Le blog de Krampack
« Écarte bien les fesses que je te bourre à fond ! Tu vois, elle rentre en entier... Ah, quel tableau délicieux que de voir ton cul qui engloutit ma bite ! »
Le mâle était sur moi et moi, étendu sur le dos, mes jambes autour de son torse. Le salaud me bourrait avec force, heureux de me posséder enfin. Il faut dire que cela faisait des mois que je lui adressais des sourires, des œillades, des bonjours, mais rien de plus...
Tous les matins je le rencontrais chez le boulanger. Ce matin il semblait m'attendre après avoir acheté sa baguette. Notre boulanger allait fermer pour congés annuels et le gars devait penser qu'il fallait tenter quelque chose. Étant en vacances je portais un short blanc très court et une petite chemisette. Il parut surpris car d'habitude je suis en costume. Il regarda mes jambes, si belles que je fais des envieuses chez les femmes. En sortant je lui lançai un «bonjour» vague, à quoi il répondit :
— Puis-je vous parler ?
— Oui, que me voulez-vous ?
— Pourrions-nous faire connaissance un soir prochain ? Je serai en vacances demain.
— D'accord. Ce soir si vous voulez : venez chez moi vers 20h30, après dîner. Concluais-je.
Il arriva à l'heure dite, légèrement vêtu. Il possédait un beau torse poilu qui fit déjà mouiller mon cul qui demandait du mâle. Nous bavardâmes. Il était prof de gym et aimait les beaux corps.
— Je dois vous avouer, ajouta-t-il, que votre partie arrière me fascine et me fait rêver.
— Dites-moi carrément que vous aimeriez m'enculer ! Osais-je.
Il devint rouge comme une tomate mais répondit:
— Pourquoi pas ? je l'ai fait en rêves de si nombreuses fois !
Je disparus un instant pour ôter mes vêtements et revins en string. Il était cramoisi le pauvre.
— Vous... Vous... avez un corps... splendide... bredouilla-t-il.
Il osa une main sur moi puis se mit à me pétrir les chairs. Je me cambrais comme une femelle pour mettre en valeur ce qu'il voulait. Je lui déboutonnais sa chemise et fit glisser son pantalon de toile. Il se retrouva en slip bleu dans lequel j'allais chercher sa queue pour l'emboucher à travers le tissu. Il gémissait comme tous les mâles qui ont un besoin pressant de se vider. Je remontai et me frottai contre lui. Nos bites étaient l'une contre l’autre. Je me trémoussais tout en lui bouffant les lèvres et, comme il était très fort, il me souleva pour m'emporter dans la chambre.
Sur le lit il m'arracha mon string pour me sucer les couilles puis ensuite la queue et enfin le cul qu'il enduit de salive. Sa bite grosse et trapue entra presque du premier coup.
— Putain, tu es drôlement habitué aux gros calibres ! remarqua-t-il, la mienne a été aspirée par ton trou d'un seul coup. Il y a des mois que tu la veux ma bite, pas vrai salope ?
Je ne lui cachai pas mon envie et précisai même qu'il pouvait rester dedans autant de temps qu'il voudrait. Une bite peut bien rester deux heures dans mon cul, comme une fois, un mâle que s'était mis un lacet autour pour éviter l'éjaculation.
Le prof de gym s'activait au-dessus de moi et éjacula plus vite qu'il ne l'aurait voulu.
Après une douche il revint pour marquer son deuxième essai. Je le gardai donc pour la nuit. Il était si ravi qu'il me prit encore vers une heure du matin, et au réveil une nouvelle fois.
Son cou et ses épaules étaient très massives, il possédait de grosses cuisses de lutteur et un noeud proportionné au reste. Il fut aux anges plusieurs soirs de suite le beau prof de gym ! Mais moi, il me faut toujours de la nouveauté en matière de remplissage de fion et je le remplaçai bientôt par un autre. Comme je suis un mignon vraiment très mignon, — et ceci sans fausse modestie — je n'ai aucun mal à me trouver de nouveaux pourfendeurs, bien contents de se vider les burnes entre mes jolies fesses.