Le blog de Krampack
Je possède une belle propriété dans le Sud. J'y vis toute l'année et, pendant les vacances d'été, je loue une partie de la prairie à des campeurs. C'est un joli petit coin où ils se sentent à l'aise et à l'abri des regards car il est situé à l'autre bout de la prairie, sur une toute petite colline. Les campeurs ont trop tendance à négliger cette particularité du relief. Pas moi. Je suis équipé d'un matériel redoutable, généralement destiné à ceux qui étudient les étoiles. Pour ma part l'astronomie n'offre aucun intérêt. Le voyeurisme par contre fait partie de mes lubies. Mais jusqu'alors je me contentais d'une surveillance discrète de mes locataires. Je ne négligeais pas parfois de les espionner jusque dans leurs ébats mais j'avoue que je n'y accordais qu'un intérêt médiocre. C'était histoire de passer le temps et de tuer l'ennui...
Or, ce mois de juillet dernier, un bel éphèbe portant un sac à dos, une barbe de huit jours et un guide du routard écorné est venu sonner à ma porte. J'ai jugé bon de lui offrir le bel emplacement de la colline et, par la même occasion, j'ai astiqué les lentilles de mes instruments d'optique. Seul dans mon grenier j'ai pu dès le premier soir apprécier un spectacle qui, pour la première fois, ne m'a pas fait regretter l'achat d'un matériel si coûteux !
À peine débarqué le jeune homme en effet n'a pas trouvé mieux que de se mettre en tenue d'Adam et d'offrir son anatomie au soleil de cette fin d'après-midi. C'était un régal, surtout lorsqu'il a décidé de planter sa tente dans sa tenue si dépouillée. Mais le plus beau restait à venir car mon beau locataire était un jouisseur et un jouisseur organisé... Car, une fois le montage de sa tente effectué, il a sorti de son sac une espèce de siège pliant comme en utilisent parfois les pêcheurs. Un siège très bas qu'il a placé devant la tente. Il s'y est assis et là, j'ai constaté avec surprise et grand plaisir qu'il était en érection. Mon plaisir devait être aussi grand que le sien car je l'ai vu porter gentiment sa main à son sexe et, le plus naturellement du monde, il s'est branlé !
Je n'ai pas pu m'empêcher de descendre mon pantalon et d'en faire autant. Le plaisir me venait très rapidement et j'ai dû me freiner assez vite car j'ai constaté que lui prenait tout son temps. C'était vraiment un mec qui savait vivre et profiter de la vie ! Sa face radieuse s'épanouissait au soleil tandis que, de deux doigts précis, il se caressait la base du gland avec une lenteur désespérante pour un ignorant mais que l'amateur éclairé pouvait apprécier. Il prenait tout son temps. Parfois sa main descendait plus bas et il se massait les couilles et là, c'était vraiment magnifique car sa belle queue bandante et ses deux kiwis étaient bien mis en valeur par ce geste. Puis sa main remontait et elle reprenait le lent va-et-vient. Enfin le plaisir, je parle du mien, fut à son comble lorsque je le vis fouiller dans son sac pour en extraire une chose longue que je ne voulus pas d'abord reconnaître pour un gode. Non, non me disais-je, pas tant de plaisir d'un coup ! Mais pourtant je l'ai bien vu enfiler d'abord son engin dans sa bouche puis écarter les jambes et, sans plus de pudeur, se le mettre et se branler avec, là, en face de moi, le cul bien dirigé vers ma maison qui devait lui sembler si loin. Je l'avoue ma résistance a ses limites et ma main s'est retrouvée nappée de mon sperme tandis que la bite de mon locataire restait toujours aussi dardée et fière dans ce beau soleil.
Il s'est branlé encore longtemps et je l'ai vu jouir et rester ensuite demi- allongé sur sa chaise. Inutile de dire que mon repas a été expédié à toute allure et que je suis vite revenu à mon poste d'observation. Il était lui en train de se préparer un repas. Il avait enfilé un simple short mais, connaissant déjà un peu son personnage, j'ai deviné qu'il ne portait pas de slip dessous. Il mangeait. C'était un plaisir de le voir et, en même temps, une torture car le soleil déclinait maintenant et chacun sait que, la nuit, il est difficile de bien voir avec des instruments d'optique non équipés d'infrarouges. J'angoissais, et à tort, car mon campeur organisé a sorti de son sac à malice deux camping-gaz éclairants qu'il a disposé d'une façon symétrique de chaque côté de la tente. À partir de ce moment-là j'ai commencé à avoir des doutes. La lumière de mon grenier étant éteinte il ne pouvait pas me voir et mon installation est, de toute façon, complètement invisible. Alors ? Après avoir installé ses deux lampes il a quitté son short et, au lieu de s'asseoir sur son siège, il s'est agenouillé en face de lui si bien que son cul, ouvert comme un livre, était dirigé en plein sur ma lunette. Cette fois-ci il a joué le grand jeu. Il a commencé par se branler le cul avec ses mains puis, en tordant sa bite, il s'est amusé à se branler à revers en la frottant dans la raie de son cul. J'ai vu ensuite le gode se brandir et, sans coup férir, il se l'est carré dans le fion. Là, j'ai assisté à une masturbation anale de la plus grande envergure.
Je triquais de nouveau comme une bête mais je me branlais avec parcimonie. Je ne voulais pas jouir avant lui cette fois-ci. Il se l'enfonçait d'un seul coup puis il se taraudait le cul sans pitié en remuant de la croupe comme une chatte en chaleur. Puis il retirait le gode et se le replantait aussi sec. Enfin je l'ai vu qui s'attachait la queue à la base du gode avant de se réenculer et de se branler en même temps. J'ai deviné qu'il jouissait plus que je ne l'ai constaté. Mais il est resté avec son gode dans le cul ce qui m'a permis de me finir tranquillement. Quel pro ! Sous ses airs de ne pas y toucher il avait du métier ! Je suis parti me coucher avec cette question inquiétante : que faire ? Intervenir et gâcher ainsi peut-être la poule aux oeufs d'or ? Ou bien ne rien faire et jouir ainsi d'un beau spectacle tous les soirs ? J'ai décidé d'opter pour la seconde solution.
Ainsi, chaque soir, j'ai profité d'une exhibition différente et volontaire j'en suis sûr. Il est reparti au bout d'une semaine et, au moment où il est venu me régler, rien dans son attitude ni dans la mienne n'a montré que nous avions envie de dévoiler notre secret...