Le blog de Krampack
Salut, moi c'est Adrien. Je vais vous raconter mon entrée au pensionnat cette année. C'était ma première année au lycée, et de celle là, toute ma vie je m'en souviendrais !
J'ai eu 14 ans cet été, je ne suis pas très grand : 1m65, pas très lourd non plus : 44 kg. Je suis châtain et j'ai les yeux noisette. Vous voyez, rien que de très commun, d’autant que ma bite n'est pas énorme : dans les 13–14 cm et que je suis pas du tout poilu, j'ai juste un peu de poils au dessus de ma bite.
Dans l'ensemble je plais quand même pas mal aux filles, même si seuls les garçons me font de l'effet. C'est dans mes rêves et depuis toujours, un garçon qui me prend dans ses bras et qui m'embrasse. Le sexe, tout ce que j'en connais, ce sont des branlettes et des pipes entre copains, rien d'autre. Mais je n’ai jamais eu de problème pour draguer les copains. Je me fais pas mal draguer aussi, malheureusement pas forcément par des mâles…
C'était donc la rentrée au lycée. C'est la première fois que je rentre en pension. Le primaire je l'ai fais au village et le collège à la ville voisine. J'ai un peu peur, je vais laisser toute la semaine ma maison, mes parents, mes amis. Tous ceux que je connais et que j'aime, je vais les laisser loin de moi. J'ai beau avoir plus de quatorze ans, ce n’est pas facile. Quand, sur la place du village je suis monté dans le car, j'avais la gorge serrée et les larmes n'étaient pas que dans les yeux de ma mère. Et le: "Courage, mon gars !" de mon père n'a pas été d'une grande utilité.
Enfin c'est fait. J'y suis ! J'ai beau regarder de tous côtés, pas une tête connue. Je ne connais personne... En plus on a tous l'air bête dans cette cour avec nos sacs et nos valises à attendre. Faire connaissance quand, à tes pieds il y'a le sac avec la couette, les draps, la photo de la famille et tout le fatra du pensionnaire, ça n'aide pas vraiment. On a tous l'air totalement stupide.
Le surveillant arrive et nous donne le numéro de chambre car, dans ce bahut, il n'y a pas de dortoir mais des chambres de deux ou trois. Seuls les sanitaires sont restés communs. Me voilà parti dans les escaliers et les couloirs sans fin à la recherche de ma piaule, avec comme seule indication "deuxième étage, sur la droite !". Au bout d'un certain temps et de pas mal d'errance, je parviens enfin à la porte tant convoitée.
Je toque puis je rentre. Je pose tout mon barda et je découvre mon compagnon de chambre. Vite une chaise, sinon je vais tomber tellement il est beau. Ouah ! Le mec super canon ! Il doit être plus vieux que moi, au moins seize ans, il est très grand, il a les cheveux très sombres, presque noirs, légèrement ondulés. Mais ce qui me fascine chez lui tout de suite c'est son regard : d'un noir intense qui, lorsqu'il te fixe, tu as instantanément l'impression qu'il te déshabille. Plus tard lorsque je le connaîtrai mieux, je découvrirai aussi son sourire. Rien ni personne ne peut y résister, surtout pas moi. S'il me sourit, là je craque, il le sait, il en joue.
— Salut, alors c'est avec toi que je cohabite cette année ?
— Bonjour ! Oui, si je ne me suis pas planté de chambre ça doit être moi.
— Comment tu t'appelles ?
— Adrien, et toi ?
— Moi c'est Rudy, j'ai presque seize ans et je suis en seconde...
— Ben moi, j'ai juste quatorze ans et c'est ma première année de pensionnat. Je suis en troisième. Tu m'expliqueras comment ça marche ici, que je n’ai pas l'air trop cloche au début.
— T'inquiètes pas, je connais la boîte comme ma poche, elle n'a plus de secret pour moi c'est ma seconde année ici, je te rencarderai, c'est cool tu verras !
Voilà donc ma première rencontre avec Rudy, mon nouveau compagnon de chambre. Il choisit son lit et, grand seigneur, me laisse la jouissance de l'autre. Je l'aide à faire son lit, lui le mien. On déballe nos affaires. Il a amené avec lui une impressionnante collection de magazines et à regarder (discrètement) les photos de couverture, ça n'a pas l'air d'être le "Chasseur français" sa presse préférée !
Sonnerie dans les couloirs, interrogations dans mes yeux.
— Faut descendre, ils vont nous expliquer comment fonctionne la maison et nous donner les emplois du temps pour cette année, me dit Rudy en me filant une claque dans le dos.
Le rassemblement est dans une grande salle qui a bien besoin d'un coup de peinture. Elle doit servir à tout cette salle : salle des fêtes, de réunion et de gymnastique aussi à en croire les panneaux de basket sur les murs. L'emploi du temps est réglé comme du papier à musique, pas de temps mort, le seul choix que nous ayons est pour l'occupation du mercredi après-midi, le choix n'est pas très vaste et nous avons le temps pour y réfléchir, je verrais bien...
— Ceux qui veulent changer de chambre peuvent le faire jusqu'à ce soir, après ce sera trop tard, nous dit le surgé.
Moi je ne veux pas changer de chambre. Pourvu que Rudy ne dise rien ! Il me file un coup de coude, me sourit et me fait un clin d'œil. J'ai compris : je ne changerai pas de compagnon de chambre, je suis heureux. Les externes ne rentreront que demain : quartier libre jusqu'au repas du soir. Nous remontons dans notre chambre. Il nous reste deux heures avant la bouffe, le temps de finir de ranger nos affaires.
Je pose mon réveil et la photo de la famille sur ma table de nuit. Rudy lui, installe deux très beaux posters sur le mur, des photos de mer et de bateaux. La fenêtre est ouverte, il fait chaud, nous parlons de plein de choses assis sur nos lits. Rudy se lève, ôte son jeans sans aucune gêne et part à la recherche d'un short dans son armoire. À le voir comme ça, à moitié à poil devant moi, je chope une trique d'enfer, en plus son slip est des plus mini !
— Tu devrais faire la même chose que moi, on crève de chaud ici ! Rougis pas comme ça, t'as jamais vu un mec en slip ?
Faut dire que je ne lâche pas des yeux le slip du copain : je suis complètement scotché sur la bosse. Bien sûr que j'ai déjà vu des mecs en slip, même des sans slip, mais jamais un ne m'a fait cette impression ! Vu l'état dans lequel je suis, je ne me sens pas l'envie de baisser mon pantalon devant lui. J'aurais trop la honte.
— Ne fais pas le timide, me dit-il.
Il se jette sur moi et me coince à moitié en riant et commence à s'attaquer à ma ceinture. Je me défends, assez mollement d'ailleurs, en lui disant qu’il n’est pas drôle, que nous ne sommes plus des enfants. Dans ma tête je me dis "Quel con tu es… Pourquoi tu as mis une ceinture?". En rigolant toujours il finit par réussir à ouvrir la boucle, il s'attaque aux boutons. Là j'ai cessé de résister. Il me dégage et tire le pantalon vers le bas. Heureusement que j'ai la bite raide sinon le boxer venait avec !
— Ah ! D’accord… Je vois pourquoi tu voulais pas, me dit-il avec son merveilleux sourire au coin des lèvres. Tu as chopé la trique. Eh bien voyons ça...
D'un geste sec il passe la main sous l'élastique du boxer et le tire. Me voilà à poil en train de bander devant un mec que je ne connaissais pas il y a trois heures ! Je trouve sympa ma première journée de pensionnat. Surtout que la vue de ma petite queue dressée fait pousser une bosse dans le slip de Rudy. Il me chope par la bite et m'entraîne vers la porte. Je le suis avec une démarche de pingouin, mon pantalon et mon boxer entravant fortement ma démarche. Il se bloque le long de la porte, se met à genoux, ses pieds empêchant qu'un importun pousse la porte.
Il tombe à genoux et commence à me pomper la bite. Sa langue passe autour de mon gland, repoussant la peau qui le recouvre à coup de langue. Je mouille à fond, des filets s'étirent depuis ma bite tendue au maximum et ses lèvres. De sa main il me caresse les couilles puis les gobe, d'abord une à une puis les deux à la fois. Il les fait rouler dans sa bouche, les aspirant et les recrachant tour à tour. C'est curieux comme impression, c'est aussi pas mal douloureux. Pas très agréable non plus, ça fait un effet bizarre dans le ventre au début. Après ça va mieux. Sa main me caresse entre les cuisses, passant entre mes jambes pour venir me flatter le cul. C'est trop bon, il coule de ma bite plus de liquide que dans mes branlettes solitaires. S'il continue comme ça, je ne vais pas tarder à lui larguer mon foutre dans la bouche !
Il me retourne brutalement, sa bouche commence à me baiser les fesses, sa langue caresse ma rondelle. J'écarte les jambes, elle devient de plus en plus pressente, sa main fait rouler mes couilles. Ça fait mal et en même temps c'est trop bon ! Ce n’est pas ma première pipe, ni mon premier bouffage de cul, mais c'est de loin ce qui m'est arrivé de plus excitant. J'ai moi aussi envie de le prendre dans ma bouche, je me tortille dans tous les sens pour essayer de prendre sa pine dans ma main, ce n’est pas facile.
Je le force à se remettre debout et, à mon tour, je tombe à genoux devant sa pine. Je l'avale en entier du premier coup. Quand elle vient cogner au fond de ma bouche j'ai un haut le cœur, mais je continue. Je ne suis pas aussi doué que lui, c'est sûr, mais à entendre ses gémissements il a l'air de trouver bonne ma fellation. Sa queue est longue et fine au moins 16 ou 17 cm, elle va loin dans ma bouche, je me régale de son goût. Ma langue, ma bouche ont du mal à le décalotter, je suis obligé de m'aider de ma main. Il gémit un peu pendant que je décalotte son gland. J'aime la douceur de son gland rose sur ma langue, cette odeur de garçon me rend fou.
Je prends ses couilles à pleine mains, je lui malaxe, il pousse de petits cris. J'écarte ses cuisses pour essayer de me frayer un chemin vers ses fesses mais la position est trop inconfortable. Je reviens vers sa queue que j'avale à fond. Je le retourne, il pose ses mains sur la porte et écarte les jambes. Il a quelques poils qui poussent sur ses fesses, trop marrant. Je rentre ma langue dans son cul, je suis comme fou. Je n'ai pas assez des mes mains et de ma bouche, c'est trop fort, je ne vais pas tarder à jouir. Je me relève, je prends sa bite dans ma main, il se retourne et brutalement me chope la queue. Je commence à le branler, je suis excité, je dois lui faire mal tellement je vais fort, lui aussi me branle, nos souffles sont courts.
Je m'approche de sa bouche et je plaque la mienne dessus. Il ouvre la bouche, nos langues se mêlent. Je jouis, nos dents se choquent, il me mord la lèvre et pousse un soupir. Son corps se tend et, venant se plaquer sur le mien, lui aussi a joui. 0n reste un long moment plaqué l'un contre l'autre, ondoyant encore du plaisir intense ressentit, nos bouches mêlées, goûtant encore le plaisir du baiser… Que c'est bon ! Il faut bien mettre fin à cette folie. Nous nous séparons. Nous avons le ventre plein de sperme, ses poils sont gluants. Il me sourit et me dit en caressant mes tétons :
— La prochaine fois tu monteras sur un tabouret, je fatigue moi, les genoux pliés !
C'est vrai qu'il fait au moins vingt centimètres de plus que moi. Je n'y ai pas pensé ! Pour le remercier, je lui roule une gamelle baveuse sur la pointe des pieds.
— Bon à la douche, me dit-il. Nous en avons gravement besoin.
Je vais prendre un paquet de kleenex dans mon armoire et j'efface le plus gros des dégâts. Je lui tends le paquet car lui garde toujours la porte. Je vais l'appeler Cerbère comme le chien de Tantale dans la mythologie ! Nous revoilà enfin présentables. Serviette, savon et en route pour la douche réparatrice. J'aurai trop aimé la prendre avec lui mais il n'a pas voulu. Trop dangereux. Trop de monde passe par là. De retour de la douche il me dit :
— C'était vachement bon !
— On recommencera ?
— Quand tu veux !
— Ce soir ?
— T'es un gourmand toi ! Dac, après l'extinction des lumières.
Je n'ai gardé aucun souvenir de mon premier repas de pensionnaire, pas plus de la soirée qui a suivi tellement j'avais hâte de me retrouver seul avec Rudy dans notre chambre. C'est là que tu reconnais un gars qui a déjà été interne à un bleu comme moi. Il avait dans sa table de nuit une lampe de poche et, caché dans son sac, une cale de bois pour bloquer la porte, choses que je n'aurai jamais songé à prendre !
Nous nous sommes couchés chacun dans notre lit et, à dix heures, le surveillant est passé dans chaque chambre pour nous demander d'éteindre les lumières et de mettre nos réveils à sonner à 7h demain. Cette première journée de travail commençant pour les internes et les externes à la même heure.