit-il. Je préfère en fait les hommes virils dans la fleur de l'âge.
Il me fixait avec tant de désir qu'une envie purement sexuelle est montée en moi, que mon sexe a grossi, grossi, sous les yeux ravis du jeune garçon.
L'andropause n'était pas pour moi ! Je me suis rué sur le jeune homme et, penché au dessus de lui, j'ai pris son gros sexe dans ma bouche, retrouvant avec plaisir mon goût vorace de la fellation.
Il avait glissé les mains sur mes pectoraux, me les pétrissait lentement avant de faire descendre ses doigts sur mon ventre puis entre mes cuisses. Il y avait bien dix ans qu'un homme ne m'avait
pas branlé !
- Qu'elle est grosse ! S'extasia le jeune homme.
Très vite, l'envie de jouir a monté en moi et comme j'avais envie d'être pénétré j'ai demandé au jeune homme de se coucher sur le dos. J'avais une formidable envie de le chevaucher et je ne m'en
suis pas privé. Je me suis accroupi au dessus de sa belle bite dure, écartant mes fesses avec mes mains. Puis je me suis assis sur sa bite, m'enfonçant encore et encore sur le gros dard qui me
perforait délicieusement le trou du cul, s'enfonçait très loin, me remplissait, me saillait. Pour moi qui n'avais "consommé" que des femmes ces dernières années, c'était le réveil total de mon
anus.
Comment avais-je pu passer tant de temps sans une bite dans le cul ? Là je me rattrapais largement, pendant que le garçon me branlait et pétrissait mes couilles pleines. Nous avons joui ensemble, moi le précédant de quelques secondes. Il avait posé ses mains sur mes tétons, les pétrissant, les maltraitant presque. Je me relevai, calme, le cul plein de sperme. Je me penchai pour remettre en place la tapis de bain que nous avions roulé en boule, sous le feu de la passion de nos corps gigotant.
Alors que j'étais ainsi penché je sentis soudain sa bouche brûlante contre mes fesses et son haleine, puis sa langue sur mon anus. Je comptais partir après notre moment d'égarement dans la salle de bains mais finalement nous avons passé la nuit ensemble, la première d'une longue série.
Depuis, je suis comme un jeune homme, toujours en train de bander et de sucer. Mon fils à qui j'ai fini par apprendre la chose, me dit souvent que je vais le battre au niveau appétit sexuel. Peut-être, mais avec un seul homme...